difference entre sage femme et infirmiere puer
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Salut, pour mes deux accouchements je n'ai jamais vu la puéricultrice, il y en avait une, mais lors de l'accouchement c'est l'aux de puer qui est là et qui s'occupe de la pesée...., voir une inf.
PUERICULTRICE
Définition
La puéricultrice est une spécialiste de la santé et des soins à la petite enfance. C’est avant tout une infirmière (ou une sage-femme). Elle joue aussi un rôle d’éducation et de prévention. Ne pas confondre avec l’éducatrice de jeunes enfants ou avec l’aide puéricultrice ou l’assistante maternelle.
Description des tâches / conditions de travail
Dans les maternités, la puéricultrice est chargée de veiller sur les nouveaux-nés, en collaboration avec le pédiatre et la sage-femme. Elle réalise le premier examen des bébés, établit leur régime alimentaire et assure leur toilette. Elle conseille également les jeunes mamans sur les soins, l’allaitement, le développement physique et affectif de l’enfant. Dans les services pédiatriques des hôpitaux ou en chirurgie infantile, elle partage son temps entre les soins aux enfants malades et les relations avec les familles. Elle fait des pansements, pose des perfusions, distribue des médicaments et suit l’exécution du traitement.
En PMI (protection maternelle et infantile), elle joue un rôle de prévention, de protection et d’éducation auprès des familles. Elle participe aux consultations dans les centres spécialisés, conseille les parents, assure le suivi à domicile des enfants signalés par l’hôpital ou par le service de l’aide sociale à l’enfance.
La puéricultrice travaille toujours au sein d’une équipe de personnels soignants, d’éducateurs de jeunes enfants ou de travailleurs sociaux. À l’hôpital, les horaires peuvent être contraignants (travail de nuit ou pendant le week-end). En PMI elle est très souvent en déplacement. Dans tous les cas, bonne santé physique et nerveuse, patience et sens des responsabilités sont indispensables pour exercer ce métier.
À savoir : la profession est exercée à presque 100 % par des femmes, mais, en principe, rien n’interdit à un homme d’être « puériculteur » !
Salaires / revenus
Le salaire de la puéricultrice varie selon le secteur d’activité, la convention collective, l’ancienneté et la fonction exercée. Dans la fonction hospitalière elle est fonctionnaire de catégorie A. En moyenne, la rémunération mensuelle brute s’échelonne de 1 250 € en début de carrière à 2 500 € en fin de carrière. Si elle occupe un poste de responsabilité, elle perçoit un salaire aux alentours de 2 300 € pour commencer.
Evolution professionnelle
Après cinq ans d’expérience professionnelle, la puéricultrice peut devenir directrice d’une structure d’accueil de jeunes enfants (crèches, halte-garderie, pouponnière…). Elle peut aussi coordonner les actions municipales en faveur de la petite enfance, ou assurer des actions de formation auprès des assistantes maternelles. Elle peut enfin prendre en charge la surveillance d’un service de pédiatrie en tant que surveillante-chef ou infirmière générale, à condition d’avoir obtenu un diplôme de cadre de santé.
Etudes / formations
Pour pouvoir préparer le diplôme d’État de puéricultrice, vous devez déjà être titulaire du diplôme d’État d’infirmière ou de sage-femme et réussir un concours d’admission dans une école de puériculture. Les études durent 12 mois après l’admission dans l’école de spécialisation. Il en existe une trentaine agréées par le ministère de la Santé.
95 % des puéricultrices ont une formation d’infirmière. La formation d’infirmière dure elle-même 3 ans et se déroule dans un IFSI (institut de formation aux soins infirmiers). Elle est accessible sur concours après le bac. Les sage-femmes sont désormais formées en 5 années d’études après le bac. Pour ce qui les concerne le passage par une année de PCEM1 est désormais le règle.
SAGE FEMME
Définition
La sage-femme accompagne les femmes enceintes tout au long de leur grossesse, depuis l’établissement du diagnostic jusqu’à l’accouchement. Elle a à la fois un rôle médical et psychologique.
Description des tâches / conditions de travail
La sage-femme prescrit et effectue les examens nécessaires à la surveillance de la grossesse normale. Elle anime des séances de préparation à la naissance : relaxation, sophrologie, yoga… Responsable du déroulement de l’accouchement, elle pose le diagnostic du début du travail, dont elle suit l’évolution, et aide la future mère jusqu’à sa délivrance.
Son activité ne se limite pas à des gestes techniques, son rôle est également d’ordre relationnel. Elle doit savoir expliquer ce qui va se passer, rassurer la mère, associer le père à ce moment important… Aidée des technologies de pointe (monitoring, échographies…), elle assure toute seule les trois quarts des accouchements. Lorsque des complications surviennent, elle doit savoir apprécier la situation et agir très vite, en faisant appel au gynécologue obstétricien ou au chirurgien. Après l’accouchement, la sage-femme s’occupe du nouveau-né, vérifie qu’il est en bonne santé et accomplit des gestes de réanimation si nécessaire. Elle surveille également le rétablissement de la mère et la conseille sur l’allaitement et l’hygiène du bébé.
Il s’agit d’une profession médicale à part entière, qui comporte de lourdes responsabilités. Les conditions de travail sont souvent très dures : horaires irréguliers, gardes de nuit, stress… Une grande résistance à la fatigue physique et nerveuse est nécessaire pour exercer. La plupart des sages-femmes travaillent dans les hôpitaux ou les cliniques privées. Quelques unes exercent en libéral, ou bien dans des centres de protection maternelle et infantile (PMI) ou des centres de planification familiale ; elles ont alors un rôle axé davantage sur la prévention et la pédagogie. À savoir : la profession est ouverte aux hommes (1% des effectifs).
Salaires / revenus
En début de carrière (dans le public), une sage-femme perçoit un salaire mensuel net d’environ 1 700 €. En fin de carrière, son salaire est approximativement de 2 750 €. Dans, le privé, les rémunérations sont sensiblement les mêmes.
Evolution professionnelle
Les sages-femmes peuvent accéder à d’autres professions (médicales ou paramédicales) soit en se présentant à différents concours, soit par le jeu des équivalences de diplômes. Après quelques années d’exercice, un recrutement sur titres leur permet de devenir directrices de maisons maternelles ou de centres de PMI. Avec une formation d’un an, elles peuvent devenir puéricultrices. Enfin, en passant un concours, elles peuvent enseigner les sciences et techniques médico-sociales dans les lycées.
Etudes / formations
Le diplôme d’État de sage-femme s’obtient après 5 ans d’études après le bac (S) dans une école spécialisée.
La première année est commune avec celle des étudiants en médecine et en odontologie (PCEM1 : premier cycle des études médicales, 1ère année). Il est donc nécessaire de s’inscrire dans une faculté de médecine. Selon leur classement les étudiants peuvent choisir la formation de sage-femme. Ceux qui le font entrent alors pour 4 ans dans une école spécialisée.
Attention : l’accès direct, sur concours, dans une école de sage-femme n’existe plus. Le passage par le PCEM1 est un passage… obligé.
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
PUERICULTRICE
Définition
La puéricultrice est une spécialiste de la santé et des soins à la petite enfance. C’est avant tout une infirmière (ou une sage-femme). Elle joue aussi un rôle d’éducation et de prévention. Ne pas confondre avec l’éducatrice de jeunes enfants ou avec l’aide puéricultrice ou l’assistante maternelle.
Description des tâches / conditions de travail
Dans les maternités, la puéricultrice est chargée de veiller sur les nouveaux-nés, en collaboration avec le pédiatre et la sage-femme. Elle réalise le premier examen des bébés, établit leur régime alimentaire et assure leur toilette. Elle conseille également les jeunes mamans sur les soins, l’allaitement, le développement physique et affectif de l’enfant. Dans les services pédiatriques des hôpitaux ou en chirurgie infantile, elle partage son temps entre les soins aux enfants malades et les relations avec les familles. Elle fait des pansements, pose des perfusions, distribue des médicaments et suit l’exécution du traitement.
En PMI (protection maternelle et infantile), elle joue un rôle de prévention, de protection et d’éducation auprès des familles. Elle participe aux consultations dans les centres spécialisés, conseille les parents, assure le suivi à domicile des enfants signalés par l’hôpital ou par le service de l’aide sociale à l’enfance.
La puéricultrice travaille toujours au sein d’une équipe de personnels soignants, d’éducateurs de jeunes enfants ou de travailleurs sociaux. À l’hôpital, les horaires peuvent être contraignants (travail de nuit ou pendant le week-end). En PMI elle est très souvent en déplacement. Dans tous les cas, bonne santé physique et nerveuse, patience et sens des responsabilités sont indispensables pour exercer ce métier.
À savoir : la profession est exercée à presque 100 % par des femmes, mais, en principe, rien n’interdit à un homme d’être « puériculteur » !
Salaires / revenus
Le salaire de la puéricultrice varie selon le secteur d’activité, la convention collective, l’ancienneté et la fonction exercée. Dans la fonction hospitalière elle est fonctionnaire de catégorie A. En moyenne, la rémunération mensuelle brute s’échelonne de 1 250 € en début de carrière à 2 500 € en fin de carrière. Si elle occupe un poste de responsabilité, elle perçoit un salaire aux alentours de 2 300 € pour commencer.
Evolution professionnelle
Après cinq ans d’expérience professionnelle, la puéricultrice peut devenir directrice d’une structure d’accueil de jeunes enfants (crèches, halte-garderie, pouponnière…). Elle peut aussi coordonner les actions municipales en faveur de la petite enfance, ou assurer des actions de formation auprès des assistantes maternelles. Elle peut enfin prendre en charge la surveillance d’un service de pédiatrie en tant que surveillante-chef ou infirmière générale, à condition d’avoir obtenu un diplôme de cadre de santé.
Etudes / formations
Pour pouvoir préparer le diplôme d’État de puéricultrice, vous devez déjà être titulaire du diplôme d’État d’infirmière ou de sage-femme et réussir un concours d’admission dans une école de puériculture. Les études durent 12 mois après l’admission dans l’école de spécialisation. Il en existe une trentaine agréées par le ministère de la Santé.
95 % des puéricultrices ont une formation d’infirmière. La formation d’infirmière dure elle-même 3 ans et se déroule dans un IFSI (institut de formation aux soins infirmiers). Elle est accessible sur concours après le bac. Les sage-femmes sont désormais formées en 5 années d’études après le bac. Pour ce qui les concerne le passage par une année de PCEM1 est désormais le règle.
SAGE FEMME
Définition
La sage-femme accompagne les femmes enceintes tout au long de leur grossesse, depuis l’établissement du diagnostic jusqu’à l’accouchement. Elle a à la fois un rôle médical et psychologique.
Description des tâches / conditions de travail
La sage-femme prescrit et effectue les examens nécessaires à la surveillance de la grossesse normale. Elle anime des séances de préparation à la naissance : relaxation, sophrologie, yoga… Responsable du déroulement de l’accouchement, elle pose le diagnostic du début du travail, dont elle suit l’évolution, et aide la future mère jusqu’à sa délivrance.
Son activité ne se limite pas à des gestes techniques, son rôle est également d’ordre relationnel. Elle doit savoir expliquer ce qui va se passer, rassurer la mère, associer le père à ce moment important… Aidée des technologies de pointe (monitoring, échographies…), elle assure toute seule les trois quarts des accouchements. Lorsque des complications surviennent, elle doit savoir apprécier la situation et agir très vite, en faisant appel au gynécologue obstétricien ou au chirurgien. Après l’accouchement, la sage-femme s’occupe du nouveau-né, vérifie qu’il est en bonne santé et accomplit des gestes de réanimation si nécessaire. Elle surveille également le rétablissement de la mère et la conseille sur l’allaitement et l’hygiène du bébé.
Il s’agit d’une profession médicale à part entière, qui comporte de lourdes responsabilités. Les conditions de travail sont souvent très dures : horaires irréguliers, gardes de nuit, stress… Une grande résistance à la fatigue physique et nerveuse est nécessaire pour exercer. La plupart des sages-femmes travaillent dans les hôpitaux ou les cliniques privées. Quelques unes exercent en libéral, ou bien dans des centres de protection maternelle et infantile (PMI) ou des centres de planification familiale ; elles ont alors un rôle axé davantage sur la prévention et la pédagogie. À savoir : la profession est ouverte aux hommes (1% des effectifs).
Salaires / revenus
En début de carrière (dans le public), une sage-femme perçoit un salaire mensuel net d’environ 1 700 €. En fin de carrière, son salaire est approximativement de 2 750 €. Dans, le privé, les rémunérations sont sensiblement les mêmes.
Evolution professionnelle
Les sages-femmes peuvent accéder à d’autres professions (médicales ou paramédicales) soit en se présentant à différents concours, soit par le jeu des équivalences de diplômes. Après quelques années d’exercice, un recrutement sur titres leur permet de devenir directrices de maisons maternelles ou de centres de PMI. Avec une formation d’un an, elles peuvent devenir puéricultrices. Enfin, en passant un concours, elles peuvent enseigner les sciences et techniques médico-sociales dans les lycées.
Etudes / formations
Le diplôme d’État de sage-femme s’obtient après 5 ans d’études après le bac (S) dans une école spécialisée.
La première année est commune avec celle des étudiants en médecine et en odontologie (PCEM1 : premier cycle des études médicales, 1ère année). Il est donc nécessaire de s’inscrire dans une faculté de médecine. Selon leur classement les étudiants peuvent choisir la formation de sage-femme. Ceux qui le font entrent alors pour 4 ans dans une école spécialisée.
Attention : l’accès direct, sur concours, dans une école de sage-femme n’existe plus. Le passage par le PCEM1 est un passage… obligé.



aucunesosolabricot a écrit :quelle est la difference entre la puericultrice et l'inf puericultrice??
sauf que maintenant pour être puéricultrice tu dois avoir ton DE d'infirmier(e)
alors qu'avant tu passais directment le concours pour être puéricultrice

En Toi est toute mon espérance......
la LDP est en mode OFF
ESI 2ème année - S1 : EHPAD - S2 : SSR - S3 : USC - S4 : HJ/CMP - S5 : Néphrologie
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ESI 2ème année - S1 : EHPAD - S2 : SSR - S3 : USC - S4 : HJ/CMP - S5 : Néphrologie
- sosolabricot
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tam a écrit :aucunesosolabricot a écrit :quelle est la difference entre la puericultrice et l'inf puericultrice??
sauf que maintenant pour être puéricultrice tu dois avoir ton DE d'infirmier(e)
alors qu'avant tu passais directment le concours pour être puéricultrice
Euh tu as entendu ça où? Je crois qu'il a toujours fallu avoir son diplôme d'infirmière (ou de sage femme) pour être puéricultrice.
Les infirmières (et à fortiori les puér) peuvent elles aussi le devenir.Enfin, en passant un concours, elles peuvent enseigner les sciences et techniques médico-sociales dans les lycées.
Edit: est-il possible de pouvoir lire ce fichu décret n°47-1544 du 13 août 1947 instituant un diplôme d'état de puériculture.
Je ne le trouve pas même sur légifrance, parce que cette histoire me perturbe

Il me semble qu'avant,il fallait faire ide et puis après une a deux années de spécialisation,puer ou sage femme dans des écoles qui forment a ces métiers.
Actuellement ce n'est plus possible pour sage femme,il faut passer par une1er année de fac de medecine,pour s'orienter ensuite vers cette voie
Pour puer,il faut passer un concours après ide,pour rejoindre la formation,mais existe t-il une école directement qui forme a puer,Je ne penses pas......
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Actuellement ce n'est plus possible pour sage femme,il faut passer par une1er année de fac de medecine,pour s'orienter ensuite vers cette voie
Pour puer,il faut passer un concours après ide,pour rejoindre la formation,mais existe t-il une école directement qui forme a puer,Je ne penses pas......

"une goutte de pratique ,vaut mieux qu'un océan de savoir..."
Elle parlait d'avant ce qui aurait pu être possible.
Mais je suis allée à la génèse de tout ça en 1947 (non je n'ai pas remonter le temps) et j'ai fini par trouvé ça (vu qu'impossible de lire les décrets car entièrement abrogée
)
Cela fait bizarre de dire qu'une assistante sociale pouvait devenir puèr, ce n'est pas trop la même formation.
Mine de rien puéricultrice est la spécialisation la plus ancienne d'infirmière.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mais je suis allée à la génèse de tout ça en 1947 (non je n'ai pas remonter le temps) et j'ai fini par trouvé ça (vu qu'impossible de lire les décrets car entièrement abrogée

Donc non il n'a pas été possible de devenir puéricultrice sans être infirmière.Le 13 août 1947, M. Robert PRINGENT, Ministre de la Santé, signait le Décret instituant le Diplôme d’Etat de Puériculture. Ce dernier permettant à des infirmières, des sages-femmes, des assistantes sociales de se spécialiser pendant un an, afin de seconder les pédiatres ou de participer à un travail de prévention dans les hôpitaux.
Cela fait bizarre de dire qu'une assistante sociale pouvait devenir puèr, ce n'est pas trop la même formation.
Mine de rien puéricultrice est la spécialisation la plus ancienne d'infirmière.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Salut,
ce sont deux métier bien differents en effet !
J'ajoute quie non seulement il faut faire la P, mais surtout la réussir et être bien classé pour avoir accès à l'ecole de SF. De plus, les études durent 4 ans (donc 4+1 = 5). La sf s'occupe de l'ensemble de la grossesse, elle accouche, elle peut faire des ordonnances...
et il ne faut pas résoudre le rôle de la puer à la mater, c'est bien plus en effet, comme cela a été décrit dans certaines réponses.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ce sont deux métier bien differents en effet !
J'ajoute quie non seulement il faut faire la P, mais surtout la réussir et être bien classé pour avoir accès à l'ecole de SF. De plus, les études durent 4 ans (donc 4+1 = 5). La sf s'occupe de l'ensemble de la grossesse, elle accouche, elle peut faire des ordonnances...
et il ne faut pas résoudre le rôle de la puer à la mater, c'est bien plus en effet, comme cela a été décrit dans certaines réponses.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.