des doutes , des doutes...
Modérateurs : Modérateurs, ESI
des doutes , des doutes...
bonsoir,
voilà je suis actuellement en fin de première année et en report de formation je reprend au mois de juin .j'ai trois enfants
et voilà je doute de moi de mes capacités en fait tout me fait peur je suis stressée à mort face aux evals , msp et le tfe n'en parlons pas !!!
je ne sais pas si je ne vais pas arreter pour etre as car ce metier me plait egalment bcp ;
comment gerer ce stress ? avez vous ressentie ça ? j'ai peur de ne pas y arriver car j'ai trois enfants en bas âge et tout ça me fait peur , j'ai l'impression de ne rien maitriser et d'avoir tout oublié pendant mon report l'horreur !!!!!
:
merci d'avance pour vos reponses et conseilsÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
voilà je suis actuellement en fin de première année et en report de formation je reprend au mois de juin .j'ai trois enfants
et voilà je doute de moi de mes capacités en fait tout me fait peur je suis stressée à mort face aux evals , msp et le tfe n'en parlons pas !!!
je ne sais pas si je ne vais pas arreter pour etre as car ce metier me plait egalment bcp ;
comment gerer ce stress ? avez vous ressentie ça ? j'ai peur de ne pas y arriver car j'ai trois enfants en bas âge et tout ça me fait peur , j'ai l'impression de ne rien maitriser et d'avoir tout oublié pendant mon report l'horreur !!!!!

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devenue AS (ex ESI 2006-2009)
Maman d'une tribu de six loulous.
"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" LOUIS PASTEUR
Maman d'une tribu de six loulous.
"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" LOUIS PASTEUR
Ben écoute, je pense que beaucoup de maman ou papa sont passés par cette phase.
Concernant le report, il te faut juste te remettre un peu dans le bain, quelques semaines et ça ira mieux, tu ne penses pas?
Concernant le métier d'AS, c'est clair que c'est bien comme boulot mais c'est tout de même dommage d'arrêter après une année d'étude. Et puis AS ça ouvre moins de porte qu'IDE.
Voilà, je t'ai dit ce que j'en pensais, c'est à toi de voir...
Bon courage
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Concernant le report, il te faut juste te remettre un peu dans le bain, quelques semaines et ça ira mieux, tu ne penses pas?
Concernant le métier d'AS, c'est clair que c'est bien comme boulot mais c'est tout de même dommage d'arrêter après une année d'étude. Et puis AS ça ouvre moins de porte qu'IDE.
Voilà, je t'ai dit ce que j'en pensais, c'est à toi de voir...
Bon courage

Infirmier (CH)
comme je te comprends!
je suis dan le même état que toi, en 2ème année, 2ème stage, j'hésite terriblement à arrêter pour être AS, le stress, la pression des évals, msp, pression des équipes de stage, plus ma fille à gérer le soir, j'en peux plus... est-ce que ca vaut le cout de continuer deux ans pour être au final en mauvaise santé??? palpitations etc....
Je me tâte sérieusement à arrêter...
mais bon, c'est pas encore l'heure, je verrai bien les prochains jours si je craque ou quoi...
Bon courage à tout les ESI, félicitations à ceux qui tiennent le coup, vousêtes des warriors!!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je suis dan le même état que toi, en 2ème année, 2ème stage, j'hésite terriblement à arrêter pour être AS, le stress, la pression des évals, msp, pression des équipes de stage, plus ma fille à gérer le soir, j'en peux plus... est-ce que ca vaut le cout de continuer deux ans pour être au final en mauvaise santé??? palpitations etc....
Je me tâte sérieusement à arrêter...
mais bon, c'est pas encore l'heure, je verrai bien les prochains jours si je craque ou quoi...
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un autre avis
Comme je comprends vos inquiétudes.
Moi, je suis la mère d'une jeune étudiante qui a interrompu pour un an ses études d'infirmière, elle envisage de les reprendre bientôt.
Le stress, ça a été quelque chose qui prenait beaucoup de place dans son parcours durant cette première année. J'ai été l'interlocutrice, la consolatrice, celle qui encourage et qui aide quand elle le peut.
Les notes dans ces études doivent se situer au dessus de 10, pour la validation, ou entre 8 et 10 pour un rattrapage.
Mais je crois, avec l'expérience, que en fait ceci c'est comme pour les examens du bac, ou du BEPC, ou autre. Il faut arriver à se dire que quand on travaille, on donne le maximum de soi-même dans les révisions, tout comme dans la pratique, c'est un entraînement, une préparation.
A partir de là, le jour J on donne ce qu'on peut ; il y a un dicton qui dit "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu'elle a", je crois que ça résume bien les choses : quand on a vraiment travaillé, après on fait ce que l'on peut avec ce que l'on a retenu, ce que l'on peut mettre en oeuvre sur l'instant. Inutile de se mettre soi-même encore plus de pression. Chacun a ses possibilités et ses limites, quel que soit le métier, on n'est pas des surhommes, ou surfemmes, c'est la règle pour chacun, il faut l'accepter. Bien sûr certains ont plus de facultés de mémorisation, de compréhension que d'autres. Le travail permet bien souvent de rattraper un niveau, même si on n'a pas toutes les qualités de départ.
Il est important cependant aussi de cultiver une bonne image de soi, de rester positif sur soi-même, car les gens, les évaluateurs feront souvent ressortir ce qui ne va pas (dans l'idée de stimuler, d'encourager, de faire évoluer vers le mieux) mais n'oubliez pas que sur la réglette si vous avez 10, ça veut dire aussi que chaque point gagné, est une victoire sur la difficulté, bien sûr que chacun préfère avoir une note supérieure, mais sachez garder un état d'esprit positif à ce sujet, tout en essayant d'améliorer quand on peut par la suite. S'il y a une mauvaise note, eh bien se dire que pour la prochaine, ça ira mieux.
Pour vous, en ayant des enfants en bas âge, la difficulté est de pouvoir tout concilier. Je me suis trouvée devant cette difficulté étant plus jeune : je peux vous dire que ça demande des efforts, mais renoncer n'est pas forcément la meilleure formule car quelle image aurez-vous de vous- même ensuite, pourrez-vous dire à vos enfants : il faut s'accrocher dans la vie et les études, persévérer dans l'effort, donner son temps, son énergie dans ce qui vous intéresse et vous tient à coeur comme des études, si votre propre parcours ne le révèle pas. Ce serait alors "faites de que je dis, mais pas ce que je fais".
Bien sûr que la décision vous appartient, mais reposez-vous les questions de motivation du départ de votre parcours. Pourquoi vouliez-vous faire ce métier ? Est-ce que c'est encore à l'ordre du jour aujourd'hui ?
Vos enfants nécessitent des soins de la présence. Il faut partager son temps, se faire aider quand on peut par le conjoint, responsabiliser chacun : les enfants peuvent mettre la table, débarrasser, il peuvent à partir de 8 ou 9 ans passer l'aspirateur, couvrir un lit, ou étendre une lessive sur un séchoir pliant.
Sans les envahir, ça leur apprend à participer aux travaux de la maison un peu, ça peut leur être utile un jour, si vous avez un plâtre par exemple (ce que je ne vous souhaite pas). Ca leur permet de progresser aussi et de se sentir utiles dans la maison.
J'ai voulu vous donner quelques repères, sur ce que j'ai pu vivre et échanger à ce sujet. J'espère que ça vous permettra de faire mûrir votre réflexion. Parlez-en avec votre conjoint, si vous en avez un, car ça vous engage à tous les deux (par les conséquences sur la disponibilité, par exemple, et le temps consacré aux enfants, au mari, aux sorties).
Vous savez il ne faut pas se laisser déstabiliser par une Infirmière Maître de stage qui vous remet en cause dans votre travail, elle donne son point de vue, elle essaie de vous amener à progresser pour l'avenir, elles sont souvent dans des ambiances de stress, de manque de personnel, pas toujours le temps de bien former la jeune stagiaire, de lui expliquer, la responsabilité existe et il faut assumer déjà tant de soins. Elle voudrait en fait que vous soyez déjà productive dans votre travail à l'arrivée, car elle en a besoin.
Pour vous, il faut des fois aller de l'avant, poser des questions, avoir une attitude de recherche et d'interrogations : ça permet de répondre à vos propres questions, et quant à la mauvaise humeur, il faut savoir s'en protéger mentalement. Ne pas tout encaisser, retenir plutôt le message, le contenu de la réponse, que l'intonnation d'impatience ou de ras le bol qui peuvent se manifester. C'est un travail sur soi-même à faire.
Heureusement, il y a aussi des stages où l'ambiance est meilleure, des gens patients, qui essaient de donner le meilleur d'eux mêmes, d'enseigner ce qu'ils savent avec pédagogie et compréhension de l'autre, qu'ils en soient grandement remerciés dans ce message, et il faut s'accrocher à cela, garder le bon, oublier un peu le mauvais souvenir. Quant à ceux qui ont un peu d'impatience, j'espère qu'ils pourront eux aussi s'améliorer.
Voilà, bonne réflexion à vous qui avez encore un souhait (puisque vous écrivez) essayez de dompter votre peur (la peur c'est quand on se sent petit devant quelque chose qui semble grand) il faut en fait ramener les choses à leur juste dimension (vous n'êtes pas si petite, et la difficulté n'est pas insurmontable : tant d'infirmières y sont arrivées, pourquoi pas vous, vous avez déjà réussi l'examen d'entrée, et ce n'était pas facile, vous voyez bien... J'espère vous avoir un peu aidés dans votre réflexion.
Au revoir. Bon courage.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Moi, je suis la mère d'une jeune étudiante qui a interrompu pour un an ses études d'infirmière, elle envisage de les reprendre bientôt.
Le stress, ça a été quelque chose qui prenait beaucoup de place dans son parcours durant cette première année. J'ai été l'interlocutrice, la consolatrice, celle qui encourage et qui aide quand elle le peut.
Les notes dans ces études doivent se situer au dessus de 10, pour la validation, ou entre 8 et 10 pour un rattrapage.
Mais je crois, avec l'expérience, que en fait ceci c'est comme pour les examens du bac, ou du BEPC, ou autre. Il faut arriver à se dire que quand on travaille, on donne le maximum de soi-même dans les révisions, tout comme dans la pratique, c'est un entraînement, une préparation.
A partir de là, le jour J on donne ce qu'on peut ; il y a un dicton qui dit "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu'elle a", je crois que ça résume bien les choses : quand on a vraiment travaillé, après on fait ce que l'on peut avec ce que l'on a retenu, ce que l'on peut mettre en oeuvre sur l'instant. Inutile de se mettre soi-même encore plus de pression. Chacun a ses possibilités et ses limites, quel que soit le métier, on n'est pas des surhommes, ou surfemmes, c'est la règle pour chacun, il faut l'accepter. Bien sûr certains ont plus de facultés de mémorisation, de compréhension que d'autres. Le travail permet bien souvent de rattraper un niveau, même si on n'a pas toutes les qualités de départ.
Il est important cependant aussi de cultiver une bonne image de soi, de rester positif sur soi-même, car les gens, les évaluateurs feront souvent ressortir ce qui ne va pas (dans l'idée de stimuler, d'encourager, de faire évoluer vers le mieux) mais n'oubliez pas que sur la réglette si vous avez 10, ça veut dire aussi que chaque point gagné, est une victoire sur la difficulté, bien sûr que chacun préfère avoir une note supérieure, mais sachez garder un état d'esprit positif à ce sujet, tout en essayant d'améliorer quand on peut par la suite. S'il y a une mauvaise note, eh bien se dire que pour la prochaine, ça ira mieux.
Pour vous, en ayant des enfants en bas âge, la difficulté est de pouvoir tout concilier. Je me suis trouvée devant cette difficulté étant plus jeune : je peux vous dire que ça demande des efforts, mais renoncer n'est pas forcément la meilleure formule car quelle image aurez-vous de vous- même ensuite, pourrez-vous dire à vos enfants : il faut s'accrocher dans la vie et les études, persévérer dans l'effort, donner son temps, son énergie dans ce qui vous intéresse et vous tient à coeur comme des études, si votre propre parcours ne le révèle pas. Ce serait alors "faites de que je dis, mais pas ce que je fais".
Bien sûr que la décision vous appartient, mais reposez-vous les questions de motivation du départ de votre parcours. Pourquoi vouliez-vous faire ce métier ? Est-ce que c'est encore à l'ordre du jour aujourd'hui ?
Vos enfants nécessitent des soins de la présence. Il faut partager son temps, se faire aider quand on peut par le conjoint, responsabiliser chacun : les enfants peuvent mettre la table, débarrasser, il peuvent à partir de 8 ou 9 ans passer l'aspirateur, couvrir un lit, ou étendre une lessive sur un séchoir pliant.
Sans les envahir, ça leur apprend à participer aux travaux de la maison un peu, ça peut leur être utile un jour, si vous avez un plâtre par exemple (ce que je ne vous souhaite pas). Ca leur permet de progresser aussi et de se sentir utiles dans la maison.
J'ai voulu vous donner quelques repères, sur ce que j'ai pu vivre et échanger à ce sujet. J'espère que ça vous permettra de faire mûrir votre réflexion. Parlez-en avec votre conjoint, si vous en avez un, car ça vous engage à tous les deux (par les conséquences sur la disponibilité, par exemple, et le temps consacré aux enfants, au mari, aux sorties).
Vous savez il ne faut pas se laisser déstabiliser par une Infirmière Maître de stage qui vous remet en cause dans votre travail, elle donne son point de vue, elle essaie de vous amener à progresser pour l'avenir, elles sont souvent dans des ambiances de stress, de manque de personnel, pas toujours le temps de bien former la jeune stagiaire, de lui expliquer, la responsabilité existe et il faut assumer déjà tant de soins. Elle voudrait en fait que vous soyez déjà productive dans votre travail à l'arrivée, car elle en a besoin.
Pour vous, il faut des fois aller de l'avant, poser des questions, avoir une attitude de recherche et d'interrogations : ça permet de répondre à vos propres questions, et quant à la mauvaise humeur, il faut savoir s'en protéger mentalement. Ne pas tout encaisser, retenir plutôt le message, le contenu de la réponse, que l'intonnation d'impatience ou de ras le bol qui peuvent se manifester. C'est un travail sur soi-même à faire.
Heureusement, il y a aussi des stages où l'ambiance est meilleure, des gens patients, qui essaient de donner le meilleur d'eux mêmes, d'enseigner ce qu'ils savent avec pédagogie et compréhension de l'autre, qu'ils en soient grandement remerciés dans ce message, et il faut s'accrocher à cela, garder le bon, oublier un peu le mauvais souvenir. Quant à ceux qui ont un peu d'impatience, j'espère qu'ils pourront eux aussi s'améliorer.
Voilà, bonne réflexion à vous qui avez encore un souhait (puisque vous écrivez) essayez de dompter votre peur (la peur c'est quand on se sent petit devant quelque chose qui semble grand) il faut en fait ramener les choses à leur juste dimension (vous n'êtes pas si petite, et la difficulté n'est pas insurmontable : tant d'infirmières y sont arrivées, pourquoi pas vous, vous avez déjà réussi l'examen d'entrée, et ce n'était pas facile, vous voyez bien... J'espère vous avoir un peu aidés dans votre réflexion.
Au revoir. Bon courage.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
merci de votre attention et meilleures salutations.
Autre chose très importante
Gardez un peu de temps pour vous, pour vous faire plaisir : soit un sport, une promenade, un cinéma, un bowling, lire un bon roman, un bon bain chaud, écouter de la musique, voir des amis, sortir en famille, enfin ce qui vous plait pour vous détendre au moins une fois par semaine deux ou trois heures, c'est un minimum et c'est indispensable.
Et surtout ne vous culpabilisez pas à cette occasion, l'organisme a besoin de se détendre, et chez une infirmière ou un médecin c'est essentiel, pour garder son équilibre et le sourire. Donc organisez-vous ce moment, vous verrez que vous vous sentirez mieux, et votre travail sera d'autant plus positif ensuite. Il faut gérer son temps pour bien répartir les choses.
Bonne mise en place de ceci, et bonne continuation.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Et surtout ne vous culpabilisez pas à cette occasion, l'organisme a besoin de se détendre, et chez une infirmière ou un médecin c'est essentiel, pour garder son équilibre et le sourire. Donc organisez-vous ce moment, vous verrez que vous vous sentirez mieux, et votre travail sera d'autant plus positif ensuite. Il faut gérer son temps pour bien répartir les choses.
Bonne mise en place de ceci, et bonne continuation.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
merci de votre attention et meilleures salutations.
Oui, la situtation doit être difficile à gérer avec 3 enfants mais rien n'est impossible !!!
Beaucoup de papas et de mamans se lancent dans cette formation et la réussissent très bien, ce sont souvent ces parents qui ont les meilleurs notes et sont les mieux motivés...
Bien sûr, je pense qu'il y a des sacrifices et qu'il faut être épaulé pour les enfants par sa famille mais sinon c'est bien faisable...
Pour le report de formation , il est bien normal d'oublier mais juste une relecture des cours et voilà que els connaissance reviennent puis en retrournant en cours et en stage il va être facile de reprendre le rythme...
Je pense qu'il faut continuer, se battre, et essayer d'aller au bout de cette formation puisque c'était ton choix... Ca marche ou pas mais en tout cas il faut s'en donner les moyens sinon tu risque de le regretter toute ta vie...
Pour les évals, MSp et TFE, ça panique la plupart des étudiants et c'est pas sympa à passer mais au bout, le métier que tu souhaite faire sera à ta portée..
COURAGE !!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Beaucoup de papas et de mamans se lancent dans cette formation et la réussissent très bien, ce sont souvent ces parents qui ont les meilleurs notes et sont les mieux motivés...
Bien sûr, je pense qu'il y a des sacrifices et qu'il faut être épaulé pour les enfants par sa famille mais sinon c'est bien faisable...
Pour le report de formation , il est bien normal d'oublier mais juste une relecture des cours et voilà que els connaissance reviennent puis en retrournant en cours et en stage il va être facile de reprendre le rythme...
Je pense qu'il faut continuer, se battre, et essayer d'aller au bout de cette formation puisque c'était ton choix... Ca marche ou pas mais en tout cas il faut s'en donner les moyens sinon tu risque de le regretter toute ta vie...
Pour les évals, MSp et TFE, ça panique la plupart des étudiants et c'est pas sympa à passer mais au bout, le métier que tu souhaite faire sera à ta portée..
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- dr.octopus
- Régulier
- Messages : 49
- Inscription : 17 févr. 2007 17:01
- Localisation : Dans une ville que je n'aime pas !
On est beaucoup à passer par là. Perso en tout début de 2ème année j'ai eu un gros coup de ras-le-bol. Je ne me sentais pas capable d'assurer, le prochain stage que j'allais faire me faisait flipper... Et finalement y a toujours quelque chose qui peut parvenir à te remonter le moral. Une équipe qui te soutient, une monitrice qui t'accorde de son temps personnel pour t'aider à améliorer tes lacunes (c'est ce qui m'est arrivé hier). Bref, chaque fois que tu retrouves le côté humain du boulot. Il y a beaucoup d'éléments qui peuvent intervenir dans de grands moments de désespoir. Je te souhaites bon courage et c'est bien de parler de ses soucis plutôt que de tout garder
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Promo 2006-2009.
Troisième année...
Troisième année...
merci à tous...
bonsoir,
je viens de lire avec attention vos messages et j'avoue que cela m'a bien remonté le moral mais c'est vrai que la difficulté est grande je me laisse encore plusieurs mois de reflexion jusqu'à la fin de l'année (c'est à dire juillet ) pour prendre une decision et voir si je me suis remise dans le bain
puis en fait je veux travailler en maternité et j'avoue que les quelques témoignages que j'ai pu lire en ce qui concerne le boulot plutôt coté bloc obstétrical , salle de naissance etait plutôt tenu par des binôme s-f /as ou s-f /ap mais rarement avec des ide donc ça m'encourage pas bcp non plus
en revanche en pediatrie la situation s'inverse , plus d'ide que d'as mais bon je prefère la maternité donc...
on verra bien encore merci pour vos encouragements !!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je viens de lire avec attention vos messages et j'avoue que cela m'a bien remonté le moral mais c'est vrai que la difficulté est grande je me laisse encore plusieurs mois de reflexion jusqu'à la fin de l'année (c'est à dire juillet ) pour prendre une decision et voir si je me suis remise dans le bain
puis en fait je veux travailler en maternité et j'avoue que les quelques témoignages que j'ai pu lire en ce qui concerne le boulot plutôt coté bloc obstétrical , salle de naissance etait plutôt tenu par des binôme s-f /as ou s-f /ap mais rarement avec des ide donc ça m'encourage pas bcp non plus
en revanche en pediatrie la situation s'inverse , plus d'ide que d'as mais bon je prefère la maternité donc...
on verra bien encore merci pour vos encouragements !!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
devenue AS (ex ESI 2006-2009)
Maman d'une tribu de six loulous.
"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" LOUIS PASTEUR
Maman d'une tribu de six loulous.
"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" LOUIS PASTEUR
bonjour a tous
pour ma part je n'ai pas d'enfant, mais j'ai un gros ras le bol
alors voila je suis en troisieme annee (promo de fevrier), j'ai valide mon premier partiel (rea/uro/nephro), ma premiere MSP, mon premier stage, ma question de depart aussi, (d'ailleurs mes concepts avancent), je suis actuellement en stage (le deuxieme que je finis la semaine prochaine), se passe bien et j'ai trouve mon stage PP
d'ailleurs, je me plait dans ce que je fais
le souci je sais pas, peut etre une periode de moins bien, de fatigue passagere, mais j'en ai marre, l'impression de ne pas y arriver, pourtant je suis arrivee jusqu'ici sans rattrapages theoriques ni pratiques mes stages se sont tous bien deroules
je pense ne pas etre la seule dans ce que la, et a me dire que de nombreuses personnes sont passees par la avant moi et y sont arrivees qui plus ait avec des enfants alors que moi j'en ai pas en plus de mes etudes
voila merci de ma'avoir lu, c'etait juste pour vider mon sac (meme si je sais que ce topic ne sert pas a grand chose )Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pour ma part je n'ai pas d'enfant, mais j'ai un gros ras le bol
alors voila je suis en troisieme annee (promo de fevrier), j'ai valide mon premier partiel (rea/uro/nephro), ma premiere MSP, mon premier stage, ma question de depart aussi, (d'ailleurs mes concepts avancent), je suis actuellement en stage (le deuxieme que je finis la semaine prochaine), se passe bien et j'ai trouve mon stage PP
d'ailleurs, je me plait dans ce que je fais
le souci je sais pas, peut etre une periode de moins bien, de fatigue passagere, mais j'en ai marre, l'impression de ne pas y arriver, pourtant je suis arrivee jusqu'ici sans rattrapages theoriques ni pratiques mes stages se sont tous bien deroules
je pense ne pas etre la seule dans ce que la, et a me dire que de nombreuses personnes sont passees par la avant moi et y sont arrivees qui plus ait avec des enfants alors que moi j'en ai pas en plus de mes etudes
voila merci de ma'avoir lu, c'etait juste pour vider mon sac (meme si je sais que ce topic ne sert pas a grand chose )Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
-IDE depuis le 24/06/09
-ISPV à mes heures perdues
-de retour sur le forum que j'ai déserté depuis au moins 2 ans..
-ISPV à mes heures perdues
-de retour sur le forum que j'ai déserté depuis au moins 2 ans..
bon courage a tous en passant et merci juju de m'avoir donne les liensÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Coucou tous,
J ai lu attentivement tous les messages et j ai été vraiment ému par certains , moi je suis en 1ère année et les doutes ne m ont pas lachés depuis le début de la formation ou plutot depuis le premier stage qui a été difficile pour moi : c'est exactement ce qu'a dit Bali l'impression d'étre petite devant quelquechoseb de bien trop grand pour moi. Pourtant j admire ce qu'on font les infirmières c'est un métier que j admire et j aimerai tellemement pouvoir réussir à etre un jour comme elles.
Mais, pour l instant la réponse qu'on me donne c'est que je n'ai pas encore assez confiance en moi et que je suis trop timide en stage. Pourtant je valide mes evaluations théoriques haut la main, mes msp je valide avec la moyenne mais rien qu'a cause de ce stress qui me gagne en stage, je ne valide pas mes stages: j ai 9,87 avec mes stages. Il me reste plus qu'un stage à validerpour avoir la moyenne mais si je le valide pas je ne pourrais pas passer en 2 ème année !!!
Mon professeur m a demandé de me questionner : est ce que c'est vraiment ce que vous aimez faire ? est ce que c'est la bonne voie ? Mais c'est des questions que je me pose déjà depuis le début de l année !
Mais je croi que ce qui me frustre le plus c'est de ne pas etre a la hauteur, j aimerai etre différente et je me laisse trop facilement décourager et me laisse dire que je ne suis pas capable d y arriver !
Je me pose alors la question est ce que je vais pouvoir continuer ?
est ce que vous pouvez m aider à savoir et comment vous vous avez su que vous étiez fait pour ce métier qui n'est pourtant pas facile tout les jours ? Merci pour vos réponses ....Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J ai lu attentivement tous les messages et j ai été vraiment ému par certains , moi je suis en 1ère année et les doutes ne m ont pas lachés depuis le début de la formation ou plutot depuis le premier stage qui a été difficile pour moi : c'est exactement ce qu'a dit Bali l'impression d'étre petite devant quelquechoseb de bien trop grand pour moi. Pourtant j admire ce qu'on font les infirmières c'est un métier que j admire et j aimerai tellemement pouvoir réussir à etre un jour comme elles.
Mais, pour l instant la réponse qu'on me donne c'est que je n'ai pas encore assez confiance en moi et que je suis trop timide en stage. Pourtant je valide mes evaluations théoriques haut la main, mes msp je valide avec la moyenne mais rien qu'a cause de ce stress qui me gagne en stage, je ne valide pas mes stages: j ai 9,87 avec mes stages. Il me reste plus qu'un stage à validerpour avoir la moyenne mais si je le valide pas je ne pourrais pas passer en 2 ème année !!!
Mon professeur m a demandé de me questionner : est ce que c'est vraiment ce que vous aimez faire ? est ce que c'est la bonne voie ? Mais c'est des questions que je me pose déjà depuis le début de l année !
Mais je croi que ce qui me frustre le plus c'est de ne pas etre a la hauteur, j aimerai etre différente et je me laisse trop facilement décourager et me laisse dire que je ne suis pas capable d y arriver !
Je me pose alors la question est ce que je vais pouvoir continuer ?
est ce que vous pouvez m aider à savoir et comment vous vous avez su que vous étiez fait pour ce métier qui n'est pourtant pas facile tout les jours ? Merci pour vos réponses ....Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- augusta
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- Inscription : 23 mai 2008 19:29
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Moi je ne suis pas esi (pas encore??) mais quand je lis ton message j'aimerais savoir l'âge que tu as..;;
Ensuite je te dirai de ne pas te laisser envahir par les doutes. Peut-être manques-tu juste de confiance en toi? mais ça passera en avançant dans la vie!!
Travaille sur toi en te disant que oui tu es douée, tu as passé ton bac, tu as réussi le concours....tu n'es donc pas nulle!!
On m'a dit que la 1ère année était difficile.....et qu'après ça se passe mieux.
Accroche-toi tu vas avoir un très beau métierÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Ensuite je te dirai de ne pas te laisser envahir par les doutes. Peut-être manques-tu juste de confiance en toi? mais ça passera en avançant dans la vie!!
Travaille sur toi en te disant que oui tu es douée, tu as passé ton bac, tu as réussi le concours....tu n'es donc pas nulle!!
On m'a dit que la 1ère année était difficile.....et qu'après ça se passe mieux.
Accroche-toi tu vas avoir un très beau métierÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
- Philou06
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bonjour à toutes et tous ;
alors que vous dire autre que : OUI CELA VAUT LER COUP D'ALLER JUSQU'AU BOUT DE CETTE FORMATION.
Je suis papa, j'ai 50 ans et j'intégre la seconde année en septembre. Comme vous j'ai aussi des coups de fatigues, de raz le bol, d'envie de tout envoyer ballader mais j'essaye de rester serein lorsque cela arrive afin de ne pas faire quelques choses que je risque de regretter ensuite.
avoir l'impression de ne plus rien savoir ?? cette impression est normale et nous l'avons tous à un moment ou un autre ; mais cela ne veut pas dire que tu ne connais plus rien...
il est important et même vital de bien organiser sa vie autour de cette formation : trop de boulot et on coule mais on coule aussi si l'on passe son temps à buller .... l'important est de trouver son bon équilibre entre le boulot et le repos ( ou le sport) ; avec sa famille il faut aussi trouver le bon équilibre car elle compte sur nous mais nous aussi nous comptons sur elle; Mari et épouse, nous nous devons d'être complémentaire et pour les enfants, même si tu change un peu leurs habitudes ils ne t'en voudront pas ...
oui bien sur les évals, les msp, le tfe, la msp du DE, tout cela est stressant , usant mais c'est aussi un formidable challenge que l'on se fait à nous même : suis je capable de le faire ??? si je laisse aller, si je tape en touche, si je stoppe avant de répondre à cette question, je risque de vivre le reste de ma vie avec cette question en suspent.... et me dire un jour prochain : mais pourquoi ai-je stoppé cette formation ?? aurais je été capable de le faire?? de passer ses msp, ses évals, ce tfe et ce DE comme tant d'autres avant moi ??
alors oui cela vaut le coup d'aller jusqu'au bout de ce chemin, de ce parcours même si il est dur, stressant, fatiguant; et au moins en allant jusqu'au bout, quelque soit le résultat final, au moins je pourrais me dire : oui je l'ai fait et je n'ai rien à regretter ;
allez courage , 3 ans ce n'est rien dans une vie
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alors que vous dire autre que : OUI CELA VAUT LER COUP D'ALLER JUSQU'AU BOUT DE CETTE FORMATION.
Je suis papa, j'ai 50 ans et j'intégre la seconde année en septembre. Comme vous j'ai aussi des coups de fatigues, de raz le bol, d'envie de tout envoyer ballader mais j'essaye de rester serein lorsque cela arrive afin de ne pas faire quelques choses que je risque de regretter ensuite.
avoir l'impression de ne plus rien savoir ?? cette impression est normale et nous l'avons tous à un moment ou un autre ; mais cela ne veut pas dire que tu ne connais plus rien...

il est important et même vital de bien organiser sa vie autour de cette formation : trop de boulot et on coule mais on coule aussi si l'on passe son temps à buller .... l'important est de trouver son bon équilibre entre le boulot et le repos ( ou le sport) ; avec sa famille il faut aussi trouver le bon équilibre car elle compte sur nous mais nous aussi nous comptons sur elle; Mari et épouse, nous nous devons d'être complémentaire et pour les enfants, même si tu change un peu leurs habitudes ils ne t'en voudront pas ...

oui bien sur les évals, les msp, le tfe, la msp du DE, tout cela est stressant , usant mais c'est aussi un formidable challenge que l'on se fait à nous même : suis je capable de le faire ??? si je laisse aller, si je tape en touche, si je stoppe avant de répondre à cette question, je risque de vivre le reste de ma vie avec cette question en suspent.... et me dire un jour prochain : mais pourquoi ai-je stoppé cette formation ?? aurais je été capable de le faire?? de passer ses msp, ses évals, ce tfe et ce DE comme tant d'autres avant moi ??
alors oui cela vaut le coup d'aller jusqu'au bout de ce chemin, de ce parcours même si il est dur, stressant, fatiguant; et au moins en allant jusqu'au bout, quelque soit le résultat final, au moins je pourrais me dire : oui je l'ai fait et je n'ai rien à regretter ;
allez courage , 3 ans ce n'est rien dans une vie


ESI 2007-2010.3éme année validée. DE octobre
Il n'existe que 2 choses infinies : l'univers et la bêtise humaine; mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. A. Einstein
Il n'existe que 2 choses infinies : l'univers et la bêtise humaine; mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. A. Einstein
Alors, j ai 21 ans oui je sais ce n est pa vieux.... mais il n y pas d'âge pour se poser des questions sur soi ! Je suis persuadé que ce métier est un beau métier ! Quoi de plus beau que de redonner de l espoir et aider une personne malade à retrouver la vie enfin à retrouver la vie la meilleur possible ! C'est pour ça que je voulais faire ce métier mais voilà je n imaginais pas que ce serai aussi dure ! décalage entre l idéal et la réalité ! on m avais prévenu mais j écoutais pas ! Je vois que je ne suis pas la seule à douter de mes capacités et ça me rassure et oui philou nice cette phrase me redonne envie de continuer : si d'autres ont réussi avant moi, pourquoi pas moi et si ça vaut le coup : oui je le veux et là pour le coup ce sera vraiment pour le meilleur et pour le PIRE!
C'est un milieu rude on le sais : les gens sont parfois aigris, jaloux, manipulateurs,certains nous appuient la tête sous l' eau quand ils nous voient défaillir ! il faut être fort psychologiquement et ne pas se laisser faire ni décourager ! Quelle dommage de voir des gens si médisants dans une profession si proches de l' humain ! Dites moi si vous y comprenez quelquechose vous !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est un milieu rude on le sais : les gens sont parfois aigris, jaloux, manipulateurs,certains nous appuient la tête sous l' eau quand ils nous voient défaillir ! il faut être fort psychologiquement et ne pas se laisser faire ni décourager ! Quelle dommage de voir des gens si médisants dans une profession si proches de l' humain ! Dites moi si vous y comprenez quelquechose vous !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.