autisme et repli autistique
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
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Désolé je ne peux répondre à taquestion, je ne maîtrise pas trop le sujet de l'autisme mais je te serai reconnaissante de dire merci de temps en temps à Cedr1c qui essaye de t'aider...
Pour le bon fonctionnement et la bonne humeur de ce forum je te remercie
Pour le bon fonctionnement et la bonne humeur de ce forum je te remercie

Marlène IDE en Psy depuis 2 ans en Normandie et piêtre bientôt en Charente-Maritime !!!
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- Inscription : 23 sept. 2006 11:49
Je remercie Cédr1c pour son aide... Je pensais seulement que le sujet n'était pas clos...
Je remercie aussi toute l'équipe qui gère ce forum. Et tout les forumeurs de ce site qui donne de leur temps pour répondre, aider, encourager, orienter, conseiller et expliquer... Je souhaite bonne santé à ce site... et à vous!
PS: peut-on parler de distance thérapeutique avec un autiste? Si quelqu'un est inspiré....

Je remercie aussi toute l'équipe qui gère ce forum. Et tout les forumeurs de ce site qui donne de leur temps pour répondre, aider, encourager, orienter, conseiller et expliquer... Je souhaite bonne santé à ce site... et à vous!
PS: peut-on parler de distance thérapeutique avec un autiste? Si quelqu'un est inspiré....

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Parceque j'ai fait mon mémoire sur la distance thérapeutique avec des enfants psychotiques (donc aussi autistes mais plus généralement les psychotiques
)
Et je trouve ce sujet passionnant, alors pose moi des questions va y...
Je te conseille aussi de lire du Lacan, Freud, Mahler.
et aussi un livre qui parle de la distance thérapeutique et qui donne des approches interessantes. va aussi jetter un coup d'oeil sur le forum serpsy, ou aussi psydésir.
aussi, il ya "que sais je" sur l'autisme infantile...
Voila, bon courage

Et je trouve ce sujet passionnant, alors pose moi des questions va y...
Je te conseille aussi de lire du Lacan, Freud, Mahler.
et aussi un livre qui parle de la distance thérapeutique et qui donne des approches interessantes. va aussi jetter un coup d'oeil sur le forum serpsy, ou aussi psydésir.
aussi, il ya "que sais je" sur l'autisme infantile...
Voila, bon courage

IDE pédopsy
"On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs - mais il est étonnant de voir combien on peut casser d'oeufs sans faire d'omelette décente" (loi de Murphy)
"On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs - mais il est étonnant de voir combien on peut casser d'oeufs sans faire d'omelette décente" (loi de Murphy)
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- Inscription : 23 sept. 2006 11:49
cedr1c a écrit :on fait quoi?
on reste sur le thème en général ou l'on parle de ton tfe et l'on s'axe sur ta situation de départ (dans ce casv je transfèrerai ton sujet)
Salut Cedr1c, je voudrai rester sur le forum psy. Je m'informe auprès des spécialistes...

Lou22,
Quelles ont été tes difficultés lors de cette réflexion?
Je veux venir au fait que lire du Lacan, du Freud, du Mahler n'est pas forcement très facile...
As-tu l'occasion de concrétiser ta recherche lors de ton travail par la suite?
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- Inscription : 23 sept. 2006 11:49
Merci pour tout
j'ai eu une mine d'informations grâce au TFE de Sonia (dans les archives 2005).
J'ai appris beaucoup sur l'autisme et sa prise en charge....
Un remerciement tout particulier destiné à Sonia.
Cela me mène à une autre question:
La distance thérapeutique du soignant (ou de l'étudiant) se baserait-elle sur les mêmes mécanisme que nous mettons en place pour créer une relation dans la vie quotidienne avec les gens que nous cotoyons? (émotions, sentiments...)
Serait-elle une relation spécifique et professionnelle que nous acquièrons avec l'expérience du métier? (retrait de toutes nos émotions face au patient??)
j'ai eu une mine d'informations grâce au TFE de Sonia (dans les archives 2005).
J'ai appris beaucoup sur l'autisme et sa prise en charge....
Un remerciement tout particulier destiné à Sonia.
Cela me mène à une autre question:
La distance thérapeutique du soignant (ou de l'étudiant) se baserait-elle sur les mêmes mécanisme que nous mettons en place pour créer une relation dans la vie quotidienne avec les gens que nous cotoyons? (émotions, sentiments...)
Serait-elle une relation spécifique et professionnelle que nous acquièrons avec l'expérience du métier? (retrait de toutes nos émotions face au patient??)
Lou22,
Quelles ont été tes difficultés lors de cette réflexion?
Je veux venir au fait que lire du Lacan, du Freud, du Mahler n'est pas forcement très facile...
As-tu l'occasion de concrétiser ta recherche lors de ton travail par la suite?
oui ce n'est pas facile mais c'est très riche : en fait je te conseille plutot de lire des ouvrages qui parlent de lacan, freud... c'est résumé et l'essentiel y es...
j'ai pu concrétiser ma recherche pour mon travail bien sur...

La distance thérapeutique du soignant (ou de l'étudiant) se baserait-elle sur les mêmes mécanisme que nous mettons en place pour créer une relation dans la vie quotidienne avec les gens que nous cotoyons? (émotions, sentiments...)
Serait-elle une relation spécifique et professionnelle que nous acquièrons avec l'expérience du métier? (retrait de toutes nos émotions face au patient??)
oui nous mettons en place les même mécanismes,mais attention a bien les modérer car la relation est beaucoup plus fragile avec un enfant autiste qu'avec une personne X.
Et bien sur, l'expérience est une aide precieuse pour nous aider à tendre vers une relation le plus professionnel possible ... mais, ce n'est pas tout bien sur, il y a plein d'autres aides et surtout, il n'ya aucune recette pour "trouver" cette distance thérapeutique.....

Dernière modification par Lou22 le 08 oct. 2006 15:12, modifié 1 fois.
IDE pédopsy
"On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs - mais il est étonnant de voir combien on peut casser d'oeufs sans faire d'omelette décente" (loi de Murphy)
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- Inscription : 23 sept. 2006 11:49
J'adore se prénom, Lou...
Bref, il n'y pas de recette miracle pour cette fameuse distance thérapeutique... Et c'est bien dommage, parce que le mot thérapeutique veut bien dire ce que ça veut dire. On est en plein dans le soin lorsque nous sommes dedans et hors du soin lorsque nous y sommes pas...
Peut-être qu'en se posant la question à l'envers ce serais plus facile de comprendre cette notion:
Quand pouvons nous savoir que nous ne sommes plus DANS la bonne distance thérapeutique? Mais que nous sommes HORS de cette distance?
Peut-être lorsque le patient ou soi-même ne se sentons pas bien dans la relation... Ou lorsque nous ne soignons pas la personne? Ou bien, encore, parce que nous ne connaissons pas réellement la maladie à laquelle est confronté notre patient et que notre rapport avec cette maladie ou l'approche que nous en faisons ne correspond pas à ce qu'attend un autiste?
Ou peut-être quand je suis sur les chiottes...
Bref, il n'y pas de recette miracle pour cette fameuse distance thérapeutique... Et c'est bien dommage, parce que le mot thérapeutique veut bien dire ce que ça veut dire. On est en plein dans le soin lorsque nous sommes dedans et hors du soin lorsque nous y sommes pas...
Peut-être qu'en se posant la question à l'envers ce serais plus facile de comprendre cette notion:
Quand pouvons nous savoir que nous ne sommes plus DANS la bonne distance thérapeutique? Mais que nous sommes HORS de cette distance?
Peut-être lorsque le patient ou soi-même ne se sentons pas bien dans la relation... Ou lorsque nous ne soignons pas la personne? Ou bien, encore, parce que nous ne connaissons pas réellement la maladie à laquelle est confronté notre patient et que notre rapport avec cette maladie ou l'approche que nous en faisons ne correspond pas à ce qu'attend un autiste?
Ou peut-être quand je suis sur les chiottes...

Tu as de bonnes reflexions... Pleins de questions interessantes que tu peux te mettre de côté pour axer tes recherches et aussi ton enquête...
En effet, la question du "quand suis je dans la relation thérapeutique" ou "hors de cette relation thérapeutiqu" ets juste à se poser... et je pense qu'on n'y répond pas une fois pour toutes, on se la repose sans arrêt.
Juste pour rajouter une chose, sache qu'un des objectifs thérapeutiques à ne pas négliger avec l'enfant autiste est son BIEN ÊTRE. si tu arrive à ça, tu es déjà gagnant dans ton soin. N'oublie pas qu'un des grands symptômes de l'autisme c'est l'angoisse. Et ça, c'est important à prendre en compte dans cette fameuse "distance thérapeutique" à trouver.
COmment mettre des cadres juste comme il faut pour qu'il se sente en sécurité sans tomber dans l'angoisse, comment l'approcher comme lui aurait envie, mais tout en le faisant évoluer... tant de questions à se poser sans arrêt lorsequ'on prend en charge ce type d'enfant.
Bon courage à toi !!
PS : moi aussi j'adore le prénom Lou.... hélas je ne m'apelle pas comme ça...
En effet, la question du "quand suis je dans la relation thérapeutique" ou "hors de cette relation thérapeutiqu" ets juste à se poser... et je pense qu'on n'y répond pas une fois pour toutes, on se la repose sans arrêt.
Juste pour rajouter une chose, sache qu'un des objectifs thérapeutiques à ne pas négliger avec l'enfant autiste est son BIEN ÊTRE. si tu arrive à ça, tu es déjà gagnant dans ton soin. N'oublie pas qu'un des grands symptômes de l'autisme c'est l'angoisse. Et ça, c'est important à prendre en compte dans cette fameuse "distance thérapeutique" à trouver.
COmment mettre des cadres juste comme il faut pour qu'il se sente en sécurité sans tomber dans l'angoisse, comment l'approcher comme lui aurait envie, mais tout en le faisant évoluer... tant de questions à se poser sans arrêt lorsequ'on prend en charge ce type d'enfant.
Bon courage à toi !!
PS : moi aussi j'adore le prénom Lou.... hélas je ne m'apelle pas comme ça...

IDE pédopsy
"On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs - mais il est étonnant de voir combien on peut casser d'oeufs sans faire d'omelette décente" (loi de Murphy)
"On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs - mais il est étonnant de voir combien on peut casser d'oeufs sans faire d'omelette décente" (loi de Murphy)