conseil de discipline, cherche soutien
Modérateurs : Modérateurs, Aides-soignants
-
- Messages : 3
- Inscription : 15 nov. 2004 16:27
conseil de discipline, cherche soutien
Je m'inquiète de voir qu'il y a pas mal d'abus de pouvoir ds les Ifsi. Je pensais avoir été la seule à avoir été virée sommairement à 3 semaines du diplôme d'état, mais il semble que ce ne soit pas si rare que ça.
Je cherche actuellement des témoignages de personnes ayant été réintégrées en faisant appel devant le tribunal administratif (pour faire état de jurispridences pour mon cas), ainsi que des professionnels (IDE, Médecins) qui accepteraient de se pencher sur l'étude du rapport de stage à l'origine de mon exclusion. Ce dernier est très litigieux, mais c'est,pour l'instant ma parole contre celle d'un surveillant, même s'il n'existe aucun témoin, aucune preuve des fautes d'aseptie reprochées ds ce rapport.Pourtant, l'administration fait bloc: il est plus facile de sacrifier une petite étudiante que de remettre en cause un collègue cadre-infirmier; même si la dite-étudiante est mère de 2 enfants.
Je crois aussi que les étudiants victimes de ce genre d'abus devraient se concerter, même si ce n'est pas allé jq au tribunal.Il est toujours temps d'éviter cele à d'autres.
Je cherche actuellement des témoignages de personnes ayant été réintégrées en faisant appel devant le tribunal administratif (pour faire état de jurispridences pour mon cas), ainsi que des professionnels (IDE, Médecins) qui accepteraient de se pencher sur l'étude du rapport de stage à l'origine de mon exclusion. Ce dernier est très litigieux, mais c'est,pour l'instant ma parole contre celle d'un surveillant, même s'il n'existe aucun témoin, aucune preuve des fautes d'aseptie reprochées ds ce rapport.Pourtant, l'administration fait bloc: il est plus facile de sacrifier une petite étudiante que de remettre en cause un collègue cadre-infirmier; même si la dite-étudiante est mère de 2 enfants.
Je crois aussi que les étudiants victimes de ce genre d'abus devraient se concerter, même si ce n'est pas allé jq au tribunal.Il est toujours temps d'éviter cele à d'autres.
-
- Messages : 3
- Inscription : 15 nov. 2004 16:27
salut nanie
en fait, c'était lors du dernier stage, juste avant le DE. J'étais ds un service de chir, et de toute évidence, ma tête ne revenait pas à une des IDE. On avait souvent les mêmes horaires pendant les 2 premières semaines, et elle se montrait très desagréable, me dévalorisait constamment quoique je fasse... Elle a dressé un tableau de moi assez négatif au surveillant. Et lui, il a pris parti pour son IDE plutôt que d'essayer de gérer le malaise.
J'ai qd même voulu finir le stage, j'ai tenté d'ignorer la crise et de faire mon taff le mieux possible malgré tout.
Et après le stage, convocation du surveillant, pour m'annoncer fièrement qu'il m'avait pondu un rapport "circonstancié"!! J'ai commencé à lui dire qu'il savait très bien que tout était faux, mais il m'a fait comprendre que le maître à bord, c'était lui: un vrai dictateur, quoi!! Alors depuis, je me bats pour rétablir un semblant de démocratie, et c'est pas simple, figure-toi!! Ca m'a amenée en conseil de discipline, exclusion....je n'ai pas eu le temps de me rendre compte de ce qui était en train de me tomber dessus, et maintanant pour agir, c'est très compliqué, même avec le soutien des syndicats, même après avoir écrit au ministère....Il ne reste que le tribunal, mais c'est long, très long.
Mais bon, il ne faut pas que ça décourage ceux qui sont encore en formation!! Ce n'est pas partout pareil, et il y a des équipes très très sympa!
en fait, c'était lors du dernier stage, juste avant le DE. J'étais ds un service de chir, et de toute évidence, ma tête ne revenait pas à une des IDE. On avait souvent les mêmes horaires pendant les 2 premières semaines, et elle se montrait très desagréable, me dévalorisait constamment quoique je fasse... Elle a dressé un tableau de moi assez négatif au surveillant. Et lui, il a pris parti pour son IDE plutôt que d'essayer de gérer le malaise.
J'ai qd même voulu finir le stage, j'ai tenté d'ignorer la crise et de faire mon taff le mieux possible malgré tout.
Et après le stage, convocation du surveillant, pour m'annoncer fièrement qu'il m'avait pondu un rapport "circonstancié"!! J'ai commencé à lui dire qu'il savait très bien que tout était faux, mais il m'a fait comprendre que le maître à bord, c'était lui: un vrai dictateur, quoi!! Alors depuis, je me bats pour rétablir un semblant de démocratie, et c'est pas simple, figure-toi!! Ca m'a amenée en conseil de discipline, exclusion....je n'ai pas eu le temps de me rendre compte de ce qui était en train de me tomber dessus, et maintanant pour agir, c'est très compliqué, même avec le soutien des syndicats, même après avoir écrit au ministère....Il ne reste que le tribunal, mais c'est long, très long.
Mais bon, il ne faut pas que ça décourage ceux qui sont encore en formation!! Ce n'est pas partout pareil, et il y a des équipes très très sympa!
-
- Messages : 3
- Inscription : 15 nov. 2004 16:27
Le surveillant a listé des faits bidons, tels que "met la compresse sur la jambe du patient avant de la remettre sur la plaie" ou encore "pansement de brûlure fait à mains nues".
Il n'y a pas de témoins de ces faits, étant donné que j'étais toujours seule lors des soins. Pas de preuves non plus: des fautes d'aseptie pouvent entraîner des infections et là, pas d'infections qui pourraient leur donner raison.
Mais le surveillant ayant conclu son rapport par la formule magique:"mise en insécurité du patient par risque d'infections nosocomiales". Alors là, ça fait pro, et surtout, ça fait peur!
Il ne s'est pas déplacé pour le conseil de discipline, et vu que j'ai nié les faits, les membres l'ont très mal pris:"nous constatons avec consternation que l'étudiante réfute tout en bloc". En gros, c'était forcément moi qui mentait.
J'ai contacté les patients concernés.Il y en a un qui voulait bien attesté que son pansement n'a pas été refait tel que décrit dans le rapport de stage, mais il est sous l'autorité de son père et ce dernier ne veut pas d'embrouilles avec l'hôpital (plus gros employeur de la petite ville où je suivais la formation).
Quant à l'autre patient, il est assez particulier et je ne peux pas compter sur lui.
Donc, voilà, et après, pour le reste, les IDE qui ont refusé de signer ce rapport ne risqueront pas leur place pour me défendre.Même si j'ai entendu dire que certaines avaient cette histoire en travers de la gorge, elles ne me feront pas d'attestations réfutant les faits.
Il n'y a pas de témoins de ces faits, étant donné que j'étais toujours seule lors des soins. Pas de preuves non plus: des fautes d'aseptie pouvent entraîner des infections et là, pas d'infections qui pourraient leur donner raison.
Mais le surveillant ayant conclu son rapport par la formule magique:"mise en insécurité du patient par risque d'infections nosocomiales". Alors là, ça fait pro, et surtout, ça fait peur!
Il ne s'est pas déplacé pour le conseil de discipline, et vu que j'ai nié les faits, les membres l'ont très mal pris:"nous constatons avec consternation que l'étudiante réfute tout en bloc". En gros, c'était forcément moi qui mentait.
J'ai contacté les patients concernés.Il y en a un qui voulait bien attesté que son pansement n'a pas été refait tel que décrit dans le rapport de stage, mais il est sous l'autorité de son père et ce dernier ne veut pas d'embrouilles avec l'hôpital (plus gros employeur de la petite ville où je suivais la formation).
Quant à l'autre patient, il est assez particulier et je ne peux pas compter sur lui.
Donc, voilà, et après, pour le reste, les IDE qui ont refusé de signer ce rapport ne risqueront pas leur place pour me défendre.Même si j'ai entendu dire que certaines avaient cette histoire en travers de la gorge, elles ne me feront pas d'attestations réfutant les faits.