Formulation de la situation de départ
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
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- Inscription : 12 janv. 2006 14:05
Formulation de la situation de départ
Bonjour à tous !
Bien voilà, je coince sur ma question de départ et j'aurai besoin d'un petit coup de main... (le DE est en janvier 2009).
Concernant ma situation de départ, il s'agit d'une patiente atteinte d'un cancer du colon. Celle ci a une stomie depuis 7 ou 8 mois et depuis tout ce temps, elle ne participe pas aux soins d'hygiene , malgré plusieurs tentatives d'éducation. Elle est en fait dans le déni. Et par rapport à ça, l'infirmière se situe dans une situation d'échec puisque durant un soin, l'infirmière m'a dit "regarde là, elle est bete, elle ne sait toujours pas s'occuper de sa stomie, y'a rien a faire"...
Donc par rapport à ça, j'ai fais mon questionnement et de là, je tente de faire ma question de départ qui est à ce jour :
"en quoi la non participation d'un patient dans ses soins d'hygiène peut-il compromettre l'accompagnement infirmier dans sa prise en charge" ou bien :
"pourquoi un patient qui ne participe pas à ses soins d'hygiene compromettrait l'accompagnement infimier dans sa prise en charge".
Que pensez vous de ses 2 question de départ?
Pensez vous que c'est exploitable ? Trouvez vous directement une réponse sure a ces questions ? Car en fait, il n'en faut pas...
Merci de bien vouloir m'aider, je coince vraiment....Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Bien voilà, je coince sur ma question de départ et j'aurai besoin d'un petit coup de main... (le DE est en janvier 2009).
Concernant ma situation de départ, il s'agit d'une patiente atteinte d'un cancer du colon. Celle ci a une stomie depuis 7 ou 8 mois et depuis tout ce temps, elle ne participe pas aux soins d'hygiene , malgré plusieurs tentatives d'éducation. Elle est en fait dans le déni. Et par rapport à ça, l'infirmière se situe dans une situation d'échec puisque durant un soin, l'infirmière m'a dit "regarde là, elle est bete, elle ne sait toujours pas s'occuper de sa stomie, y'a rien a faire"...
Donc par rapport à ça, j'ai fais mon questionnement et de là, je tente de faire ma question de départ qui est à ce jour :
"en quoi la non participation d'un patient dans ses soins d'hygiène peut-il compromettre l'accompagnement infirmier dans sa prise en charge" ou bien :
"pourquoi un patient qui ne participe pas à ses soins d'hygiene compromettrait l'accompagnement infimier dans sa prise en charge".
Que pensez vous de ses 2 question de départ?
Pensez vous que c'est exploitable ? Trouvez vous directement une réponse sure a ces questions ? Car en fait, il n'en faut pas...
Merci de bien vouloir m'aider, je coince vraiment....Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pour moi pas de question qui commence par pourquoi
cette question ayant trait à un jugement
par contre en quoi... est ce la non participation ou le patient qui compromet ?
si participation = elle
si patient = ilÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
cette question ayant trait à un jugement
par contre en quoi... est ce la non participation ou le patient qui compromet ?
si participation = elle
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- Messages : 3
- Inscription : 12 janv. 2006 14:05
Oups... en effet, ce serait plutot "en quoi la non participation d'un patient dans ses soins d'hygiene peut - ELLE compromettre l'accompagenement infirmier dans sa prise en charge"...
Mais pensez vous que cette question est exploitable? A t elle reellement un sens ? (car la formulation française et moi, ça fait 2....).
En fait, ma toute première question de départ etait :
"en quoi l'attitude passive d'un patient atteint d'un cancer conditionne la prise en soin de l'infirmière ? "
Et là, mes formateurs référents m'ont dit que ça n'allait pas car pour eux, il manquait quelque chose dans la question et toujours dans la question, pour eux, la réponse était évidente...
Donc de là, ils m'ont dit de continuer quand meme avec cette première question et suite à ma phase d'exploration, je serai amenée à la modifier. Mais je pense que si je fais ça, je me dirige droit dans le mur... C'est pour ça, tanpis si je ne traite pas cette question, je prefere en trouver une nouvelle plus sure et plus exploitable d'entrée de jeu...
Je peux tres bien traiter aussi de la modification de l'image corporelle aussi...
Bref, je suis un peu perdue...
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Mais pensez vous que cette question est exploitable? A t elle reellement un sens ? (car la formulation française et moi, ça fait 2....).
En fait, ma toute première question de départ etait :
"en quoi l'attitude passive d'un patient atteint d'un cancer conditionne la prise en soin de l'infirmière ? "
Et là, mes formateurs référents m'ont dit que ça n'allait pas car pour eux, il manquait quelque chose dans la question et toujours dans la question, pour eux, la réponse était évidente...
Donc de là, ils m'ont dit de continuer quand meme avec cette première question et suite à ma phase d'exploration, je serai amenée à la modifier. Mais je pense que si je fais ça, je me dirige droit dans le mur... C'est pour ça, tanpis si je ne traite pas cette question, je prefere en trouver une nouvelle plus sure et plus exploitable d'entrée de jeu...
Je peux tres bien traiter aussi de la modification de l'image corporelle aussi...
Bref, je suis un peu perdue...
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- zazainfirmiere
- Forcené
- Messages : 265
- Inscription : 23 nov. 2007 09:06
- Localisation : draguignan
dans ta situation je vois plutôt une infirmière qui ne remet pas en cause sa façon d'agir et dit clairement que tout vient de la faute du patient( si j'ai bien saisi), je pense à des mécanismes de défense, de la part des deux personnes, soignant/soigné
après tout l'ide garde son "savoir" des soins, et le soigné reste passif, il est plus aisé de dire que c'est l'Autre qui ne veut pas, plutôt que de chercher quels chemins , gestuels, verbaux, prendre pour amener le patient à effectuer ses soins de stomie.
LA est notre travail, dans les soins, mais aussi dans l'éducation à donner au patient et c'est à l'ide de trouver comment faire accepter ou comprendre cela au patient. Mais cela ne veut pas forcément dire qu'il va accepter sa stomie.... autre débat!
bon courage!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
après tout l'ide garde son "savoir" des soins, et le soigné reste passif, il est plus aisé de dire que c'est l'Autre qui ne veut pas, plutôt que de chercher quels chemins , gestuels, verbaux, prendre pour amener le patient à effectuer ses soins de stomie.
LA est notre travail, dans les soins, mais aussi dans l'éducation à donner au patient et c'est à l'ide de trouver comment faire accepter ou comprendre cela au patient. Mais cela ne veut pas forcément dire qu'il va accepter sa stomie.... autre débat!
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Offrez un sourire et votre journée sera belle!
ZAZA
heureuse infirmière depuis le 27.11.06 et en dialyse pour l'instant.
ZAZA
heureuse infirmière depuis le 27.11.06 et en dialyse pour l'instant.