Scandale : non inscrite, une IDEL en garde à vue !
Publié : 24 juin 2016 01:31
Convergence infirmière en appelle au bon sens les CPAM, et réclame des excuses à la CPAM du Jura
On peut se demander ce qui légitimement passe par la tête de certains directeurs de CPAM et précisément de celle du Jura… Deux poids deux mesures, ou comment l’actualité provoque des collusions qui laissent songeur.
A l’heure où des casseurs d’hôpitaux dorment tranquillement chez eux, des gendarmes ont mis en garde à vue 12 heures durant une infirmière, au motif principal qu’elle n’est pas inscrite à l’ordre national des infirmières !!!
Madame Breton est diplômée depuis 1985, or l’inscription à l’ordre est une obligation assez récente. C’est pourquoi bien des infirmières ne sont pas encore inscrites, qu’elles soient salariées ou exerçant en libéral. Nous n’allons pas pour autant fermer des hôpitaux ou des cabinets pour un tel prétexte, une simple audition aurait suffit.
Notre collègue, tout comme ses patients sont véritablement traumatisés par un tel fonctionnement.
Visiblement, il est plus facile d’impressionner une femme infirmière, soignante, pour un délit modeste qui relève de la procrastination administrative (en Saône et Loire, certains députés connaissent le sens de cette maladie), que les casseurs, hooligans et autres insurgés de la nuit….
C’est pourquoi, le syndicat «Convergence Infirmière de Bourgogne et de Franche Comté» apporte son plein et total soutien à sa collègue jurassienne, demande au directeur de la CPAM du Jura de modérer son harcèlement administratif et fasse des excuses en bon et du forme à notre collègue pour cette garde à vue inique, digne d’un mauvais polar.
Nous mettons en garde Mme Tourraine, ministre de la santé, responsable de la casse actuelle du mode d’exercice libéral , si elle ne veut pas à quelques mois des élections présidentielles voir toutes les 60000 infirmières libérales arborer certains badges incitant à sortir les sortants, de revenir à des dispositions plus correctes dans les rapports entres caisses et professionnels de santé. Nul n’est besoin d’être 100000 sur les Champs Elysées pour avoir un pouvoir de nuisance.
Marien Lovichi, délégué Côte d'or « Convergence Infirmière »
co-signataire Marc Burkiewicz, président «Convergence Infirmière Bourgogne-Franche-Comté»
https://www.facebook.com/Convergence-In ... 509766564/
On peut se demander ce qui légitimement passe par la tête de certains directeurs de CPAM et précisément de celle du Jura… Deux poids deux mesures, ou comment l’actualité provoque des collusions qui laissent songeur.
A l’heure où des casseurs d’hôpitaux dorment tranquillement chez eux, des gendarmes ont mis en garde à vue 12 heures durant une infirmière, au motif principal qu’elle n’est pas inscrite à l’ordre national des infirmières !!!
Madame Breton est diplômée depuis 1985, or l’inscription à l’ordre est une obligation assez récente. C’est pourquoi bien des infirmières ne sont pas encore inscrites, qu’elles soient salariées ou exerçant en libéral. Nous n’allons pas pour autant fermer des hôpitaux ou des cabinets pour un tel prétexte, une simple audition aurait suffit.
Notre collègue, tout comme ses patients sont véritablement traumatisés par un tel fonctionnement.
Visiblement, il est plus facile d’impressionner une femme infirmière, soignante, pour un délit modeste qui relève de la procrastination administrative (en Saône et Loire, certains députés connaissent le sens de cette maladie), que les casseurs, hooligans et autres insurgés de la nuit….
C’est pourquoi, le syndicat «Convergence Infirmière de Bourgogne et de Franche Comté» apporte son plein et total soutien à sa collègue jurassienne, demande au directeur de la CPAM du Jura de modérer son harcèlement administratif et fasse des excuses en bon et du forme à notre collègue pour cette garde à vue inique, digne d’un mauvais polar.
Nous mettons en garde Mme Tourraine, ministre de la santé, responsable de la casse actuelle du mode d’exercice libéral , si elle ne veut pas à quelques mois des élections présidentielles voir toutes les 60000 infirmières libérales arborer certains badges incitant à sortir les sortants, de revenir à des dispositions plus correctes dans les rapports entres caisses et professionnels de santé. Nul n’est besoin d’être 100000 sur les Champs Elysées pour avoir un pouvoir de nuisance.
Marien Lovichi, délégué Côte d'or « Convergence Infirmière »
co-signataire Marc Burkiewicz, président «Convergence Infirmière Bourgogne-Franche-Comté»
https://www.facebook.com/Convergence-In ... 509766564/