exemple d'activité thérapeutique
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
- Pauline510
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- Inscription : 14 mars 2006 21:34
Moi je pense que son idée était une idée aussi bonne que bien d'autres. Elle avait même présenté son projet par écrit ( m'a t'elle précisé, mais elle doute que son papier ait été lu ), avec description des séances,qui a été validé par le médecin qui a critiqué le résultat ( les fameux épouvantails .Comme le dit argrath ça peut avoir une fonction cathartique, et puis ça a permi à certains patients de réinvestir le jardin qui apparemment était à l'abandon avant que cette infirmière ne soit là ( d'après ce que j'ai entendu parce que moi je viens d'arriver ). Elle, a parlé d'arrêter tous ces efforts de ce côté là, mais à mon avis elle va continuer, et tant mieux.
Pour l'intant les épouvantails ont été déplacés ( dans un coin du jardin, mais ils ne sont pas à la poubelle
) !
Pour l'intant les épouvantails ont été déplacés ( dans un coin du jardin, mais ils ne sont pas à la poubelle

Je n'en reviens pas! Je n'exerce plus depuis 10 ans et les choses ont changé tant que cela ? Il faut organiser des réunions pour chaque activité proposée à l'initiative d'un infirmier ? Est-ce que cela tient au fait que les infirmiers ne sont plus spécifiquement formés pour la psy, comme je l'ai moi-même été ?
J'ai passé mon diplôme en 1983. Première année, on étudiait la personne saine, corps et esprit. Deuxième année, l'enfant, toujours corps et esprit. Troisième année, la psy à fond. On avait vraiment des bonnes bases et les psychiatres nous faisaient confiance, on avait des comptes à rendre bien sûr, mais il était rare qu'on se trompe dans un soin apporté à un malade, on savait exactement ce que l'on devait faire ou ne pas faire devant une pathologie. Il était fréquent que le médecin nous demande notre avis à la fin du premier entretien pour mettre"une étiquette" sur la pathologie du patient.

J'ai passé mon diplôme en 1983. Première année, on étudiait la personne saine, corps et esprit. Deuxième année, l'enfant, toujours corps et esprit. Troisième année, la psy à fond. On avait vraiment des bonnes bases et les psychiatres nous faisaient confiance, on avait des comptes à rendre bien sûr, mais il était rare qu'on se trompe dans un soin apporté à un malade, on savait exactement ce que l'on devait faire ou ne pas faire devant une pathologie. Il était fréquent que le médecin nous demande notre avis à la fin du premier entretien pour mettre"une étiquette" sur la pathologie du patient.

Auteur de Deux hommes pour mon anniversaire
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- Localisation : Alsace
atelier photo en pédopsy
Bonjour,
Infirmière dans un hopital de jour, je prépare un mémoire (en vue d'un DU de soins infirmiers en psychiatrie) portant sur l'intérêt de mettre en place un atelier photo auprès d'enfants autistes.
Avis aux personnes qui se sentent concernées, je recherche des témoignages si vous travaillez en pédo :
Utilisez vous la photo avec les enfants ? (quelles pathologies?)
Sous quelle forme l'utilisez vous ? (atelier spécifique, dans la vie de groupe, etc)
Quel est le cadre en quelques mots s'il s'agit d'un atelier ?
Pensez vous que cette médiation a un impact dans l'évolution de ces enfants ? Que constatez vous ? (dans leur relation aux autres par exemple)
Pensez vous qu'il y ai des effets néfastes ? Lesquels ?
Merci d'avance
Isabelle
Infirmière dans un hopital de jour, je prépare un mémoire (en vue d'un DU de soins infirmiers en psychiatrie) portant sur l'intérêt de mettre en place un atelier photo auprès d'enfants autistes.
Avis aux personnes qui se sentent concernées, je recherche des témoignages si vous travaillez en pédo :
Utilisez vous la photo avec les enfants ? (quelles pathologies?)
Sous quelle forme l'utilisez vous ? (atelier spécifique, dans la vie de groupe, etc)
Quel est le cadre en quelques mots s'il s'agit d'un atelier ?
Pensez vous que cette médiation a un impact dans l'évolution de ces enfants ? Que constatez vous ? (dans leur relation aux autres par exemple)
Pensez vous qu'il y ai des effets néfastes ? Lesquels ?
Merci d'avance

Isabelle
Bonjour,
Je travaille aupres d'un jeune garçon autiste et j'ai travaillé avant de tomber malade en tant qu'Auxiliaire d'intégration sociale.
Nous on utilisait des photos d'objets, d'aliments, de situations, pour aider la personnes autistes a communiquer. C'est la methode PECS. Tu connais surement.
Sinon, dans le secteur ou je suis suivi, au C.A.T.T.P il y a un atelier photo. Je sais qu'il est tres apprécier des patients.
Bon courage pr ton memoire.
Nuagevert...
Je travaille aupres d'un jeune garçon autiste et j'ai travaillé avant de tomber malade en tant qu'Auxiliaire d'intégration sociale.
Nous on utilisait des photos d'objets, d'aliments, de situations, pour aider la personnes autistes a communiquer. C'est la methode PECS. Tu connais surement.
Sinon, dans le secteur ou je suis suivi, au C.A.T.T.P il y a un atelier photo. Je sais qu'il est tres apprécier des patients.
Bon courage pr ton memoire.
Nuagevert...
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- Inscription : 30 sept. 2006 16:36
- Localisation : Alsace
Merci nuagevert,
Effectivement j'ai entendu parlé de la méthode PECS, mais je souhaite mettre en place quelque chose de différent, qui permettrait une ouverture plus générale sur la relation aux autres, et qui n'incluerait pas que des enfants autistes.
Serait-il possible que tu transmette mes questionnements à tes collègues du CATTP, et me redonner leurs réponses ? Ca m'aiderais bien
Merci d'avance
Isabelle
Effectivement j'ai entendu parlé de la méthode PECS, mais je souhaite mettre en place quelque chose de différent, qui permettrait une ouverture plus générale sur la relation aux autres, et qui n'incluerait pas que des enfants autistes.
Serait-il possible que tu transmette mes questionnements à tes collègues du CATTP, et me redonner leurs réponses ? Ca m'aiderais bien
Merci d'avance
Isabelle
Isabelle,
Je suis desolé j'ai du mal m'exprimer, mais au CATTP ce ne sont pas mes collègues...car je suis patiente la bas. Je suis moi meme malade! Enfin j'etais. Je vais de mieux en mieux.
Je sais juste que cet atelier marche bien et que les patients qui en font partie sont plutot satisfait.
Bon courage,
Nuagevert...
Je suis desolé j'ai du mal m'exprimer, mais au CATTP ce ne sont pas mes collègues...car je suis patiente la bas. Je suis moi meme malade! Enfin j'etais. Je vais de mieux en mieux.
Je sais juste que cet atelier marche bien et que les patients qui en font partie sont plutot satisfait.
Bon courage,
Nuagevert...
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- Messages : 4
- Inscription : 30 sept. 2006 16:36
- Localisation : Alsace
animaux: outil de médiation
Bonjour,
je me prénomme Mary et suis en 2eme année d'école d'infirmières.
Avec 2 collègues, nous préparons notre module optionnel à présenter devant des formateurs, d'autres étudiants et des personnes extérieures.
Notre sujet est : "animaux: outil de médiation en psychiatrie"
Notre problème est que nous ne savons pas ou du moins nous hésitons, sur la population concernée. C'est à dire, notre direction irait elle plus vers les enfants (comme les autistes), les personnes âgées ou alors vers les personnes atteintes de schizophrénie. En fait nous hésitons car nous trouvons plus de documents vers les enfants et les personnes âgées mais une d'entre nous a entendu "vaguement" parlé des animaux comme outil de médiation vers les personnes atteintes de schizophrénie. Mais nos recherches n'ont rien données.
Alors ma demande est si vous avez des témoignages, des documents, des sites ou tout autre, pouvez vous me guider vers ceux ci s'il vous plaît.
Merci d'avance.
mary
je me prénomme Mary et suis en 2eme année d'école d'infirmières.
Avec 2 collègues, nous préparons notre module optionnel à présenter devant des formateurs, d'autres étudiants et des personnes extérieures.
Notre sujet est : "animaux: outil de médiation en psychiatrie"
Notre problème est que nous ne savons pas ou du moins nous hésitons, sur la population concernée. C'est à dire, notre direction irait elle plus vers les enfants (comme les autistes), les personnes âgées ou alors vers les personnes atteintes de schizophrénie. En fait nous hésitons car nous trouvons plus de documents vers les enfants et les personnes âgées mais une d'entre nous a entendu "vaguement" parlé des animaux comme outil de médiation vers les personnes atteintes de schizophrénie. Mais nos recherches n'ont rien données.
Alors ma demande est si vous avez des témoignages, des documents, des sites ou tout autre, pouvez vous me guider vers ceux ci s'il vous plaît.
Merci d'avance.
mary
activités thérapeutiques
Bonjour,
Quelle type d'activités peut-on proposer à des personnes souffrant de démences ?
Merci d'avance pour votre aide !
Quelle type d'activités peut-on proposer à des personnes souffrant de démences ?
Merci d'avance pour votre aide !
activités thérapeutiques
Bonjour
je suis étudiante infirmière en 2eme année, et je prépare un exposé sur les activités thérapeutiques. Dans mon sujet je doit traiter egalement la question sur les patients qui doit "ne rien faire" se recentrer, pour quels patients cela est il préconisé? son sens? son interet?
Merci pour votre aide
je suis étudiante infirmière en 2eme année, et je prépare un exposé sur les activités thérapeutiques. Dans mon sujet je doit traiter egalement la question sur les patients qui doit "ne rien faire" se recentrer, pour quels patients cela est il préconisé? son sens? son interet?
Merci pour votre aide
l'activité thérapeutique s'inscrit dans le plan de soin, et donc elle doit etre en adéquation avec celui ci.
dans certaines unité, on estime qu'il faut une rupture (cela dépend aussi des approches des medecins du service)et les activités extra pavillonaires ne sont proposées qu'au bout d'une semaine.
L'activité peut perdre son sens si le patient s'en sert pour se surinvestir dedans et ne pas prendre de recul par rapport a son vécu, a la situation l'ayant conduit a se faire hospitaliser (ce n'est pas une jambe cassée ou l'on attend que cela se consolide), ce que j'ai dit précédament vaut surtout pour les personnes sur un versant nevrotique.
tu as exploré tout ce qui est médiations?
dans certaines unité, on estime qu'il faut une rupture (cela dépend aussi des approches des medecins du service)et les activités extra pavillonaires ne sont proposées qu'au bout d'une semaine.
L'activité peut perdre son sens si le patient s'en sert pour se surinvestir dedans et ne pas prendre de recul par rapport a son vécu, a la situation l'ayant conduit a se faire hospitaliser (ce n'est pas une jambe cassée ou l'on attend que cela se consolide), ce que j'ai dit précédament vaut surtout pour les personnes sur un versant nevrotique.
tu as exploré tout ce qui est médiations?