Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystère
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Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystère
Résumé du début :
Jim Le Marshall est un brillant enseignant apportant la lumière aux pauvres enfants de nos colonies. Malheureusement, une terrible épidémie de sinusite menace toute la population de l'arc antillais.
Le président Coty a donc chargé notre héros d'acheminer une caisse de précieux vaccins au dispensaire du petit village de Point à Pitre dans les Indes Françaises de l'Ouest.
Jim Le Marshall file donc à toute allure sur l'autoroute qui relie Fort de France à Point à Pitre. Les vaccins doivent être livré avant la tombé de la nuit, et Jim observe avec angoisse, sa puissante mâchoire carrée crispée, le soleil qui se couche sur l'Atlantique.
Bien que simplement vêtu d'un pantalon de toile blanche, d'une large chemise de lin écru ouverte sur son torse musclé et glabre, et d'un foulard de soie ramené d'une précédente expédition au Népal et offerte par le Dalaï Lama, Jim semble insensible au vent qui le fouette.
Seul un léger raidissement de ses tétons pourrait trahir à l'observateur attentif la souffrance qu'endure avec abnégation notre jeune agrégé.
Les cris suraigus des crocodiles qui hantent les marécages alentours se font de plus en plus menaçant.
Au loin, seul un vol d'émeus apporte une touche de poésie dans ce paysage de cauchemar.
Notre intrépide chauffeur sait que le temps lui est compté s'il veut mener à bien sa mission et sauver les indigènes de ce terrible fléau. De surcroît, demain matin il a un cour de français à donner aux troisièmes techno du collège Francoise Dolto de Saint Denis sur la côte Caraïbe.
A ses côtés son fidèle compagnon de toujours, John le notaire. John connaît l'importance de la mission confié à Le Marshall. Ainsi il se refuse à troubler la concentration de Jim qui pilote avec une étonnante aisance sa puissante machine de marque allemande (et de modèle récent). Le visage buriné de John contraste avec la douceur presqu'androgyne et troublante qui émane de celui de Jim.
John porte le cheveu court qui sied aux baroudeurs de sa condition (John à été notaire de province ) quand Jim arbore une une chevelure flamboyante (mais de bon aloi). Néanmoins c'est une indéfectible amitié qui uni les deux hommes. Etant de même rang social, ils se comprennent mutuellement.
Dans leurs regards perce l'intelligence des hommes bien nés et qui ont fait des études à la faculté.
Evitant les troupeaux de gnous sauvages qui batifolent près de l'asphalte brulant, notre équipage se rapproche de son but, déjà on aperçoit le sommet fumant du Piton de la Fournaise et le petit village de Point à Pitre blotti entre les cocotiers centenaires près de la cascade de Faarumai.
Dans une impressionnante maitrise de son engin, Jim entre dans la cour du dispensaire où s'ébattent les petits enfants noirs et les lamas nains. Le médecin du dispensaire l'attend dans une attitude noble qui trahi à peine la sourde angoisse qui le tenaille. Lorsqu'il aperçoit Jim et John, son appréhension s'évanoui.
Un seul regard entre les trois hommes de même condition sociale suffit à sceller tacitement une confiance naturelle entre gens du monde.
L'infirmière, sa cornette amidonnée de frais, sort en courant du dispensaire où elle était occupée à panser maladroitement des écrouelles.
Si elle ne maitrise pas les tenants et les aboutissants de la situation, un bref regard sur le médecin lui permet de comprendre que nos trois hommes, eux, sont maitres de leur destin. Elle n'est d'ailleurs pas insensible au charme sauvage mais délicat de notre jeune et brillant prof de français. Elle sait par ailleurs qu'elle ne pourra jamais atteindre un homme d'une telle condition, une infirmière ne peut espérer d'un prof de français au mieux qu'une étreinte fugace dans les toilettes d'une infirmerie de collège de ZEP.
Sans un mot, Jim tend au médecin la caisse de vaccins. D'un hochement de tête et toujours sans un bruit, nos trois hommes savent que leur mission est accomplie. Soudain, nos trois amis éclatent de rire.
La tension se relache, les bons petits sauvages sont sauvés.
Quelques instant après on retrouve Jim Le Marshall et John le notaire sur la plage du dispensaire. Ils sont adossés au capot de leur puissante berline teutonne (de modèle récent, rappelons le).
John : Tu sais Jim ...
Jim : Oui, John ?
John : Je ne t'ai pas tout raconté sur ce qui s'est passé dans mon office à Périgueux.
Jim : ...
John : Je, c'était, ... comment dire ? On, on m'a fait faire des actes notariés ! Si tu les avais vu tous ces pécores, c'était affreux.
Jim : Je sais John, mais tu dois oublier le passé.
John : Oh, Jim, qu'est ce qui nous arrive ?
Jim : Je ... , je ne sais, oh, John, embrasse moi !
John : Nous ne devrions pas. Que diras le médecin de ton Lycée, celui qui est moins payé que toi ?
Jim : Peut importe, il comprendra ...
Soudain, dans élan d'amitié virile les deux hommes s'abandonnent dans une étreinte passionnée et fougueuse.
Zoom arrière sur la plage du dispensaire où s'ébattent les otaries, un homme sort de l'eau chevauchant un caribou. Il est nu (l'homme, pas le caribou, enfin si, le caribou aussi, mais bref ).
C'est Corwin dont on ne distingue pas encore le visage.
ATTENTION SPOILER :
La caméra s'approche et là : cliffanger ! Corwin et Jim Le Marshall ont le même visage.
La caméra zoome sur le visage de Corwin et cadre son regard.
Zoom arrière en décadrant le regard de Corwin/Jim Le Marshall :
Jim bave légèrement, le regard atone et vague. Il est en pyjama blanc dans une grande pièce aux murs aveugles et décrépis. Autour de lui traînent de pauvres hères eux aussi en pyjamas blancs. Les uns semblent plus touchés que les autres par la folie.
Plus loin Lovely 971 passe la serpillière en insultant Angeange qui prétend être infirmière.
Giulia C hurle à tue tête qu'elle va faire des procès à tout un chacun.
Plus en retrait, le psychiatre (qu'on reconnait pour avoir le visage du médecin du dispensaire) secoue la tête d'un regard las.
Zoom arrière toujours, la caméra amorce un mouvement de contre plongée et file dans les couloirs, elle sort par la porte de l'asile et s'élève enfin dans le ciel.
Fin.
Avertissement : toute ressemblance avec des personnages existants ou des films de qualité et/ou à succès ne serait pas fortuite mais serait un putain de coup de bol.
Jim Le Marshall est un brillant enseignant apportant la lumière aux pauvres enfants de nos colonies. Malheureusement, une terrible épidémie de sinusite menace toute la population de l'arc antillais.
Le président Coty a donc chargé notre héros d'acheminer une caisse de précieux vaccins au dispensaire du petit village de Point à Pitre dans les Indes Françaises de l'Ouest.
Jim Le Marshall file donc à toute allure sur l'autoroute qui relie Fort de France à Point à Pitre. Les vaccins doivent être livré avant la tombé de la nuit, et Jim observe avec angoisse, sa puissante mâchoire carrée crispée, le soleil qui se couche sur l'Atlantique.
Bien que simplement vêtu d'un pantalon de toile blanche, d'une large chemise de lin écru ouverte sur son torse musclé et glabre, et d'un foulard de soie ramené d'une précédente expédition au Népal et offerte par le Dalaï Lama, Jim semble insensible au vent qui le fouette.
Seul un léger raidissement de ses tétons pourrait trahir à l'observateur attentif la souffrance qu'endure avec abnégation notre jeune agrégé.
Les cris suraigus des crocodiles qui hantent les marécages alentours se font de plus en plus menaçant.
Au loin, seul un vol d'émeus apporte une touche de poésie dans ce paysage de cauchemar.
Notre intrépide chauffeur sait que le temps lui est compté s'il veut mener à bien sa mission et sauver les indigènes de ce terrible fléau. De surcroît, demain matin il a un cour de français à donner aux troisièmes techno du collège Francoise Dolto de Saint Denis sur la côte Caraïbe.
A ses côtés son fidèle compagnon de toujours, John le notaire. John connaît l'importance de la mission confié à Le Marshall. Ainsi il se refuse à troubler la concentration de Jim qui pilote avec une étonnante aisance sa puissante machine de marque allemande (et de modèle récent). Le visage buriné de John contraste avec la douceur presqu'androgyne et troublante qui émane de celui de Jim.
John porte le cheveu court qui sied aux baroudeurs de sa condition (John à été notaire de province ) quand Jim arbore une une chevelure flamboyante (mais de bon aloi). Néanmoins c'est une indéfectible amitié qui uni les deux hommes. Etant de même rang social, ils se comprennent mutuellement.
Dans leurs regards perce l'intelligence des hommes bien nés et qui ont fait des études à la faculté.
Evitant les troupeaux de gnous sauvages qui batifolent près de l'asphalte brulant, notre équipage se rapproche de son but, déjà on aperçoit le sommet fumant du Piton de la Fournaise et le petit village de Point à Pitre blotti entre les cocotiers centenaires près de la cascade de Faarumai.
Dans une impressionnante maitrise de son engin, Jim entre dans la cour du dispensaire où s'ébattent les petits enfants noirs et les lamas nains. Le médecin du dispensaire l'attend dans une attitude noble qui trahi à peine la sourde angoisse qui le tenaille. Lorsqu'il aperçoit Jim et John, son appréhension s'évanoui.
Un seul regard entre les trois hommes de même condition sociale suffit à sceller tacitement une confiance naturelle entre gens du monde.
L'infirmière, sa cornette amidonnée de frais, sort en courant du dispensaire où elle était occupée à panser maladroitement des écrouelles.
Si elle ne maitrise pas les tenants et les aboutissants de la situation, un bref regard sur le médecin lui permet de comprendre que nos trois hommes, eux, sont maitres de leur destin. Elle n'est d'ailleurs pas insensible au charme sauvage mais délicat de notre jeune et brillant prof de français. Elle sait par ailleurs qu'elle ne pourra jamais atteindre un homme d'une telle condition, une infirmière ne peut espérer d'un prof de français au mieux qu'une étreinte fugace dans les toilettes d'une infirmerie de collège de ZEP.
Sans un mot, Jim tend au médecin la caisse de vaccins. D'un hochement de tête et toujours sans un bruit, nos trois hommes savent que leur mission est accomplie. Soudain, nos trois amis éclatent de rire.
La tension se relache, les bons petits sauvages sont sauvés.
Quelques instant après on retrouve Jim Le Marshall et John le notaire sur la plage du dispensaire. Ils sont adossés au capot de leur puissante berline teutonne (de modèle récent, rappelons le).
John : Tu sais Jim ...
Jim : Oui, John ?
John : Je ne t'ai pas tout raconté sur ce qui s'est passé dans mon office à Périgueux.
Jim : ...
John : Je, c'était, ... comment dire ? On, on m'a fait faire des actes notariés ! Si tu les avais vu tous ces pécores, c'était affreux.
Jim : Je sais John, mais tu dois oublier le passé.
John : Oh, Jim, qu'est ce qui nous arrive ?
Jim : Je ... , je ne sais, oh, John, embrasse moi !
John : Nous ne devrions pas. Que diras le médecin de ton Lycée, celui qui est moins payé que toi ?
Jim : Peut importe, il comprendra ...
Soudain, dans élan d'amitié virile les deux hommes s'abandonnent dans une étreinte passionnée et fougueuse.
Zoom arrière sur la plage du dispensaire où s'ébattent les otaries, un homme sort de l'eau chevauchant un caribou. Il est nu (l'homme, pas le caribou, enfin si, le caribou aussi, mais bref ).
C'est Corwin dont on ne distingue pas encore le visage.
ATTENTION SPOILER :
La caméra s'approche et là : cliffanger ! Corwin et Jim Le Marshall ont le même visage.
La caméra zoome sur le visage de Corwin et cadre son regard.
Zoom arrière en décadrant le regard de Corwin/Jim Le Marshall :
Jim bave légèrement, le regard atone et vague. Il est en pyjama blanc dans une grande pièce aux murs aveugles et décrépis. Autour de lui traînent de pauvres hères eux aussi en pyjamas blancs. Les uns semblent plus touchés que les autres par la folie.
Plus loin Lovely 971 passe la serpillière en insultant Angeange qui prétend être infirmière.
Giulia C hurle à tue tête qu'elle va faire des procès à tout un chacun.
Plus en retrait, le psychiatre (qu'on reconnait pour avoir le visage du médecin du dispensaire) secoue la tête d'un regard las.
Zoom arrière toujours, la caméra amorce un mouvement de contre plongée et file dans les couloirs, elle sort par la porte de l'asile et s'élève enfin dans le ciel.
Fin.
Avertissement : toute ressemblance avec des personnages existants ou des films de qualité et/ou à succès ne serait pas fortuite mais serait un putain de coup de bol.
Dernière modification par loulic le 06 août 2012 12:38, modifié 1 fois.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Je vous aime.
Cette histoire, et sa chute, m'a fait penser à:

People always ask me if i know Corwin.
JLM.
C'est beau, et peut-être que le futur OSS117 est là ! Félicitations !

Cette histoire, et sa chute, m'a fait penser à:

People always ask me if i know Corwin.
JLM.
C'est beau, et peut-être que le futur OSS117 est là ! Félicitations !
Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè



A quand la suite?
IDE
Fais que des reves soient grands pour ne jamais les perdre de vue
Fais que des reves soient grands pour ne jamais les perdre de vue
Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Ca dépend de JLM.
Mais on peut faire des spin off sur les autres mabouls récurrents de ce forum.
Pour l'instant c'est JLM qui a livré le plus de matière et d'éléments disparates sur son personnage, mais je pense qu'on peut faire un truc bien sympa sur le périple qui aurait conduit Corwin des tropiques jusqu'à la belle Province.
Mais on peut faire des spin off sur les autres mabouls récurrents de ce forum.
Pour l'instant c'est JLM qui a livré le plus de matière et d'éléments disparates sur son personnage, mais je pense qu'on peut faire un truc bien sympa sur le périple qui aurait conduit Corwin des tropiques jusqu'à la belle Province.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
- haricot vert
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Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Excellent ^^
"C'est fou le nombre de gens qui se font de la peine parce qu'ils ne savent pas se servir du langage." Howard Buten
Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè




"Le changement n'est pas seulement nécessaire à la vie , il est la vie.Et par conséquent, vivre c'est s'adapter"
- patin couffin
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Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
C'est bôôôôôô^........... on dirait du Marc Levy ou du Musso
Attend, je me mouche encore.
Ah çà va mieux !!
Chapeau bas Loulic, vraiment. Là, tu as fait un chef d'oeuvre



Attend, je me mouche encore.



Ah çà va mieux !!
Chapeau bas Loulic, vraiment. Là, tu as fait un chef d'oeuvre

- patin couffin
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- Localisation : Bimboland
Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Je rajoute que si, sur le fond, on dirait du Levy/Musso, ton style d'écriture vaut bien du Faulkner

L'un des meilleurs trolls, pour moi, était celui qui avait fondé une espèce de secte et se prenait pour un Chevalier des Templiers ou je ne sais quoi. Faudrait que je le retrouve celui là, il était gratiné !loulic a écrit :Ca dépend de JLM.
Mais on peut faire des spin off sur les autres mabouls récurrents de ce forum.
Pour l'instant c'est JLM qui a livré le plus de matière et d'éléments disparates sur son personnage, mais je pense qu'on peut faire un truc bien sympa sur le périple qui aurait conduit Corwin des tropiques jusqu'à la belle Province.
Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
En fait c'est plus inspiré de Pascal Fioretto qui pastiche levy et Musso.
Il était savoureux de voir notre JLM se pâmer d'émoi et faire des yeux de chimère à ce taré uniquement parce que celui ci se prétendait médecin.
Finalement en y repensant (j'ai du temps à perdre
), je ne sais toujours pas ce que fait réellement JLM, mais je me dis que c'est pas tant après les infirmières qu'il en a. C'est surtout qu'il est frustré de ne pas être médecin. Non pas que le métier de médecin l'intéresse (soigner des gens tout ça ...), mais il leur prête une aura et un pouvoir imaginaires sur lesquels il fantasme.
J'espere qu'il va revenir pour nous déblatérer de nouvelles conneries. Il est fort, il arrive toujours par où on ne l'attend pas et nous prend de court par la puissance redoutable de ses débilités toutes plus hors contexte les unes que les autres.
Mais j'avoue que ne vois pas comment il va faire plus fort que la béhème, le notaire, le golf, le soleil couchant et les sourires des chtites nenfants.
Alors je sais pas si c'est celui là, mais justement JLemarchal était tombé en amour pour un type qui se faisait passer pour un médecin et qui avait pour pseudo le surnom d'un tyran sanguinaire : Papadoc.patin couffin a écrit : L'un des meilleurs trolls, pour moi, était celui qui avait fondé une espèce de secte et se prenait pour un Chevalier des Templiers ou je ne sais quoi. Faudrait que je le retrouve celui là, il était gratiné !
Il était savoureux de voir notre JLM se pâmer d'émoi et faire des yeux de chimère à ce taré uniquement parce que celui ci se prétendait médecin.
Finalement en y repensant (j'ai du temps à perdre

J'espere qu'il va revenir pour nous déblatérer de nouvelles conneries. Il est fort, il arrive toujours par où on ne l'attend pas et nous prend de court par la puissance redoutable de ses débilités toutes plus hors contexte les unes que les autres.
Mais j'avoue que ne vois pas comment il va faire plus fort que la béhème, le notaire, le golf, le soleil couchant et les sourires des chtites nenfants.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
- patin couffin
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Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Ah, mais moi aussi, je l'adore JLM, sincèrement ! C'est du bon troll, du bien lourd comme on en fait plus !
Je suis persuadée qu'il n'est pas plus prof que toi et moi, que c'était juste un ESI brimé qui n'a pas supporté la torture morale que lui ont infligée certaines infirmières bien aigries (pour être polie) lors d'un stage. Il se relève comme il peut, mais avec beaucoup de style.
J'ai retrouvé mon troll (en fait il est Cathare) sur le topic "Croyez vous en Dieu ?". Ce sujet m'avait marqué car les interventions de plusieurs forumeurs étaient très enrichissantes et, en même temps, vu le thème, bien illuminées. Guilhem B avait atteint des sommets, si vous avez 2 minutes pour lire ses posts génialissimes, c'est par ici que cela se passe :
http://www.infirmiers.com/forum/croyez- ... t=religion
Guilhem, si tu passes par là, tout compte fait, avec du recul, tu me manques !

Je suis persuadée qu'il n'est pas plus prof que toi et moi, que c'était juste un ESI brimé qui n'a pas supporté la torture morale que lui ont infligée certaines infirmières bien aigries (pour être polie) lors d'un stage. Il se relève comme il peut, mais avec beaucoup de style.
J'ai retrouvé mon troll (en fait il est Cathare) sur le topic "Croyez vous en Dieu ?". Ce sujet m'avait marqué car les interventions de plusieurs forumeurs étaient très enrichissantes et, en même temps, vu le thème, bien illuminées. Guilhem B avait atteint des sommets, si vous avez 2 minutes pour lire ses posts génialissimes, c'est par ici que cela se passe :
http://www.infirmiers.com/forum/croyez- ... t=religion
Guilhem, si tu passes par là, tout compte fait, avec du recul, tu me manques !


Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Désolé, j'ai pas tout lu
Arrivé à la page 41, je suis retourné à la 13 et j'ai continué un peu.
C'est trop alambiqué pour moi
.

C'est trop alambiqué pour moi

Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
- ameliboubou
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Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
moi aussi je t'aime loulic!!!!!!!!!
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- patin couffin
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Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Arf, c'est pour cela que j'avais pointé à la page 33 pour pas que tu te paluches tout et avoir un aperçu de l'oiseau en question. De plus, à l'époque, il y avait des soucis entre plusieurs forumeurs qui, en plus de s'engueuler "ouvertement", se servaient de trolls pour régler leurs comptes. Ce sujet et l'environnement étaient très compliqués....loulic a écrit :Désolé, j'ai pas tout luArrivé à la page 41, je suis retourné à la 13 et j'ai continué un peu.
C'est trop alambiqué pour moi.
J'en profite pour dire que Flog, Argrath, et d'autres manquent beaucoup sur ce forum. Ils n'auraient fait qu'une bouchée de JLM et consorts ; Loulic et Indis se seraient bien entendus avec eux

Re: Jim Le Marshall et le terrible secret de l'étrange mystè
Mr Loulic, comme d'habitude "clap clap clap".
Et le topic sur Dieu là vient de me rappeler pourquoi la drogue c'est mal quand même
.
Mais je vais quand même continuer sa lecture <3.
Et le topic sur Dieu là vient de me rappeler pourquoi la drogue c'est mal quand même

Mais je vais quand même continuer sa lecture <3.
« Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd »