Arreter les eleves pendant les cours ?
Modérateur : Modérateurs
D'accord avec Hub pour l' interpellation des parents en même temps !
Mais on sait tous que certains parents sont dépassés par ce qui se passe réellement avec leurs enfants et leur comportement , avec l' école et qu'eux-mêmes ne comprennent pas le monde dans lequel ils vivent !
Ils ne se sentent pas responsables du tout et accusent l'école , la société et les autres de leurs malheurs !
" à moins d'être de grand terroristes, ils n'étaient pas à 1h pres. "
Evidemment , mais je pense que ces 2 élèves avaient déjà été prévenus auparavant du problème de leur conduite et qu' ils n' ont pas tenu compte des avertissements de la part de la Principale !
Pas de grands terroristes certes , mais agresser les intervenants du collège et lancer de l' acide sur les autres élèves , je suis désolée ce n' est absolument pas anodin !
Depuis ce matin , les médias n' arrêtent pas de parler de ce fait divers aux infos !
Il faut protéger ces chers chérubins !
Les enseignants , les parents d' élèves et les autres élèves n' ont qu' à tout supporter , ne rien dire , laisser la violence , l' anarchie progressées dans l' établissement !
Ce sera encore la faute des parents , de l' école , mais pas de ces quelques petits emmerdeurs qui veulent dicter leur loi dans l' enceinte du collège !
J' habite dans le 93 , mon fils va dans un collège public . La majorité des élèves , même s' ils n'ont pas envie d' étudier et sont dissipés , se comportent génèralement correctement dans l' école !
Sauf quelques collégiens qui se font remarquer , sont violents et perturbateurs !
Mais on sait tous que certains parents sont dépassés par ce qui se passe réellement avec leurs enfants et leur comportement , avec l' école et qu'eux-mêmes ne comprennent pas le monde dans lequel ils vivent !
Ils ne se sentent pas responsables du tout et accusent l'école , la société et les autres de leurs malheurs !
" à moins d'être de grand terroristes, ils n'étaient pas à 1h pres. "
Evidemment , mais je pense que ces 2 élèves avaient déjà été prévenus auparavant du problème de leur conduite et qu' ils n' ont pas tenu compte des avertissements de la part de la Principale !
Pas de grands terroristes certes , mais agresser les intervenants du collège et lancer de l' acide sur les autres élèves , je suis désolée ce n' est absolument pas anodin !
Depuis ce matin , les médias n' arrêtent pas de parler de ce fait divers aux infos !
Il faut protéger ces chers chérubins !
Les enseignants , les parents d' élèves et les autres élèves n' ont qu' à tout supporter , ne rien dire , laisser la violence , l' anarchie progressées dans l' établissement !
Ce sera encore la faute des parents , de l' école , mais pas de ces quelques petits emmerdeurs qui veulent dicter leur loi dans l' enceinte du collège !
J' habite dans le 93 , mon fils va dans un collège public . La majorité des élèves , même s' ils n'ont pas envie d' étudier et sont dissipés , se comportent génèralement correctement dans l' école !
Sauf quelques collégiens qui se font remarquer , sont violents et perturbateurs !
marie-pierre
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Les forces de l'ordre adorent jouer les cow-boys(encore une dérive sur les américains...)Arrêter un gamijn en plein cours,l'humilier,briser à jamais son parcours scolaire,bref...Et ARRETEZ DE VOUS DISPUTER!
··¤(¯`×(`¤.LeeLee AS en réa neuro et neurochir~o~ChocOlate Iz My PrOzac AnD MaKe CoMe BaCk tHe ImPuLsE ~o~DayDream...www.oleeleeo.skyblog.com.¤´).×´¯)¤··
Encore un sujet qui va faire causer dans les chaumières.
Avant de se poser la question de savoir quel est le meilleur endroit pour arrêter un mineur, il faudrait se demander pourquoi cette fois, c'est en classe que l'arrestation a eu lieu.
Ces jeunes, présumés auteurs de délits, étaient impossibles à attrapper ailleurs ? Non.
Représentaient-ils une menace immédiate pour leur entourage ? Non.
Paradoxe ; ils étaient en cours. Pas courant pour l'image classique du jeune emmerdeur qu'on trouve plus facilement dans une cave en train de se fumer un joint ou de violer une voisine.
Donc, la raison est très simple. Ces jeunes sont soupçonnés d'être agressifs avec leur collègues de classe. Donc, le directeur à courte vue s'adjoint les moyens de la force publique pour les arrêter de façon spectaculaire afin de les punir avant que le juge ne les relâche (peut-être) et pour montrer aux autres qu'ici ça ne rigole pas.
Il serait un peu fastidieux de faire un tour exhaustif des règles de droit bafouées et des abus commis par les personnes prétendument responsables. Le directeur s'est pris pour le juge et le bourreau alors qu'il n'est qu'éducateur, les policiers se sont laissé manipuler et ont fait perdre dix ans à leurs collègues qui essaient de montrer que la police, dans un pays démocratique, est là pour aider le citoyen - pas pour le lyncher.
Résultat. Les droits de la défense ont été bafoués et le code de procédure pénale suffisamment malmené pour qu'un bon avocat puisse faire pencher la balance du côté des mis en examen.
Les lycéens qui, en d'autres conditions, auraient applaudi à la mise à l'écart de ces jeunes, se sont soudés contre les forces de l'ordre et contre l'autorité administrative du lycée.
Désormais les vrais gangsters vont pouvoir utiliser ce lycée comme bon leur semble.
La police apparaît définitivement comme une force répressive barbare et anecéphale.
L'arrestation aurait dû se produire au domicile de ces jeunes, en présence des tuteurs légaux et de façon à respecter la présomption d'innocence.
La valeur d'exemple de telles mesures est nulle. Les USA qui en usent largement ont juste réussi à radicaliser les petits délinquants. Maintenant quand tu voles une pomme tu sais que tu risque le maximum à tous les niveaux. Il vaut donc mieux tuer l'épicier en prime.
Une telle médiatisation avait déjà eut lieu en France. C'était la fameuse affaire des irlandais de Vincennes. Quelques années plus tard, les accusés - dont on nous avait démontré la culpabilité évidente - ont été relâchés avec excuses de la République et les preuves se sont avérées bidon.
On a juste gâché leur vie et démontré que les gansters étaint de l'autre côté de la plaque de police.
Avant de se poser la question de savoir quel est le meilleur endroit pour arrêter un mineur, il faudrait se demander pourquoi cette fois, c'est en classe que l'arrestation a eu lieu.
Ces jeunes, présumés auteurs de délits, étaient impossibles à attrapper ailleurs ? Non.
Représentaient-ils une menace immédiate pour leur entourage ? Non.
Paradoxe ; ils étaient en cours. Pas courant pour l'image classique du jeune emmerdeur qu'on trouve plus facilement dans une cave en train de se fumer un joint ou de violer une voisine.
Donc, la raison est très simple. Ces jeunes sont soupçonnés d'être agressifs avec leur collègues de classe. Donc, le directeur à courte vue s'adjoint les moyens de la force publique pour les arrêter de façon spectaculaire afin de les punir avant que le juge ne les relâche (peut-être) et pour montrer aux autres qu'ici ça ne rigole pas.
Il serait un peu fastidieux de faire un tour exhaustif des règles de droit bafouées et des abus commis par les personnes prétendument responsables. Le directeur s'est pris pour le juge et le bourreau alors qu'il n'est qu'éducateur, les policiers se sont laissé manipuler et ont fait perdre dix ans à leurs collègues qui essaient de montrer que la police, dans un pays démocratique, est là pour aider le citoyen - pas pour le lyncher.
Résultat. Les droits de la défense ont été bafoués et le code de procédure pénale suffisamment malmené pour qu'un bon avocat puisse faire pencher la balance du côté des mis en examen.
Les lycéens qui, en d'autres conditions, auraient applaudi à la mise à l'écart de ces jeunes, se sont soudés contre les forces de l'ordre et contre l'autorité administrative du lycée.
Désormais les vrais gangsters vont pouvoir utiliser ce lycée comme bon leur semble.
La police apparaît définitivement comme une force répressive barbare et anecéphale.
L'arrestation aurait dû se produire au domicile de ces jeunes, en présence des tuteurs légaux et de façon à respecter la présomption d'innocence.
La valeur d'exemple de telles mesures est nulle. Les USA qui en usent largement ont juste réussi à radicaliser les petits délinquants. Maintenant quand tu voles une pomme tu sais que tu risque le maximum à tous les niveaux. Il vaut donc mieux tuer l'épicier en prime.
Une telle médiatisation avait déjà eut lieu en France. C'était la fameuse affaire des irlandais de Vincennes. Quelques années plus tard, les accusés - dont on nous avait démontré la culpabilité évidente - ont été relâchés avec excuses de la République et les preuves se sont avérées bidon.
On a juste gâché leur vie et démontré que les gansters étaint de l'autre côté de la plaque de police.
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Violences au collège de Roubaix: le procureur requiert des mises en examen
LILLE (AFP) - Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire a requis la mise en examen de trois élèves et d'un ancien élève du collège Sévigné de Roubaix (Nord), tous mineurs, interpellés mercredi et jeudi, a-t-il annoncé vendredi au cours d'une conférence de presse.
Il a requis leur mise en examen pour "fabrication et détention d'engins explosifs" et "violence avec arme n'ayant pas entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours", mais n'a pas requis de mandat de dépôt, alors qu'ils étaient présentés à un juge d'instruction vendredi.
Après une série d'incidents au collège, dont le jet de bouteilles d'acide, deux élèves de 14 et 16 ans avaient été interpellés mercredi matin en classe, menottés devant leurs camarades. Un ancien élève, exclu pour port d'arme prohibé, et un autre élève, tous deux âgés de 12 et 14 ans, ont été interpellés jeudi en dehors de l'établissement.
Ils risquent cinq ans d'emprisonnement, a précisé M. Lemaire.
Interrogé sur l'interpellation de deux élèves en plein cours, qui a suscité l'émoi d'élèves et de professeurs, le procureur a estimé qu'"il y a une place pour l'éducation et une place pour l'action de la justice (...) On avait affaire à des faits délictueux et il n'y a pas de sanctuaire dans la République".
"Je ne pense pas ce soit la première fois (que des élèves sont interpellés en classe, ndlr), mais vous me posez une colle. A considérer que ce soit la première fois, je ne vois pas le texte qui interdit d'interpeller dans le cadre de l'école", a estimé M. Lemaire.
"Non seulement nous avons des charges précises contre eux, mais nous avons des faits partiellement reconnus, puisqu'ils se rejettent la responsabilité. Il faudra qu'ils s'en expliquent", a-t-il poursuivi.
Quatre autres élèves ont été interpellés jeudi pour des faits d'outrage, "mais ce sera traité à part", a indiqué le procureur.
Après les incidents, les enseignants du collège Sévigné avaient fait valoir leur "droit de retrait" à plusieurs reprises ces derniers jours, estimant "la sécurité des élèves et des adultes en danger".
De nombreux élèves ont répondu vendredi à l'appel à une opération "collège mort", lancée par les parents d'élèves pour dénoncer ces violences, et ne se sont pas présentés aux cours.
LILLE (AFP) - Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire a requis la mise en examen de trois élèves et d'un ancien élève du collège Sévigné de Roubaix (Nord), tous mineurs, interpellés mercredi et jeudi, a-t-il annoncé vendredi au cours d'une conférence de presse.
Il a requis leur mise en examen pour "fabrication et détention d'engins explosifs" et "violence avec arme n'ayant pas entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours", mais n'a pas requis de mandat de dépôt, alors qu'ils étaient présentés à un juge d'instruction vendredi.
Après une série d'incidents au collège, dont le jet de bouteilles d'acide, deux élèves de 14 et 16 ans avaient été interpellés mercredi matin en classe, menottés devant leurs camarades. Un ancien élève, exclu pour port d'arme prohibé, et un autre élève, tous deux âgés de 12 et 14 ans, ont été interpellés jeudi en dehors de l'établissement.
Ils risquent cinq ans d'emprisonnement, a précisé M. Lemaire.
Interrogé sur l'interpellation de deux élèves en plein cours, qui a suscité l'émoi d'élèves et de professeurs, le procureur a estimé qu'"il y a une place pour l'éducation et une place pour l'action de la justice (...) On avait affaire à des faits délictueux et il n'y a pas de sanctuaire dans la République".
"Je ne pense pas ce soit la première fois (que des élèves sont interpellés en classe, ndlr), mais vous me posez une colle. A considérer que ce soit la première fois, je ne vois pas le texte qui interdit d'interpeller dans le cadre de l'école", a estimé M. Lemaire.
"Non seulement nous avons des charges précises contre eux, mais nous avons des faits partiellement reconnus, puisqu'ils se rejettent la responsabilité. Il faudra qu'ils s'en expliquent", a-t-il poursuivi.
Quatre autres élèves ont été interpellés jeudi pour des faits d'outrage, "mais ce sera traité à part", a indiqué le procureur.
Après les incidents, les enseignants du collège Sévigné avaient fait valoir leur "droit de retrait" à plusieurs reprises ces derniers jours, estimant "la sécurité des élèves et des adultes en danger".
De nombreux élèves ont répondu vendredi à l'appel à une opération "collège mort", lancée par les parents d'élèves pour dénoncer ces violences, et ne se sont pas présentés aux cours.
Qu'il neige sur ma vie, gèle en mon coeur
Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs, je sais où ressusciter
Je sais où aller (P. FIORI)
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.×(`¤.LeeLee.¤´).×. a écrit :Les forces de l'ordre adorent jouer les cow-boys(encore une dérive sur les américains...)Arrêter un gamijn en plein cours,l'humilier,briser à jamais son parcours scolaire,bref...Et ARRETEZ DE VOUS DISPUTER!
Heu, tu sais je ne te suis pas là!
de toute façon, Dans un College ZEP, tout est pretexte pour la majorité des eleves (pas tous) pour secher les cours alors bon....
Moi je me rapelle, dans mon Bahut, les flics venaient dans les chiottes fouiller les poubelles pendant les recrées. ils hesitaient pas à demander à causer aux personnes presentes dans le coin.
µJe pense que si l'interpellation a été violente, C'est que les élèves ont quand meme participé à la montée de la violence de cette interpellation non?

L'ONI, Une grande fumisterie

Le problème n'est pas de savoir pourquoi l'intervention fut ou ne fut pas musclée. Quant à estimer qu'elle était justifiée c'est bien le moins qu'on puisse en attendre.
Or, si nous sommes tous d'accord pour dire qu'il ne doit pas y avoir de sanctuaire sur le territoire national, il faut aussi que les interventions soient proportionnées au risque.
En l'espèce, ce ne fut pas le cas. Il n'y avait pas à craindre que les jeunes s'enfuient puisqu'ils étaient "gentiment" en classe. Ils n'étaient en train de mettre en danger la santé ou la vie de qui que ce soit puisque le faits incriminés sont antérieurs et qu'il n'y avait pas de procédure de flagrant délit. Ces enfants n'étaient pas fugueurs, on pouvait donc les trouver au domicile de leurs parents.
Rien, sinon un désir pathologique de médiatiser l'action, ne justifiait donc cette intervention. Quant aux résultats, parlons-en. Ces enfants sont libres, donc en mesure d'être victimes à leur tour de l'attitude de la population qui pourraît les considérer comme déjà condamnés au vu de l'intervention, voire en mesure de vouloir se venger et d'entrer ainsi dans une escalade dangereuse.
Or, si nous sommes tous d'accord pour dire qu'il ne doit pas y avoir de sanctuaire sur le territoire national, il faut aussi que les interventions soient proportionnées au risque.
En l'espèce, ce ne fut pas le cas. Il n'y avait pas à craindre que les jeunes s'enfuient puisqu'ils étaient "gentiment" en classe. Ils n'étaient en train de mettre en danger la santé ou la vie de qui que ce soit puisque le faits incriminés sont antérieurs et qu'il n'y avait pas de procédure de flagrant délit. Ces enfants n'étaient pas fugueurs, on pouvait donc les trouver au domicile de leurs parents.
Rien, sinon un désir pathologique de médiatiser l'action, ne justifiait donc cette intervention. Quant aux résultats, parlons-en. Ces enfants sont libres, donc en mesure d'être victimes à leur tour de l'attitude de la population qui pourraît les considérer comme déjà condamnés au vu de l'intervention, voire en mesure de vouloir se venger et d'entrer ainsi dans une escalade dangereuse.
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Ce serait pour le vol d'un sachet de bonbons en supermarché que je trouverais ca plutôt dur. Mais étant donné la gravité des faits (jet de bouteilles d'acide, coup de poings, injures etc cad atteinte aux personnes), je ne trouve pas cela particulièrement chocant.
Ensuite, la politique d'impunité, de "quoiqu'ils fassent, c'est la faute de la société" ca va bien un moment: on a vu ce que ca a donné les 15/20 dernières années (matchs de foot avec les flics, régate en bateau etc pour adoucir leurs moeurs violents MDR!). Remarque, ca a eu le mérite de relancer le marché des grosses berlines décapotables Allemandes.
Ensuite, la politique d'impunité, de "quoiqu'ils fassent, c'est la faute de la société" ca va bien un moment: on a vu ce que ca a donné les 15/20 dernières années (matchs de foot avec les flics, régate en bateau etc pour adoucir leurs moeurs violents MDR!). Remarque, ca a eu le mérite de relancer le marché des grosses berlines décapotables Allemandes.
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Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs, je sais où ressusciter
Je sais où aller (P. FIORI)
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