TFE : Douleur post opératoire et prise en charge
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TFE : Douleur post opératoire et prise en charge
bonjour
je fais mon tfe sur la prise en charge de la douleur post operatoire mais j'ai un petit souci ma formatrice me dit que je sui pas dans la methodo et ma question se porterait plus sur le rle inf dans cette prise en charge.
est elle effectif ou imaginaire ?
[Titre édité par Dop@mine : respectez la charte SVP]
je fais mon tfe sur la prise en charge de la douleur post operatoire mais j'ai un petit souci ma formatrice me dit que je sui pas dans la methodo et ma question se porterait plus sur le rle inf dans cette prise en charge.
est elle effectif ou imaginaire ?
[Titre édité par Dop@mine : respectez la charte SVP]
Bonjour
En fait la prise en charge de la douleur post-op relève de la collaboration entre l'ide et le médecin : le traitement de la douleur est uniquement sur prescription
Par contre tu peux parler des différents moyens d'évaluation de la douleur (qui relève du rôle ide)

Par contre tu peux parler des différents moyens d'évaluation de la douleur (qui relève du rôle ide)
Bonne continuation !
Dominique
Dominique
- fernie
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eh bien moi j'ai le meme soucis mais pour la prise en charge de la douleur aux personnes en fin de vie.. La prof a aussi dit que c'était trop médical et que je devais cibler un maximum sur le role IDE dans la prise en charge de cette douleur, que peut faire l'IDE de façon non médicale pour le patient...
je désespère...
je désespère...
Mariée depuis le 26 Juillet 2008 !
TFE : douleur aigue-sspi-
Bonsoir, bonsoir !
Voila, je planche sur mon TFE et ma référente vient de balayer ma question de recherche (c'est balo
)
Puis je vous mettre à contribution pour m'aiguiller ?
Allez je me lance : j'ai constaté lors d'un stage en sspi que l'impuissance d'une jeune DE à soulager la douleur aigue d'un patient avait généré beaucoup de stress pendant toute la prise en charge et de l'inquiétude en post sspi.
Pourtant les thérapeutiques avaient été administrées (entre autre : titration morphine iv) et l'IDE a été très présente et à l'écoute +++.
Malgré tout le patient est sorti de sspi toujours très souffrant. Il a finalement été soulagé en chambre par un relai PCA.
Je viens de reformuler ma question de recherche et aimerait avoir votre avis :
Une "jeune" IDE en sspi est elle consciente d'être en souffrance psychologique lorsqu'elle ne parvient pas a soulager la douleur aigue du patient ?
ou
Pour quelles raisons une jeune IDE en sspi est elle en souffrance psychologique/ met en jeu des mécanisme de défense lorsqu'elle ne parvient pas à soulager la douleur aigue du patient ?
ou encore
L'IDE en sspi est elle consciente de mettre en jeu des mécanisme de défense lorsqu'elle ne parvient pas.....
Je parle de sspi car c'est mon unique expérience mais j'imagine que cette question est valable pour la réa/soins intensifs/les urgences
J'aimerai faire un parallèle entre les obligations légales (législation), les valeurs morales et idéaux de l'IDE et la réalité du terrain
Bref travailler sur le sentiment d'échec,de frustration, de culpabilité, d'inutilité, de ne pas controler la situation, d'idéaux déçus etc.
Je ne sais pas si je suis claire
ni si l'hypothèse est intéressante, j'attends vos critiques
(m'assomez pas trop quand même hein ?
)
J'ai l'impression de ne plus avoir de neurones, ça a du mal à se connecter la haut
Je suis dans le flou total
Bravo aux courageux qui n'auront pas baillé avant la fin de mon roman et merci
vané
Voila, je planche sur mon TFE et ma référente vient de balayer ma question de recherche (c'est balo

Puis je vous mettre à contribution pour m'aiguiller ?

Allez je me lance : j'ai constaté lors d'un stage en sspi que l'impuissance d'une jeune DE à soulager la douleur aigue d'un patient avait généré beaucoup de stress pendant toute la prise en charge et de l'inquiétude en post sspi.
Pourtant les thérapeutiques avaient été administrées (entre autre : titration morphine iv) et l'IDE a été très présente et à l'écoute +++.
Malgré tout le patient est sorti de sspi toujours très souffrant. Il a finalement été soulagé en chambre par un relai PCA.
Je viens de reformuler ma question de recherche et aimerait avoir votre avis :
Une "jeune" IDE en sspi est elle consciente d'être en souffrance psychologique lorsqu'elle ne parvient pas a soulager la douleur aigue du patient ?
ou
Pour quelles raisons une jeune IDE en sspi est elle en souffrance psychologique/ met en jeu des mécanisme de défense lorsqu'elle ne parvient pas à soulager la douleur aigue du patient ?
ou encore
L'IDE en sspi est elle consciente de mettre en jeu des mécanisme de défense lorsqu'elle ne parvient pas.....
Je parle de sspi car c'est mon unique expérience mais j'imagine que cette question est valable pour la réa/soins intensifs/les urgences
J'aimerai faire un parallèle entre les obligations légales (législation), les valeurs morales et idéaux de l'IDE et la réalité du terrain
Bref travailler sur le sentiment d'échec,de frustration, de culpabilité, d'inutilité, de ne pas controler la situation, d'idéaux déçus etc.
Je ne sais pas si je suis claire



J'ai l'impression de ne plus avoir de neurones, ça a du mal à se connecter la haut

Bravo aux courageux qui n'auront pas baillé avant la fin de mon roman et merci

vané
Euhhhhhhh attention je ne parle pas d'incapacité mais d'impuissance, il ne s'agit pas de juger la PEC de l'IDE
(j'ai du mal m'exprimer), ce n'est pas le but du TFE. Mais plutot de l'effet qu'à engendré cette douleur violente et persistante sur l'IDE.
Pour moi sur la PEC IDE il n'y a rien à redire et je ne me permettrais pas de juger n'ayant pas assez de recul ni d'expérience.
Quand je parle d'impuissance c'est parce que tout à été mis en place (réassurance, relation d'aide, écoute...thérapeutique etc donc role propre et sur PM ok) mais que malgré tout la douleur persistait...
J'espère avoir été plus clair Maxime

Pour moi sur la PEC IDE il n'y a rien à redire et je ne me permettrais pas de juger n'ayant pas assez de recul ni d'expérience.
Quand je parle d'impuissance c'est parce que tout à été mis en place (réassurance, relation d'aide, écoute...thérapeutique etc donc role propre et sur PM ok) mais que malgré tout la douleur persistait...
J'espère avoir été plus clair Maxime

Re: TFE : douleur aigue-sspi-
vané a écrit :Allez je me lance : j'ai constaté lors d'un stage en sspi que l'impuissance d'une jeune DE à soulager la douleur aigue d'un patient avait généré beaucoup de stress pendant toute la prise en charge et de l'inquiétude en post sspi.
Pourtant les thérapeutiques avaient été administrées (entre autre : titration morphine iv) et l'IDE a été très présente et à l'écoute +++.
Malgré tout le patient est sorti de sspi toujours très souffrant. Il a finalement été soulagé en chambre par un relai PCA.
Sans trop m'avancer, la mise en place de la PCA était peut être un peu tardive...Je viens de reformuler ma question de recherche et aimerait avoir votre avis :
Une "jeune" IDE en sspi est elle consciente d'être en souffrance psychologique lorsqu'elle ne parvient pas a soulager la douleur aigue du patient ?
"souffrance psychologique" est un peu fort, plutôt un sentiment d'impuissance, d'inefficacité comme disait maxime31ou
Pour quelles raisons une jeune IDE en sspi est elle en souffrance psychologique/ met en jeu des mécanisme de défense lorsqu'elle ne parvient pas à soulager la douleur aigue du patient ?
idemou encore
L'IDE en sspi est elle consciente de mettre en jeu des mécanisme de défense lorsqu'elle ne parvient pas.....
l'IDE est surtout cartésienne et lorsque la douleur est évaluée très forte , (différentes échelles d'évaluation) , elle applique des protocoles pour calmer la douleur , eéventuellment faire prescrire un protocole différent, et le réévaluer.
En fait la douleur post opératoire est normalement (pas toujours)
bien prise en charge car anticipée au bloc opératoire.
Il faudra que tu développes les différentes composantes de la douleur et leur traitement, quant au sentiment d'inefficacité il ne doit pas prendre le pas sur la volonté de calmer la douleur,
il existe de nombreuses posibilités de prise en charge, et la douleur est très souvent calmée ( pas à 100%...).
Il y a eu de nombreux progrès dans la prise en charge de la douleur post -opératoire en SSPI. Contrairement ,la prise en charge de la douleur chronique chez le patient cancéreux ou avec des douleurs neuropathiques diffuses est beaucoup plus fine et plus difficile, car s'y ajoute une composante psychologique de la douleur...Je parle de sspi car c'est mon unique expérience mais j'imagine que cette question est valable pour la réa/soins intensifs/les urgences
J'aimerai faire un parallèle entre les obligations légales (législation), les valeurs morales et idéaux de l'IDE et la réalité du terrain
Bref travailler sur le sentiment d'échec,de frustration, de culpabilité, d'inutilité, de ne pas controler la situation, d'idéaux déçus etc.
Pourquoi n'essaies tu pas de rencontrer une équipe " douleur" ou une unité mobile de soins palliatifs
Re: TFE : douleur aigue-sspi-
glazzzgo3 a écrit :[
l'IDE est surtout cartésienne et lorsque la douleur est évaluée très forte , (différentes échelles d'évaluation) , elle applique des protocoles pour calmer la douleur , eéventuellment faire prescrire un protocole différent, et le réévaluer.
pour préciser, je parle de l'IDE en SSPI .
Merci pour ton éclairage glazzzgo.
J'ai bien l'impression que mon sujet dans le cadre de la sspi n'a pas lieu d'être puisque finalement la douleur est à 99.99 % calmée.
Du coup j'en déduis que la réaction de l'IDE est tout à fait exceptionnelle !
Mon sentiment c'est que ma question de recherche n'a pas d'intérêt du coup.
C'est vrai que j'aurai beaucoup plus de matières pour traiter la douleur chronique en particulier dans le palliatif où le soignant est réellement en souffrance mais le sujet à été multitraité. De plus c'est vrai que l'axe palliatif m'intéresse beaucoup moins comme cadre.
Pfffffffffffffiou, j'vais me pendre dans ma cave et j'reviens hein ?
J'ai bien l'impression que mon sujet dans le cadre de la sspi n'a pas lieu d'être puisque finalement la douleur est à 99.99 % calmée.
Du coup j'en déduis que la réaction de l'IDE est tout à fait exceptionnelle !
Mon sentiment c'est que ma question de recherche n'a pas d'intérêt du coup.
C'est vrai que j'aurai beaucoup plus de matières pour traiter la douleur chronique en particulier dans le palliatif où le soignant est réellement en souffrance mais le sujet à été multitraité. De plus c'est vrai que l'axe palliatif m'intéresse beaucoup moins comme cadre.
Pfffffffffffffiou, j'vais me pendre dans ma cave et j'reviens hein ?

Qu'est ce que j'ai bidouillé ? J'y comprends rien
Je ne sais absolument pas quelle manip j'ai pu faire sur mon ordi mais je viens de trouver un message de ce forum dans un doc word ouvert sur mon PC commençant ainsi :
A mon avis il faudrait peut être reformuler la question de départ : quels comportements adoptent les soignants vis-à-vis de la souffrance des patients ?
L'inconvénient est que cela devient très large, mais vous devriez pouvoir cibler la problématique en réalisant des entretiens exploratoires auprès de plusieurs IDE pour connaître leur réaction face à la souffrance et les mécanismes qu'elles ont mis en place pour accepter ou supporter cette souffrance.
Pour quelles raisons l'infirmière jeune D.E. est elle en difficultés à gérer la douleur aigue d'une patient et comment améliorer cela ?
Ai je toute la réponse ? quelqu'un se reconnait ?
Est il possible de me la renvoyer svp afin que je lise en entier et réponde à l'intéressé?
Merci beaucoup


Je ne sais absolument pas quelle manip j'ai pu faire sur mon ordi mais je viens de trouver un message de ce forum dans un doc word ouvert sur mon PC commençant ainsi :
A mon avis il faudrait peut être reformuler la question de départ : quels comportements adoptent les soignants vis-à-vis de la souffrance des patients ?
L'inconvénient est que cela devient très large, mais vous devriez pouvoir cibler la problématique en réalisant des entretiens exploratoires auprès de plusieurs IDE pour connaître leur réaction face à la souffrance et les mécanismes qu'elles ont mis en place pour accepter ou supporter cette souffrance.
Pour quelles raisons l'infirmière jeune D.E. est elle en difficultés à gérer la douleur aigue d'une patient et comment améliorer cela ?
Ai je toute la réponse ? quelqu'un se reconnait ?
Est il possible de me la renvoyer svp afin que je lise en entier et réponde à l'intéressé?
Merci beaucoup
TFE Douleur post opératoire
Bonjour a tous, je suis à une semaine de ma rentrée en 3è année... ca passe si vite!
on nous a demandé d'avoir un thème pour la rentrée. j'ai quelques idées vagues :
prise en charge douleur chez les adultes postop avec une partie mon évolution dans la prise en charge de la douleur
ou juste
mon évolution dans la PEC de la douleur (tout services confondus) sachant que j'ai fait un module optionnel sur la douleur en janvier 2006
je n'ai aucune situation précise est-ce que ca fait quelque chose?en faut-il une?
est-ce que je ne risque pas de me perdre dans les apports théoriques?
Pouvez-vous me conseiller par rapport a ce thème de la douleur?? est-ce bateau?
j'ai besoin de vos témoignages!
merci !!
on nous a demandé d'avoir un thème pour la rentrée. j'ai quelques idées vagues :
prise en charge douleur chez les adultes postop avec une partie mon évolution dans la prise en charge de la douleur
ou juste
mon évolution dans la PEC de la douleur (tout services confondus) sachant que j'ai fait un module optionnel sur la douleur en janvier 2006
je n'ai aucune situation précise est-ce que ca fait quelque chose?en faut-il une?
est-ce que je ne risque pas de me perdre dans les apports théoriques?
Pouvez-vous me conseiller par rapport a ce thème de la douleur?? est-ce bateau?
j'ai besoin de vos témoignages!
merci !!

Carmen,
IDE polyvalente en cardiologie et USIC depuis avril 2007 et en service de soins intensifs réa a partir du 15 fevrier 2009
IDE polyvalente en cardiologie et USIC depuis avril 2007 et en service de soins intensifs réa a partir du 15 fevrier 2009
- Tapadamis
- Accro
- Messages : 1023
- Inscription : 22 juil. 2004 21:39
- Localisation : tombée de la roulotte...
Pour la situation de départ, je pense que ce sera plus facile si tu en as une, car après on te demande sans arrêt de faire des allers retour entre la pratique et la théorie et de faire référence souvent à ta situation de départ. En tout cas dans mon IFSI c'est comme ça. Une de mes copines de promo n'a pas de situation de départ et elle galère un peu pour avancer.
Moi aussi je fais mon TFE sur la douleur (du nouveau-né), je ne sais pas si c'est bateau en tout cas c'est très interessant.
Bon courage
Moi aussi je fais mon TFE sur la douleur (du nouveau-né), je ne sais pas si c'est bateau en tout cas c'est très interessant.
Bon courage

Infirmière en USLD...Marseille