TFE profession IDE
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TFE profession IDE
bonjour,
je réalise mon tfe qui évoque la profession infirmière
j'ai une amie qui à fait le sien l'année dernière , elle a évoqué ds thèmes ou des concepts qui sont les mm que les miens
ma question c'est est ce que je peux recopier exactement la mm chose
sachant qu'elle ne vient pas du mm ifsi , est ce que y a des risques qu'on voit que j'ai fait du plagiat
merciÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je réalise mon tfe qui évoque la profession infirmière
j'ai une amie qui à fait le sien l'année dernière , elle a évoqué ds thèmes ou des concepts qui sont les mm que les miens
ma question c'est est ce que je peux recopier exactement la mm chose
sachant qu'elle ne vient pas du mm ifsi , est ce que y a des risques qu'on voit que j'ai fait du plagiat
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Re: un avis svp
bonsoir
je pense qu il n y as pas de risqueÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je pense qu il n y as pas de risqueÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- yayachat971
- Insatiable
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- Localisation : Guadeloupe
Re: un avis svp
Bonjour,
Il y a toujours un risque que le plagiat soit découvert !!!
Mais surtout ce qui me choque... quel est l'intérêt personnel et professionnel de recopier le même TFE, ah oui valider le 5.6
Enfin je sais pas c'est juste mon avis... certes le tfe est un travail laborieux mais le thème que tu choisis d'explorer est censé t'intéresser !
Alors si depuis le début de ta formation le seul thème que tu aies pu choisir t'amène à plagier... c'est qu'il y a un soucis
J'dis ça, j'dis rien... à bon entendeur
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Il y a toujours un risque que le plagiat soit découvert !!!
Mais surtout ce qui me choque... quel est l'intérêt personnel et professionnel de recopier le même TFE, ah oui valider le 5.6

Enfin je sais pas c'est juste mon avis... certes le tfe est un travail laborieux mais le thème que tu choisis d'explorer est censé t'intéresser !
Alors si depuis le début de ta formation le seul thème que tu aies pu choisir t'amène à plagier... c'est qu'il y a un soucis

J'dis ça, j'dis rien... à bon entendeur

IDE juillet 2014
150/150
=> S6 Dernière ligne droite !!!
S1 : HDJ Psy ; S2 : SSM, CTV
S3 : Libéral, Urgences ; S4 : Médecine interne
S5 : USIC ; S6 : SSPI - Pré-pro : Chir Ortho
150/150

S1 : HDJ Psy ; S2 : SSM, CTV
S3 : Libéral, Urgences ; S4 : Médecine interne
S5 : USIC ; S6 : SSPI - Pré-pro : Chir Ortho
Re: un avis svp
Tu peux avoir le même thème et les mêmes concepts sans recopier mot pour mot! Du moment que ton texte est différent ce n'est pas du plagiat. Mais évite de copier la même chose, ça n'a pas grand intérêt....Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Infirmière DE 2016 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Re: un avis svp
bonjour
je pense que ton travail doit être personnel
ton amie a écrit selon ses recherches et ressentis
A la soutenance, tu risques d'avoir des "suées" lorsqu'on te demandera la question qui tue
"pourquoi dites-vous que...pourriez-vous développer ce point car je ne vois pas où vous voulez aller?"
tu risques de connaître un grand moment de stress, inutile à mon avis
je comprends que tu t'inspires de ses écrits, mais la recherche, même si elle s'appuie sur d'autres travaux (que tu dois citer) doit être personnelle, ceci dans le but de te faire réfléchir à un point que tu vivras dans la pratique
pour peu que le correcteur aie lu le TFE de ton amie, tu peux repasser cette épreuve à la session suivante
une élève d'un IFSI a eu la "bonne idée" de plagier, elle l'a repassé
.
maintenant tu as la liberté de prendre ce risque, mais fais toi aider par ton tuteur de soutenance, échange, et surtout cherche les pistes que TOI, tu ressens
tu as choisi ce thème
écris sur un papier l'idée première qui t'a traversé l'esprit quand tu y as songé, et laisse la pelote des idées se dérouler
bon courage
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je pense que ton travail doit être personnel
ton amie a écrit selon ses recherches et ressentis
A la soutenance, tu risques d'avoir des "suées" lorsqu'on te demandera la question qui tue
"pourquoi dites-vous que...pourriez-vous développer ce point car je ne vois pas où vous voulez aller?"
tu risques de connaître un grand moment de stress, inutile à mon avis
je comprends que tu t'inspires de ses écrits, mais la recherche, même si elle s'appuie sur d'autres travaux (que tu dois citer) doit être personnelle, ceci dans le but de te faire réfléchir à un point que tu vivras dans la pratique
pour peu que le correcteur aie lu le TFE de ton amie, tu peux repasser cette épreuve à la session suivante

une élève d'un IFSI a eu la "bonne idée" de plagier, elle l'a repassé

maintenant tu as la liberté de prendre ce risque, mais fais toi aider par ton tuteur de soutenance, échange, et surtout cherche les pistes que TOI, tu ressens
tu as choisi ce thème
écris sur un papier l'idée première qui t'a traversé l'esprit quand tu y as songé, et laisse la pelote des idées se dérouler
bon courage

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Re: TFE profession IDE
bonjours à toutes et à tous et merci pour vos réaction.
je peux vous assurez que je fais tous les efforts qu'il faut pour faire un travail personnel mais j'ai bcp de mal.
S IL VOUS PLAIT AIDEZ MOI
je vous expose mes situations , je n'arrive pas a faire la synthese de celle-ci
donnez moi des pistes svp svp!!
1.1Première situation de départ
Au cours de mes 3 années de formation en institut de soins infirmiers, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreuses situations. Celles qui m’ont particulièrement interpellée se déroulent dans deux services distincts. Je présente donc, ci après, les situations vécues qui illustreront mon travail de recherche. Je suis en deuxième année lorsque je réalise mon stage en service de neurologie. Ce service disposé en deux ailes, aile A pour les chambres simples et aile B pour les chambres doubles, accueille des patients de tout âge atteints de pathologies touchant le système nerveux. Madame M est l’une d'entre eux. Elle est âgée de 38 ans et mère de 4 jeunes enfants. Elle est soignée depuis près 1 année pour un cancer du sein. Son arrivée dans le service fait suite à une paralysie faciale. Lorsque je rencontre Mme M pour la première fois je réalise le tour du matin avec l’infirmière référente
Mme M est en chambre simple. En entrant, je la découvre assise sur son lit éclairée uniquement par la veilleuse. Volontairement, je fais le choix de ne pas allumer la lumière pour ne pas gêner sa vue. Cependant, je distingue parfaitement son environnement, le cache posé sur son œil gauche et la paralysie, qui déforme tout le coté droit de son visage. Je n’ai pas été surprise par cette image, mais par la personne, une jeune femme calme qui semble ailleurs. Lorsque nous sommes entrés dans la chambre nous l’avons saluée, un léger son est alors sorti de sa bouche. En réalisant mes soins, je lui demande comment elle se sent et si elle n’a pas de douleurs à la manipulation. Elle me répond juste par un oui ou par un non. Je comprends, qu’elle ne souhaite pas parler certainement à cause de la paralysie, la communication entre elle et moi se passe alors par le regard et les gestes. A la fin de mon soin, je vérifie qu’elle dispose de tout ce dont elle a besoin pendant que l’infirmière lui rappelle qu’elle à un scanner ce matin.
Au cours de la matinée, Mme M a appelé pour une réfection du drap sur lequel elle à accidentellement renversé son verre d’eau. Elle est en communication téléphonique, je devine par les mots qu’elle emploie qu’elle s’entretient avec un de ses enfants. Rapidement, je réalise le change pour lui permettre ce temps d’échange en toute intimité.
Le lendemain matin, je suis affectée sur la seconde aile (aile B). Je suis à ma deuxième période de stage, j’ai l’habitude de ces changements ils me permettent de rencontrer d’autres personnes et d’exécuter d’autres soins. A midi mes soins se terminent par la distribution des repas à tous les patients avant l’arrivée de l’équipe d’après midi pour le temps des transmissions.
Les deux secteurs réalisent leurs transmissions parfois simultanément, parfois avec un peu de décalage. Et lorsque cela est le cas, je fais en sorte d’assister aux deux même si je n’ai pas réalisé les prises en charge. Lorsqu’elles évoquent la situation de Mme M, j’apprends que les résultats des examens réalisés pendant cette semaine de prise en charge révèlent qu’elle souffre de métastases cérébrales. Elles poursuivent en expliquant que le neurologue doit rencontrer son mari cette après midi pour lui annoncer le diagnostic. A ces mots, j’ai eu un véritable choc. J’entends les infirmières et aides soignantes évoquer leur ressenti en disant « c’est dur », « elle a des enfants », « elle est jeune ». Apres cela, je dois faire un effort pour me concentrer sur la suite des transmissions, car je pense sans cesse à Mme M. J’ai quitté le service ce jour là avec un sentiment d’échec et de grande tristesse. Le lendemain j’ai tout fait pour ne pas avoir à me rendre dans la chambre de Mme M. Je n’ose pas affronter son regard, trop de peine, je me sens complètement impuissante, inutile. Je n’arrive plus à redonner sa valeur au mot « soin » ce mot auquel j’accorde de l’importance car il donne un sens à mon action. Le reste de ma journée mes pensées ont été pour elle et sa famille. Le lendemain matin j’apprends avec soulagement mais aussi avec peine que Mme M retourne à son domicile en fin de matinée.
2.1Deuxième situation
Elle se déroule lors de ma 3ème année. C’est l’attribution de stage, J’apprends que je réalise celui-ci dans un service d’hospitalisation à domicile je suis pleine d’enthousiasme d’autant que c’était mon premier vœux sur le document proposé par les formateurs en 1ère année, en 2ème année et enfin pour mon stage pré professionnel. L’idée de retourner auprès de patients à domicile ou j’ai appris à prendre soin de la personne âgée lorsque j’étais aide soignante fut un réel plaisir. En rentrant chez moi, j’ai voulu en savoir un peu plus sur ce mode de prise en charge que je connaissais peu finalement. Au fur et à mesure de mes lectures, je comprends qu’une grande difficulté allait se présenter à moi, car en réalité elle était bien loin l’idée que je m’en faisais jusqu’alors. En effet, je lis dans l’une de mes recherches que le service de soins à domicile est une unité de soins qui prend en charge des patients en phase curative ou en phase palliative. La semaine qui a suivi, je réfléchissais beaucoup à cet aspect de la prise en charge, à la difficulté émotionnelle que je risquais de revivre
A mon arrivée en HAD (service d’hospitalisation à domicile) je suis accueillie par une équipe de professionnels présente et très à l’écoute de tous. Je suis à la première semaine du stage. La veille, l’infirmière et moi, nous sommes rendues pour la première fois chez Madame S, qui est âgée de 52 ans. Elle est atteinte d’un cancer en phase terminale, c’est une dame de corpulence moyenne, elle apparaît affaiblie par la maladie en même temps réactive et cohérente. Avant notre arrivée au domicile de Mr et Mme S, cette dernière avait insisté auprès de son mari pour qu’il l’installe au fauteuil. Pour éviter de la contraindre à se recoucher, je lui propose avec l’accord de l’infirmière de réaliser sa toilette au fauteuil. Tout en l’assistant dans ces soins, je discute avec elle de généralités qui ne risquaient pas d’engager la conversation sur le thème de la santé cela afin d’optimiser ce moment de bien être. Pendant ce temps de soins, l’infirmière s’entretien avec son mari qui s’interrogeait sur la thérapeutique. Après avoir réalisé la réfection totale du lit et avoir installé Mme S confortablement, nous renouvelons ses perfusions et ses traitements, puis nous nous entretenons un moment avec le couple afin de s’assurer que tout allait au mieux avant de quitter le domicile. Le lendemain, je suis sur la même tournée avec l’infirmière. En arrivant chez Mr et Mme S, nous sommes accueillies par son mari qui nous annonce que sa femme venait de décéder 5 min avant notre arrivée. À cette annonce je n’avais qu’une envie faire demi-tour, retourner dans la voiture.
En étant toujours dans le souci de ne pas laisser paraitre mes émotions, j’avance avec l’infirmière et Mr S dans la salle à manger. Mme S est là face à nous, portant la chemise de nuit que nous lui avions mise la veille. Confrontée à ce corps sans vie, que je vois changer de couleur à chaque instant, j’étais paralysée, je ne savais pas quoi faire. Je détournais le regard, puis finissais par le reposer sur elle, comme si je voulais m’imprégner de cette image pour ne plus la redouter. L’infirmière s’affaire à retirer les perfusions, recouvre le corps du drap qui se trouvait au bout du lit. Je n’ai plus eu la notion exact du temps passé au domicile de Mr S cet homme courageux et digne, à qui j’ai présenté mes condoléances sans rien laisser paraitre de mon malaise. En sortant de la maison, j’ai fait part à l’infirmière de mon ressenti. Elle me répond simplement que ce sont des situations, qu’elle rencontre fréquemment et que fasse à cela il fallait savoir se protéger.
J’ai évoqué tout cela avec un infirmier et le cadre de service. Ils m’ont renvoyée sur un élément très important, à savoir qu’en tant que soignante j’avais de très fortes chances de rencontrer ces situations dans beaucoup de services, et que si je ne savais pas les gérer mon choix d’activité serait très limité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je peux vous assurez que je fais tous les efforts qu'il faut pour faire un travail personnel mais j'ai bcp de mal.
S IL VOUS PLAIT AIDEZ MOI
je vous expose mes situations , je n'arrive pas a faire la synthese de celle-ci
donnez moi des pistes svp svp!!
1.1Première situation de départ
Au cours de mes 3 années de formation en institut de soins infirmiers, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreuses situations. Celles qui m’ont particulièrement interpellée se déroulent dans deux services distincts. Je présente donc, ci après, les situations vécues qui illustreront mon travail de recherche. Je suis en deuxième année lorsque je réalise mon stage en service de neurologie. Ce service disposé en deux ailes, aile A pour les chambres simples et aile B pour les chambres doubles, accueille des patients de tout âge atteints de pathologies touchant le système nerveux. Madame M est l’une d'entre eux. Elle est âgée de 38 ans et mère de 4 jeunes enfants. Elle est soignée depuis près 1 année pour un cancer du sein. Son arrivée dans le service fait suite à une paralysie faciale. Lorsque je rencontre Mme M pour la première fois je réalise le tour du matin avec l’infirmière référente
Mme M est en chambre simple. En entrant, je la découvre assise sur son lit éclairée uniquement par la veilleuse. Volontairement, je fais le choix de ne pas allumer la lumière pour ne pas gêner sa vue. Cependant, je distingue parfaitement son environnement, le cache posé sur son œil gauche et la paralysie, qui déforme tout le coté droit de son visage. Je n’ai pas été surprise par cette image, mais par la personne, une jeune femme calme qui semble ailleurs. Lorsque nous sommes entrés dans la chambre nous l’avons saluée, un léger son est alors sorti de sa bouche. En réalisant mes soins, je lui demande comment elle se sent et si elle n’a pas de douleurs à la manipulation. Elle me répond juste par un oui ou par un non. Je comprends, qu’elle ne souhaite pas parler certainement à cause de la paralysie, la communication entre elle et moi se passe alors par le regard et les gestes. A la fin de mon soin, je vérifie qu’elle dispose de tout ce dont elle a besoin pendant que l’infirmière lui rappelle qu’elle à un scanner ce matin.
Au cours de la matinée, Mme M a appelé pour une réfection du drap sur lequel elle à accidentellement renversé son verre d’eau. Elle est en communication téléphonique, je devine par les mots qu’elle emploie qu’elle s’entretient avec un de ses enfants. Rapidement, je réalise le change pour lui permettre ce temps d’échange en toute intimité.
Le lendemain matin, je suis affectée sur la seconde aile (aile B). Je suis à ma deuxième période de stage, j’ai l’habitude de ces changements ils me permettent de rencontrer d’autres personnes et d’exécuter d’autres soins. A midi mes soins se terminent par la distribution des repas à tous les patients avant l’arrivée de l’équipe d’après midi pour le temps des transmissions.
Les deux secteurs réalisent leurs transmissions parfois simultanément, parfois avec un peu de décalage. Et lorsque cela est le cas, je fais en sorte d’assister aux deux même si je n’ai pas réalisé les prises en charge. Lorsqu’elles évoquent la situation de Mme M, j’apprends que les résultats des examens réalisés pendant cette semaine de prise en charge révèlent qu’elle souffre de métastases cérébrales. Elles poursuivent en expliquant que le neurologue doit rencontrer son mari cette après midi pour lui annoncer le diagnostic. A ces mots, j’ai eu un véritable choc. J’entends les infirmières et aides soignantes évoquer leur ressenti en disant « c’est dur », « elle a des enfants », « elle est jeune ». Apres cela, je dois faire un effort pour me concentrer sur la suite des transmissions, car je pense sans cesse à Mme M. J’ai quitté le service ce jour là avec un sentiment d’échec et de grande tristesse. Le lendemain j’ai tout fait pour ne pas avoir à me rendre dans la chambre de Mme M. Je n’ose pas affronter son regard, trop de peine, je me sens complètement impuissante, inutile. Je n’arrive plus à redonner sa valeur au mot « soin » ce mot auquel j’accorde de l’importance car il donne un sens à mon action. Le reste de ma journée mes pensées ont été pour elle et sa famille. Le lendemain matin j’apprends avec soulagement mais aussi avec peine que Mme M retourne à son domicile en fin de matinée.
2.1Deuxième situation
Elle se déroule lors de ma 3ème année. C’est l’attribution de stage, J’apprends que je réalise celui-ci dans un service d’hospitalisation à domicile je suis pleine d’enthousiasme d’autant que c’était mon premier vœux sur le document proposé par les formateurs en 1ère année, en 2ème année et enfin pour mon stage pré professionnel. L’idée de retourner auprès de patients à domicile ou j’ai appris à prendre soin de la personne âgée lorsque j’étais aide soignante fut un réel plaisir. En rentrant chez moi, j’ai voulu en savoir un peu plus sur ce mode de prise en charge que je connaissais peu finalement. Au fur et à mesure de mes lectures, je comprends qu’une grande difficulté allait se présenter à moi, car en réalité elle était bien loin l’idée que je m’en faisais jusqu’alors. En effet, je lis dans l’une de mes recherches que le service de soins à domicile est une unité de soins qui prend en charge des patients en phase curative ou en phase palliative. La semaine qui a suivi, je réfléchissais beaucoup à cet aspect de la prise en charge, à la difficulté émotionnelle que je risquais de revivre
A mon arrivée en HAD (service d’hospitalisation à domicile) je suis accueillie par une équipe de professionnels présente et très à l’écoute de tous. Je suis à la première semaine du stage. La veille, l’infirmière et moi, nous sommes rendues pour la première fois chez Madame S, qui est âgée de 52 ans. Elle est atteinte d’un cancer en phase terminale, c’est une dame de corpulence moyenne, elle apparaît affaiblie par la maladie en même temps réactive et cohérente. Avant notre arrivée au domicile de Mr et Mme S, cette dernière avait insisté auprès de son mari pour qu’il l’installe au fauteuil. Pour éviter de la contraindre à se recoucher, je lui propose avec l’accord de l’infirmière de réaliser sa toilette au fauteuil. Tout en l’assistant dans ces soins, je discute avec elle de généralités qui ne risquaient pas d’engager la conversation sur le thème de la santé cela afin d’optimiser ce moment de bien être. Pendant ce temps de soins, l’infirmière s’entretien avec son mari qui s’interrogeait sur la thérapeutique. Après avoir réalisé la réfection totale du lit et avoir installé Mme S confortablement, nous renouvelons ses perfusions et ses traitements, puis nous nous entretenons un moment avec le couple afin de s’assurer que tout allait au mieux avant de quitter le domicile. Le lendemain, je suis sur la même tournée avec l’infirmière. En arrivant chez Mr et Mme S, nous sommes accueillies par son mari qui nous annonce que sa femme venait de décéder 5 min avant notre arrivée. À cette annonce je n’avais qu’une envie faire demi-tour, retourner dans la voiture.
En étant toujours dans le souci de ne pas laisser paraitre mes émotions, j’avance avec l’infirmière et Mr S dans la salle à manger. Mme S est là face à nous, portant la chemise de nuit que nous lui avions mise la veille. Confrontée à ce corps sans vie, que je vois changer de couleur à chaque instant, j’étais paralysée, je ne savais pas quoi faire. Je détournais le regard, puis finissais par le reposer sur elle, comme si je voulais m’imprégner de cette image pour ne plus la redouter. L’infirmière s’affaire à retirer les perfusions, recouvre le corps du drap qui se trouvait au bout du lit. Je n’ai plus eu la notion exact du temps passé au domicile de Mr S cet homme courageux et digne, à qui j’ai présenté mes condoléances sans rien laisser paraitre de mon malaise. En sortant de la maison, j’ai fait part à l’infirmière de mon ressenti. Elle me répond simplement que ce sont des situations, qu’elle rencontre fréquemment et que fasse à cela il fallait savoir se protéger.
J’ai évoqué tout cela avec un infirmier et le cadre de service. Ils m’ont renvoyée sur un élément très important, à savoir qu’en tant que soignante j’avais de très fortes chances de rencontrer ces situations dans beaucoup de services, et que si je ne savais pas les gérer mon choix d’activité serait très limité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: TFE profession IDE
y a personne ????????????????????????????????????Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- augusta
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Re: TFE profession IDE
Bonsoir Valérie,
Alors:
1- non, tu ne peux pas copier des passages du TFE d'une copine.
2- si tu veux réussir à synthétiser tes situations de départ, vire tous les détails dont le lecteur se fout (exemple: le stage en HAD était le 1er sur ta liste, l'idée de retourner en soins à domicile te plaisait beaucoup......).
3- soit factuelle: qui, quoi, où, comment, pourquoi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Alors:
1- non, tu ne peux pas copier des passages du TFE d'une copine.
2- si tu veux réussir à synthétiser tes situations de départ, vire tous les détails dont le lecteur se fout (exemple: le stage en HAD était le 1er sur ta liste, l'idée de retourner en soins à domicile te plaisait beaucoup......).
3- soit factuelle: qui, quoi, où, comment, pourquoi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
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Re: TFE profession IDE
d'accord pas de souci
qu'est ce qui te gène d'autre?
stp j'ai besoin de tes conseilsÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
qu'est ce qui te gène d'autre?
stp j'ai besoin de tes conseilsÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: TFE profession IDE
valerie123 a écrit :
1.1Première situation de départ
Au cours de mes 3 années de formation en institut de soins infirmiers, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreuses situations. Celles qui m’ont particulièrement interpellée se déroulent dans deux services distincts. Je présente donc, ci après, les situations vécues qui illustreront mon travail de recherche.
Je suis en deuxième année lorsque je réalise mon stage en service de neurologie. Ce service disposé en deux ailes, aile A pour les chambres simples et aile B pour les chambres doubles, accueille des patients de tout âge atteints de pathologies touchant le système nerveux. Madame M est l’une d'entre eux. Elle est âgée de 38 ans et mère de 4 jeunes enfants. Elle est soignée depuis près 1 année pour un cancer du sein. Son arrivée dans le service fait suite à une paralysie faciale. Lorsque je rencontre Mme M pour la première fois je réalise le tour du matin avec l’infirmière référente
Mme M est en chambre simple. En entrant, je la découvre assise sur son lit éclairée uniquement par la veilleuse. Volontairement, je fais le choix de ne pas allumer la lumière pour ne pas gêner sa vue. Cependant, je distingue parfaitement son environnement, le cache posé sur son œil gauche et la paralysie, qui déforme tout le coté droit de son visage. Je n’ai pas été surprise par cette image, mais par la personne, une jeune femme calme qui semble ailleurs.
Lorsque nous sommes entrés dans la chambre nous l’avons saluée, un léger son est alors sorti de sa bouche. En réalisant mes soins, je lui demande comment elle se sent et si elle n’a pas de douleurs à la manipulation. Elle me répond juste par un oui ou par un non. Je comprends, qu’elle ne souhaite pas parler certainement à cause de la paralysie, la communication entre elle et moi se passe alors par le regard et les gestes. A la fin de mon soin, je vérifie qu’elle dispose de tout ce dont elle a besoin pendant que l’infirmière lui rappelle qu’elle à un scanner ce matin.
Au cours de la matinée, Mme M a appelé pour une réfection du drap sur lequel elle à accidentellement renversé son verre d’eau. Elle est en communication téléphonique, je devine par les mots qu’elle emploie qu’elle s’entretient avec un de ses enfants. Rapidement, je réalise le change pour lui permettre ce temps d’échange en toute intimité.
Le lendemain matin, je suis affectée sur la seconde aile (aile B). Je suis à ma deuxième période de stage, j’ai l’habitude de ces changements ils me permettent de rencontrer d’autres personnes et d’exécuter d’autres soins. A midi mes soins se terminent par la distribution des repas à tous les patients avant l’arrivée de l’équipe d’après midi pour le temps des transmissions.
Les deux secteurs réalisent leurs transmissions parfois simultanément, parfois avec un peu de décalage. Et lorsque cela est le cas, je fais en sorte d’assister aux deux même si je n’ai pas réalisé les prises en charge. Lorsqu’elles évoquent la situation de Mme M, j’apprends que les résultats des examens réalisés pendant cette semaine de prise en charge révèlent qu’elle souffre de métastases cérébrales. Elles poursuivent en expliquant que le neurologue doit rencontrer son mari cette après midi pour lui annoncer le diagnostic. A ces mots, j’ai eu un véritable choc. J’entends les infirmières et aides soignantes évoquer leur ressenti en disant « c’est dur », « elle a des enfants », « elle est jeune ». Apres cela, je dois faire un effort pour me concentrer sur la suite des transmissions, car je pense sans cesse à Mme M. J’ai quitté le service ce jour là avec un sentiment d’échec et de grande tristesse. Le lendemain j’ai tout fait pour ne pas avoir à me rendre dans la chambre de Mme M. Je n’ose pas affronter son regard, trop de peine, je me sens complètement impuissante, inutile. Je n’arrive plus à redonner sa valeur au mot « soin » ce mot auquel j’accorde de l’importance car il donne un sens à mon action. Le reste de ma journée mes pensées ont été pour elle et sa famille. Le lendemain matin j’apprends avec soulagement mais aussi avec peine que Mme M retourne à son domicile en fin de matinée.
Très belle situation de départ, bien écrite. Il faudra juste que tu penses à aérer ton texte.
Tu peux maintenant poser ton questionnement.
Différents concepts ressortent déjà.
Bon....2.1Deuxième situation
Elle se déroule lors de ma 3ème année. [...] En effet, je lis dans l’une de mes recherches que le service de soins à domicile est une unité de soins qui prend en charge des patients en phase curative ou en phase palliative. La semaine qui a suivi, je réfléchissais beaucoup à cet aspect de la prise en charge, à la difficulté émotionnelle que je risquais de revivre
A mon arrivée en HAD (service d’hospitalisation à domicile) je suis accueillie par une équipe de professionnels présente et très à l’écoute de tous. Je suis à la première semaine du stage.
La veille, l’infirmière et moi, nous sommes rendues pour la première fois chez Madame S, qui est âgée de 52 ans. Elle est atteinte d’un cancer en phase terminale, c’est une dame de corpulence moyenne, elle apparaît affaiblie par la maladie en même temps réactive et cohérente. Avant notre arrivée au domicile de Mr et Mme S, cette dernière avait insisté auprès de son mari pour qu’il l’installe au fauteuil. Pour éviter de la contraindre à se recoucher, je lui propose avec l’accord de l’infirmière de réaliser sa toilette au fauteuil.
Tout en l’assistant dans ces soins, je discute avec elle de généralités qui ne risquaient pas d’engager la conversation sur le thème de la santé cela afin d’optimiser ce moment de bien être. Pendant ce temps de soins, l’infirmière s’entretien avec son mari qui s’interrogeait sur la thérapeutique. Après avoir réalisé la réfection totale du lit et avoir installé Mme S confortablement, nous renouvelons ses perfusions et ses traitements, puis nous nous entretenons un moment avec le couple afin de s’assurer que tout allait au mieux avant de quitter le domicile. Le lendemain, je suis sur la même tournée avec l’infirmière. En arrivant chez Mr et Mme S, nous sommes accueillies par son mari qui nous annonce que sa femme venait de décéder 5 min avant notre arrivée. À cette annonce je n’avais qu’une envie faire demi-tour, retourner dans la voiture.
En étant toujours dans le souci de ne pas laisser paraitre mes émotions, j’avance avec l’infirmière et Mr S dans la salle à manger. Mme S est là face à nous, portant la chemise de nuit que nous lui avions mise la veille. Confrontée à ce corps sans vie, que je vois changer de couleur à chaque instant, j’étais paralysée, je ne savais pas quoi faire. Je détournais le regard, puis finissais par le reposer sur elle, comme si je voulais m’imprégner de cette image pour ne plus la redouter. L’infirmière s’affaire à retirer les perfusions, recouvre le corps du drap qui se trouvait au bout du lit. Je n’ai plus eu la notion exact du temps passé au domicile de Mr S cet homme courageux et digne, à qui j’ai présenté mes condoléances sans rien laisser paraitre de mon malaise. En sortant de la maison, j’ai fait part à l’infirmière de mon ressenti. Elle me répond simplement que ce sont des situations, qu’elle rencontre fréquemment et que fasse à cela il fallait savoir se protéger.
J’ai évoqué tout cela avec un infirmier et le cadre de service. Ils m’ont renvoyée sur un élément très important, à savoir qu’en tant que soignante j’avais de très fortes chances de rencontrer ces situations dans beaucoup de services, et que si je ne savais pas les gérer mon choix d’activité serait très limité.
Tu as là de quoi faire un très bon travail.
Tu peux t'interroger sur les émotions côté soignant (au passage je ne partage guère ce que t'ont renvoyée l'IDE et le cadre. Je pense qu'on peut être boulversés, le tout étant de savoir le gérer et l'évacuer. Ce qui serait délétère serait de se laisser envahir par nos émotions au point d'en être "handicapés"....mais certainement pas d'en ressentir).
Les émotions, la distance, la mort de l'autre....voici quelques thèmes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: TFE profession IDE
tu sais qd on est dans le sujet on voit plus ce qui va ou pas
en faite moi je voulais traiter de la difficulté de infirmère face à la fin de vie
ma guidante m'a renvoyer sur l'employabilité
du coup j'ai réalisé des questionnements, puis ma question de départ qui a été validée
Est-ce que cela peut devenir un réel problème pour nous qui devrons rester efficaces dans notre fonction malgré les sentiments que nous inspire la mort ?
Comment les soignants peuvent-ils vivre de telles épreuves ? Peuvent-ils-les
surmonter ?
Quel impact mes émotions ont-elles sur la qualité des soins ?
Quand est-il de la polyvalence que nous offre notre métier ?
L’expérience professionnelle est elle la seule réponse à ce mécanisme ?
« En quoi la difficulté des gestions des émotions de l’infirmier influence t’elle son employabilitéÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
en faite moi je voulais traiter de la difficulté de infirmère face à la fin de vie
ma guidante m'a renvoyer sur l'employabilité
du coup j'ai réalisé des questionnements, puis ma question de départ qui a été validée
Est-ce que cela peut devenir un réel problème pour nous qui devrons rester efficaces dans notre fonction malgré les sentiments que nous inspire la mort ?
Comment les soignants peuvent-ils vivre de telles épreuves ? Peuvent-ils-les
surmonter ?
Quel impact mes émotions ont-elles sur la qualité des soins ?
Quand est-il de la polyvalence que nous offre notre métier ?
L’expérience professionnelle est elle la seule réponse à ce mécanisme ?
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Re: TFE profession IDE
Peux-tu me définir le terme "employabilité", s'il te plait?
Ta dernière question est-elle la question de départ validée?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: TFE profession IDE
j'ai pas de définition exact
si tu veux , le fait que je vive ces prises en charges avec bcp de mal, ça me limite dans mes offres de poste donc dans mon employabilité
je te remercie infiniment pour le temps que tu me consacreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: TFE profession IDE
En quoi la difficulté des gestions des émotions de l’infirmier influence t’elle son employabilité ?
oui c'est ma question de départ et elle à été validée par ma guidanteÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: TFE profession IDE
Bon....
Je trouve curieux que ta guidante te lance sur cette voie. D'abord parce que dans la vie on change, rien n'est figé. On apprend des expériences vécues.
Aujourd'hui tu relates ces 2 situations, mais qui nous dit que tu les vivrais de la manière après 1-2- 5 ans de pratique?
Elle prend au pied de la lettre les remarques de l'équipe.
Peut-être est-ce à toi justement de "contrer" ce que ta question de départ sous-entend.
Tu pourrais tout à fait faire des recherches sur l'évolution psy de la personne (mécanisme de défense et d'adaptabilité à l'environnement par exemple).
Dans la vie on apprend des expériences, mûrit.....et au final on s'adapte.
Pas de souci pour mon temps, ton travail est intéressant. J'ai eu peur en lisant le 1er poste mais ce que tu as écrit est de qualité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je trouve curieux que ta guidante te lance sur cette voie. D'abord parce que dans la vie on change, rien n'est figé. On apprend des expériences vécues.
Aujourd'hui tu relates ces 2 situations, mais qui nous dit que tu les vivrais de la manière après 1-2- 5 ans de pratique?
Elle prend au pied de la lettre les remarques de l'équipe.
Peut-être est-ce à toi justement de "contrer" ce que ta question de départ sous-entend.
Tu pourrais tout à fait faire des recherches sur l'évolution psy de la personne (mécanisme de défense et d'adaptabilité à l'environnement par exemple).
Dans la vie on apprend des expériences, mûrit.....et au final on s'adapte.
Pas de souci pour mon temps, ton travail est intéressant. J'ai eu peur en lisant le 1er poste mais ce que tu as écrit est de qualité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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