Relaxation et psychose
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
Relaxation et psychose
Je participe parfois à un atelier dit "expression corporelle " en hopital de jour (population psychotique )
Ma collégue qui a repris précédemment l'atelier depuis Mars utilise une méthode de en amont et en aval de la séance qui m'interroge ...
Les patients stimulés durant l'atelier avaient tendance selon elle à étre un peu trop "speed " à la sortie ...ce que je veux bien admettre.
donc en début de séance , elle leur fait faire des exercices de respiration/ concentration comme celles que l'on retrouve en séance classique de relaxation ...elle pratique une certaine induction ... prise de conscience de leur capacité pulmonaire , du passage de l'air ... etc ... sa voix se mue en mode relaxation ...
à la fin de la séance , elle réitère ses inductions , en insistant sur la respiration puis en utilisant un peu de la méthode training autogéne de schlutz ....
Je lui ai renvoyé ma crainte de majorer chez le patient ses angoisses de morcellement , d'anéantissement .....et de les "forcer" à se réfugier éventuellement dans leur délire pour échapper à leurs terribles angoisses.
Ce qu'elle a pris pour une vive critique ... qu'elle ne pouvait entendre ...
avez vous une expérience ?
Ma collégue qui a repris précédemment l'atelier depuis Mars utilise une méthode de en amont et en aval de la séance qui m'interroge ...
Les patients stimulés durant l'atelier avaient tendance selon elle à étre un peu trop "speed " à la sortie ...ce que je veux bien admettre.
donc en début de séance , elle leur fait faire des exercices de respiration/ concentration comme celles que l'on retrouve en séance classique de relaxation ...elle pratique une certaine induction ... prise de conscience de leur capacité pulmonaire , du passage de l'air ... etc ... sa voix se mue en mode relaxation ...
à la fin de la séance , elle réitère ses inductions , en insistant sur la respiration puis en utilisant un peu de la méthode training autogéne de schlutz ....
Je lui ai renvoyé ma crainte de majorer chez le patient ses angoisses de morcellement , d'anéantissement .....et de les "forcer" à se réfugier éventuellement dans leur délire pour échapper à leurs terribles angoisses.
Ce qu'elle a pris pour une vive critique ... qu'elle ne pouvait entendre ...
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