A l'aide TFE émotions???
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
je pense centrer mon sujet sur les services de rea ou je parlerai non seulement des emotions ressenti par les soignants face aux patients, mais aussi du stress qu'engendre le travail dans un service comme celui ci et leur répercutions dans le soin au patient.ensuite je pourrai dévelloper les moyens mis en oeuvre pour gérer ces emotions (distance therapeutique, formations). apres je pourrai peut etre parler du paradoxe qu'il existe entre le fait que l'hopital souhaite (en quelque sorte) gerer nos emotions mais que celles ci sont incontrolables par quelqu'un d'autre que par soit meme.t'en pense quoi?
j'arrive tjs pas a trouver ma question de départ mais je pense que je devrais y arriver!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
j'arrive tjs pas a trouver ma question de départ mais je pense que je devrais y arriver!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je pense que ça doit tenir la route et que c'est tout à fait faisable au vu de ta reflexionmimi67 a écrit : je pense centrer mon sujet sur les services de rea ou je parlerai non seulement des emotions ressenti par les soignants face aux patients, mais aussi du stress qu'engendre le travail dans un service comme celui ci et leur répercutions dans le soin au patient.ensuite je pourrai dévelloper les moyens mis en oeuvre pour gérer ces emotions (distance therapeutique, formations). apres je pourrai peut etre parler du paradoxe qu'il existe entre le fait que l'hopital souhaite (en quelque sorte) gerer nos emotions mais que celles ci sont incontrolables par quelqu'un d'autre que par soit meme.t'en pense quoi?
mimi67 a écrit : j'arrive tjs pas a trouver ma question de départ mais je pense que je devrais y arriver!
Je n'en doute pas 
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.La pensée vole, et les mots vont à pieds.
j'ai ma prochaine guidance tfe le 6 mars, on verra ce qu'ils pensent de ma reflexion et peut etre que d'ici la j'aurai enfin trouvé cette question de départ!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
j'a trouvé une idée de question: la réserve (ou retenue je sais pas encore) emotionnelle et le stress du soignant dans un service de reanimation sont ils des obstacles dans sa pratique professionelle?
t'en pense quoi? le probleme c qu'on peut repondre par oui ou par non et les formateurs ne veulent surtout pas!!
comment je pourrai la reformuler?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
t'en pense quoi? le probleme c qu'on peut repondre par oui ou par non et les formateurs ne veulent surtout pas!!
comment je pourrai la reformuler?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mimi, je t'ai déjà dit penser sortir de mes compétencres en ce qui concerne la question de départ, cependant... comme tu la présentes je la vois mal formulée.mimi67 a écrit :j'a trouvé une idée de question: la réserve (ou retenue je sais pas encore) emotionnelle et le stress du soignant dans un service de reanimation sont ils des obstacles dans sa pratique professionelle?
t'en pense quoi? le probleme c qu'on peut repondre par oui ou par non et les formateurs ne veulent surtout pas!!
comment je pourrai la reformuler?
Pour résoudre le problème que tu soumets, tu pourrais commencer ta phrase par : "en quoi..."
Ce qui me gêne, c'est le terme "obstacle" mais c'est tout à fait personnel. j'essaie de réfléchir mais je ne trouve rien de mieux.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
-
prainces
- Forcené
- Messages : 320
- Inscription : 12 août 2005 19:48
- Localisation : dans le Pays Basque...
Bonjour,
Je ne suis pas non plus une spécialiste en question de départ. Mais il est clair que c'est impératif de ne pas avoir une question à la quelle tu peux répondre par oui ou par non. sinon ta recherche est très limitée!
Pour ma part, j'aime bien le terme de retenue.
Je la verrais bien tournée un peu comme cela:
Dans quelle mesure la retenue emotionnelle et le stress du soignant en service de reanimation peuvent être des obstacles dans sa pratique professionelle?
ou peuvent influencer sa pratique professionnelle? La deuxième proposition n'a pas de connotation négative; je pense moi aussi que le mot obstacle peut être reproché.
Par contre ce qui me gêne un peu c'est que dans ta triade il manque un peu le patient qui finalement doit être au centre de nos préoccupations.
J'ai juste jeté quelques idées en vrac comme elles me sont venues. J'y repense et si autre chose me vient je t'en fais part.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je ne suis pas non plus une spécialiste en question de départ. Mais il est clair que c'est impératif de ne pas avoir une question à la quelle tu peux répondre par oui ou par non. sinon ta recherche est très limitée!
Pour ma part, j'aime bien le terme de retenue.
Je la verrais bien tournée un peu comme cela:
Dans quelle mesure la retenue emotionnelle et le stress du soignant en service de reanimation peuvent être des obstacles dans sa pratique professionelle?
ou peuvent influencer sa pratique professionnelle? La deuxième proposition n'a pas de connotation négative; je pense moi aussi que le mot obstacle peut être reproché.
Par contre ce qui me gêne un peu c'est que dans ta triade il manque un peu le patient qui finalement doit être au centre de nos préoccupations.
J'ai juste jeté quelques idées en vrac comme elles me sont venues. J'y repense et si autre chose me vient je t'en fais part.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
faut faire un effort de temps en tempsLeopold Anasthase a écrit :sujet intéressant, mais je ne sais pas lire les abréviations style texto (qui sont d'ailleurs interdites par la charte).
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.Un effort pour quoi ? ... lire le sms ? je ne vois pas pourquoi, perso ça me donne juste pas envi de répondre et même pas envi de lire si je ne suis pas concerné, je pense que la charte du forum est claire.albundy a écrit : faut faire un effort de temps en temps
Merci de ne pas polluer le sujet avec de telles remarques
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.La pensée vole, et les mots vont à pieds.
je sais tres bien que ma formulation ne va pas car je peux repondre par oui ou par non. c'etait juste por mettre en avant mon idée de question mais il est clair que je dois encore la travailler.
merci prainces pour tes idées de formulation je pense qu'elles peuvent m'aider. par contre tu me reporche de ne pas centrer monn sujet sur le patient mais j'ai envie de traiter non seulement de la relation soignant soigné mais aussi des relations avec la familles, les proches et je ne pense pas que je puisse mettre tous ces termes dans ma question de départ (ou sinon elle sera trop longue). dans "pratique professionnelle" j'entend relation patient, famille et les oins aux patients. est ce plus clair maintenant?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
merci prainces pour tes idées de formulation je pense qu'elles peuvent m'aider. par contre tu me reporche de ne pas centrer monn sujet sur le patient mais j'ai envie de traiter non seulement de la relation soignant soigné mais aussi des relations avec la familles, les proches et je ne pense pas que je puisse mettre tous ces termes dans ma question de départ (ou sinon elle sera trop longue). dans "pratique professionnelle" j'entend relation patient, famille et les oins aux patients. est ce plus clair maintenant?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
-
prainces
- Forcené
- Messages : 320
- Inscription : 12 août 2005 19:48
- Localisation : dans le Pays Basque...
Salut!
Ce n'était pas un reproche que je te faisais, simplement une remarque pour t'aider! lol
Mais je pense que ton argumentation peut effectivement s'entendre afin de ne pas rallonger la question, tu as probablement raison.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Ce n'était pas un reproche que je te faisais, simplement une remarque pour t'aider! lol
Mais je pense que ton argumentation peut effectivement s'entendre afin de ne pas rallonger la question, tu as probablement raison.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je remonte le sujet pour y poster ce lien qui n'est, il me semble, pas ininteressant
Comment prendre en compte la dimension affective dans la formationÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Comment prendre en compte la dimension affective dans la formationÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.La pensée vole, et les mots vont à pieds.
mimi67 a écrit : rdv demain pour vous dire ce qui est ressorti de ma guidance tfe de demain apres midi!
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.La pensée vole, et les mots vont à pieds.
JE SUIS TROP CONTENTE!!!
désolé pour le petit retard!
voila comment ca c'est passé:
alors j'ai exposé mes recherches (je suis partie de mes situations d'appels, ensuite j'ai parlé des différents documents que gengis m'a mis en lien sur "a quoi servent les emotions" et que dans ceux ci ils mettaient en avant le fait que les emotions sont essentielles pour combler les besoins de l'etre humain.... ensuite j'ai exposé le fait qu'il y a un paradoxe entre le fait que les emotions sont necessaires pour l'equilibre de l'etre humain et que d'autre part, elles restent "tabous" a l'hopital.
pusi j'ai résumé l'article sur "la prescription emotionnelle" et je leur ai dit que je ne trouvais pas ca normal de vouloir prescrire des emotions alors qu'elles font parties du subjectif et qu'elles viennent spontanément. (j'ai quand meme dit que c'etait un article canadien et qu'il fallait le prendre avec des pincettes". )
enfin je leur ai dit que je voulais continuer mes recherches et comprendre pourquoi les emotions sont percues comme tabous a l'hopital et qu'est ce que la réserve emotionelle entrainait dans la relation avec le patient.
puis j'ai dit que j'aimerai savoir qu'est ce qui se passerait (au niveau des soins aupres du patient) si les IDE pouvaient parler de leur emotions tant au patient, qu'en equipe ou chez des specialistes.
leur avis: ma démarche de recherche est excellente (c'est leur mot), que j'etais dans le bon chemin et que je pouvais continuer sur ce sujet il n'y avait aucun soucis. elles m'ont dit que m'a problématique etait tres interessante. par contre, elles m'ont dit qu'il ne fallait pas que je me base uniquement sur ces artciles de prescription emotionelle, que beaucoup de travaux avaient ete fait la dessus. je peux en parler dans mon TFE mais cela ne dois pas etre la partie la plus importante. elles m'ont dit de rechercher et d'approfondir sur le coté du sensible des emotions et de m'appuyer sur les travaux de carl rogerset de walter Sbean (je sais pas si ca s'ecrit comme ca).
en tout cas elles etaient contente et moi encore plus!
maintenant j'ai confiance en ce sujet et je suis sur de pouvoir faire queque chose de bien!
merci beaucoup pour votre aide, ma guidance auraait pu etre lamentable sans vos conseils!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
désolé pour le petit retard!
voila comment ca c'est passé:
alors j'ai exposé mes recherches (je suis partie de mes situations d'appels, ensuite j'ai parlé des différents documents que gengis m'a mis en lien sur "a quoi servent les emotions" et que dans ceux ci ils mettaient en avant le fait que les emotions sont essentielles pour combler les besoins de l'etre humain.... ensuite j'ai exposé le fait qu'il y a un paradoxe entre le fait que les emotions sont necessaires pour l'equilibre de l'etre humain et que d'autre part, elles restent "tabous" a l'hopital.
pusi j'ai résumé l'article sur "la prescription emotionnelle" et je leur ai dit que je ne trouvais pas ca normal de vouloir prescrire des emotions alors qu'elles font parties du subjectif et qu'elles viennent spontanément. (j'ai quand meme dit que c'etait un article canadien et qu'il fallait le prendre avec des pincettes". )
enfin je leur ai dit que je voulais continuer mes recherches et comprendre pourquoi les emotions sont percues comme tabous a l'hopital et qu'est ce que la réserve emotionelle entrainait dans la relation avec le patient.
puis j'ai dit que j'aimerai savoir qu'est ce qui se passerait (au niveau des soins aupres du patient) si les IDE pouvaient parler de leur emotions tant au patient, qu'en equipe ou chez des specialistes.
leur avis: ma démarche de recherche est excellente (c'est leur mot), que j'etais dans le bon chemin et que je pouvais continuer sur ce sujet il n'y avait aucun soucis. elles m'ont dit que m'a problématique etait tres interessante. par contre, elles m'ont dit qu'il ne fallait pas que je me base uniquement sur ces artciles de prescription emotionelle, que beaucoup de travaux avaient ete fait la dessus. je peux en parler dans mon TFE mais cela ne dois pas etre la partie la plus importante. elles m'ont dit de rechercher et d'approfondir sur le coté du sensible des emotions et de m'appuyer sur les travaux de carl rogerset de walter Sbean (je sais pas si ca s'ecrit comme ca).
en tout cas elles etaient contente et moi encore plus!
maintenant j'ai confiance en ce sujet et je suis sur de pouvoir faire queque chose de bien!
merci beaucoup pour votre aide, ma guidance auraait pu etre lamentable sans vos conseils!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Rejoignez
notre communauté
notre communauté
