Conseil : Analyse de situation
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Conseil : Analyse de situation
Bonjour, je suis rentrée de mon premier stage il y a peu de temps. J'avais donc mon APP analyse de situation de fin de stage à écrire mais j'aurais besoin de savoir si je n'ai rien oublié dans les différentes étapes ou si jamais mon récit démontre une faute d'hygiène.
J'ai en effet réalisé cette réfection de pansement avec une infirmière qui ne respecter pas forcément les règles d'hygiènes que j'avais vu dans mes cours et j'avoue être un petit peu perdue dans les étapes à suivre dans les chambres d'isolement, j'ai en effet travailler avec des infirmières qui ne faisait jamais la même chose j'ai donc peur d'avoir oublier des règles essentielles, un soin que je n'ai réalisé qu'une seule fois au cours de mon stage. Merci d'avance.
Je m'appelle.. Je suis étudiante en première année (L1) à l'institut de Formation en Soins Infirmiers de.. à.. J'effectue mon stage à l'hôpital de .. dans le secteur 3 de néphrologie pour une durée de 5 semaines. J'ai réalisé la réfection d'un pansement sale à M.. un patient qui était paraplégique avec une insuffisance rénale aiguë. Il avait été opéré précédemment dans le but de lui poser une sonde de néphrectomie. Toutefois le patient en question était en chambre d'isolement puisqu'il était infecté par un ERV, un entérocoque résistant à la vancomycine, un prélèvement que nous effectuons lors de chaque nouvelle entrée.
Ainsi, avant d'entrer dans la chambre, je prépare le matériel nécessaire sur un chariot qui a été préalablement désinfecté par des mouvements circulaires du plus propre vers le plus sale pour limiter les bactéries puis je prends les précautions nécessaires en mettant une blouse, des gants mais également un masque et une charlotte, les éléments indispensables lors d'une réfection de pansement afin d'être dans les conditions les plus stériles possibles. Je n'oublie pas de fermer la porte et de mettre la présence pour indiquer aux infirmières qu'un soin est en train d'être réalisé et ainsi d'éviter d'avoir des ruptures d’asepsies.
Accompagnée de l'infirmière, je place ensuite mon chariot de manière organisée en « triangle » dans le but de suivre un circuit précis, celui d'aller du chariot au patient puis d'éliminer les objets souillés dans la poubelle de décontamination de couleur jaune que j'avais accrochée avec des sparadraps afin d'éviter qu'il ne tombe par terre et qu'il y est des risques d'infections. Après avoir réalisé une friction au SHA, solution hydroalcoolique en respectant les différentes étapes en allant du pouce aux poignets pour éliminer toutes les bactéries. Je débute ensuite le soin en détachant la ceinture abdominale que le patient possédait puisqu'il avait eu en effet une éventration lors de son opération. Tout d'abord, je met des gants à usage unique, je place ensuite un champ stérile au-dessus de monsieur .. puis je détache ensuite les pansements souillés un par un en les éliminant en hauteur pour ne pas toucher la poubelle et risquer de réaliser des fautes d'hygiènes. Je n'oublie pas de regarder si la plaie chirurgicale présente des rougeurs, des inflammations qui serait la conséquence d'une infection, une conséquence possible après une opération au bloc.
Puis, je réalise le protocole avec de la bétadine en 4 temps. Ainsi, je débute par le lavage avec la bétadine scrub de couleur rouge que j'avais préalablement versée sur trois cotons. Je choisis ensuite d'utiliser ma pince verte pour toucher mes objets stériles et la pince bleu qui me servira pour aller vers mon patient. Je passe ainsi mon coton imbibé de bétadine sur la plaie que j'élimine ensuite rapidement dans la poubelle. J'en reprends deux autres pour le lavage des périphéries, une fois du côté le plus éloigné du patient et l'autre fois de mon côté afin de respecter les règles d'hygiènes. Je poursuis ensuite le soin par un rinçage en suivant la même procédure, des étapes que l'on peut faire soit avec de l'eau stérile ou avec une solution de Nacl. J'enchaîne par un séchage en repliant ma compresse en 4, une technique que j'avais du mal à réaliser par manque d'expérience. L'infirmière m'a alors conseillé de m'entraîner à la maison, un conseil que je n'hésiterais pas à suivre puisque le fait de ne pas y arriver m'a fait en effet stresser sur le moment. J'essaye toutefois de retrouver mon calme afin de ne pas me précipiter et je terminer le protocole par l'étape de désinfection avec de la bétadine dermique de couleur jaune. Je continue ensuite le soin par mettre des pansements de manière organisés afin d'utiliser les bonnes tailles et ainsi ne pas risquer de toucher les agrafes. Je prends également le temps de couper les rebords d'un des pansements dans le but de ne pas avoir d'éventuels bords qui se colleraient sur peau encore à vif du patient. Une fois la réfection de pansement réalisé, j'élimine tout mon matériel souillé dans la poubelle ainsi que mon champ stérile puis je n'hésite pas à me frictionner les mains de manière abondante avant de remettre la ceinture d'éventration sans oublier sa blouse pour ne pas qu'il est froid mais aussi pour respecter la notion de pudeur qui est primordiale dans notre rôle d'infirmier.
J'ai en effet réalisé cette réfection de pansement avec une infirmière qui ne respecter pas forcément les règles d'hygiènes que j'avais vu dans mes cours et j'avoue être un petit peu perdue dans les étapes à suivre dans les chambres d'isolement, j'ai en effet travailler avec des infirmières qui ne faisait jamais la même chose j'ai donc peur d'avoir oublier des règles essentielles, un soin que je n'ai réalisé qu'une seule fois au cours de mon stage. Merci d'avance.
Je m'appelle.. Je suis étudiante en première année (L1) à l'institut de Formation en Soins Infirmiers de.. à.. J'effectue mon stage à l'hôpital de .. dans le secteur 3 de néphrologie pour une durée de 5 semaines. J'ai réalisé la réfection d'un pansement sale à M.. un patient qui était paraplégique avec une insuffisance rénale aiguë. Il avait été opéré précédemment dans le but de lui poser une sonde de néphrectomie. Toutefois le patient en question était en chambre d'isolement puisqu'il était infecté par un ERV, un entérocoque résistant à la vancomycine, un prélèvement que nous effectuons lors de chaque nouvelle entrée.
Ainsi, avant d'entrer dans la chambre, je prépare le matériel nécessaire sur un chariot qui a été préalablement désinfecté par des mouvements circulaires du plus propre vers le plus sale pour limiter les bactéries puis je prends les précautions nécessaires en mettant une blouse, des gants mais également un masque et une charlotte, les éléments indispensables lors d'une réfection de pansement afin d'être dans les conditions les plus stériles possibles. Je n'oublie pas de fermer la porte et de mettre la présence pour indiquer aux infirmières qu'un soin est en train d'être réalisé et ainsi d'éviter d'avoir des ruptures d’asepsies.
Accompagnée de l'infirmière, je place ensuite mon chariot de manière organisée en « triangle » dans le but de suivre un circuit précis, celui d'aller du chariot au patient puis d'éliminer les objets souillés dans la poubelle de décontamination de couleur jaune que j'avais accrochée avec des sparadraps afin d'éviter qu'il ne tombe par terre et qu'il y est des risques d'infections. Après avoir réalisé une friction au SHA, solution hydroalcoolique en respectant les différentes étapes en allant du pouce aux poignets pour éliminer toutes les bactéries. Je débute ensuite le soin en détachant la ceinture abdominale que le patient possédait puisqu'il avait eu en effet une éventration lors de son opération. Tout d'abord, je met des gants à usage unique, je place ensuite un champ stérile au-dessus de monsieur .. puis je détache ensuite les pansements souillés un par un en les éliminant en hauteur pour ne pas toucher la poubelle et risquer de réaliser des fautes d'hygiènes. Je n'oublie pas de regarder si la plaie chirurgicale présente des rougeurs, des inflammations qui serait la conséquence d'une infection, une conséquence possible après une opération au bloc.
Puis, je réalise le protocole avec de la bétadine en 4 temps. Ainsi, je débute par le lavage avec la bétadine scrub de couleur rouge que j'avais préalablement versée sur trois cotons. Je choisis ensuite d'utiliser ma pince verte pour toucher mes objets stériles et la pince bleu qui me servira pour aller vers mon patient. Je passe ainsi mon coton imbibé de bétadine sur la plaie que j'élimine ensuite rapidement dans la poubelle. J'en reprends deux autres pour le lavage des périphéries, une fois du côté le plus éloigné du patient et l'autre fois de mon côté afin de respecter les règles d'hygiènes. Je poursuis ensuite le soin par un rinçage en suivant la même procédure, des étapes que l'on peut faire soit avec de l'eau stérile ou avec une solution de Nacl. J'enchaîne par un séchage en repliant ma compresse en 4, une technique que j'avais du mal à réaliser par manque d'expérience. L'infirmière m'a alors conseillé de m'entraîner à la maison, un conseil que je n'hésiterais pas à suivre puisque le fait de ne pas y arriver m'a fait en effet stresser sur le moment. J'essaye toutefois de retrouver mon calme afin de ne pas me précipiter et je terminer le protocole par l'étape de désinfection avec de la bétadine dermique de couleur jaune. Je continue ensuite le soin par mettre des pansements de manière organisés afin d'utiliser les bonnes tailles et ainsi ne pas risquer de toucher les agrafes. Je prends également le temps de couper les rebords d'un des pansements dans le but de ne pas avoir d'éventuels bords qui se colleraient sur peau encore à vif du patient. Une fois la réfection de pansement réalisé, j'élimine tout mon matériel souillé dans la poubelle ainsi que mon champ stérile puis je n'hésite pas à me frictionner les mains de manière abondante avant de remettre la ceinture d'éventration sans oublier sa blouse pour ne pas qu'il est froid mais aussi pour respecter la notion de pudeur qui est primordiale dans notre rôle d'infirmier.
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