TFE émotions des IDE/IPDE face à l'enfance en danger
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers spécialisés - Puéricultrice
TFE émotions des IDE/IPDE face à l'enfance en danger
Bonjour, actuellement en 3ème année, je travaille sur mon mémoire avec pour problématique :
« Comment l’infirmière peut gérer ses émotions lorsqu’elle travaille auprès d’enfants en danger au sein de leur famille ? »
Mes situations d'appel sont (en résumé) un bébé secoué arrivé aux urgences pédiatriques, avec pas mal de séquelles. Des situations aussi en PMI (placement d'enfants, négligence lourdes, détresse affective...), situations qui m'ont particulièrement marquées.
Après avoir fait pas mal de recherches, j'ai pu constaté qu'il était plus facile de nommer ses émotions au lieu de les dissimuler, plus facile pour éviter le "burn out"
Mes concepts sont : travail émotionnel - enfant en danger - émotions
Mais j'aimerais savoir, pour les puéricultrices qui ont pu être confrontés à ce type de situation, arrivez vous à gérer vos émotions dans le sens où quand on rentre chez soi, ces situations nous "travaillent" encore, où nous repensons encore à tels ou tels enfants en difficulté...?
Comment arrivez vous donc à sortir du "mode travail" en quelque sorte ?
Mes concepts sont peut être encore mal orientés, devrais-je parler de contre-transfert? De nos propres représentations de parents / d'éducation / d'affection ?
Je vous remercie par avance !
J'ai mis le sujet dans la section "TFE", ce sera peut être plus approprié. Le modérateur voudra donc surement supprimer ce sujet(désolé du dérangement)
« Comment l’infirmière peut gérer ses émotions lorsqu’elle travaille auprès d’enfants en danger au sein de leur famille ? »
Mes situations d'appel sont (en résumé) un bébé secoué arrivé aux urgences pédiatriques, avec pas mal de séquelles. Des situations aussi en PMI (placement d'enfants, négligence lourdes, détresse affective...), situations qui m'ont particulièrement marquées.
Après avoir fait pas mal de recherches, j'ai pu constaté qu'il était plus facile de nommer ses émotions au lieu de les dissimuler, plus facile pour éviter le "burn out"
Mes concepts sont : travail émotionnel - enfant en danger - émotions
Mais j'aimerais savoir, pour les puéricultrices qui ont pu être confrontés à ce type de situation, arrivez vous à gérer vos émotions dans le sens où quand on rentre chez soi, ces situations nous "travaillent" encore, où nous repensons encore à tels ou tels enfants en difficulté...?
Comment arrivez vous donc à sortir du "mode travail" en quelque sorte ?
Mes concepts sont peut être encore mal orientés, devrais-je parler de contre-transfert? De nos propres représentations de parents / d'éducation / d'affection ?
Je vous remercie par avance !
J'ai mis le sujet dans la section "TFE", ce sera peut être plus approprié. Le modérateur voudra donc surement supprimer ce sujet(désolé du dérangement)