Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arrivé
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - ONI
Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arrivé
Bonjour,
Je viens de recevoir le deuxième appel à cotisation!!
http://www.lepost.fr/article/2010/06/11 ... rrive.html
Je viens de recevoir le deuxième appel à cotisation!!
http://www.lepost.fr/article/2010/06/11 ... rrive.html
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
oui le fait d'avoir cotisé la première année implique que vous êtes redevable de la cotisation
et bientôt elle pourra être payée en ligne (d'ici fin juin : site national)...encore plus sûrs d'être payés et encaissée immédiatement.....
et bientôt elle pourra être payée en ligne (d'ici fin juin : site national)...encore plus sûrs d'être payés et encaissée immédiatement.....
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elhombredelamancha
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Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
l effet bachelot va faire tres mal 
allez je lance les paris : moins de 20 000 cotisants cette annee 
allez je lance les paris : moins de 20 000 cotisants cette annee tic tac tic tac tic tac...adieu ONI nous ne te regretterons pas ^^
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
les collègues ont reçu leur appel pour la nouvelle cotisation. compte tenu des positions sénateurial, ministériel et parlmentaires, ils ne vont pas repayer leur 75 euros. ils sont dégoutés, après avoir payé 75 euros une première fois, moins de 6 mois après on leur réclame la seonde cotisation avec un impératif de payer sous 15 jours...
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
@Migraine :
Et tu fais quoi depuis que tu as quitté la profession IDE?
@seringuelectrique :
Non, il s'agit du second appel et non pas d'une relance!
@armanoide :
Ils sont combien tes collègues dans ce cas? (ça me rassure)
Et tu fais quoi depuis que tu as quitté la profession IDE?
@seringuelectrique :
Non, il s'agit du second appel et non pas d'une relance!
@armanoide :
Ils sont combien tes collègues dans ce cas? (ça me rassure)
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
is it very important ???TrucsIDE a écrit :@Migraine :
Et tu fais quoi depuis que tu as quitté la profession IDE?
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Anonyme222222
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
http://www.actusoins.com/3967/exclusif- ... rmier.html
[EXCLUSIF] Vers une baisse de la cotisation à l’Ordre Infirmier
16 juin 2010 | Actusoins
Suite à la visite des membres de la commission des affaires sociales de l’assemblée nationale dans les locaux de l’ordre national infirmier le 15 juin, un conseil extraordinaire est convoqué pour début juillet.
Officiellement, il ne s’agit que de « faire le point sur la visite de la mission de la commission ». Pourtant, il est plus que vraisemblable que le montant de la cotisation soit au centre des débats.
La visite de Pierre Méhaignerie et de membres de la commission, n’était pas, en effet, une simple visite de courtoisie. En substance, le message est le suivant: Si l’Ordre ne revoit pas sa position (un maintien de la cotisation à 75 euros, ndlr), la commission ne pourra empêcher les députés de voter « selon leur conviction ».
La menace est à peine voilée, et la convocation d’un « conseil plénier extraordinaire » début juillet est le signe qu’elle a été comprise.
Sous couvert d’anonymat, des conseillers nationaux sont déja prêts à voter une diminution du montant de la cotisation.
S’il est probable que l’opposition maintienne de toute façon sa proposition d’abrogation des ordres paramédicaux, une diminution substantielle de la cotisation pourrait certainement faire évoluer voire disparaître la proposition de loi de l’UMP, portée par le député Yves Bur.
Reste un problème de fond: l’Etat a confié des missions de service public à l’Ordre, comptant ainsi réaliser de substantielles économies en en faisant supporter le coût aux seuls professionnels infirmiers. Si l’ordre disparait ou ne peux plus assurer financièrement ces missions, le gouvernement compte-t-il les récupérer à sa charge? En ces temps de rigueur ostensiblement affichée, il est permis d’en douter.
Thomas Duvernoy
[EXCLUSIF] Vers une baisse de la cotisation à l’Ordre Infirmier
16 juin 2010 | Actusoins
Suite à la visite des membres de la commission des affaires sociales de l’assemblée nationale dans les locaux de l’ordre national infirmier le 15 juin, un conseil extraordinaire est convoqué pour début juillet.
Officiellement, il ne s’agit que de « faire le point sur la visite de la mission de la commission ». Pourtant, il est plus que vraisemblable que le montant de la cotisation soit au centre des débats.
La visite de Pierre Méhaignerie et de membres de la commission, n’était pas, en effet, une simple visite de courtoisie. En substance, le message est le suivant: Si l’Ordre ne revoit pas sa position (un maintien de la cotisation à 75 euros, ndlr), la commission ne pourra empêcher les députés de voter « selon leur conviction ».
La menace est à peine voilée, et la convocation d’un « conseil plénier extraordinaire » début juillet est le signe qu’elle a été comprise.
Sous couvert d’anonymat, des conseillers nationaux sont déja prêts à voter une diminution du montant de la cotisation.
S’il est probable que l’opposition maintienne de toute façon sa proposition d’abrogation des ordres paramédicaux, une diminution substantielle de la cotisation pourrait certainement faire évoluer voire disparaître la proposition de loi de l’UMP, portée par le député Yves Bur.
Reste un problème de fond: l’Etat a confié des missions de service public à l’Ordre, comptant ainsi réaliser de substantielles économies en en faisant supporter le coût aux seuls professionnels infirmiers. Si l’ordre disparait ou ne peux plus assurer financièrement ces missions, le gouvernement compte-t-il les récupérer à sa charge? En ces temps de rigueur ostensiblement affichée, il est permis d’en douter.
Thomas Duvernoy
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
Je suis ravi de cette info, vraiment!!!
Les députés s'en sont mêlés, ils ont pondu une proposition de loi, et puis plus rien!!!
L'appel à cotisation arrive, on nous donne 15 jours pour payer, et, que font les députés???
Je suis content qu'il y a eu une suite le 16/06 et que ça se précise!
Les députés s'en sont mêlés, ils ont pondu une proposition de loi, et puis plus rien!!!
L'appel à cotisation arrive, on nous donne 15 jours pour payer, et, que font les députés???
Je suis content qu'il y a eu une suite le 16/06 et que ça se précise!
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
Je crois que l'Ordre s'est endetté pour s'installer et comptait rembourser ses dettes suite aux 500.000 inscriptions à 75 euros.
Une baisse de la cotisation remettrait en cause ce remboursement rapide.
C'est clair qu'elle devra préférer la démission à la baisse de la cotisation.
La multiplication des Ordres paramédicaux est inutile. Un seul organisme les regroupant tous reviendrait beaucoup moins cher.
Une baisse de la cotisation remettrait en cause ce remboursement rapide.
C'est clair qu'elle devra préférer la démission à la baisse de la cotisation.
La multiplication des Ordres paramédicaux est inutile. Un seul organisme les regroupant tous reviendrait beaucoup moins cher.
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blondplatine92
- Forcené
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- Inscription : 05 sept. 2009 20:49
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
pas nécessairement : l'ordre des pharmaciens et plus près de nous celui des kinés modulent la cotisation en fonction du mode d'exercice. Les IDEL (la ministre soutient uniquement les salariés et a dit que c'était très utilie pour eux) risquent d'en faire les frais. comme les idels ne sont isolées, qu'il y aura chantage aux assurance, CPAM .... elle s'inscriront toutes;TrucsIDE a écrit :Je crois que l'Ordre s'est endetté pour s'installer et comptait rembourser ses dettes suite aux 500.000 inscriptions à 75 euros.
Une baisse de la cotisation remettrait en cause ce remboursement rapide.
C'est clair qu'elle devra préférer la démission à la baisse de la cotisation.
Pour faire disparaître l'ONI, personne ne doit payer. je les imagines très bien aller voir les juges pour 300.000 400.000, ariérés de cotis
car seul un juge peut ordonner le recouvrement de la dette et il faut faire une demande individuelle devant chaque juge compétents; -
Anonyme222222
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
Réduire l’ordre des infirmiers aux seuls infirmiers libéraux semble être devenu une idée fixe de Roselyne Bachelot. Le conseil national de l’ordre qui s’est tenu hier en a encore eu la preuve. Mais derrière cette position de la ministre, c’est la place des infirmiers en France qui est en jeu.
L’affaire de la proposition de loi* visant à "dispenser les infirmiers exerçant à titre salarié de s'inscrire à l'ordre" a franchi le 15 juin un nouveau palier de crispation. En fin de Conseil national de l’ordre des infirmiers (CNOI), le représentant du ministère a lu à l’assemblée un message de la ministre qui enjoint l’ordre de baisser sans délai la cotisation de manière drastique sous peine d’appuyer la proposition de loi. C'est-à-dire de dispenser 85 % de la profession de l’inscription à l’ordre. "Autant supprimer l’ordre, ce serait plus clair", commente Dominique Le Bœuf, la présidente du CNOI.
Une politique de la terreur
Encore sous le choc lors de la conférence de presse du 16 juin au matin prévue initialement pour faire le point sur l’avancée des dossiers en cours (développement professionnel continu, coopération inter-professionnelle, situation des infirmiers anesthésistes, de bloc opératoire et de santé au travail…), Dominique Le Bœuf dénonce une véritable politique de la terreur et s’étonne de l’ultimatum adressé aux infirmiers par la ministre. Un ultimatum d’autant plus surprenant qu’un dialogue semblait avoir été noué avec le ministère et que la mission de médiation entre les représentants de la profession et le gouvernement, initiée par Pierre Méhaignerie, président de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, est toujours en cours. Pierre Méhaignerie venait même de réaffirmer, devant le conseil national de l’ordre qu’il est venu rencontrer le 15 juin, sa volonté de trouver une solution de compromis au blocage actuel.
Devant ce nouvel épisode, Dominique Le Bœuf envisage le pire. "Si la loi passe, c’est la fin de l’ordre. Un ordre qui ne regroupe pas toute une profession n’est en effet pas un ordre. Ni en France, ni dans aucun pays". Les syndicats de salariés auront obtenu satisfaction. C’est en effet eux qui étaient montés au créneau contre le tout jeune ordre qu’ils jugeaient inutile pour les salariés puisqu’ils étaient là pour les défendre. Outre l’hostilité des centrales syndicales, de multiples raisons ont été invoquées. Le montant de la cotisation de 75 euros a servi de bannière à la ministre. Certains évoquent aussi son agacement devant les prises de position de l’institution sur un certain nombre de sujets comme la coopération interprofessionnelle, le développement professionnel continu ou encore le récent soutien au mouvement des anesthésistes. Pour Dominique Le Bœuf, ce qui est reproché à l’ordre est d’avoir trop vite et trop bien réussi sa mise en route "et d’avoir fait la preuve que les infirmiers pouvaient s’organiser et avancer sur des sujets fondamentaux pour leur profession".
"Aux ordres et à l'office"
Quelles qu’en soient les raisons, obscures ou transparentes, il apparaît aujourd’hui évident que Roselyne Bachelot a décidé de "se faire la peau l’ordre". "Elle nous donne uniquement le choix entre la mort lente ou la mort subite», explique Dominique Le Bœuf. "Soit nous baissons la cotisation à 20 euros comme elle l’exige, et nous ne pourrons plus remplir les missions que nous donne la loi. Nous serons juste bons à faire de la figuration. Soit elle appuie la proposition de loi et c’est la fin pure et simple de l’ordre. En tout cas, jamais la ministre ne se serait permis une telle méthode avec les médecins ou les chirurgiens-dentistes. C’est très symbolique de la façon dont on considère les infirmiers : aux ordres et à l’office".
Il est vrai que cette crise s’ajoute à une série d’indices forts qui en dit long sur la place des infirmiers en France par rapport à de nombreux autres pays européens. Les textes d’application du Développement professionnel continu (DPC) en sont les derniers exemples en date. Dans ces textes en préparation, les 450 000 infirmiers sont soumis au régime commun aux dix-huit professions paramédicales. Il est prévu qu’elles doivent s’acquitter de leur obligation lors d’analyse de pratiques et non plus d’évaluation des pratiques comme les professions médicales. Et cette analyse pourra être faite en commun avec les autres professions. Autant dire que l’exigence d’amélioration continue des pratiques professionnelles n’est pas une priorité.
Peur de l'émancipation
Mieux encore, alors que dans une première version des textes, une commission scientifique indépendante devait être créée pour déterminer les besoins de formation, cette commission a été supprimée, et ses fonctions transférées au Haut conseil des professions paramédicales (HCPP), organisme paritaire où siègent principalement les représentants des employeurs et ceux des salariés. Il y a donc un refus net de considérer les infirmiers, quel que soit leur statut, comme formant une profession capable de réfléchir à son évolution. La réflexion sur l’évolution des formations et des compétences, sur les problématiques des pratiques infirmières avancées leur est collectivement déniée, sinon par le biais de leur seul statut de salarié ou de libéral. Il n’y a en tout cas aucun désir de voir les infirmiers s’émanciper et faire autre chose que de combler, à moindres coûts, les besoins de notre système de soins.
L’évolution des propositions des textes d’application sur la coopération interprofessionnelle instituée par la loi HPST en est une autre illustration. S’ils sont toujours très permissifs sur les protocoles permettant les actions sur le terrain, ils sont devenus très restrictifs et rigoureux en ce qui concerne la généralisation de ces protocoles et leur intégration à la formation initiale ou continue. En d’autres termes, le dispositif permet d’utiliser les infirmiers pour compenser, à la demande, des difficultés d’offre de soins constatées dans tel ou tel territoire. En revanche, il n’est pas question d’en faire un levier d’extension générale de leur compétence et de leur qualification.
Renaud Degas – Hospimédia -
L’affaire de la proposition de loi* visant à "dispenser les infirmiers exerçant à titre salarié de s'inscrire à l'ordre" a franchi le 15 juin un nouveau palier de crispation. En fin de Conseil national de l’ordre des infirmiers (CNOI), le représentant du ministère a lu à l’assemblée un message de la ministre qui enjoint l’ordre de baisser sans délai la cotisation de manière drastique sous peine d’appuyer la proposition de loi. C'est-à-dire de dispenser 85 % de la profession de l’inscription à l’ordre. "Autant supprimer l’ordre, ce serait plus clair", commente Dominique Le Bœuf, la présidente du CNOI.
Une politique de la terreur
Encore sous le choc lors de la conférence de presse du 16 juin au matin prévue initialement pour faire le point sur l’avancée des dossiers en cours (développement professionnel continu, coopération inter-professionnelle, situation des infirmiers anesthésistes, de bloc opératoire et de santé au travail…), Dominique Le Bœuf dénonce une véritable politique de la terreur et s’étonne de l’ultimatum adressé aux infirmiers par la ministre. Un ultimatum d’autant plus surprenant qu’un dialogue semblait avoir été noué avec le ministère et que la mission de médiation entre les représentants de la profession et le gouvernement, initiée par Pierre Méhaignerie, président de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, est toujours en cours. Pierre Méhaignerie venait même de réaffirmer, devant le conseil national de l’ordre qu’il est venu rencontrer le 15 juin, sa volonté de trouver une solution de compromis au blocage actuel.
Devant ce nouvel épisode, Dominique Le Bœuf envisage le pire. "Si la loi passe, c’est la fin de l’ordre. Un ordre qui ne regroupe pas toute une profession n’est en effet pas un ordre. Ni en France, ni dans aucun pays". Les syndicats de salariés auront obtenu satisfaction. C’est en effet eux qui étaient montés au créneau contre le tout jeune ordre qu’ils jugeaient inutile pour les salariés puisqu’ils étaient là pour les défendre. Outre l’hostilité des centrales syndicales, de multiples raisons ont été invoquées. Le montant de la cotisation de 75 euros a servi de bannière à la ministre. Certains évoquent aussi son agacement devant les prises de position de l’institution sur un certain nombre de sujets comme la coopération interprofessionnelle, le développement professionnel continu ou encore le récent soutien au mouvement des anesthésistes. Pour Dominique Le Bœuf, ce qui est reproché à l’ordre est d’avoir trop vite et trop bien réussi sa mise en route "et d’avoir fait la preuve que les infirmiers pouvaient s’organiser et avancer sur des sujets fondamentaux pour leur profession".
"Aux ordres et à l'office"
Quelles qu’en soient les raisons, obscures ou transparentes, il apparaît aujourd’hui évident que Roselyne Bachelot a décidé de "se faire la peau l’ordre". "Elle nous donne uniquement le choix entre la mort lente ou la mort subite», explique Dominique Le Bœuf. "Soit nous baissons la cotisation à 20 euros comme elle l’exige, et nous ne pourrons plus remplir les missions que nous donne la loi. Nous serons juste bons à faire de la figuration. Soit elle appuie la proposition de loi et c’est la fin pure et simple de l’ordre. En tout cas, jamais la ministre ne se serait permis une telle méthode avec les médecins ou les chirurgiens-dentistes. C’est très symbolique de la façon dont on considère les infirmiers : aux ordres et à l’office".
Il est vrai que cette crise s’ajoute à une série d’indices forts qui en dit long sur la place des infirmiers en France par rapport à de nombreux autres pays européens. Les textes d’application du Développement professionnel continu (DPC) en sont les derniers exemples en date. Dans ces textes en préparation, les 450 000 infirmiers sont soumis au régime commun aux dix-huit professions paramédicales. Il est prévu qu’elles doivent s’acquitter de leur obligation lors d’analyse de pratiques et non plus d’évaluation des pratiques comme les professions médicales. Et cette analyse pourra être faite en commun avec les autres professions. Autant dire que l’exigence d’amélioration continue des pratiques professionnelles n’est pas une priorité.
Peur de l'émancipation
Mieux encore, alors que dans une première version des textes, une commission scientifique indépendante devait être créée pour déterminer les besoins de formation, cette commission a été supprimée, et ses fonctions transférées au Haut conseil des professions paramédicales (HCPP), organisme paritaire où siègent principalement les représentants des employeurs et ceux des salariés. Il y a donc un refus net de considérer les infirmiers, quel que soit leur statut, comme formant une profession capable de réfléchir à son évolution. La réflexion sur l’évolution des formations et des compétences, sur les problématiques des pratiques infirmières avancées leur est collectivement déniée, sinon par le biais de leur seul statut de salarié ou de libéral. Il n’y a en tout cas aucun désir de voir les infirmiers s’émanciper et faire autre chose que de combler, à moindres coûts, les besoins de notre système de soins.
L’évolution des propositions des textes d’application sur la coopération interprofessionnelle instituée par la loi HPST en est une autre illustration. S’ils sont toujours très permissifs sur les protocoles permettant les actions sur le terrain, ils sont devenus très restrictifs et rigoureux en ce qui concerne la généralisation de ces protocoles et leur intégration à la formation initiale ou continue. En d’autres termes, le dispositif permet d’utiliser les infirmiers pour compenser, à la demande, des difficultés d’offre de soins constatées dans tel ou tel territoire. En revanche, il n’est pas question d’en faire un levier d’extension générale de leur compétence et de leur qualification.
Renaud Degas – Hospimédia -
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Anonyme222222
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
.cedr1c. a écrit :Si la modulation est trop franche et augmente énormément la cotisation des IDEL, les derniers alliés de l'ordre le lâcheront (FNI en tête), il suffit de voir leur réaction aux propos de Mme Bachelot.
Les IDEL sont des IDE avec un exercice particulier qui est celui du libéral et qui n'a pas vocation à durer obligatoirement toute une carrière. S'il n'y a pas d'ordre obligatoire pour les salariés, il n'y en aura pas non plus pour les libéraux parce que cela n'a pas de sens.blondplatine92 a écrit : Les IDEL (la ministre soutient uniquement les salariés et a dit que c'était très utilie pour eux) risquent d'en faire les frais. comme les idels ne sont isolées, qu'il y aura chantage aux assurance, CPAM .... elle s'inscriront toutes;
A mon avis, la seule issue (et encore sans tenir compte du passif humain, matériel et financier...), c'est de rendre cet ordre facultatif et de laisser la profession faire ses choix avec au préalable, la démission des "élus" actuels.
Après, mon opinion personnelle c'est, que l'on en finisse et que l'on passe enfin à autre chose.
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blondplatine92
- Forcené
- Messages : 349
- Inscription : 05 sept. 2009 20:49
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
je ne reciterai pas tous ton texte mais franchement je suis une infime minorité l'a voulu, et le résultat, 10% d'inscrits donc beaucoup car pas le choix suus la menace.
que pensiez-vous, que tous le monde allait adhéré à ce syndiconi car je suis désolé, vous n'êtes que consultatifs sauf qu'il a fallu que vous la rameniez.
même à 1 euros je ne paye pas et neaucoup feront comme moi.
une infime minorité l'a voulu, et le résultat, 10% d'inscrits donc beaucoup car pas le choix suus la menace. que pensiez-vous, que tous le monde allait adhéré à ce syndiconi car je suis désolé, vous n'êtes que consultatifs sauf qu'il a fallu que vous la rameniez.
même à 1 euros je ne paye pas et neaucoup feront comme moi.
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
bizarre je n'avais pas compris ça comme çaPour Dominique Le Bœuf, ce qui est reproché à l’ordre est d’avoir trop vite et trop bien réussi sa mise en route "et d’avoir fait la preuve que les infirmiers pouvaient s’organiser et avancer sur des sujets fondamentaux pour leur profession".
et tout est à l'avenant dans son discours
bientôt ce sera parce que tout le monde est jaloux de la "puissance" de l'oni
merci moutarde
Re: Ordre infirmier, le deuxième appel à cotisation est arri
paiera paiera pas ?? voilà ma question...pour ce 2ème appel à cotisation.
J'ai payé ma 1ère cotisation après de nombreux "couacs" mais je ne voulais pas être en exercice illégal ..nous avions notre "cher (très cher)" ordre infirmier..dont j'ai fait appel en Mars pour un problème de responsabilité/compétence que je rencontrai avec mon employeur.Je suis tombé (et ça fait mal!!..) sur un juriste pas à l'écoute, excédé et qui m'a dit ne pas avoir de réponse (gloups!..), qu'ils n'étaient pas encore suffisamment organisés, et qu'ils n'avaient pas un rôle de conseil juridique (re-gloups..).. bre, le désordre dans l'ordre ma 2 ème remarque .. pourquoi ne pas avoir crée un forum sur le site ONI??..
Une IDE
J'ai payé ma 1ère cotisation après de nombreux "couacs" mais je ne voulais pas être en exercice illégal ..nous avions notre "cher (très cher)" ordre infirmier..dont j'ai fait appel en Mars pour un problème de responsabilité/compétence que je rencontrai avec mon employeur.Je suis tombé (et ça fait mal!!..) sur un juriste pas à l'écoute, excédé et qui m'a dit ne pas avoir de réponse (gloups!..), qu'ils n'étaient pas encore suffisamment organisés, et qu'ils n'avaient pas un rôle de conseil juridique (re-gloups..).. bre, le désordre dans l'ordre ma 2 ème remarque .. pourquoi ne pas avoir crée un forum sur le site ONI??..
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