Avenir du métier d'IBODE
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- Pioupiou
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Avenir du métier d'IBODE
Bonjour à tous,
Je souhaiterai connaitre votre opinion concernant le métier d'IBODE
Est-ce une profession en voie de disparition ?
Actuellement infirmière de bloc, je me pose réellement la question de franchire le pas pour passer cette spécialité
Ne va t-on pas aller vers une vae pour les infirmières exerçant en bloc opératoire depuis un certain nombre d'année ?
Qu'adviendra t'il alors de la formation d'IBODE
Alors qu'aujourd'hui les IADE ont "l'exclusivité de fonction" qu'en est t'il pour les IBODE
Je me pose énormément de questions car j'adore mon travail au bloc et je me demande si passer la spécialité va réellement m'apporter une reconnaissance supplémentaire (en dehors des connaissances) dans un avenir +/- proche
merci de me donner votre opinion afin de m'éclairer quant a mes décisions à prendre pour mon avenir professionnel au bloc.

Je souhaiterai connaitre votre opinion concernant le métier d'IBODE

Actuellement infirmière de bloc, je me pose réellement la question de franchire le pas pour passer cette spécialité

Ne va t-on pas aller vers une vae pour les infirmières exerçant en bloc opératoire depuis un certain nombre d'année ?





Je me pose énormément de questions car j'adore mon travail au bloc et je me demande si passer la spécialité va réellement m'apporter une reconnaissance supplémentaire (en dehors des connaissances) dans un avenir +/- proche

merci de me donner votre opinion afin de m'éclairer quant a mes décisions à prendre pour mon avenir professionnel au bloc.

"La vie ne vaut rien. Mais rien ne vaut la vie."
André Malraux
"La plupart des hommes emploient la meilleure partie de leur vie à rendre l'autre misérable."
La Bruyère (Jean de)
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Re: Avenir du métier d' IBODE
Pioupiou a écrit :
Je souhaiterai connaitre votre opinion concernant le métier d'IBODE
Est-ce une profession en voie de disparition ?
oui pour ce qui est des vraies IBODE.
Non pour ce qui est du travail. On en réclame partout !
Actuellement infirmière de bloc, je me pose réellement la question de franchire le pas pour passer cette spécialité![]()
cela ne regarde que toi
Ne va t-on pas aller vers une vae pour les infirmières exerçant en bloc opératoire depuis un certain nombre d'année ?
Si ! la faute à qui ?
Qu'adviendra t'il alors de la formation d'IBODE
![]()
si il y a VAE, à ton avis ?
Si les IDE "simple" peuvent faire le même métier, sans passer par l'école, à ton avis ?
Si les études durent 18 mois au lieu de 9 ou 12, à ton avis ?
Alors qu'aujourd'hui les IADE ont "l'exclusivité de fonction" qu'en est t'il pour les IBODE
![]()
Encore une fois la faute à qui ?
Quand les IADE savent gueuler, se battre (au sens premier parfois du terme!!) se mobiliser, s'organiser, s'unir, que faisaient les IBODE en parallèle ?
Ne vous étonnez pas de la situation actuelle.
Nous avons l'exclusivité d'exercice depuis fin 1991.
Et vous ?
RIEN.
Je me pose énormément de questions car j'adore mon travail au bloc et je me demande si passer la spécialité va réellement m'apporter une reconnaissance supplémentaire (en dehors des connaissances) dans un avenir +/- proche![]()
à part une NBI et une catégorie A (qui ne sert pas à grand chose)...C'est bien le problème de la profession IBODE.
Indispensable au bloc.
Mais tout le monde peut le faire.
La preuve : la VAE !
merci de me donner votre opinion afin de m'éclairer quant a mes décisions à prendre pour mon avenir professionnel au bloc.
Nul ne peut prendre de décisions à ta place.
En tant qu'adulte, ce ne sont pas aux autres de te dire ce que tu dois faire.
Tu ne vas tout de même pas demander au chirurgien pendant que tu y es !!
ceci explique à mon sens la grande différence entre les IBODE et les IADE.
L'indépendance d'esprit.
des cathlons, à fond la forme !
la santé est un état précaire qui ne laisse augurer rien de bon.
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- Pioupiou
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Merci de m'avoir répondu
Des réponses formulées par des questions, pouquoi pas !
Sache bien une chose, je n'ai JAMAIS demandé à qui que se soit de prendre une décision à ma place
. Relis bien ma phrase:
Le jour ou l'on prendra une décision pour moi, c'est que je serai dépendante physiquement et/ou mentalement !
Pour en revenir au sujet, n'est t-il pas obligatoire de passer, un jour ou l'autre, le diplôme d'IBO pour exercer dans le public ? Ou peut-on exercer en tant IDE "simple"

Des réponses formulées par des questions, pouquoi pas !

Sache bien une chose, je n'ai JAMAIS demandé à qui que se soit de prendre une décision à ma place

.merci de me donner votre opinion afin de m'éclairer ...
Le jour ou l'on prendra une décision pour moi, c'est que je serai dépendante physiquement et/ou mentalement !

Pour en revenir au sujet, n'est t-il pas obligatoire de passer, un jour ou l'autre, le diplôme d'IBO pour exercer dans le public ? Ou peut-on exercer en tant IDE "simple"

"La vie ne vaut rien. Mais rien ne vaut la vie."
André Malraux
"La plupart des hommes emploient la meilleure partie de leur vie à rendre l'autre misérable."
La Bruyère (Jean de)
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La Bruyère (Jean de)
Pioupiou a écrit :Pour en revenir au sujet, n'est t-il pas obligatoire de passer, un jour ou l'autre, le diplôme d'IBO pour exercer dans le public ?
il n'y a aucune obligation.
C'est là la différence entre les spécialités "puéricultrice" et IBODE et la spécialité IADE : seuls ces derniers ont une exclusivité.
juste une petite précision pour le diplome d'ibode dans le public
en fait il existe une circulaire de 1998 qui demande aux chefs d'établissements d'inciter les ide travaillants au bloc opératoire depuis plus de 3 ans à faire la spécialisation ibode
effectivement c'est une circulaire donc pas obligatoire
mais dans de nombreux hopitaux cette circulaire est appliquée
donc voila la position du secteur public
en fait il existe une circulaire de 1998 qui demande aux chefs d'établissements d'inciter les ide travaillants au bloc opératoire depuis plus de 3 ans à faire la spécialisation ibode
effectivement c'est une circulaire donc pas obligatoire
mais dans de nombreux hopitaux cette circulaire est appliquée
donc voila la position du secteur public
Circulaire du 04 septembre 1998 (IDE affectés dans les BO)
Ministère de l'emploi et de la solidarité
DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
Sous direction des professions de santé
DIRECTION DES HOPITAUX
Sous direction des personnels de la fonction publique hospitalière
La ministre de l'emploi et de la solidarité
à
Madame et messieurs les préfets de région
Direction Régionales des Affaires Sanitaires et Sociales
-pour exécution-
DDASS et directeurs d'agences régionale de l'hospitalisation
-pour information-
Date d'application : immediate
Résumé : les infirmiers non spécialisés nouvellement affectés en bloc opératoire doivent suivre la formation conduisant au diplôme d'Etat d'infirmier de bloc opératoire dans les trois ans suivant leur affectation.
Depuis plusieurs années, les directeurs d'hôpital ont été invités à envoyer en formation les infirmiers diplômés d'Etat affectés dans les blocs opératoires pour obtenir le diplôme d'Etat d'infirmier de bloc opératoire.
La démarche amorcée à la fin des années 80 s'est maintenue avec une augmentation du nombre de diplômés de 10 % par an jusqu'en 1994. Un accroissement de près de 40 % est observé en 1995 avec 502 diplômes délivrés pour 361 en 1994 (source SESI).
Ces résultats viennent confirmer les dispositions de l'article 6 du décret n°93-345 du 15 mars 1993 susvisé qui prévoit que les activités au sein d'un bloc opératoire en tant que panseur, aide opératoire ou instrumentiste, sont exercées en priorité par un infirmier titulaire du diplôme d'Etat de bloc opératoire.
L'objectif est de faciliter plus encore la qualification de l'ensemble des infirmiers qui seront désormais affectés en bloc opératoire.
Aussi, je vous demande de vous assurer que les nouvelles affectations d'infirmiers diplômés d'Etat non spécialisés dans les blocs des établissements de santé, soient accompagnées d'un plan de formation qui inscrira au plus tard dans les toirs ans suivant les affectations, la nécessité de faire bénéficier les agents de la promotion professionnelle ne vue d'obtenir le diplôme d'Etat d'infirmier de bloc opératoire.
Une enquête annuelle sera adressée aux établissement pour suivre ce mouvement de qualification.
Je vous prie de bien vouloir me faire connaitre les difficultés dont vous seriez informés sur l'application de ces dispositions
Pour le ministre et par délégation
Pour le directeur des hopitaix empêché
Le sous directeur des personnels
de la fonction publique hospitaliere
D. VILCHIEN
Ministère de l'emploi et de la solidarité
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Sous direction des professions de santé
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-pour exécution-
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-pour information-
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Résumé : les infirmiers non spécialisés nouvellement affectés en bloc opératoire doivent suivre la formation conduisant au diplôme d'Etat d'infirmier de bloc opératoire dans les trois ans suivant leur affectation.
Depuis plusieurs années, les directeurs d'hôpital ont été invités à envoyer en formation les infirmiers diplômés d'Etat affectés dans les blocs opératoires pour obtenir le diplôme d'Etat d'infirmier de bloc opératoire.
La démarche amorcée à la fin des années 80 s'est maintenue avec une augmentation du nombre de diplômés de 10 % par an jusqu'en 1994. Un accroissement de près de 40 % est observé en 1995 avec 502 diplômes délivrés pour 361 en 1994 (source SESI).
Ces résultats viennent confirmer les dispositions de l'article 6 du décret n°93-345 du 15 mars 1993 susvisé qui prévoit que les activités au sein d'un bloc opératoire en tant que panseur, aide opératoire ou instrumentiste, sont exercées en priorité par un infirmier titulaire du diplôme d'Etat de bloc opératoire.
L'objectif est de faciliter plus encore la qualification de l'ensemble des infirmiers qui seront désormais affectés en bloc opératoire.
Aussi, je vous demande de vous assurer que les nouvelles affectations d'infirmiers diplômés d'Etat non spécialisés dans les blocs des établissements de santé, soient accompagnées d'un plan de formation qui inscrira au plus tard dans les toirs ans suivant les affectations, la nécessité de faire bénéficier les agents de la promotion professionnelle ne vue d'obtenir le diplôme d'Etat d'infirmier de bloc opératoire.
Une enquête annuelle sera adressée aux établissement pour suivre ce mouvement de qualification.
Je vous prie de bien vouloir me faire connaitre les difficultés dont vous seriez informés sur l'application de ces dispositions
Pour le ministre et par délégation
Pour le directeur des hopitaix empêché
Le sous directeur des personnels
de la fonction publique hospitaliere
D. VILCHIEN
- Pioupiou
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Merci pour l'info ulysses
Donc si j'entre dans le public en 2007 je devrais pouvoir passer le diplôme d'ici 2010.
En espérant qu'il n'y est pas de changements d'ici là
Donc si j'entre dans le public en 2007 je devrais pouvoir passer le diplôme d'ici 2010.
En espérant qu'il n'y est pas de changements d'ici là

"La vie ne vaut rien. Mais rien ne vaut la vie."
André Malraux
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La Bruyère (Jean de)
André Malraux
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Avenir des IBODE ? MAIS AUCUN VOYONS !
Pour relancer un sujet (deux trois lignes plus bas) les IBODE, n'ont à mon sens et actuellemnt, aucun avenir.
POURQUOI ?
Parceque nous n'avons aucun rôle spécifiques à notre formation
ET POURQUOI ?
Mais à cause des IBODE elles-mêmes ! Vous êtes si nombreuses a trouver affolant que l'on parle de fermer des parois, de faire des noeuds, et que sais-je.... L'argument par excellence est que nous ne sommes pas couvertes par la clinique, le CHU, l'assurance, le chirurgien, (le couvreur....) si on se commet dans ce genre d'exercice.
Mais cessons d'être si frileuses, créons des précédents, affirmons nos connaissances, nos compétences, nos ambitions, notre singularité...!
Faisons de ce diplôme un vrai métier !
A l'instar des IADE, qui ont su "gueuler", cessons d'être de gentilles brebis obéissantes. Ce diplôme est mal fait : prenons le en mains.
La République ne serait pas sans la révolution !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
POURQUOI ?
Parceque nous n'avons aucun rôle spécifiques à notre formation
ET POURQUOI ?
Mais à cause des IBODE elles-mêmes ! Vous êtes si nombreuses a trouver affolant que l'on parle de fermer des parois, de faire des noeuds, et que sais-je.... L'argument par excellence est que nous ne sommes pas couvertes par la clinique, le CHU, l'assurance, le chirurgien, (le couvreur....) si on se commet dans ce genre d'exercice.
Mais cessons d'être si frileuses, créons des précédents, affirmons nos connaissances, nos compétences, nos ambitions, notre singularité...!
Faisons de ce diplôme un vrai métier !
A l'instar des IADE, qui ont su "gueuler", cessons d'être de gentilles brebis obéissantes. Ce diplôme est mal fait : prenons le en mains.
La République ne serait pas sans la révolution !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Avenir des IBODE ? MAIS AUCUN VOYONS !
vicso a écrit :La République ne serait pas sans la révolution
D'un point de vue sémantique, "révolution" veut dire qu'on fait un tour complet. Alors, on bouscule tout et on remet tout à sa place ? Bref, on ne va pas refaire le dictionnaire...
Le vrai combat à mener par les ibode, c'est celui de l'exclusivité de compétence. Il faut que les ide aient un réel intérêt financier à retourner à l'école pour devenir ibode. Il faut imposer un quota d'ibode dans tous les blocs pour obliger les établissements à payer les formations. Il faut limiter dans le temps la durée d'exercice au bloc sans DEIBO (disons qu'une ide peut venir tâter du bloc pour savoir ce que c'est, mais que dans les cinq ans elle doit décider de se spécialiser ou pas).
Dernier point, probablement le plus important, quand donc les ibode prendront conscience de leur pouvoir ? Une vraie grève des ibode paralyse un bloc.
OK, pour l'exclusivité de compétences.
Mais je trouve réducteur de ne voir, en premier lieu, notre métier que d'un point de vue financier.
Bien sûr, ça compte, mais il me semble qu'on pourra prétendre à un meilleur salaire lorsqu'on nous aura attribué des actes exclusifs.
Ensuite viendront salaires, quotas....
Ne mettons pas la charrue avant les boeufs.
Pour finir, de quel "pouvoir" parles-tu ?
Actuellement, je n'en vois aucun : mes chefs ne sont même pas IBODE, les postes de référentes ne sont pas réservés aux IBODE, les aides opératoires et instrumentistes, non plus, alors ?
Démarquons-nous, le reste suivra.
Mais je trouve réducteur de ne voir, en premier lieu, notre métier que d'un point de vue financier.
Bien sûr, ça compte, mais il me semble qu'on pourra prétendre à un meilleur salaire lorsqu'on nous aura attribué des actes exclusifs.
Ensuite viendront salaires, quotas....
Ne mettons pas la charrue avant les boeufs.
Pour finir, de quel "pouvoir" parles-tu ?
Actuellement, je n'en vois aucun : mes chefs ne sont même pas IBODE, les postes de référentes ne sont pas réservés aux IBODE, les aides opératoires et instrumentistes, non plus, alors ?
Démarquons-nous, le reste suivra.
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vicso a écrit :Mais je trouve réducteur de ne voir, en premier lieu, notre métier que d'un point de vue financier.
C'est cela, oui... Tout d'abord, il faut qu'il y ait un différentiel financier entre ide et ibode, pour inciter les ide à aller à l'école.
Mais surtout, après trois ans d'étude, deux ans de pratique, un concours sélectif et un an et demi de spécialisation, je ne pense pas que les ibode soient payés à la hauteur de leurs compétences.
vicso a écrit :Pour finir, de quel "pouvoir" parles-tu ?
À votre avis, un bloc peut-il tourner sans ibode ? Une grève des ibode, une vraie grève, avec zéro ibode présente pendant quelques jours, je suis sûr que ça metrait de l'ambiance dans Landerneau. Le problème, c'est que les ibode ont une tradition de personnel ancillaire : même pour faire grève, elles demandent la permission au chirurgien et à leur cadre...
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Elles sont parties demandées si elles pouvaient répondre...
Et puis, on ne peut pas faire le bien des gens à leur corps défendant.
Leur donner des recettes que nous avons appliquées depuis des lustres, et qui ont su porter leurs fruits.
Où étaient-elles durant toutes ces manif ??
au bloc.
"vous comprenez on ne peut pas faire ça aux chirurgiens ni aux patients."
Il est vrai que la réciproque...
Et puis, on ne peut pas faire le bien des gens à leur corps défendant.
Leur donner des recettes que nous avons appliquées depuis des lustres, et qui ont su porter leurs fruits.
Où étaient-elles durant toutes ces manif ??
au bloc.
"vous comprenez on ne peut pas faire ça aux chirurgiens ni aux patients."
Il est vrai que la réciproque...
des cathlons, à fond la forme !
la santé est un état précaire qui ne laisse augurer rien de bon.
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- revenge of anesthesith
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Pioupiou a écrit :
Sache bien une chose, je n'ai JAMAIS demandé à qui que se soit de prendre une décision à ma place. Relis bien ma phrase:
.merci de me donner votre opinion afin de m'éclairer ...
éclairer le chemin, c'est faire la lumière pour mieux y voir non ?
Et donc le jugement des autres, leur lumière, t'orientera forcément vers un chemin.
Si ton opinion de grande fille était faite, tu n'aurais pas besoin de ces succédanés d'ersatz d'avis pour savoir ce que tu veux faire.
Le jour ou l'on prendra une décision pour moi, c'est que je serai dépendante physiquement et/ou mentalement !
Non, c'est que tu seras IBODE.
des cathlons, à fond la forme !
la santé est un état précaire qui ne laisse augurer rien de bon.
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l'avenir?
il faut repenser le couple chirurgien infirmiere!
j'aborde les relations infirmieres-chirurgiens dans mon ouvrage...references sur ma fiche!
niconline
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