10 Conseils pour la formation d'infirmière.

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Une Vie D'infirmier
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10 Conseils pour la formation d'infirmière.

Message par Une Vie D'infirmier »

Si vous voulez lire l'article directement sur mon blog, c'est par ici : https://uneviedinfirmier.blogspot.com/2 ... miere.html


Salut ça va ? Si tu es arrivé(e) ici c'est peut être que tu es à la recherche d'informations, de conseils parce que tu vas t'engager dans la formation pour devenir infirmier ! (ou infirmière mais dans cette article je laisserai infirmier parce que tout le monde dit infirmière et ça suffit d'attribuer ce travail aux femmes motherfucker) Trois années incroyable qui vont beaucoup t'enrichir, bien entendu sur le plan professionnel, parce que bon le but c'est de taffer en tant qu'infirmier, mais aussi beaucoup sur le plan personnel. Bien sûr, comme dans beaucoup de formations, il y aura des hauts et des bas, mais cet article est fait pour que tu vives plus de haut que de bas, si je peux dire ça comme ça ! Bon, sur ces bonnes paroles, je te donne tout de suite mes 10 conseils qui, je l'espère, t'aideront à passer trois bonnes années de formation.

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1. ENTOURE TOI DE BONS AMI(E)S.

Tu vas rentrer dans une promotion pouvant aller de 50 à 150 étudiants, et si tu es dans le même cas que moi il y a 4 ans, tu ne connaîtras presque personne. Personnellement, quand je suis rentré à l'école d'infirmier, ça ne faisait qu'un an que j'avais déménagé de la Réunion, j'avais fait un an de préparation au concours et seulement deux étudiantes de ma prépa avait eu le concours dans la même école que moi. Tout ça pour te dire quand ça va être la rentrée, fait toi des amis ! Mais alors pourquoi est-ce ci important à mes yeux ?


C'est simple. Déjà, dis-toi que tu vas passer trois ans de ta vie avec les mêmes personnes, et que tu vas passer beaucoup de temps avec elles : entre les cours, les moments à la BU, et même en dehors de l'école (non ce n'est pas qu'un mythe, les infirmiers font souvent la fête!). Donc autant que les personnes avec qui tu vas passer 80% de ton temps soient des personnes ressources pour toi, à qui tu peux te confier, échanger sur la formation, et passer du bon temps sur l'extérieur. Pourquoi de "bons" amis ? Alors oui, tu vas rencontrer du monde, ça, c'est certain, mais n'oublie pas que ces trois années sont importantes, car elles vont te permettre de faire le métier de tes rêves, du moins pour le moment. Et là où je veux en venir, c'est que tu ne vas pas rencontrer que des personnes qui seront bénéfiques pour toi. Entre les étudiants qui sont là sans savoir pourquoi ils sont là, ceux qui ne penseront qu'à une chose : aller boire un verre après chaque journée de cours et ceux qui viendront te parler que lorsqu'ils peuvent avoir quelque chose en retour, il va falloir que tu fasses preuves de discernement et que tu t'entoures de celles et ceux avec qui tu pourras travailler, échanger, et sortir sans que tout cela viennent mettre en péril ta formation.



2. AVOIR UNE BONNE RELATION AVEC LES FORMATEURS

Tu vas peut-être trouver ce conseil étrange, mais je vais t'expliquer le fond de ma pensée. En fait, c'est un peu dans le même principe que ce je t'ai dit pour tes amis sauf que ça peut aussi s'appliquer pour les formateurs. En effet, ces derniers vont t'accompagner pendant les trois ans de ta formation, ils vont te voir évoluer, ils vont te guider et t'aider à devenir le soignant que tu as toujours voulu être. Oui ça c'est un peu leur objectif dans les grandes lignes. Mais entre autres, ce sont aussi eux qui vont t'évaluer, qui vont te choisir tes stages, ou encore qui vont discuter avec le directeur/la directrice de l'IFSI pour te mettre une appréciation sur le travail que tu auras fourni à chaque trimestre ! Et sache que tout ce qui est écrit à ton propos pendant ta formation pourra être relu par les cadres et cadres supérieurs qui te recruteront une fois diplômé.

Alors, bien sûr, je ne te dis pas de changer ta personnalité et de dire oui à tout avec un grand sourire banane. Et je veux encore moins dire que faire copain-copain avec tes formateurs t'aidera à être diplômé alors même que tu passes toutes tes soirées à boire de bonnes bières, au risque de foirer ton cours de calcul de dose du lendemain parce que tu as un peu trop bu. Mais, rester authentique en ayant une bonne relation avec tes formateurs t'aidera peut être, je dis bien peut être, à obtenir ce stage que tu souhaites tant dans un service de réanimation par exemple. Ou bien d'obtenir quelques précieux indices et conseils sur le sujet du prochain partiel des processus psychopathologiques.

Voilà, ce qui s'est avéré pour moi, c'est que grâce à une bonne entente avec mes formateurs, j'ai réussi à obtenir des petites choses qui ont fait que j'ai passé trois années sans trop de pression, avec des personnes aidantes, qui m'ont accompagné du mieux qu'ils ont pu dans la plupart de mes demandes en lien avec la formation.


3. AVOIR UNE MÉTHODE DE TRAVAIL


Là aussi, j'aborde avec toi un sujet intéressant, et qui m'a pris la tête pendant ces trois ans d'apprentissage : la méthode de travail. Faire des fiches ou ne pas faire de fiches. Réviser deux mois avant les partiels ou "t'inquiète je gère, j'apprends vite, je vais réviser une semaine avant". Et bien, je peux t'assurer qu'il n'y a pas de méthode miracle, et qu'une méthode n'est pas meilleur qu'une autre. Ne fais pas comme moi, et ne perds pas ton temps à faire des milliards de fiches, comme ta collègue de droite pourrait faire, alors que tu n'as jamais fonctionné ainsi. Si tu es arrivé jusqu'ici, c'est que tu dois certainement déjà avoir ta méthode de travail, et elle fonctionne ! La preuve : tu es là à lire cet article pour mieux appréhender tes trois prochaines années de formation.

Pour te donner un exemple concret, en première année, j'ai voulu faire comme mes amis de promotion et faire des fiches de révision. Ils le faisaient tous et très en avance par rapport aux dates de partiels. Alors je me suis dit : "ouais trop bien, je vais faire comme eux comme ça je n'aurai aucuns rattrapages et je passerai en deuxième année finger in the nose..." Pas du tout.

En fait, en voulant adopter une méthode qui ne me correspondait pas du tout, primo, j'ai perdu presque toutes mes fiches deux semaines avant les partiels, secundo, j'ai eu 4 rattrapages. Oui, vas-y tu peux m'applaudir. Mais du coup, j'ai un peu réfléchi et le semestre qui a suivi, j'ai repris mes bonnes vieilles habitudes de révision : dans l'urgence en mode bourrage de crâne à apprendre tout par cœur pour ne rien oublier. Certains diront que ce n'est pas non plus la solution, mais je fonctionne comme ça depuis que je suis au lycée et j'ai toujours atteint mes objectifs comme cela. Résultat, au troisième trimestre je n'ai eu aucun rattrapage. Et j'en ai eu que très peu le reste de la formation.

Conclusion : utilise ce qui fonctionne le mieux pour toi, et tu verras que si tu es un minimum rigoureux pendant les cours, tout ira très bien.


4. SAVOIR SE VIDER LA TÊTE

Tu vas passer, normalement, pas mal de temps à bosser tes cours et tes stages. Mais dans une formation comme celle-ci, qui te prendra parfois la tête, qui mettra tes émotions à rudes épreuves lors des partiels ou des stages, il sera très important pour toi de savoir prendre du recul et te changer les idées. Faire du sport, voir tes amis, ta famille, prendre du temps pour toi à regarder la dernière saison de Peaky Blinders seront des moments nécessaires pour te ressourcer et ne pas déprimer pendant tes études. Tu vas voir, que l'école d'infirmier demande tout de même beaucoup d'investissement et c'est pour cela que je te recommande de préserver ces quelque temps, rien que pour toi, afin de te ressourcer.

Autre point que je trouve important à aborder : les vacances. Personnellement, je suis contre le fait de travailler à l'hôpital ou dans un EHPAD pendant les vacances scolaires. Que tu veuilles travailler ça c'est très bien, mais je suis plus d'avis de ceux qui te diront de travailler totalement dans un autre milieu que celui de la santé. Tu as déjà passé 10 mois de ton année à alterner entre les cours et les stages pour devenir infirmier, alors profites-en pour faire autre chose pendant tes vacances. Personnellement, j'ai travaillé dans une grande surface pendant mes vacances d'été, au moins j'ai gardé cet aspect relationnel avec les clients, et en plus, j'avais tous mes week-ends pour profiter de l'été avec les amis. Et n'écoute pas ceux qui te diront que travailler dans le secteur de la santé pendant les vacances te permettra d'être recruté plus facilement une fois diplômé, ce n'est pas vrai. Tes futurs employeurs te recruteront non pas en fonction de ce que tu as déjà fait, mais en fonction de tes projets et de leurs besoins. Et tu vas réaliser assez de stages pendant ta formation pour te créer un petit CV déjà sympathique.


5. ANTICIPER LE MÉMOIRE DE FIN D’ÉTUDE

Alors là, je connais quelques personnes qui ne seront pas d'accord, car ils ont réalisé un mémoire génial en très peu de temps. Mais en tout cas, pour ma part, en première année je savais déjà quel sujet je voulais travailler : l'humour dans les soins. Et le fait de savoir cela, m'a permis d'en parler assez rapidement aux formateurs, qui m'ont dit que ça pouvait se faire, et d'orienter mes recherches et mes analyses de pratiques vers ce sujet pendant mes trois ans d'études. Alors bien sûr, arrivé en troisième année, les formateurs m'ont conseillé de préciser le sujet, ainsi, il est devenu : L'utilisation de l'humour dans le cadre de la fin de vie.

Anticiper mon mémoire m'a aussi permis d'assister, en début de deuxième année, à un séminaire en lien avec l'utilisation de l'humour comme moyen thérapeutique pour rentrer en relation avec les patients. Quelque chose que je n'aurais pas fait si je m'y étais pris au dernier moment pour choisir mon sujet.

Voilà, de toute façon, je ne vais pas m'éterniser sur ce point, je ne t'apprends rien en te disant qu'anticiper les choses te permettra toujours d'assurer de meilleurs résultats et d'éviter de stresser au vu des échéances qui seront de plus en plus nombreuses en troisième année.

6. PAS D’ABSENTÉISME

Là non plus, je vais aborder un sujet qui en soit ne devrait pas t'étonner et qui va aller assez vite : le présentéisme, ou bien l'absentéisme si je le formule comme le titre de cette partie.

En fait il faut que tu comprennes quelque chose : le comportement que tu auras pendant la formation, c'est-à-dire pendant les cours et les stages, reflétera en général le comportement que tu auras par la suite au travail. Si pendant tous tes stages, tu cumules à chaque fois plusieurs absences, d'une part ça va mettre en péril ta formation, car tu risques de ne pas valider tes stages et ton semestre, et d'une autre part les recruteurs qui regarderont ton dossier avant de te proposer un poste se diront que tu es souvent absent, donc qu'ils ne pourront pas compter sur toi en tant qu'employé.

Bien entendu, il peut arriver un malheur à n'importe qui, et si ton absence est justifiée, tu ne risqueras rien.

7. ÊTRE ACTEUR PENDANT LES STAGES

AH ! Là c'est un sujet intéressant parce que, maintenant diplômé, j'en vois passer des étudiants, et je remarque à quel point il y a des profils différents, et à quel point les stages peuvent être appréhendé de manière différente selon la personne.
Le meilleur de tous les conseils que je peux te donner, c'est d'être acteur pendant tes stages, et pendant ta formation même, mais surtout pendant tes stages, parce que c'est sur le terrain que tu vas façonner le soignant que tu seras demain.

Qu'est-ce que je veux dire par "acteur" ? Là où je veux en venir, c'est qu'il va falloir que tu apprennes à te gérer tout seul, sans que ton tuteur ou un autre soignant te dise de faire les choses. Je vais te donner des exemples concrets pour cela.



Avant ton stage, tu vas définir des objectifs bien concret EN LIEN avec le lieu de stage où tu vas aller. Et pas des objectifs bidons juste pour remplir la partie objectifs de stage de ton portfolio
Dès ton premier stage, tu vas t'acheter un CAHIER DE BORD. Ça sert à quoi ? Tout simplement à noter tous, et je dis bien tous les soins que tu vas faire au cours d'une journée de stage. Alors oui, ça peut être long selon ton lieu de stage, mais je te conseille vivement de le faire, et même jusqu'à noter la plus petite HGT que tu vas faire à 10h04 parce qu'un patient te dit qu'il ne se sent pas bien. En fait, ce cahier va être utilisé pour voir ton évolution dans l'acquisition des soins infirmiers, et d'avoir une trace écrite de tout ce que tu as fait pendant le stage. Parce qu'entre dire à l'oral que l'infirmière qui est en vacances à valider ta prise de sang la semaine dernière et prouver par une signature de cette même infirmière que tu as validé ce soin, il y a une très grande différence pour ton tuteur et tes formateurs.
Tu te feras évaluer avant la fin de la deuxième semaine sur les soins d'hygiène ! La compétence 3 de la formation infirmière... Tu vas en entendre parler de celle-là, et je peux t'assurer que pour ne pas que ça devienne une source d'angoisse, vaut mieux que tu la valide assez tôt dans le stage. Alors ne pas la valider pendant un stage en première année, ne t'inquiète pas, ça arrive à tout le monde. Mais être en troisième année, et remarquer qu'à la fin de la dixième semaine de stage, tu n'as toujours pas validé ta compétence 3, là tu peux dire au revoir à ton diplôme, et je n'exagère presque pas.


Voilà, déjà trois conseils pour tes stages qui vont montrer aux infirmières du service et aux formateurs qui viendront te rencontrer, que tu as pris en main ton stage, et que tu es motivé à évoluer dans le bon sens.

8. ÊTRE HUMAIN

Le métier d'infirmier est un métier humain, là, je ne t'apprends rien, car c'est sans doute pour ça que tu veux faire ce métier. Mais malgré tout, la réalité fait qu'il y a de plus en plus de travail, pour de moins en moins de soignants. Tu vas sans doute aller dans des lieux de stages où la charge de travail est très importante, et tu vas devoir apprendre/réaliser beaucoup de soins en peu de temps.

N'oublie jamais que l'homme que tu réveilles à 6h30 pour t'entraîner à une prise de sang, que la femme à qui tu vas donner des comprimés le midi ou en encore que la personne âgée qui va sonner sans cesse le soir, car elle est angoissée sont des êtres humains, avec une histoire de vie, avec des émotions qui peuvent te toucher. Tu vas souvent ne pas avoir le temps, ou être fatigué, mais profite de ce moment, de ce statut d'étudiant pour dire quand tu te sens en difficulté. Cela va te permettre de prendre du recul sur ce qui te met en difficulté.

Car la formation d'infirmière va t'apprendre les ficelles du métier, mais va aussi te permettre d'apprendre beaucoup sur toi. Travailler avec des personnes malades n'est pas anodin et ces dernières vont te renvoyer beaucoup de choses selon ton histoire de vie ou ton expérience professionnelle. Alors être dans cette période d'apprentissage te permettra aussi d'avoir le temps de repérer tes faiblesses afin de te renforcer pour faire face, plus tard en tant qu'infirmier, à la détresse des patients.

9. SAVOIR DIRE NON

Tu es étudiant, pas esclave. Tu vas rencontrer beaucoup de personnes pendant ta formation et notamment durant tes stages. Des personnes plus ou moins aidantes, et il va falloir que tu apprennes à dire non, de la bonne manière bien sûr.

Quand tu seras en stage, il se peut que certains soignants profitent de ta présence pour se décharger un petit peu du travail qu'ils ont à faire : préparer le café des patients (et même parfois des soignants), t'attribuer toutes les toilettes du service sous prétexte qu'il faut que tu valides la compétence 3, ou encore amener la dame de la chambre 7 à l'EEG parce que l'infirmière de journée est à papoter avec la secrétaire de ses dernières vacances. Alors je ne dis pas que tout cela n'est pas à faire, mais rappel toi qu'il faut que tu te fixes des priorités durant ta formation et tes stages. Tu apprendras à planifier tes journées, tes soins en fonction du nombre de patients que tu as en charge. Mais certains soignants ne verront pas cela du même œil et penseront que tu seras toujours disponible pour tout. Or, ce n'est pas le cas.

Tu as le droit de dire non, tant que c'est justifié. Et n'oublie pas que tu as toujours des personnes référentes en cas de soucis : ton tuteur de stage, le cadre du service ou bien tes formateurs. N'ai pas peur de répondre (d'une façon intelligente) lorsque tu penses que quelqu'un te manque de respect, ou utilise à mauvais escient ton statut de stagiaire. C'est aussi apprendre à s'affirmer en tant que futur soignant, et tu verras que ça t'aidera par la suite.

10. ETUDIER ET S'AMUSER

Dernier point, et j'insiste sur celui-là. Oui, il faut prendre au sérieux ta formation, car elle n'est pas facile et qu'elle demande beaucoup de travail. Mais profites aussi de ces trois ans pour t'amuser. Et quand je dis t'amuser ce n'est pas forcément te prendre une cuite tous les week-ends. Je veux dire par là qu'il y a moyen de t'amuser en étudiant. Soit créatif dans tes travaux de groupe, dans ton travail personnel. Investis toi dans ta formation, en profitant de tout ce qui peut s'offrir à toi et qui peut être bénéfique pour toi. Et tu verras que c'est souvent comme ça que tu retiendras le mieux tes cours et que tu créeras de bons souvenirs avec tes futurs collègues infirmier.

Pour te donner un exemple, en troisième année, nous avions une évaluation orale de groupe à réaliser en rapport avec la différence des pratiques infirmières selon les régions du monde. On avait choisi la pratique infirmière en Côtes-d'Ivoire, au Québec et en France. Je me suis ramené à l'évaluation en paréo en parlant avec un accent africain, ma collègue a essayé, je dis bien essayé de faire l'accent québécois ( ce qui ressemblait plus à un accent belge d'ailleurs). Mais, dans la préparation de ce partiel, et pendant l'évaluation même, nous avons passé un super bon moment et en plus de ça, je crois qu'on a eu une super note !

J'ai pleins d'autres exemples à te donner, mais ça deviendrait bien trop long, et je parle déjà beaucoup. En tout cas, j'écris ce dernier conseil pour que tu aies conscience que cette formation passe très vite, et qu'il est important d'en profiter un maximum, pour ne pas avoir de regret et pour faire de ces trois années un agréable moment.



Voilà, j'espère que ces 10 conseils pour la formation infirmière t'auront aidé à mieux appréhender ces trois ans de formations et te seront utiles si jamais tu rentres dans un IFSI à la rentrée prochaine. N'hésite pas à dire ce que tu penses de ces conseils dans l'espace commentaire et de partage cet article à tes amis qui souhaitent eux aussi devenir infirmier.

À bientôt.
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