TFE : l'anxiété du patient en préopératoire
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TFE : l'anxiété du patient en préopératoire
Bonjours à toutes et à tous, je suis étudiant à Nice et je présente mon sujet de mémoire sur l'anxiété du patient en préopératoire. J'aimerai savoir si certains d'entre vous utilisent des échelles d'évaluation de l'anxiété dans les services ? Si oui, lesquelles? Si non, comment évaluez vous l'anxiété d'un patient et quelles actions mettez vous en place ?
Merci pour vos futures réponses !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Dernière modification par chuji le 18 déc. 2006 17:49, modifié 1 fois.
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Bonjour Chuji
Pour ma part, je n'utilise pas d'échelle d'évaluation de l'anxiété. (je ne savais pas que ça existait
)
J'évalue l'anxiété de mes patients en fonction de leur comportement (agitation, insomnie, asthénie ...) et des paroles exprimées (verbalisation de l'angoisse, questionnement répété, logorrhée ...)
Actions mises en place : écoute, informations, réasssurance, ...
Ton topic ne serait-il pas mieux sur le forum des TFE?
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Pour ma part, je n'utilise pas d'échelle d'évaluation de l'anxiété. (je ne savais pas que ça existait

J'évalue l'anxiété de mes patients en fonction de leur comportement (agitation, insomnie, asthénie ...) et des paroles exprimées (verbalisation de l'angoisse, questionnement répété, logorrhée ...)
Actions mises en place : écoute, informations, réasssurance, ...
Ton topic ne serait-il pas mieux sur le forum des TFE?

Bonsoir,
moi non plus je n'utilise pas d'échelle. L'important c'est l'écoute, répondre aux questions, rassurer, et la prémédication est là aussi pour çà.
Je travaille de nuit et dans beaucoup de cas l'ensemble est très efficaceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
moi non plus je n'utilise pas d'échelle. L'important c'est l'écoute, répondre aux questions, rassurer, et la prémédication est là aussi pour çà.
Je travaille de nuit et dans beaucoup de cas l'ensemble est très efficaceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
kastellin
Merci pour vos réponses 
Je suis tout à fait d'accord avec vous, concernant l'anxiété d'un patient en pré-op, une des choses essentielles c'est l'écoute. Après, des études montrent que si le patient est informé, l'anxiété est fortement diminuée.
Par l'information, j'entend l'information donnée par le chir', par l'anesthésiste en consultation, et aussi par l'infirmier(e) concernant l'heure du bloc, les eventuelles questions de derniere minute du patient sur son traitement, son opération, ou ses proches, etc...
Bref ! Cela dit, il y a quelques années, la douleur n'était pas évaluée à l'aide d'une échelle, et depuis que c'est le cas avec le 1er plan "prise en charge de la douleur" (d'actualité d'ailleurs) on s'accorde à dire que des progrès indéniables ont été fait dans ce domaine (pardon pour la phrase un peu longue
)
Mon point de vue, c'est qu'il pourrait être utile de mettre en place une échelle d'évaluation de cette souffrance psychique afin de mieux la prendre en charge.
Une simple échelle de type EVA permet d'évaluer l'anxiété préop' et de mettre en place des actions qui permettront d'atteindre un niveau d'anxiété "normal" (car l'anxiété préop' est normale tant qu'elle ne dépasse pas un certain seuil - qui reste à définir et/ou à côter- )
Merci de votre patience et n'hésitez pas à réagir et à me communiquer vos points de vueÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Je suis tout à fait d'accord avec vous, concernant l'anxiété d'un patient en pré-op, une des choses essentielles c'est l'écoute. Après, des études montrent que si le patient est informé, l'anxiété est fortement diminuée.
Par l'information, j'entend l'information donnée par le chir', par l'anesthésiste en consultation, et aussi par l'infirmier(e) concernant l'heure du bloc, les eventuelles questions de derniere minute du patient sur son traitement, son opération, ou ses proches, etc...
Bref ! Cela dit, il y a quelques années, la douleur n'était pas évaluée à l'aide d'une échelle, et depuis que c'est le cas avec le 1er plan "prise en charge de la douleur" (d'actualité d'ailleurs) on s'accorde à dire que des progrès indéniables ont été fait dans ce domaine (pardon pour la phrase un peu longue

Mon point de vue, c'est qu'il pourrait être utile de mettre en place une échelle d'évaluation de cette souffrance psychique afin de mieux la prendre en charge.
Une simple échelle de type EVA permet d'évaluer l'anxiété préop' et de mettre en place des actions qui permettront d'atteindre un niveau d'anxiété "normal" (car l'anxiété préop' est normale tant qu'elle ne dépasse pas un certain seuil - qui reste à définir et/ou à côter- )
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- Frédérique
- Insatiable
- Messages : 514
- Inscription : 09 nov. 2003 00:27
Il m'arrive d'évaluer l'anxiété des patients avec exactement les mêmes outils d'évaluation que ceux utilisés pour la douleur.
EVA à gauche pas d'anxiété, à droite anxiété maximale ou bien l'échelle numérique de 0 à 10 (mêmes items) ou bien encore l'échelle verbale simple.
L'écoute est bien entendu très importante mais recueillir des chiffres est tout à fait complémentaire et beaucoup plus objectif. C'est exactement la même chose qu'en matière de douleur.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
EVA à gauche pas d'anxiété, à droite anxiété maximale ou bien l'échelle numérique de 0 à 10 (mêmes items) ou bien encore l'échelle verbale simple.
L'écoute est bien entendu très importante mais recueillir des chiffres est tout à fait complémentaire et beaucoup plus objectif. C'est exactement la même chose qu'en matière de douleur.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les échelles spécifiques de mesure de l'anxiété en milieu hospitalier existent. Je ne les ai js vues utiliser ms je connais au moins l'Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) et le State Trait Anxiety Inventory (STAI-X1). La première est dispo en VF sur le net.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Voui, je connais aussi ces deux échelles et j'en ai même trouvé une encore plus spécifique et adaptée : l' "APAIS, Amsterdam preoperative anxiety and information scale". En tout cas, merci pour vos réponses, dites moi juste si je suis sur une "bonne piste", c'est à dire si je touche à une pratique infirmière véritablement pertinente....
Donc , mon hypothèse :
systématiser l'évaluation de l'anxiété pour pouvoir mettre en place des actions en vue de la prévention d'une anxiété dysfonctionnelle.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Frédérique
- Insatiable
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- Inscription : 09 nov. 2003 00:27
http://www.bdsp.tm.fr/fulltext/show.asp ... /78/35.pdf (étude de l'anxiété entre patients informés et patients non-informés en période pré-opératoire.), lien qui t'amène sur le site de l'ARSI (recherche infirmière), tu téléchargeras ce document qui va t'être très utile. Et bien sûr, ton sujet a toute sa légimité !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- Hash
- Accro
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- Localisation : Nain-fermier dans une grosse quinique
idem que mes collègues, j'adpate selon le patients. Et puis, je n'ai pas vraiment le temps de faire tout un truc / les blocs sont tôt le matin, souvent après les transmissions et là déjà tu as le bloc qui râle parce que nous sommes ENCORE en retard... alors une echelle de l'anxiété
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