TFE : prise en charge douleur chez les prématurés

[vaness7478]

bonjour
je suis actuellement élève infirmière en troisieme année et je doit donc faire un TFE. le sujet que j'ai choisi est la prise en charge de la douleur par le toucher chez les prématurés.
je cherche des professionnels qui travaillent en néonatalogie ou des éleves qui ont deja fait un stage dans ce service pour répondre a mon questionnaire de pré enquete.
je vous remercie d'avance

[Titre modifié => Juju5544]

[augusta]

déjà je ne comprends pas le sujet!!.....ça veut dire que par le toucher ils n'ont plus mal??

[lolo0209]

Salut!

J'ai fait un stage en réa néonat lors de ma 3ème année d'étude, envoie le moi par MP si tu veux!

[wyllette]

tu veux parler de la caresse pour lui faire oublier sa douleur ?

[pegase2]

Je suis étudiante puer, j'ai travaillé 2 mois en soins intensifs néonataux et un mois en réanimation néonatale.
Si je peux t'aider n'hésites pas

[wyllette]

un livre à lire :
Entendre la douleur du nouveau-né : Aux confins de l'oubli
de Olivier Fresco (Auteur)

Présentation de l'éditeur
La prise en compte de la douleur des enfants malades a connu des avancées considérables depuis plus d'une décennie, en particulier auprès de ceux qui sont en âge de s'exprimer et de participer à leur traitement. Mais qu'en est-il en maternité, lorsqu'il s'agit de l'accueil au quotidien du nouveau-né et de soins entraînant des douleurs méconnues, négligées, voire inutiles ? Certains nouveau-nés peuvent souffrir à la suite d'un accouchement difficile, d'autres lors de gestes soignants agressifs, souvent banalisés en raison de leur pratique systématique. Ce qu'on ne fait plus ou ne devrait plus faire, sans précautions analgésiques, à une jeune enfant ou à un adulte, on continue à l'admettre pour le nouveau-né. Pourtant nous ne pouvons plus ignorer qu'il est hypersensible à la douleur et que son immaturité neurologique ne lui permet pas de fournir des défenses adaptées aux agressions, ce qui n'est pas sans conséquences affectives importantes sur les premières interrelations entre ses parents et lui. Et nous savons aussi combien les traces inconscientes que ces souffrances impriment restent à l'œuvre tout au long de notre vie. Les équipes de maternité ont désormais les moyens d'évaluer la douleur du nouveau-né, de la soulager et, mieux encore, de la prévenir et de l'éviter. Il est temps de l'entendre et de la comprendre pour mieux y répondre et pour engager ensemble une véritable rencontre avec le nouveau-né et ses parents.

Biographie de l'auteur
Olivier Fresco est pédiatre néonatologue, chef de service adjoint à la maternité et à l'unité de néonatologie de l'Hôpital Notre-Dame-de-Bon-Secours à Paris.
* Editeur : Belin (21 septembre 2004)
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[puer75]

Je bosse en réa pédiatrique (on accueille aussi des enfants prématurés) donc n'hésite pas à me contacter