TFE alcoolisme et représentation sociale
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
TFE alcoolisme et représentation sociale
bonjour;
je voudrais faire mon TFE sur les représentation sociales de l'alcoolisme et leur influence sur la prise en charge infirmiere,cela n'implique pas les jugements de valeurs si quelqu'un peux m'aider ou a des remarques quelconque merci par avance.
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je voudrais faire mon TFE sur les représentation sociales de l'alcoolisme et leur influence sur la prise en charge infirmiere,cela n'implique pas les jugements de valeurs si quelqu'un peux m'aider ou a des remarques quelconque merci par avance.

bonjour, ravi de voir un sujet comme celui ci.
juste une remarque, l'alcoolique et l'alcool a un role social, et d'une manière systèmique, cache bien d'autres problèmes, c'est pourquoi quelquefois l'entourage va tout mettre en échec (inconsciement).
un père de famille si il arrète de boire va reprendre sa place dans la famille, ce qui n'est que très rarement accepté par l'épouse (regardez le nombre de divorces après un sevrage, ce n'est pas simplement parceque la brave dame et partie une fois qu'il était guéri), de même les problèmes du couple vont etre mis en avant alors que la relation tierce par l'alcool les dissimulait.
Dans une entreprise aussi, l'alcoolique (ou le mec à part pour autre chose) à sa place, dans une soirée aussi, dans toute notre sociéte, l'alcool a sa place (celle de la convivialité), et l'alcoolique a sa place (beaucoup plus bas, mais il contribue à élever celui qui se moque et à éviter de se poser trop de questions).
Au niveau des infirmiers, pas mieux je pense, il y a les personnes qui pensent que c'est une histoire de volonté, alors que l'on voit bien que même avec toute la bonne volonté du monde, si on replonge dans le même système, c'est rebelote. L'alcoolique a toujours un bénéfice à boire, on ne boit pas de telles quantités par plaisir. Je pense qu'il y a aussi très peu de remise en question des équipes vis à vis d'un échec lors d'un sevrage, alors que sur d'autres patients celle ci se fait plus aisément.
Dernière chose, le concept du soin à approfondir, avec la notion temporelle, la rechute est dans le parcours pour la guérison, et celle ci a sa place dans ce travail, soigner quelqu'un peut prendre des années, au contraire de nos représentations, du soin, ou celui ci est plus rapide et linéaire, "j'ai mal, je soigne je vais mieux je guéris" (a l'image d'une fracture).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
juste une remarque, l'alcoolique et l'alcool a un role social, et d'une manière systèmique, cache bien d'autres problèmes, c'est pourquoi quelquefois l'entourage va tout mettre en échec (inconsciement).
un père de famille si il arrète de boire va reprendre sa place dans la famille, ce qui n'est que très rarement accepté par l'épouse (regardez le nombre de divorces après un sevrage, ce n'est pas simplement parceque la brave dame et partie une fois qu'il était guéri), de même les problèmes du couple vont etre mis en avant alors que la relation tierce par l'alcool les dissimulait.
Dans une entreprise aussi, l'alcoolique (ou le mec à part pour autre chose) à sa place, dans une soirée aussi, dans toute notre sociéte, l'alcool a sa place (celle de la convivialité), et l'alcoolique a sa place (beaucoup plus bas, mais il contribue à élever celui qui se moque et à éviter de se poser trop de questions).
Au niveau des infirmiers, pas mieux je pense, il y a les personnes qui pensent que c'est une histoire de volonté, alors que l'on voit bien que même avec toute la bonne volonté du monde, si on replonge dans le même système, c'est rebelote. L'alcoolique a toujours un bénéfice à boire, on ne boit pas de telles quantités par plaisir. Je pense qu'il y a aussi très peu de remise en question des équipes vis à vis d'un échec lors d'un sevrage, alors que sur d'autres patients celle ci se fait plus aisément.
Dernière chose, le concept du soin à approfondir, avec la notion temporelle, la rechute est dans le parcours pour la guérison, et celle ci a sa place dans ce travail, soigner quelqu'un peut prendre des années, au contraire de nos représentations, du soin, ou celui ci est plus rapide et linéaire, "j'ai mal, je soigne je vais mieux je guéris" (a l'image d'une fracture).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
voilà pour un premier jet, désolé si tout est mèlé, mais il y a tellement à dire, et on peut traiter ce sujet sans etre jugeant, je ne pense pas l'avoir été dans mes propos.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.