"Faites ce qui vous rend heureuse"... je l'ai fait !

[AmThLi]

Je ne comprend pas ce sadisme généralisé au sein de la profession vis à vis des stagiaires

N'ayons pas peur des mots !! Et surtout n'exagérons pas, hein...

Il y a des salauds ou des salopes ici ou là, comme il y a des lieux très bien, très accueillants, il y a aussi des lieux pourris, des stagiaires traités injustement, des nuls qui ne s'en rendent pas compte, il y a aussi des équipes lessivées, ou qui ne veulent pas encadrer pour des raisons x ou y mais cela leur est imposé, il y a aussi des élèves, pas de bol, ils arrivent dans un moment compliqué et pour des raisons y ou z ils cristallisent toute l'angoisse et la haine de l'équipe, et du coup ça barde...

Il y a très peu de sadiques ou de pervers dans ce milieu, il y en a j'en ai rencontré sur mes lieux de stages et j'en vois aussi au boulot, mais ils sont peu nombreux, par contre, quand on est de l'autre côté du diplôme, on se rend compte que c'est un boulot horriblement compliqué d'encadrer correctement, et que quand le service va très mal, et qu'on nous colle d'office deux élèves alors que c'est déjà du taf de s'occuper correctement d'un seul, et ben voilà, c'est compliqué pour tout le monde.

[Lenalan]

Etudiante infirmière, je viens de demander un report en fin de 1ière année, je comprend cette étudiante, moi aussi je n'en peux plus. Je ne comprend pas ce sadisme généralisé au sein de la profession vis à vis des stagiaires, et du manque de soutien de l'école. Mon premier stage s'est vraiment très mal passé. Personne ne me parlait, je suivais et exécutais les ordres. En fin de stage j'en ai pris plein la tête alors que soit disant tout allait bien. La cadre a été odieuse, vraiment. L'IFSI ne m'a pas soutenu, visiblement quand un stage se passe mal s'est toujours la faute de l'étudiant.
Le 2ème était un peu mieux mais l'hypocrisie des équipes, le fait d'être considérée comme moins que rien, et j'en passe font qu'au bout d'un an on ne sait plus qui on est et ce que l'on vaut. Il faut avoir une force de caractère et un recul énorme pour survivre à cette formation.
Pour ma part je ne sais pas encore si je reprendrai cette formation.
Le côté positif que je retiens c'est le contact avec les patients. C'est pour eux que j'avais entrepris cette formation et je n'ai pas été déçue de ce côté là.
Je comprend que les conditions de travail soient parfois difficiles et que les infirmiers n'aient pas vraiment de temps à nous accorder mais cela n'empêche pas un minimum de d'humanité.
Bon courage à tous ceux et celles qui auront la force d'aller jusqu'au bout !

Je ne suis pas la dernière à me plaindre et j'ai connu pas mal de stages pourris avec des gens pourris (comme il y en a partout, milieu hospitalier comme ailleurs). Mais parler de "sadisme généralisé" non, tu es mal tombée sur 2 stages (ça arrive) mais ça ne suffit pas à généraliser, pour preuve j'ai eu aussi à l'autre extrême des stages qui se sont super bien passés avec des professionnels super. Pourtant dans les mêmes conditions de travail, des fois les 2 extrêmes se voyaient dans les mêmes services (la fameuse "équipe" et "contre-équipe"). C'est comme ça, on sait que ça arrive et c'est pareil dans tous les milieux professionnels, il ne faut pas hésiter à en parler et à signaler quand ça va trop loin. Mais si c'est vraiment ce que tu veux faire dans ta vie professionnelle, à toi d'analyser, d'en tirer des enseignements ("je ne serai pas ce genre de professionnelle").

[Anonyme222222]

Je ne comprend pas ce sadisme généralisé au sein de la profession vis à vis des stagiaires

N'ayons pas peur des mots !! Et surtout n'exagérons pas, hein...

Il y a des salauds ou des salopes ici ou là, comme il y a des lieux très bien, très accueillants, il y a aussi des lieux pourris, des stagiaires traités injustement, des nuls qui ne s'en rendent pas compte, il y a aussi des équipes lessivées, ou qui ne veulent pas encadrer pour des raisons x ou y mais cela leur est imposé, il y a aussi des élèves, pas de bol, ils arrivent dans un moment compliqué et pour des raisons y ou z ils cristallisent toute l'angoisse et la haine de l'équipe, et du coup ça barde...

Il y a très peu de sadiques ou de pervers dans ce milieu, il y en a j'en ai rencontré sur mes lieux de stages et j'en vois aussi au boulot, mais ils sont peu nombreux, par contre, quand on est de l'autre côté du diplôme, on se rend compte que c'est un boulot horriblement compliqué d'encadrer correctement, et que quand le service va très mal, et qu'on nous colle d'office deux élèves alors que c'est déjà du taf de s'occuper correctement d'un seul, et ben voilà, c'est compliqué pour tout le monde.

Tout est dit !

[Jo_bis]

Je ne comprend pas ce sadisme généralisé au sein de la profession vis à vis des stagiaires

N'ayons pas peur des mots !! Et surtout n'exagérons pas, hein...

Il y a des salauds ou des salopes ici ou là, comme il y a des lieux très bien, très accueillants, il y a aussi des lieux pourris, des stagiaires traités injustement, des nuls qui ne s'en rendent pas compte, il y a aussi des équipes lessivées, ou qui ne veulent pas encadrer pour des raisons x ou y mais cela leur est imposé, il y a aussi des élèves, pas de bol, ils arrivent dans un moment compliqué et pour des raisons y ou z ils cristallisent toute l'angoisse et la haine de l'équipe, et du coup ça barde...

Il y a très peu de sadiques ou de pervers dans ce milieu, il y en a j'en ai rencontré sur mes lieux de stages et j'en vois aussi au boulot, mais ils sont peu nombreux, par contre, quand on est de l'autre côté du diplôme, on se rend compte que c'est un boulot horriblement compliqué d'encadrer correctement, et que quand le service va très mal, et qu'on nous colle d'office deux élèves alors que c'est déjà du taf de s'occuper correctement d'un seul, et ben voilà, c'est compliqué pour tout le monde.

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[MSL]

Je ne comprend pas ce sadisme généralisé au sein de la profession vis à vis des stagiaires

N'ayons pas peur des mots !! Et surtout n'exagérons pas, hein...

Il y a des salauds ou des salopes ici ou là, comme il y a des lieux très bien, très accueillants, il y a aussi des lieux pourris, des stagiaires traités injustement, des nuls qui ne s'en rendent pas compte, il y a aussi des équipes lessivées, ou qui ne veulent pas encadrer pour des raisons x ou y mais cela leur est imposé, il y a aussi des élèves, pas de bol, ils arrivent dans un moment compliqué et pour des raisons y ou z ils cristallisent toute l'angoisse et la haine de l'équipe, et du coup ça barde...

Il y a très peu de sadiques ou de pervers dans ce milieu, il y en a j'en ai rencontré sur mes lieux de stages et j'en vois aussi au boulot, mais ils sont peu nombreux, par contre, quand on est de l'autre côté du diplôme, on se rend compte que c'est un boulot horriblement compliqué d'encadrer correctement, et que quand le service va très mal, et qu'on nous colle d'office deux élèves alors que c'est déjà du taf de s'occuper correctement d'un seul, et ben voilà, c'est compliqué pour tout le monde.

Tu résume tout ! Nous avons tous au moins un stage où on aimerait faire un meutre ou deux

[Fergie8306]

Certes on a tous eu un stage qui s est mal passé je conçois mais il n y a pas que des mauvais esi tout comme il n y a pas que des mauvais soignants..
Le terme sadisme est un peu fort.. ou alors je suis sadique d exiger qu un élève connaisse les drogues du chariot d urgence le médicaments utilisés dans le service quand il a par exemple des problème avec la pharmacologie. .
Pour reprendre ce qui s est dit plus haut infirmier est un métier comme enseignant ou commercial il faut arrêter avec la vocation les rêves de petites filles et j en passe autant de bêtises qui décalent de la réalité l hôpital c est loin d être le monde des bisounours à côté de ça on peut se plaindre aussi d une réforme des études qui nous a pas été expliquée qui demande énormément de temps aux tuteurs de stage pour déjà suivre le fil j avoue je suis dans les volontaires du servuce pour encadrer et qui permet à des gens en 3e année de pas savoir expliquer la surveillance d un lovenox ou poser un perfalgan et je n abuse pas et les cas ne sont pas rares seuls les étudiants qui bossent dur se font remarquer dans le bon sens du terme je l entends et d ailleurs ceux là n arrêtent généralement pas.. à bon entendeur.. viens en plus s ajouter les difficultés des services qui sont pas forcément simple pour les étudiants à se positionner dans leur fonction..