TFE activité thérapeutique et schizo RCH formulation prob

[Sokoah]

Bonjour,

Actuellement en 3éme année, je suis en ce moment en pleine rédaction de mon tfe.
mon sujet est : la prise en charge de patients schizophrènes en activités thérapeutiques à médiation.
Après de nombreux questionnement, je souhaite axer ma problématique sur l'importance de la place du soignant dans ce type d'activité. J'ai choisi le terme de « place » car :
Il permet de recouvrir la notion de place physique, de proximité corporelle qu'occupe le soignant lors d'une activité thérapeutique à médiation. Il recouvre également la position psychologique et l'état d'esprit dans laquelle se trouve le soignant face à l'être soigné, sa place dans la relation à l'autre. Nous pouvons également nous demander quelle position occupe le soignant par rapport au médiateur qu'il emploie lors de ses activités. Pour finir, comment se définie le statut et le rôle du soignant au sein de l'institution qui l'emploie mais aussi au sein de l'équipe pluridisciplinaire.

Cependant j'ai du mal à formuler ma problématique, je suis partie sur : En quoi la place du soignant est elle déterminante dans la prise en charge d'un patient schizophrène en activité thérapeutique à médiation ?

Le terme de déterminant : car exposition à la parte de crédibilité, au rupture du lien de confiance établie avec le patient en cas de comportement inadapté de la part du soignant. (échec dans le maintien du cadre thérapeutique par exemple)

J'ai l'impression de partir sur des présupposés, de partir d'une question qui améne une réponse évidente et je n'arrive pas à formuler mes hypothèses.

Merci de votre aide.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[augusta]

Oui c'est ce que je ressens aussi!
Ta réflexion est intéressante, mais manque d'objectivité à mon sens.

Je n'utiliserais pas le terme "determinant". La place du soignant auprès du patient en général est déterminante (cf relation soignant/soigné), certes, mais en psy (et notamment lors d'activités socio-thérapeuthiques), je trouve ce mot inadapté.
Qu'en penses-tu?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Sokoah]

Je te remercie tout d'abord pour ta réponse.

Je cherche à savoir tout l'enjeux qui se trame derrière cette place du soignant.
Et si cette place va impacter de manière à ce que l'activité prenne un tournant décisif ou si cette place ne fait que l'influencer sans changer fondamentalement l'impact de l'activité.
Arrives tu à me suivre ?

Dans le sens aussi ou dans un soin somatique, la place du soignant ne va pas changer fondamentalement l'impact que va avoir une piqure par exemple.. bien qu'il puisse agir sur l'angoisse ou la peur que procure le soin ou la maladie.

J'ai pensé aussi formuler de cette façon : La place du soignant peut elle être déterminante dans la PEC (...) ?

Mon formateur m'a validé ma problématique mais moi, comme je l'expose, elle ne me satisfait pas.
Penses tu que je dois me limiter à changer le terme de "déterminant" ?

merci d'avanceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Sokoah]

ou peut être devrais je formuler ainsi : en quoi la place du soignant impacte t elle la PEC (..) ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[augusta]

Vraiment tu dois suivre ton formateur...

Cela dit, plus tu vas travailler sur ton TFE, plus tu voudras affiner, plus tu sentiras ce que tu dois affiner.
Donc pour moi (mais mon avis ne veut pas dire grand chose lol), j'enléverais effectivement le mot "determinant".
La question que tu proposes avec le terme "impacter" me plait beaucoup plus, enfin ça me semble mieux adapté

Je suis d'accord avec toi, en soins G, la posture du soignant va jouer un rôle (enfin ça peut) sur la douleur, l'angoisse etc...
En psy, et au cours d'une acitivité la place du soignant ne peut pas tout (une activité peut être loupée malgré toute la bonne volonté du soignant, malgré tout son investissement, expérience etc...parce que le patient peut être aux prises avec sa pathologie...tout simplement).
Donc la place du soignant ne peut pas être determinante à mon sens.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.