En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Modérateurs : Modérateurs, ESI
En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Bon en gros voilà, je fais partie de la promotion 2011/2014. J'ai passé mes deux premières années sans aucuns rattrapages, de bonnes notes.
Mon problème c'est que je me mets toujours une pression abominable. J'avais déjà failli arrêter ma formation en milieu de première année car je me sentais submerger et que mon premier stage s'était très mal passé. Je pleurais tout le temps, j'étais tout le temps déprimée, mes parents enfin surtout ma mère n'osait même plus me laisser toute seule. Finalement les vacances de noël étaient passées et j'avais continué.
Cependant là, je déboule en troisième année. Cette histoire de TFE me traumatise, j'ai déjà la sensation de galérer. Je recommence à déprimer, à avoir envi de pleurer. je remarque que lorsque je suis la plus heureuse c'est quand je dors et encore quand je me mets pas à rêver de la formation... --' ! Je me sens repartir en vrille pour la deuxième fois, et je crois que c'est quelque chose que je ne supporterai pas cette fois.
Je me sens coincée, car si j'arrête tout le monde me jugera et faire aide soignante risque de me frustrer et si je reste, j'me dis que je vais pas le supporter... Bref, je ne supporte plus la pression scolaire, que ça soit dans un milieu ou un autre, c'est depuis toute petite, je pense que c'est l'ecole avec un grand E, que je ne supporte plus... Que faire, je me sens perdue.
Si certains témoignages peuvent m'apporter de l'aide, je prends!!!
merci d'avance!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mon problème c'est que je me mets toujours une pression abominable. J'avais déjà failli arrêter ma formation en milieu de première année car je me sentais submerger et que mon premier stage s'était très mal passé. Je pleurais tout le temps, j'étais tout le temps déprimée, mes parents enfin surtout ma mère n'osait même plus me laisser toute seule. Finalement les vacances de noël étaient passées et j'avais continué.
Cependant là, je déboule en troisième année. Cette histoire de TFE me traumatise, j'ai déjà la sensation de galérer. Je recommence à déprimer, à avoir envi de pleurer. je remarque que lorsque je suis la plus heureuse c'est quand je dors et encore quand je me mets pas à rêver de la formation... --' ! Je me sens repartir en vrille pour la deuxième fois, et je crois que c'est quelque chose que je ne supporterai pas cette fois.
Je me sens coincée, car si j'arrête tout le monde me jugera et faire aide soignante risque de me frustrer et si je reste, j'me dis que je vais pas le supporter... Bref, je ne supporte plus la pression scolaire, que ça soit dans un milieu ou un autre, c'est depuis toute petite, je pense que c'est l'ecole avec un grand E, que je ne supporte plus... Que faire, je me sens perdue.
Si certains témoignages peuvent m'apporter de l'aide, je prends!!!
merci d'avance!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
En vrac :
Ils ne sont pas digne d'intérêt puisque justement ils vous jugent. Laissez les pisser, ils ne sont d'aucun intérêt pour vous et ne seront jamais d'aucun secours.
C'est normal. C'est beaucoup de travail, mais vous allez avancer à votre rythme et ça se fera. Essayer de vous faire aider par quelqu'un pour trouver comment l'attaquer, utilisez vos formateurs, camarades, amis ... Des personnes extérieures à l'IFSI peuvent notemment être de très bon conseil.
Quoique vous fassiez, quoiqu'il arrive, toute votre vie (et même après), y aura des cons pour vous juger.Rébecc@ a écrit : Je me sens coincée, car si j'arrête tout le monde me jugera
Ils ne sont pas digne d'intérêt puisque justement ils vous jugent. Laissez les pisser, ils ne sont d'aucun intérêt pour vous et ne seront jamais d'aucun secours.
Rébecc@ a écrit : Cette histoire de TFE me traumatise, j'ai déjà la sensation de galérer.
C'est normal. C'est beaucoup de travail, mais vous allez avancer à votre rythme et ça se fera. Essayer de vous faire aider par quelqu'un pour trouver comment l'attaquer, utilisez vos formateurs, camarades, amis ... Des personnes extérieures à l'IFSI peuvent notemment être de très bon conseil.
Là aussi, il serait licite de penser à voir quelqu'un qui vous aidera. Ne restez pas seule. C'est normal d'avoir des difficultés, y a des gens qui sont là pour vous aider.Rébecc@ a écrit : Je recommence à déprimer, à avoir envi de pleurer. je remarque que lorsque je suis la plus heureuse c'est quand je dors et encore quand je me mets pas à rêver de la formation... --' ! Je me sens repartir en vrille pour la deuxième fois, et je crois que c'est quelque chose que je ne supporterai pas cette fois.
C'est pas une honte, et ça peut être judicieux de faire une pause dans sa formation pour faire AS quelques temps. Ca permet de prendre du recul, de murir, d'acquérir pas mal de bases, ...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.Rébecc@ a écrit : faire aide soignante risque de me frustrer et si je reste, j'me dis que je vais pas le supporter...
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Bonjour
Je comprends parfaitement ce que tu vies. J'ai suspendu ma formation en début de deuxième année, car trop de pression, au niveau théorique tout allait bien mais en stage c'était vraiment compliqué et malgré ma meilleure volonté je ne les validais pas. J'ai effectué le métier d'AS durant un an cela m'a permis de prendre du recul. Je repars cette année en dernière année avec une nouvelle promo pas facile de s'intégrer d'autant que nous avons directement commencé par le stage. Je réalise que de toute façon les terrains de stage sont très compliqués, en fonction des équipes il y en aura toujours pour dénigrer et nous faire perdre confiance. Mais il faut savoir être plus forte, faire, bien sur, attention aux remarques et garder au fond de soi la future professionnelle que nous serons, et mettre un petit mouchoir sur son orgueil. Bon courage et n'ai pas peur.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je comprends parfaitement ce que tu vies. J'ai suspendu ma formation en début de deuxième année, car trop de pression, au niveau théorique tout allait bien mais en stage c'était vraiment compliqué et malgré ma meilleure volonté je ne les validais pas. J'ai effectué le métier d'AS durant un an cela m'a permis de prendre du recul. Je repars cette année en dernière année avec une nouvelle promo pas facile de s'intégrer d'autant que nous avons directement commencé par le stage. Je réalise que de toute façon les terrains de stage sont très compliqués, en fonction des équipes il y en aura toujours pour dénigrer et nous faire perdre confiance. Mais il faut savoir être plus forte, faire, bien sur, attention aux remarques et garder au fond de soi la future professionnelle que nous serons, et mettre un petit mouchoir sur son orgueil. Bon courage et n'ai pas peur.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
fin de tout, métier pas fais pour moi
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
bonjour
tout d abord, qui peut te juger ?
(personne n est à ta place)
je pense que tu es (comme tu le dis justement) sous pression
et pourquoi ne pas faire une pause -report- d'un an?
tu pourrais bosser en tant qu'AS et tant pis pour ceux qui te jaugent et te jugent.
tu aurais un an d'expérience et connaitrais mieux, en tant que future IDE, la charge de travail des AS.
cela te donnera du temps pour se mettre en retrait des études, et pourquoi pas continuer à potasser à ton rythme, tout en gardant contact avec les autres de la promo,
cela te "déconnecterait moins" à ton retour
nous ne sommes pas des robots, cette formation remue des choses en nous, et cela continue tout au long de notre vie.
je pense que tu as besoin de te faire aider pour parler de ce 2ème passage à vide.
parle à tes formateurs,
plusieurs parmi ce forum, ont fait le choix d un report d'étude ou d'arrêt.
donne toi cette année pour réfléchir avant de décider trop vite.
le doute construit,
tiens bon
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

tout d abord, qui peut te juger ?
(personne n est à ta place)
je pense que tu es (comme tu le dis justement) sous pression

et pourquoi ne pas faire une pause -report- d'un an?
tu pourrais bosser en tant qu'AS et tant pis pour ceux qui te jaugent et te jugent.
tu aurais un an d'expérience et connaitrais mieux, en tant que future IDE, la charge de travail des AS.

cela te donnera du temps pour se mettre en retrait des études, et pourquoi pas continuer à potasser à ton rythme, tout en gardant contact avec les autres de la promo,
cela te "déconnecterait moins" à ton retour

nous ne sommes pas des robots, cette formation remue des choses en nous, et cela continue tout au long de notre vie.
je pense que tu as besoin de te faire aider pour parler de ce 2ème passage à vide.
parle à tes formateurs,
plusieurs parmi ce forum, ont fait le choix d un report d'étude ou d'arrêt.
donne toi cette année pour réfléchir avant de décider trop vite.
le doute construit,
tiens bon

Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Le truc c'est que j'ai vraiment envie d'être diplomée cette année parce que je me dis que si j'arrête, je ne serais plus capable de revenir aux études après sachant que ça me tourmente tant..
J'en ai parlé à mes parents. Ce qu'il en ressort c'est que j'ai 19ans, je suis la plus jeune de ma promo, j'ai intégré l'ifsi à 17ans juste après mon bac et que quand bien même je ne validerais pas cette année, bah tant pis, ça ne sera qu'en novembre voire même l'année d'après. Il est vrai qu'en y réfléchissant j'ai le temps et qu'il est inutile de s'alarmer. Mon principal soucis c'est de ne pas arriver à relativiser. Mes amies de promos se sentent assez impuissantes car je me renferme sur moi même. Quant à mes amis de l'extérieur il m'arrive de plus en plus de répondre négativement à leurs sorties pour rester seule chez moi. Et je me dis qu'on a attaqué il y a seulement deux semaines, et 10mois comme ça... je le sens pas forcément.
Après c'est vrai... C'est une formation difficile émotionnellement... peut être faudrait il faire appel à un psychologue??
Quant aux formateurs, je m'en méfie un peu... La politique des ifsi est souvent de mener gentiment ceux qui craquent vers la sortie... et je n'ai pas vraiment envi de ça..
En tout cas merci de vos réponses et vos conseils, ça me fait du bien de savoir que je ne suis pas la seule à avoir déjà ressenti ça !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'en ai parlé à mes parents. Ce qu'il en ressort c'est que j'ai 19ans, je suis la plus jeune de ma promo, j'ai intégré l'ifsi à 17ans juste après mon bac et que quand bien même je ne validerais pas cette année, bah tant pis, ça ne sera qu'en novembre voire même l'année d'après. Il est vrai qu'en y réfléchissant j'ai le temps et qu'il est inutile de s'alarmer. Mon principal soucis c'est de ne pas arriver à relativiser. Mes amies de promos se sentent assez impuissantes car je me renferme sur moi même. Quant à mes amis de l'extérieur il m'arrive de plus en plus de répondre négativement à leurs sorties pour rester seule chez moi. Et je me dis qu'on a attaqué il y a seulement deux semaines, et 10mois comme ça... je le sens pas forcément.
Après c'est vrai... C'est une formation difficile émotionnellement... peut être faudrait il faire appel à un psychologue??
Quant aux formateurs, je m'en méfie un peu... La politique des ifsi est souvent de mener gentiment ceux qui craquent vers la sortie... et je n'ai pas vraiment envi de ça..
En tout cas merci de vos réponses et vos conseils, ça me fait du bien de savoir que je ne suis pas la seule à avoir déjà ressenti ça !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- augusta
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Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Rébecc@ a écrit : Cependant là, je déboule en troisième année. Cette histoire de TFE me traumatise, j'ai déjà la sensation de galérer.
Le TFE, on peut facilement s'en faire une montagne effectivement, alors qu'au final, en suivant la méthodo et avec du travail, c'est assez simple.
Vous êtes guidés de A à Z.....faut juste accepter de se laisser guider.
Quant à ton âge, tu es vraiment très très jeune.
Si vraiment tu te sens submergée par l'angoisse, tu peux faire un report.
En attendant il faut que tu prennes du recul que tu te calmes un peu et que tu prennes les étapes du TFE les unes après les autres.
Je suis disponible sur le forum TFE ou en mp si tu as besoin d'un avis extérieur.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
après de 2 ans de formation, des résultats très corrects, jamais de rattrapage, je me suis retrouvée en 3e année avec un stress grandissant de semaine en semaine.
je me suis mis la pression pour les stages, les validations...et ce fameux TFE qui ma fait verser des larmes, j'avais l'impression que je m'en sortirais pas, qu'il allait avoir ma peau, j'en rêvais la nuit !!!!
au final, quand tu l'aura rendu et passé ta soutenance tu te diras que c'était pas la mer à boire. si tu suis les conseils de ton maitre de TFE et que tu bosse régulièrement tu vas t'en sortir.
c'est une formation intense, difficile physiquement et psychologiquement.
on entend souvent que c la 1ere année la plus dure....pas sure!!!!
il faut parler de ton stress. te faire aider par un psy pourquoi pas si tu pense que cela va t'aider. à l'ifsi, on était un groupe de 10 copines, on a pas lâché, on s'est soutenu dans les moments de détresse car on était toutes dans le même bateau, on se comprenait...
c'est la dernière ligne droite...courage!!!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je me suis mis la pression pour les stages, les validations...et ce fameux TFE qui ma fait verser des larmes, j'avais l'impression que je m'en sortirais pas, qu'il allait avoir ma peau, j'en rêvais la nuit !!!!
au final, quand tu l'aura rendu et passé ta soutenance tu te diras que c'était pas la mer à boire. si tu suis les conseils de ton maitre de TFE et que tu bosse régulièrement tu vas t'en sortir.
c'est une formation intense, difficile physiquement et psychologiquement.
on entend souvent que c la 1ere année la plus dure....pas sure!!!!
il faut parler de ton stress. te faire aider par un psy pourquoi pas si tu pense que cela va t'aider. à l'ifsi, on était un groupe de 10 copines, on a pas lâché, on s'est soutenu dans les moments de détresse car on était toutes dans le même bateau, on se comprenait...
c'est la dernière ligne droite...courage!!!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IDE
"A force de chercher midi à quatorze heures on finit par perdre son temps" Pierre DAC.
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Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Avoir la vie de patients entre les mains ne vous angoisse pas ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.Cependant là, je déboule en troisième année. Cette histoire de TFE me traumatise
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Bonjour à tous! J ai besoin de me confier, je relater mes angoisses!... Voilà je suis étudiante en 3 année semestre 6 je suis de la rentrée de février. Il devait me rester 15 semaines de stage et une semaine de cours pour obtenir mon diplôme. Je suis une étudiante moyenne, très peu de rattrapage tous valides, mes stages se sont toujours très bien passés sauf celui du s 5 qui ma amenée devant le conseil pédagogique
le verdict est tombe j ai 10 semaines de stages à rattrape ce qui va me decaller mon diplôme de 6 mois!!!!!!! Le problème n est pas de faire 6 mois de plus c est que déjà j avais du mal à poursuivre mes études je me faisais violence, beaucoup de mal à mettre un pied devant l autre pour finir en février et la à 3 mois de la fin on me rajoute 3 mois de stage en plus j en peux plus, je suis démotivée j ai peur de tout abandonner, je n arrive plus à trouver un sens à cette formation !!!!!! Je me sens démunie face à ce manque de motivation je suis sur le point de craquer!!!!!! COMMENT FAIRE POUR TROUVER LA FORCE DE CONTINUER ????? Aidez moiÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

- lapetiteprunelle
- Habitué
- Messages : 65
- Inscription : 10 févr. 2011 21:41
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Tout le monde ne se retrouve pas dans la formation initiale proposée par les écoles mais sache qu'il existe vraiment d'autre façon d'exercer ce magnifique métier. Moi par exemple je retrouve plus ma place dans le socila en extra hospitalier, ou la tu as réellement la possibilité ( et le temps) d'établir de vraies relations... aller courage le jeu en vaut la chandelle ! demande un pré pro dans une asso, el libéral,.. et va bosser à l'ajd cet été
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EPDE 2014
Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
Bonsoir bonsoir.
J'ai été tout comme toi reçue en IFSI après être sortie du bas à 17 ans. J'étais la plus jeune de ma promotion et j'ai toujours été exigeante et intransigeante avec moi-même. J'ai voulu arrêté à plusieurs reprises en troisième année car je me mettais la pression, les formateurs en rajoute une couche et le mémoire par dessus tout ça. Je ne voulais pas d'échec.
Mais j'ai dû me rendre à l'évidence lorsque j'ai fais un burn out en mars. Qu'est-ce que j'ai pu m'en vouloir d'être en arrêt maladie et d'avoir interrompu mon stage du dernier semestre de ma formation. J'ai dû m'avouer que le diplôme ne serait pas pour juillet mais pour décembre. J'ai accepté ça et je me suis dit "au fond tu as 20 ans, tu es jeune et si tu es DE en décembre c'est pas la fin du monde !". J'ai beaucoup échangé avec ma famille et mes amis qui m'ont soutenu et m'ont dit de ne pas arrêter. Alors il faut en parler avec tes proches, ils te comprendront.
C'est normal de ressentir tout ça. On deviendra IDE et la pression malheureusement, c'est familier. Quelque part ça nous prépare et nous renforce tout ça. Moi j'ai grandis et je me rend compte que j'en ai bavé mais je suis fière et je ne regrette pas d'être passée par là !
J'espère que j'ai pu t'aider.
Bon courage et au plaisir d'avoir de tes nouvelles !
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J'ai été tout comme toi reçue en IFSI après être sortie du bas à 17 ans. J'étais la plus jeune de ma promotion et j'ai toujours été exigeante et intransigeante avec moi-même. J'ai voulu arrêté à plusieurs reprises en troisième année car je me mettais la pression, les formateurs en rajoute une couche et le mémoire par dessus tout ça. Je ne voulais pas d'échec.
Mais j'ai dû me rendre à l'évidence lorsque j'ai fais un burn out en mars. Qu'est-ce que j'ai pu m'en vouloir d'être en arrêt maladie et d'avoir interrompu mon stage du dernier semestre de ma formation. J'ai dû m'avouer que le diplôme ne serait pas pour juillet mais pour décembre. J'ai accepté ça et je me suis dit "au fond tu as 20 ans, tu es jeune et si tu es DE en décembre c'est pas la fin du monde !". J'ai beaucoup échangé avec ma famille et mes amis qui m'ont soutenu et m'ont dit de ne pas arrêter. Alors il faut en parler avec tes proches, ils te comprendront.
C'est normal de ressentir tout ça. On deviendra IDE et la pression malheureusement, c'est familier. Quelque part ça nous prépare et nous renforce tout ça. Moi j'ai grandis et je me rend compte que j'en ai bavé mais je suis fière et je ne regrette pas d'être passée par là !
J'espère que j'ai pu t'aider.
Bon courage et au plaisir d'avoir de tes nouvelles !

Re: En troisième année, trop de pression, envie de partir...
bonjour à tous,
j'ai 44 ans aide soignante de métier, j'avais un boulot peinard et puis comme je m'ennuyais un peu et que je voulais prouver que je pouvais faire autre chose car qu'au niveau des soins techniques je ne m'en sortais pas trop mal, j'ai décidé de passer le concours inf en 2011, j'ai été reçue pour la rentrée 2012.
Du jour ou je suis entrée à l'ifsi j'ai regretté mon choix, mais trop tard j'y etais.
J'ai pleuré tous les jours en me disant allez bat toi.
j ai bossé des journées complètes, des nuits pour arriver difficilement à avoir 10 aux partiels, j ai une famille, des enfants, un mari rarement à la maison.
Je voyais les jeunes qui, en bossant deux fois moins s'en sortaient mieux que moi.
Tout les jours étaient un nouveau combat pour me rendre à l'école.
J'ai validé tant bien que mal la deuxième année et à mon passage en troisième année j'ai commencé un stage en chir et la patatra je ne pouvais plus y aller, à chaque fois je vomissais avant j'étais en panique totale incontrôlable.
Je suis allée voir mon médecin qui m' donné des antidépresseurs en remuant le couteau dans la plais du genre: c'est dommage d'en arriver la et de vouloir
arrêter , mais c'est plus fort que moi je ne peux pas me contrôler, je suis trop angoissée.
Je suis aller recontrer mon directeur des soins de l’hôpital ou je dépend, car entre temps j'ai perdu mon oncle au service de long séjour de mon hôpital en lui expliquant la situation, que j'aimerai faire un report d'année et en lui expliquant que je viens de perdre mon oncle au service du long sejour et qu'en aucun cas si je reprend le travail je n'aurai la force d'y retourner, il m' simplement répondu qu'il verrait quel poste serait disponible au moment de ma reprise.
Du coup je déprime encore plus car je ne sais pas ou je vais me retrouver.
C'est horrible au quotidien.
Je suis suivie par une psy et je vais à la visite du travail mardi, je prie que le medecin entende ma demande et m'aide parce que je suis vraiement mal.
J'ai perdu un boulot qui me laissait l'esprit libre pour me retrouver en dépression à cause d'un mauvais choix.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
j'ai 44 ans aide soignante de métier, j'avais un boulot peinard et puis comme je m'ennuyais un peu et que je voulais prouver que je pouvais faire autre chose car qu'au niveau des soins techniques je ne m'en sortais pas trop mal, j'ai décidé de passer le concours inf en 2011, j'ai été reçue pour la rentrée 2012.
Du jour ou je suis entrée à l'ifsi j'ai regretté mon choix, mais trop tard j'y etais.
J'ai pleuré tous les jours en me disant allez bat toi.
j ai bossé des journées complètes, des nuits pour arriver difficilement à avoir 10 aux partiels, j ai une famille, des enfants, un mari rarement à la maison.
Je voyais les jeunes qui, en bossant deux fois moins s'en sortaient mieux que moi.
Tout les jours étaient un nouveau combat pour me rendre à l'école.
J'ai validé tant bien que mal la deuxième année et à mon passage en troisième année j'ai commencé un stage en chir et la patatra je ne pouvais plus y aller, à chaque fois je vomissais avant j'étais en panique totale incontrôlable.
Je suis allée voir mon médecin qui m' donné des antidépresseurs en remuant le couteau dans la plais du genre: c'est dommage d'en arriver la et de vouloir
arrêter , mais c'est plus fort que moi je ne peux pas me contrôler, je suis trop angoissée.
Je suis aller recontrer mon directeur des soins de l’hôpital ou je dépend, car entre temps j'ai perdu mon oncle au service de long séjour de mon hôpital en lui expliquant la situation, que j'aimerai faire un report d'année et en lui expliquant que je viens de perdre mon oncle au service du long sejour et qu'en aucun cas si je reprend le travail je n'aurai la force d'y retourner, il m' simplement répondu qu'il verrait quel poste serait disponible au moment de ma reprise.
Du coup je déprime encore plus car je ne sais pas ou je vais me retrouver.
C'est horrible au quotidien.
Je suis suivie par une psy et je vais à la visite du travail mardi, je prie que le medecin entende ma demande et m'aide parce que je suis vraiement mal.
J'ai perdu un boulot qui me laissait l'esprit libre pour me retrouver en dépression à cause d'un mauvais choix.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.