questionnaire sur le médicament placebo pour mon TFE

[caillet]

Bonjour,
Je réalise mon mémoire sur le médicament placebo e j'aurai aimé avoir le plus d'opinion possible afin de me permettre d'évoluer .
Je vous remerci d'avance pour votre temps accordé!!!!

Voici mon questionnaire:

Ancienneté du diplôme :

Age :

Questions d’explorations de terrain :



1) Que pensez-vous du médicament placebo ? Comment qualifiez-vous un patient réceptif à ce type de traitement ?

2) Administrez- vous de la même manière un traitement placebo et un traitement standard ?

3) De quelle manière influencez-vous l’efficacité du traitement ?
Qu’est qui vous parait le plus important pour que votre patient adhère au traitement ?

4) Quelle méthode est utilisée pour évaluer la douleur ? A quel moment est-ce effectué ?


5) Quels sont les risques rencontrés lors de l’utilisation de ce traitement ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Gengis]

je déplace sur le forum tfe
d'autre part le sujet a été abordé recemment, voir les réponses iciÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[neliii]

Bonjour,
Je réalise mon mémoire sur le médicament placebo e j'aurai aimé avoir le plus d'opinion possible afin de me permettre d'évoluer .
Je vous remerci d'avance pour votre temps accordé!!!!

Voici mon questionnaire:

Ancienneté du diplôme :
Novembre 2005

Age :
22

Questions d’explorations de terrain :



1) Que pensez-vous du médicament placebo ? Comment qualifiez-vous un patient réceptif à ce type de traitement ?

Euh la question n'est pas très claire.. enfin, un patient qui réagit à ce traitement est un patient comme un autre.. qui est focalisé sur sa douleur et ce placebo agit sur le psychologique..

2) Administrez- vous de la même manière un traitement placebo et un traitement standard ?

euh pfiou.. et bien je dirais que non, car nos traitements standards sont prescrits (enfin la plupart), et le placebo, c'est une initiative que nous prenons, enfin du mois, là ou je travaille.. (je travaille la nuit en clinique, pas de médecin de garde donc avant d'appeler un anesth a 5h du mat et se faire démonter, on tente tout ce qui est possible.. si ca marche tant mieux, sinon, tant pis, on appelle..)

3) De quelle manière influencez-vous l’efficacité du traitement ?
en général, je leur dis que c'est un truc super fort qui va a la fois calmer et du coup, les faire dormir un peu.. la plupart du temps, j'ai eu de la chance, ca a marché.. (à part pour des grosses douleurs compréhensibles suite à de grosses interventions)

Qu’est qui vous parait le plus important pour que votre patient adhère au traitement ?
l'écoute, la confiance, et le suivi.. retourner dans la chambre 1h après pour voir où il en est de sa douleur..

4) Quelle méthode est utilisée pour évaluer la douleur ? A quel moment est-ce effectué ?
perso, je n'utilise pas l'EVA.. car personne chez nous ne l'utilise et au bout d'un moment, les patients comprennent que pour avoir un morphinique, il suffit de dire 8 ou 9.. pour voir la douleur, je regarde le patient.. je lui fais aussi confiance en post op (sur une colectomie, c'est un peu logique de souffrir.. à J7 d'appendicectomie, là c'est plus trop logique)

5) Quels sont les risques rencontrés lors de l’utilisation de ce traitement ?

le risque euh et bien je dirais que ca ne marche pas.. ou qu'alors le patient le lendemain dit au médecin 'ah cette nuit, on m'a donné des gélules pour dormir, ca a super bien marché, j'pourrais en avoir tous les soirs?".. dans ce cas là, tu te fais déboiter par le médecin si l'équipe de jour ne l'a pas mis au courant..

Pour compléter un peu ton questionnaire, le placebo peut s'utiliser sous plusieurs formes.. perso, quand j'étais en stage dans les grand CHU, on avait des comprimés en sucre tout préparés.. ici, rien de tout ca.. alors on ruse avec des poches de NacL sans rien dedans.. ou alors pour les gens non perfusés, y'a la technique de la gélule qu'on vide avant (mais pas les Dafalgan car trop connu de tous..), ou alors l'injection sous cut d'EPPI pour les accros à la morphine SC..Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[cedr1c]

je ne peux répondre qu'à ta première question.
dans mon service, on n'utilise pas de placebo afin de préserver l'alliance thérapeutique.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Haegen]

pour la remarque de nelli, je comprends pas comment le doc peut ne pas etre au courant d'une PM?????????? (le placebo c'est pas sur PM?)

mes réponses

anciennté DE en 94
age 35ans


1) le placebo peut avoir une utilité dans une prise en charge après une réflexion de l'équipe médicale et paramédicale.

je ne sais pas comment qualifié un patient qui est réceptif à ce type de traitement. cela dépend des patients et des raisons qui font que l'équipe décide de ce traitement.

2) le placebo nécessite un consensus sur le pourquoi de son utilisation et sur la surveillance de ses effets. il fait donc partie de l'arsenal thérapeutique.

3) ???????????????????????????????

4) EVA et EVS, utilisé dès la moindre douleur et associés aux autres paramètres ainsi qu'à la communication non verbale.

le placebo dans la lutte contre la douleur me semble relever de la médecine militaire qui est à la médecine ce que la justice militaire est à la justice

sans déconner, filer un placebo pour savoir si le patient a vraiment mal faut etre vicieux. les fois où je l'ai fait c'est en infirmerie de garnison mais on était pas dans le soin mais dans la négociation.

pour moi le placebo intervient quand les thérapeutiques habituelles ont échouées et quand la douleur n'est pas physique mais psychologique. c'est effectivement le similateur connu. attention le placebo n'est alors que transitoire et doit déboucher sur une réelle prise en charge psy du patient.

5) la perte de la confiance du patient et par là, l'échec de toutes les autres thérapeutiquesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[neliii]

[quote="Haegen"]pour la remarque de nelli, je comprends pas comment le doc peut ne pas etre au courant d'une PM?????????? (le placebo c'est pas sur PM?)

chez nous; pas de PM pour les placebos (d'ailleurs pas beaucoup de PM la nuit, perfalgan, lexomil a gogo sans appeler un médecin a 4h du mat). donc on tente quand on sent que le patient ne dit pas vrai sur sa douleur (le patient qui se lève, va fumer sa clope sur le balcon et qui te dis dès que tu rentres dans la chambre qu'il souffre le martyr.. bref, donc dans ce cas là, placebo..)
je trouve que certaines questions de ton questionnaire ne sont pas très claires, et je voulais savoir quelle était ta problématique ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.