Faits d'actualité pour la culture générale de 2007/2008
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Alcool, tabac, cannabis: les chômeurs plus vulnérables
NOUVELOBS.COM | 10.04.2008 | 14:42
Les résultats montrent de fortes disparités entre sexes et en fonction du niveau d'études, selon Philippe Lamoureux, directeur général de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).
Les chômeurs ont plus fréquemment recours aux substances psychoactives (tabac, alcool, cannabis) que les personnes ayant un emploi, révèlent des données approfondies du Baromètre santé 2005, présentées, jeudi 10 avril, dans le cadre des Journées de la prévention.
Outre ces inégalités liées au fait d'avoir ou non un emploi, les résultats montrent également de fortes disparités entre sexes et en fonction du niveau d'études, a souligné Philippe Lamoureux, directeur général de l'Inpes.
Plus de 53% des hommes au chômage (39% des femmes) fument contre 37,5% de ceux qui ont un emploi (29,6% des femmes). Pour l'alcool, les chômeurs entre 35 et 59 ans ont un "sur-risque" de 40% d'être usager quotidien, de 30% d'avoir un usage à risque. Pour le cannabis, les chômeurs de 15 à 34 ans ont un sur-risque de 80% d'avoir un usage régulier par rapport aux actifs occupés.
"Recherche de soulagement psychique"
Ces chiffres sont probablement liés à "une recherche de soulagement" de la souffrance psychique que génère le chômage, selon l'Inpes. Le niveau d'éducation joue également un rôle déterminant dans les habitudes de consommation de produits psychoactifs. Premiers à s'être mis à fumer, les plus diplômés sont aussi les précurseurs pour ne plus fumer: les hommes avec un niveau bac +4 ont ainsi un "sous-risque" d'être fumeurs de 30% (-40% pour les femmes) par rapport aux non-diplômés.
"L'innovation sociale semble être aujourd'hui de ne pas fumer et de s'intéresser à sa santé", a ajoué Phillipe Lamoureux. Les hommes sont par ailleurs deux fois plus nombreux que les femmes à consommer de l'alcool plusieurs fois par semaine (21,7% contre 11,8%). Les profils de consommation diffèrent de façon croisée selon le sexe et le niveau d'étude. Plus les hommes sont diplômés, moins ils consomment d'alcool.
Il faut développer des préventions spécifiques
En revanche, les femmes les plus diplômées sont plus nombreuses à boire quotidiennement de l'alcool que les moins diplômées. L'Inpes suggère l'hypothèse que la forte proportion masculine des professions très diplômées encouragerait les femmes à adopter un comportement plus masculin.
Quant au cannabis, sa consommation occasionnelle apparaît plus fréquente chez les 15-44 ans ayant un niveau baccalauréat ou supérieur. En revanche, "le niveau de diplôme semble protéger d'un basculement vers un usage régulier".
Ces résultats montrent la nécessité de développer des actions de prévention spécifiques en direction des populations vulnérables, a conclu Phillipe Lamoureux.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
NOUVELOBS.COM | 10.04.2008 | 14:42
Les résultats montrent de fortes disparités entre sexes et en fonction du niveau d'études, selon Philippe Lamoureux, directeur général de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).
Les chômeurs ont plus fréquemment recours aux substances psychoactives (tabac, alcool, cannabis) que les personnes ayant un emploi, révèlent des données approfondies du Baromètre santé 2005, présentées, jeudi 10 avril, dans le cadre des Journées de la prévention.
Outre ces inégalités liées au fait d'avoir ou non un emploi, les résultats montrent également de fortes disparités entre sexes et en fonction du niveau d'études, a souligné Philippe Lamoureux, directeur général de l'Inpes.
Plus de 53% des hommes au chômage (39% des femmes) fument contre 37,5% de ceux qui ont un emploi (29,6% des femmes). Pour l'alcool, les chômeurs entre 35 et 59 ans ont un "sur-risque" de 40% d'être usager quotidien, de 30% d'avoir un usage à risque. Pour le cannabis, les chômeurs de 15 à 34 ans ont un sur-risque de 80% d'avoir un usage régulier par rapport aux actifs occupés.
"Recherche de soulagement psychique"
Ces chiffres sont probablement liés à "une recherche de soulagement" de la souffrance psychique que génère le chômage, selon l'Inpes. Le niveau d'éducation joue également un rôle déterminant dans les habitudes de consommation de produits psychoactifs. Premiers à s'être mis à fumer, les plus diplômés sont aussi les précurseurs pour ne plus fumer: les hommes avec un niveau bac +4 ont ainsi un "sous-risque" d'être fumeurs de 30% (-40% pour les femmes) par rapport aux non-diplômés.
"L'innovation sociale semble être aujourd'hui de ne pas fumer et de s'intéresser à sa santé", a ajoué Phillipe Lamoureux. Les hommes sont par ailleurs deux fois plus nombreux que les femmes à consommer de l'alcool plusieurs fois par semaine (21,7% contre 11,8%). Les profils de consommation diffèrent de façon croisée selon le sexe et le niveau d'étude. Plus les hommes sont diplômés, moins ils consomment d'alcool.
Il faut développer des préventions spécifiques
En revanche, les femmes les plus diplômées sont plus nombreuses à boire quotidiennement de l'alcool que les moins diplômées. L'Inpes suggère l'hypothèse que la forte proportion masculine des professions très diplômées encouragerait les femmes à adopter un comportement plus masculin.
Quant au cannabis, sa consommation occasionnelle apparaît plus fréquente chez les 15-44 ans ayant un niveau baccalauréat ou supérieur. En revanche, "le niveau de diplôme semble protéger d'un basculement vers un usage régulier".
Ces résultats montrent la nécessité de développer des actions de prévention spécifiques en direction des populations vulnérables, a conclu Phillipe Lamoureux.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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La rougeole squatte l’Europe
[14 avril 2008 - 12:26]
Depuis deux ans, plusieurs flambées de rougeole ont éclaté dans l’Union européenne. Si la Suisse est le pays le plus touché, la France, le Danemark et le Royaume-Uni ne sont pas épargnés. En 2007 par exemple, près d’un millier de cas ont ainsi été enregistrés de l’autre côté de la Manche.
Dans le dernier numéro d’Eurosurveillance, les rédacteurs se sont intéressés au cas de Londres. Et plus précisément au quartier de Lewisham, dont la population est particulièrement défavorisée sur les plans économiques et sociales.
Depuis le 1er janvier, plus de 80 cas de rougeole y ont été notifiés. La raison en est simple, puisque le taux de couverture vaccinale pour la primo-vaccination n’était que de 67% en 2006-2007. Et seulement 48% des moins de cinq ans ont reçu la deuxième dose du vaccin rougeole-oreillon-rubéole (ROR). Rappelons que pour interrompre la circulation du virus, un taux de couverture de 95% est nécessaire. En France, il se situe toujours aux environs de 84% !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[14 avril 2008 - 12:26]
Depuis deux ans, plusieurs flambées de rougeole ont éclaté dans l’Union européenne. Si la Suisse est le pays le plus touché, la France, le Danemark et le Royaume-Uni ne sont pas épargnés. En 2007 par exemple, près d’un millier de cas ont ainsi été enregistrés de l’autre côté de la Manche.
Dans le dernier numéro d’Eurosurveillance, les rédacteurs se sont intéressés au cas de Londres. Et plus précisément au quartier de Lewisham, dont la population est particulièrement défavorisée sur les plans économiques et sociales.
Depuis le 1er janvier, plus de 80 cas de rougeole y ont été notifiés. La raison en est simple, puisque le taux de couverture vaccinale pour la primo-vaccination n’était que de 67% en 2006-2007. Et seulement 48% des moins de cinq ans ont reçu la deuxième dose du vaccin rougeole-oreillon-rubéole (ROR). Rappelons que pour interrompre la circulation du virus, un taux de couverture de 95% est nécessaire. En France, il se situe toujours aux environs de 84% !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Mauvais usage du médicament : quatre substances mieux encadrées
[15 avril 2008 - 12:30]
Buprénorphine (Subutex et ses génériques), flunitrazepam (Rohypnol), methylphenidate (Ritaline/Concerta…) et méthadone. La prescription et la délivrance de ces quatre substances sont désormais plus strictement encadrées en France. Objectif : « lutter contre le mésusage et le détournement » de ces produits, indique le ministère en charge de la santé.
Pour bénéficier de la prise en charge de l’Assurance-maladie, le patient doit désormais « indiquer obligatoirement à son médecin le nom du pharmacien qui sera chargé de la délivrance ». Le médecin quant à lui, devra « mentionner ce nom sur la prescription qui devra être exécutée par le pharmacien désigné ».
Ces mesures concernent donc deux traitements de substitution des opiacés (TSO), la buprénorphine à haut dosage et la méthadone, un hypnotique (flunitrazepam) et un psychostimulant (methylphenidate). « Le choix des médicaments concernés a fait l’objet d’une large concertation au sein d’instances réunissant des professionnels et des représentants d’associations (commission nationale des stupéfiants et des psychotropes de l’AFSSaPS, commission addictions du ministère de la Santé) ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[15 avril 2008 - 12:30]
Buprénorphine (Subutex et ses génériques), flunitrazepam (Rohypnol), methylphenidate (Ritaline/Concerta…) et méthadone. La prescription et la délivrance de ces quatre substances sont désormais plus strictement encadrées en France. Objectif : « lutter contre le mésusage et le détournement » de ces produits, indique le ministère en charge de la santé.
Pour bénéficier de la prise en charge de l’Assurance-maladie, le patient doit désormais « indiquer obligatoirement à son médecin le nom du pharmacien qui sera chargé de la délivrance ». Le médecin quant à lui, devra « mentionner ce nom sur la prescription qui devra être exécutée par le pharmacien désigné ».
Ces mesures concernent donc deux traitements de substitution des opiacés (TSO), la buprénorphine à haut dosage et la méthadone, un hypnotique (flunitrazepam) et un psychostimulant (methylphenidate). « Le choix des médicaments concernés a fait l’objet d’une large concertation au sein d’instances réunissant des professionnels et des représentants d’associations (commission nationale des stupéfiants et des psychotropes de l’AFSSaPS, commission addictions du ministère de la Santé) ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les professionnels de la vue, les yeux hors de la tête !
[15 avril 2008 - 18:27]
Roselyne Bachelot-Narquin en « posant la question (sic) d’une prise en charge intégrale des frais d’optique par les mutuelles et complémentaires de santé, a certainement poussé le bouchon… plus loin que prévu. En première ligne, le président du Syndicat national des Ophtalmologistes de France (SNOF) qualifie la sortie de la ministre de « nulle et extrêmement maladroite ». Ambiance…
A 24 heures d’Etats généraux de la Vue convoqués à l’Académie nationale de Médecine, le tollé est général. « Nous sommes bien évidement favorables à une meilleure organisation de l’accès aux soins de la vue. Mais pas de cette manière » tonne le président du SNOF Jean-Luc Seegmuller. Or il doit justement présenter aux Etats généraux « les grands enjeux de santé publique » de l’ophtalmologie : glaucome, DMLA, cataracte, rétinopathie diabétique, décollement de la rétine, maladies infantiles… autant de domaines où la « démédicalisation » de la prise en charge est utopique.
« En avril 2007 nous avons accepté la publication de deux décrets visant à faciliter l’accès des assurés sociaux au renouvellement de leur équipement optique ». Ces décrets allongeaient à 3 ans la validité des ordonnances de verres correcteurs. « Le système se mettait lentement et difficilement en place lorsqu’un an plus tard, la ministre dans un élan généreux, balaye tout à la télévision. Sans aucune concertation » se désole Jean-Luc Seegmuller.
Quant aux 150 millions d’euros d’économie avancés par la ministre de la Santé pour justifier un désengagement de l’Assurance-maladie… il n’y croit pas un instant. « Madame Bachelot sait très bien que les économies ne seront pas de 150 millions d’euros. Car les premiers bénéficiaires d’une prise en charge sont justement les enfants » (dont la prise en charge peut être 10 fois supérieure à celle des adultes, n.d.l.r.) « et les bénéficiaires de la CMU. Or pour ces derniers, les lunettes sont gratuites. Donc, des exceptions devront être mises en place pour aider ces populations. ».
Jean-Luc Seegmuller n’est pas seul. Derrière lui -et vraiment pas loin- sont massés les membres de l’Association nationale pour l’Amélioration de la Vue (ASNAV). Eux aussi brocardent un projet « qui ne serait pas seulement injuste, mais aussi une erreur économique et sociale ». Sous le titre évocateur de « Bien voir c’est obligatoire », ils mettent en ligne un « manifeste » qui va donner au débat lancé par Roselyne Bachelot-Narquin un prolongement sans doute animé.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[15 avril 2008 - 18:27]
Roselyne Bachelot-Narquin en « posant la question (sic) d’une prise en charge intégrale des frais d’optique par les mutuelles et complémentaires de santé, a certainement poussé le bouchon… plus loin que prévu. En première ligne, le président du Syndicat national des Ophtalmologistes de France (SNOF) qualifie la sortie de la ministre de « nulle et extrêmement maladroite ». Ambiance…
A 24 heures d’Etats généraux de la Vue convoqués à l’Académie nationale de Médecine, le tollé est général. « Nous sommes bien évidement favorables à une meilleure organisation de l’accès aux soins de la vue. Mais pas de cette manière » tonne le président du SNOF Jean-Luc Seegmuller. Or il doit justement présenter aux Etats généraux « les grands enjeux de santé publique » de l’ophtalmologie : glaucome, DMLA, cataracte, rétinopathie diabétique, décollement de la rétine, maladies infantiles… autant de domaines où la « démédicalisation » de la prise en charge est utopique.
« En avril 2007 nous avons accepté la publication de deux décrets visant à faciliter l’accès des assurés sociaux au renouvellement de leur équipement optique ». Ces décrets allongeaient à 3 ans la validité des ordonnances de verres correcteurs. « Le système se mettait lentement et difficilement en place lorsqu’un an plus tard, la ministre dans un élan généreux, balaye tout à la télévision. Sans aucune concertation » se désole Jean-Luc Seegmuller.
Quant aux 150 millions d’euros d’économie avancés par la ministre de la Santé pour justifier un désengagement de l’Assurance-maladie… il n’y croit pas un instant. « Madame Bachelot sait très bien que les économies ne seront pas de 150 millions d’euros. Car les premiers bénéficiaires d’une prise en charge sont justement les enfants » (dont la prise en charge peut être 10 fois supérieure à celle des adultes, n.d.l.r.) « et les bénéficiaires de la CMU. Or pour ces derniers, les lunettes sont gratuites. Donc, des exceptions devront être mises en place pour aider ces populations. ».
Jean-Luc Seegmuller n’est pas seul. Derrière lui -et vraiment pas loin- sont massés les membres de l’Association nationale pour l’Amélioration de la Vue (ASNAV). Eux aussi brocardent un projet « qui ne serait pas seulement injuste, mais aussi une erreur économique et sociale ». Sous le titre évocateur de « Bien voir c’est obligatoire », ils mettent en ligne un « manifeste » qui va donner au débat lancé par Roselyne Bachelot-Narquin un prolongement sans doute animé.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Zona, encéphalites à tiques : les vaccinations pas recommandées
[24 avril 2008 - 07:45]
Dans son dernier avis, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) ne recommande ni la vaccination contre le zona, ni celle contre les encéphalites à tiques. Le vaccin zostavax contre le zona, bénéfie depuis juin 2006 d’une Autorisation européenne de mise sur le marché (AMM). Il vise à prévenir l’infection de l’adulte par le virus de la varicelle, également responsable du zona.
Caractérisée par des éruptions unilatérales essentiellement situées sur le trajet des nerfs sensitifs cette maladie provoque des phénomènes douloureux intenses qui peuvent durer plusieurs mois, voire davantage : les douleurs post-zostériennes. Ce qui empêche de recommander le vaccin dans l’état actuel des choses, souligne le HCSP, c’est le manque de données concernant son efficacité à long terme.
Concernant l’encéphalite à tiques enfin, le HCSP estime « qu’au vu des données présentées par l’Institut de veille sanitaire et par le Centre national de référence, il n’y a pas lieu de recommander le vaccin aux personnes résidant en France ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[24 avril 2008 - 07:45]
Dans son dernier avis, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) ne recommande ni la vaccination contre le zona, ni celle contre les encéphalites à tiques. Le vaccin zostavax contre le zona, bénéfie depuis juin 2006 d’une Autorisation européenne de mise sur le marché (AMM). Il vise à prévenir l’infection de l’adulte par le virus de la varicelle, également responsable du zona.
Caractérisée par des éruptions unilatérales essentiellement situées sur le trajet des nerfs sensitifs cette maladie provoque des phénomènes douloureux intenses qui peuvent durer plusieurs mois, voire davantage : les douleurs post-zostériennes. Ce qui empêche de recommander le vaccin dans l’état actuel des choses, souligne le HCSP, c’est le manque de données concernant son efficacité à long terme.
Concernant l’encéphalite à tiques enfin, le HCSP estime « qu’au vu des données présentées par l’Institut de veille sanitaire et par le Centre national de référence, il n’y a pas lieu de recommander le vaccin aux personnes résidant en France ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Sept règles d’or avant de prendre un médicament
[24 avril 2008 - 09:35]
La notice d’un médicament, c’est bien davantage qu’un simple mode d’emploi. Dans une brochure intitulée Toujours lire la notice de votre médicament, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) rappelle 7 règles d’or. Notez bien ces conseils de bon sens :
Respectez les indications ;
Attention aux contre-indications : certains médicaments sont à proscrire si vous êtes par exemple, allergique ou enceinte ;
Soyez attentifs aux situations modifiant les conditions d’emploi : l’AFSSaPS attire ainsi l’attention du patient sur les risques d’interactions médicamenteuses ;
Adaptez votre mode de vie : la prise de certaines molécules contre-indique la conduite. D’autres ne doivent pas être administrées avec des jus de fruits et notamment, le jus de pamplemousse ;
Respectez les modalités de prise du médicament ;
Redoublez d’attention si vous prenez un médicament sans ordonnance ;
Adoptez la bonne attitude si vous constatez un effet secondaire : au moindre doute, contactez votre médecin ou votre pharmacien. Et face à une intoxication, appelez le centre anti-poison le plus proche.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[24 avril 2008 - 09:35]
La notice d’un médicament, c’est bien davantage qu’un simple mode d’emploi. Dans une brochure intitulée Toujours lire la notice de votre médicament, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) rappelle 7 règles d’or. Notez bien ces conseils de bon sens :
Respectez les indications ;
Attention aux contre-indications : certains médicaments sont à proscrire si vous êtes par exemple, allergique ou enceinte ;
Soyez attentifs aux situations modifiant les conditions d’emploi : l’AFSSaPS attire ainsi l’attention du patient sur les risques d’interactions médicamenteuses ;
Adaptez votre mode de vie : la prise de certaines molécules contre-indique la conduite. D’autres ne doivent pas être administrées avec des jus de fruits et notamment, le jus de pamplemousse ;
Respectez les modalités de prise du médicament ;
Redoublez d’attention si vous prenez un médicament sans ordonnance ;
Adoptez la bonne attitude si vous constatez un effet secondaire : au moindre doute, contactez votre médecin ou votre pharmacien. Et face à une intoxication, appelez le centre anti-poison le plus proche.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Un enfant victime d'un incident grave avec une table de kinésithérapie
AFP - il y a 5 minutes
PARIS AFP) (AFP) - L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a appelé vendredi les masseurs et kinésithérapeutes à la vigilance après la survenue d'un incident grave où un enfant handicapé s'est retrouvé coincé sous une table de traitement.
Posé au sol après avoir reçu des soins de rééducation et laissé sans surveillance pendant un court instant par le personnel médical soignant, l'enfant s'est déplacé sous la table et a appuyé sur la barre périphérique entourant la table, provoquant sa descente. Il s'est alors retrouvé coincé et n'a pu être "désincarcéré" qu'avec de grandes difficulté, selon l'Afssaps.
L'enfant "était inconscient et cyanosé" et l'incident "aurait pu avoir des conséquences cliniques graves", a précisé l'agence.
"Certains patients peuvent s'avérer potentiellement dangereux pour eux-mêmes" et "nécessitent l'attention du personnel médical soignant", a-t-elle indiqué dans une "mise au point" à l'attention des masseurs et kinésithérapeutes. "C'est pourquoi il convient de rappeler qu'une surveillance des patients dans un environnement de soin est indispensable pour prévenir ce type d'incident".
L'Afssaps recommande de préférer des tables offrant la possibilité d'inverser le système de commande : "au lieu de provoquer la descente par appui sur le commande périphérique, ceci provoque la montée du plateau".Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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PARIS AFP) (AFP) - L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a appelé vendredi les masseurs et kinésithérapeutes à la vigilance après la survenue d'un incident grave où un enfant handicapé s'est retrouvé coincé sous une table de traitement.
Posé au sol après avoir reçu des soins de rééducation et laissé sans surveillance pendant un court instant par le personnel médical soignant, l'enfant s'est déplacé sous la table et a appuyé sur la barre périphérique entourant la table, provoquant sa descente. Il s'est alors retrouvé coincé et n'a pu être "désincarcéré" qu'avec de grandes difficulté, selon l'Afssaps.
L'enfant "était inconscient et cyanosé" et l'incident "aurait pu avoir des conséquences cliniques graves", a précisé l'agence.
"Certains patients peuvent s'avérer potentiellement dangereux pour eux-mêmes" et "nécessitent l'attention du personnel médical soignant", a-t-elle indiqué dans une "mise au point" à l'attention des masseurs et kinésithérapeutes. "C'est pourquoi il convient de rappeler qu'une surveillance des patients dans un environnement de soin est indispensable pour prévenir ce type d'incident".
L'Afssaps recommande de préférer des tables offrant la possibilité d'inverser le système de commande : "au lieu de provoquer la descente par appui sur le commande périphérique, ceci provoque la montée du plateau".Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Plan autisme: 4.100 places sur cinq ans, ouverture à de "nouvelles méthodes"
AFP - Vendredi 16 mai, 12h43
PARIS (AFP) - Le gouvernement a annoncé vendredi la création de 4.100 places supplémentaires en cinq ans pour accueillir les autistes, améliorer le diagnostic et l'expérimentation de nouvelles méthodes de prise en charge, dans le cadre d'un plan visant à "faire sortir les autistes du ghetto".
Le coût global de ce plan triennal s'élève à 187 millions d'euros, ont indiqué vendredi la ministre de la Santé Roselyne Bachelot et la secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard en rendant public leur plan autisme 2008-2010, très attendu des familles.
Pour améliorer l'accueil, il est annoncé la création, sur cinq ans, soit une durée plus longue que le plan, de 4.100 places, dont 1.500 pour enfants. Le premier plan 2005-2007 avait permis la création, sur trois ans, de 2.830 places, dont 1.530 pour enfants.
La création de petites unités de vie est encouragée, ainsi que l'internat souple et les structures expérimentales de "décompression" pour les adolescents. Les établissements médico-sociaux sont appelés à adapter leur prise en charge aux "aspirations nouvelles" des familles.
"On part de très loin, bien sûr ce n'est pas suffisant" a reconnu Mme Létard devant la presse, en soulignant "l'ambition" du gouvernement: "que plus personne en France ne puisse encore ignorer ce qu'est l'autisme".
Alors que les professionnels en France se divisent sur les méthodes de prise en charge des autistes (psychiatrie ou approche comportementale), le gouvernement souhaite recenser ce qui existe et permettre une expérimentation de nouvelles méthodes, en conduisant une réflexion juridique et éthique sur les droits fondamentaux des personnes touchées par l'autisme.
L'accent est mis aussi sur l'amélioration du diagnostic, en prévoyant des expérimentations en régions sur des dispositifs d'annonce personnalisée, pour lesquels un appel à projets est lancé.
Les professionnels de santé, les enseignants et auxiliaires de vie scolaire seront formés pour mieux accueillir et accompagner les autistes, pour lesquels seront expérimentés, dans dix départements volontaires, de nouveaux types de lieux de vie et de travail.
Le plan prévoit enfin le renforcement des connaissances scientifiques et de pratiques de terrain, qui feront l'objet d'un document largement diffusé.
La recherche sur l'autisme et les troubles envahissants du développement (TED) sera encouragée pour un coût global de 5,45 millions d'euros.
Pour Mme Bachelot, "il faut sortir les autistes du ghetto". "Sur huit ans d'études médicales, seules deux heures sont consacrées à l'autisme" a-t-elle déploré.
L'actrice Sandrine Bonnaire, qui a contribué à dénoncer les carences de prise en charge en France, avec son film "Elle s'appelle Sabine", était présente lors de la conférence de presse. "Bien sûr ce n'est pas suffisant", a-t-elle dit, "il y a tellement de demandes et de besoins mais les choses ne peuvent pas se faire comme ça". "C'est à la fois une goutte d'eau, mais il y a des progrès sur le plan de la qualité, il y a une vraie volonté de l'Etat", a-t-elle dit.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - Vendredi 16 mai, 12h43
PARIS (AFP) - Le gouvernement a annoncé vendredi la création de 4.100 places supplémentaires en cinq ans pour accueillir les autistes, améliorer le diagnostic et l'expérimentation de nouvelles méthodes de prise en charge, dans le cadre d'un plan visant à "faire sortir les autistes du ghetto".
Le coût global de ce plan triennal s'élève à 187 millions d'euros, ont indiqué vendredi la ministre de la Santé Roselyne Bachelot et la secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard en rendant public leur plan autisme 2008-2010, très attendu des familles.
Pour améliorer l'accueil, il est annoncé la création, sur cinq ans, soit une durée plus longue que le plan, de 4.100 places, dont 1.500 pour enfants. Le premier plan 2005-2007 avait permis la création, sur trois ans, de 2.830 places, dont 1.530 pour enfants.
La création de petites unités de vie est encouragée, ainsi que l'internat souple et les structures expérimentales de "décompression" pour les adolescents. Les établissements médico-sociaux sont appelés à adapter leur prise en charge aux "aspirations nouvelles" des familles.
"On part de très loin, bien sûr ce n'est pas suffisant" a reconnu Mme Létard devant la presse, en soulignant "l'ambition" du gouvernement: "que plus personne en France ne puisse encore ignorer ce qu'est l'autisme".
Alors que les professionnels en France se divisent sur les méthodes de prise en charge des autistes (psychiatrie ou approche comportementale), le gouvernement souhaite recenser ce qui existe et permettre une expérimentation de nouvelles méthodes, en conduisant une réflexion juridique et éthique sur les droits fondamentaux des personnes touchées par l'autisme.
L'accent est mis aussi sur l'amélioration du diagnostic, en prévoyant des expérimentations en régions sur des dispositifs d'annonce personnalisée, pour lesquels un appel à projets est lancé.
Les professionnels de santé, les enseignants et auxiliaires de vie scolaire seront formés pour mieux accueillir et accompagner les autistes, pour lesquels seront expérimentés, dans dix départements volontaires, de nouveaux types de lieux de vie et de travail.
Le plan prévoit enfin le renforcement des connaissances scientifiques et de pratiques de terrain, qui feront l'objet d'un document largement diffusé.
La recherche sur l'autisme et les troubles envahissants du développement (TED) sera encouragée pour un coût global de 5,45 millions d'euros.
Pour Mme Bachelot, "il faut sortir les autistes du ghetto". "Sur huit ans d'études médicales, seules deux heures sont consacrées à l'autisme" a-t-elle déploré.
L'actrice Sandrine Bonnaire, qui a contribué à dénoncer les carences de prise en charge en France, avec son film "Elle s'appelle Sabine", était présente lors de la conférence de presse. "Bien sûr ce n'est pas suffisant", a-t-elle dit, "il y a tellement de demandes et de besoins mais les choses ne peuvent pas se faire comme ça". "C'est à la fois une goutte d'eau, mais il y a des progrès sur le plan de la qualité, il y a une vraie volonté de l'Etat", a-t-elle dit.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Tueurs en série du futur : cancers, maladies cardiovasculaires et route
20/05/2008 16:00
En 2030, trois causes de décès vont davantage se développer selon une récente étude de l'OMS : les maladies cardiaques, les accidents cérébro-vasculaires et les maladies pulmonaires obstructives chroniques.
D'ici 25 ans, l'homme va devoir affronter une nouvelle menace : mourir d'un cancer, d'une maladie cardiovasculaire ou d'un accident de la route. A eux seuls, ces trois fléaux seront la cause de 30% des décès dans le monde en 2030, selon une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
« Globalement, les morts par cancer vont augmenter de 7,4 millions en 2004 à 11,8 millions en 2030 (+59,46%), et le nombre des décès par maladies cardiovasculaires va passer durant la même période de 17,1 millions à 23,4 millions (+36,84%) » détaille l'étude.
Le tabac, un facteur puissant dans le processus de mortalité
"La plus grande part de l'augmentation des maladies pulmonaires obstructives chroniques est associée à l'augmentation prévue de la consommation de tabac" a prédit l'OMS.
L'ensemble des maladies associées au tabac ont causé la mort de 5,4 millions de personnes en 2004 et un quart de siècle plus tard en tueront 8,3 millions dont 80% dans les pays en voie de développement. En moyenne, un fumeur perd 15 années de vie rappelle l'organisation, en déplorant que les mesures de prévention du tabagisme ne touchent pas plus de 5% de la population mondiale.
Second facteur : les accidents de la route
Le nombre de morts dans des accidents de la route va presque doubler, passant de 1,3 million à 2,4 millions entre 2004 et 2030. Selon l'OMS ce bilan proviendrait de "l'augmentation du nombre de propriétaires de véhicules à moteur et de l'utilisation de ceux-ci à la faveur de la croissance économique dans les pays à faible et moyen revenu".
Levif.be avec BelgaÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
20/05/2008 16:00
En 2030, trois causes de décès vont davantage se développer selon une récente étude de l'OMS : les maladies cardiaques, les accidents cérébro-vasculaires et les maladies pulmonaires obstructives chroniques.
D'ici 25 ans, l'homme va devoir affronter une nouvelle menace : mourir d'un cancer, d'une maladie cardiovasculaire ou d'un accident de la route. A eux seuls, ces trois fléaux seront la cause de 30% des décès dans le monde en 2030, selon une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
« Globalement, les morts par cancer vont augmenter de 7,4 millions en 2004 à 11,8 millions en 2030 (+59,46%), et le nombre des décès par maladies cardiovasculaires va passer durant la même période de 17,1 millions à 23,4 millions (+36,84%) » détaille l'étude.
Le tabac, un facteur puissant dans le processus de mortalité
"La plus grande part de l'augmentation des maladies pulmonaires obstructives chroniques est associée à l'augmentation prévue de la consommation de tabac" a prédit l'OMS.
L'ensemble des maladies associées au tabac ont causé la mort de 5,4 millions de personnes en 2004 et un quart de siècle plus tard en tueront 8,3 millions dont 80% dans les pays en voie de développement. En moyenne, un fumeur perd 15 années de vie rappelle l'organisation, en déplorant que les mesures de prévention du tabagisme ne touchent pas plus de 5% de la population mondiale.
Second facteur : les accidents de la route
Le nombre de morts dans des accidents de la route va presque doubler, passant de 1,3 million à 2,4 millions entre 2004 et 2030. Selon l'OMS ce bilan proviendrait de "l'augmentation du nombre de propriétaires de véhicules à moteur et de l'utilisation de ceux-ci à la faveur de la croissance économique dans les pays à faible et moyen revenu".
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La France peut carburer au Red Bull
La France entre dans l'arène. Dernier pays européen avec le Danemark à interdire la boisson énergisante Red Bull (« taureau rouge »), elle a finalement décidé d'en autoriser la vente dès à présent. Le ministère de l'Economie a donné son feu vert ce week-end, passant outre les recommandations des autorités sanitaires nationales. Celles-ci dénonçaient jusqu'à présent les « effets neuro-comportementaux indésirables » de la taurine, acide aminé contenu dans les canettes de Red Bull. Insomnie, tachycardie, nervosité, troubles cardio-vasculaires sont les effets les plus fréquemment cités. Et « l'intérêt nutritionnel » du Red Bull n'a toujours pas été démontré, selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments.
Même si le fabricant déconseille toute association du Red Bull à de l'alcool, les pratiques sont tout autres, notamment celles des jeunes. En soirée, le Red Bull est fréquemment mélangé à de la vodka ou à du champagne. Plusieurs adeptes, interrogés par 20 Minutes, le confirment. « J'ai testé la vodka-Red Bull avec des amis, un soir à Bruxelles. Le mélange est explosif, on a passé la nuit à sauter dans tous les sens, en surconsommant de l'alcool. Le lendemain, la gueule de bois était minimale, mais j'avais des trous de mémoire », se souvient Frédéric. S'il regrette, lui, « le goût de médicament chimique », Grégory, reconnaît « l'effet tonique ». « J'étais surpris de ne pas m'endormir avant le petit matin avec tout l'alcool ingurgité », explique ce trentenaire.
Bastien Bonnefous - ©2008 20 minutes
20 Minutes, éditions du 20/05/2008 - 07h09Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La France entre dans l'arène. Dernier pays européen avec le Danemark à interdire la boisson énergisante Red Bull (« taureau rouge »), elle a finalement décidé d'en autoriser la vente dès à présent. Le ministère de l'Economie a donné son feu vert ce week-end, passant outre les recommandations des autorités sanitaires nationales. Celles-ci dénonçaient jusqu'à présent les « effets neuro-comportementaux indésirables » de la taurine, acide aminé contenu dans les canettes de Red Bull. Insomnie, tachycardie, nervosité, troubles cardio-vasculaires sont les effets les plus fréquemment cités. Et « l'intérêt nutritionnel » du Red Bull n'a toujours pas été démontré, selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments.
Même si le fabricant déconseille toute association du Red Bull à de l'alcool, les pratiques sont tout autres, notamment celles des jeunes. En soirée, le Red Bull est fréquemment mélangé à de la vodka ou à du champagne. Plusieurs adeptes, interrogés par 20 Minutes, le confirment. « J'ai testé la vodka-Red Bull avec des amis, un soir à Bruxelles. Le mélange est explosif, on a passé la nuit à sauter dans tous les sens, en surconsommant de l'alcool. Le lendemain, la gueule de bois était minimale, mais j'avais des trous de mémoire », se souvient Frédéric. S'il regrette, lui, « le goût de médicament chimique », Grégory, reconnaît « l'effet tonique ». « J'étais surpris de ne pas m'endormir avant le petit matin avec tout l'alcool ingurgité », explique ce trentenaire.
Bastien Bonnefous - ©2008 20 minutes
20 Minutes, éditions du 20/05/2008 - 07h09Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mères porteuses : la France de plain-pied dans le débat
Mères porteuses : la France de plain-pied dans le débat
Famille. La gestation pour autrui est désormais soutenue par des parlementaires.
CHARLOTTE ROTMAN
QUOTIDIEN : vendredi 23 mai 2008
C’est une période charnière. Taboue, voire refoulée il y a peu, la question des mères porteuses revient dans le débat français. Mais pas pour faire mouliner les fantasmes, ni pour alimenter les anathèmes. Aujourd’hui, les instances médicales et législatives réfléchissent très sérieusement à encadrer légalement le recours à une gestatrice pour abriter, le temps d’une grossesse, l’embryon d’un couple infertile qui seront les parents de l’enfant. Une pratique interdite en France par la loi de bioéthique, qui doit être révisée l’année prochaine.
En octobre 2007, la justice française a reconnu que Sylvie et Dominique Mennesson - un couple qui, en 2000, avait eu des jumelles grâce à une mère porteuse de Californie (la méthode y est légale) - étaient bien les «parents» des petites. Depuis cette victoire historique, sur laquelle la Cour de cassation rendra un arrêt fin juin, les auditions se multiplient.
Les questions ne tournent plus autour de la légitimité - pourquoi légaliser la gestation pour autrui (GPA) ? - mais se focalisent sur les conditions - comment ? sur quels critères ? avec quels garde-fous ? Le Sénat s’apprête à rendre un rapport favorable à l’encadrement de cette pratique. «Il faut légiférer», affirme Michèle André, sénatrice socialiste de Puy-de-Dôme, qui préside le groupe de travail.
«Recul». L’histoire de Sylvie et Dominique Mennesson est imbriquée dans le combat pour la levée de l’interdiction de la GPA. C’est un couple emblématique, le seul à témoigner à visages découverts sur cette question. A leur retour en France, il y a sept ans, ils ont été accusés «d’enlèvements d’enfants» et d’«adoption frauduleuse».
Aujourd’hui, le débat a évolué. «On a montré que les frontières n’étaient pas étanches, qu’on ne pouvait pas faire une police des maternités», constate Dominique. Hier à Paris, ils ont inventé des amis, des adhérents de leur association Clara qui ont fait appel à une gestatrice ou souhaitent le faire, des experts (psychanalyste, médecins…). Ils ont présenté leur livre (1), «pas un mode d’emploi» mais un témoignage pour «sensibiliser». «Il y a une accélération de l’histoire, constatent-ils. Le prêt-à-penser est en train d’exploser. On confronte les gens aux pratiques à l’étranger. Aujourd’hui, on a le recul, et l’expérience.» Le couple a remarqué de plus en plus de ralliements : «On ne trouve plus de médecins pour faire campagne contre. Et certains disent tout haut qu’ils sont pour.» Dans la confidentialité des cabinets médicaux, de plus en plus de gynécologues acceptent de conseiller les couples en chemin vers la GPA, à l’étranger.
Plaider. Depuis la dernière décision de la cour d’appel en leur faveur, Sylvie et Dominique sont allés plaider à l’Académie de médecine, au Sénat ; le 10 juin, ils iront devant l’office parlementaire chargé de réfléchir à l’évolution des lois bioéthiques. «Très vite on aborde des choses très pointues. Il n’y a plus d’idéologie», relève Dominique. Les questions sont concrètes. Quelles indications médicales ? Comment recruter les mères porteuses ? Doit-on les défrayer ? Quel organe de régulation ?, etc. A la tête d’une autre association (Maia) qui aide les couples infertiles, Laure Camborieux a également constaté ce regain d’intérêt : «Tout le monde recherche des pistes. On sent moins de résistances.» Une «nounou» est même venue expliquer pourquoi elle avait accepté de porter l’enfant d’un couple. Les Mennesson ont raconté qu’il fallait «encourager la relation, entre les deux femmes, et les deux couples», comme eux l’ont fait avec Mary, l’«amie» californienne.
Inventer. Au Sénat, Michèle André a mené une cinquantaine d’auditions. Son groupe de travail, crée à la suite de la décision de justice concernant les Mennesson, s’est également rendu en Grande-Bretagne. «Au début, il a fallu réexpliquer à certains sénateurs ce qu’était un ovocyte, ou un gamète [les cellules reproductrices, ndlr]», sourit-elle. Après plusieurs mois de travail, la voilà convaincue : «On ne peut pas laisser des femmes françaises en difficulté pour porter des enfants, par exemple celles qui n’ont pas d’utérus, partir à l’étranger pour un tourisme procréatif. Ce n’est pas satisfaisant.» D’autant, estime-t-elle, que quand «les parents intentionnels» reviennent, leurs enfants sont «dans le flou juridique».Elle pense qu’il faut «aider ces femmes» infertiles et clarifier l’état civil des enfants. Sa position n’est «pas unanime», mais elle est partagée par d’autres parlementaires, «à gauche comme à droite». Elle souhaite déboucher sur une proposition de loi.
Les filles de Sylvie et Dominique ont compris qu’ils avaient inventé «une nouvelle façon de faire les bébés». L’une d’elles a expliqué à l’école, que parfois la «maman n’a pas de sac» et qu’il faut demander «à une autre dame». «On a réussi à les préserver mais avec l’affaire judiciaire, elles sont inquiètes. Cela leur revient comme un bomerang.» Dominique et Sylvie, qui ont accepté de ne plus se cacher espèrent que d’autres couples «vont prendre la relève».
(1) Interdits d’enfants, éd. Michalon, (sortie le 29 mai).
http://www.liberation.fr/actualite/soci ... 742.FR.php
Plus d'infos avec une entrevue avec Michèle André, sénatrice socialiste du Puy-de-Dôme ici :
http://www.la-croix.com/article/index.j ... rubId=4076Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Famille. La gestation pour autrui est désormais soutenue par des parlementaires.
CHARLOTTE ROTMAN
QUOTIDIEN : vendredi 23 mai 2008
C’est une période charnière. Taboue, voire refoulée il y a peu, la question des mères porteuses revient dans le débat français. Mais pas pour faire mouliner les fantasmes, ni pour alimenter les anathèmes. Aujourd’hui, les instances médicales et législatives réfléchissent très sérieusement à encadrer légalement le recours à une gestatrice pour abriter, le temps d’une grossesse, l’embryon d’un couple infertile qui seront les parents de l’enfant. Une pratique interdite en France par la loi de bioéthique, qui doit être révisée l’année prochaine.
En octobre 2007, la justice française a reconnu que Sylvie et Dominique Mennesson - un couple qui, en 2000, avait eu des jumelles grâce à une mère porteuse de Californie (la méthode y est légale) - étaient bien les «parents» des petites. Depuis cette victoire historique, sur laquelle la Cour de cassation rendra un arrêt fin juin, les auditions se multiplient.
Les questions ne tournent plus autour de la légitimité - pourquoi légaliser la gestation pour autrui (GPA) ? - mais se focalisent sur les conditions - comment ? sur quels critères ? avec quels garde-fous ? Le Sénat s’apprête à rendre un rapport favorable à l’encadrement de cette pratique. «Il faut légiférer», affirme Michèle André, sénatrice socialiste de Puy-de-Dôme, qui préside le groupe de travail.
«Recul». L’histoire de Sylvie et Dominique Mennesson est imbriquée dans le combat pour la levée de l’interdiction de la GPA. C’est un couple emblématique, le seul à témoigner à visages découverts sur cette question. A leur retour en France, il y a sept ans, ils ont été accusés «d’enlèvements d’enfants» et d’«adoption frauduleuse».
Aujourd’hui, le débat a évolué. «On a montré que les frontières n’étaient pas étanches, qu’on ne pouvait pas faire une police des maternités», constate Dominique. Hier à Paris, ils ont inventé des amis, des adhérents de leur association Clara qui ont fait appel à une gestatrice ou souhaitent le faire, des experts (psychanalyste, médecins…). Ils ont présenté leur livre (1), «pas un mode d’emploi» mais un témoignage pour «sensibiliser». «Il y a une accélération de l’histoire, constatent-ils. Le prêt-à-penser est en train d’exploser. On confronte les gens aux pratiques à l’étranger. Aujourd’hui, on a le recul, et l’expérience.» Le couple a remarqué de plus en plus de ralliements : «On ne trouve plus de médecins pour faire campagne contre. Et certains disent tout haut qu’ils sont pour.» Dans la confidentialité des cabinets médicaux, de plus en plus de gynécologues acceptent de conseiller les couples en chemin vers la GPA, à l’étranger.
Plaider. Depuis la dernière décision de la cour d’appel en leur faveur, Sylvie et Dominique sont allés plaider à l’Académie de médecine, au Sénat ; le 10 juin, ils iront devant l’office parlementaire chargé de réfléchir à l’évolution des lois bioéthiques. «Très vite on aborde des choses très pointues. Il n’y a plus d’idéologie», relève Dominique. Les questions sont concrètes. Quelles indications médicales ? Comment recruter les mères porteuses ? Doit-on les défrayer ? Quel organe de régulation ?, etc. A la tête d’une autre association (Maia) qui aide les couples infertiles, Laure Camborieux a également constaté ce regain d’intérêt : «Tout le monde recherche des pistes. On sent moins de résistances.» Une «nounou» est même venue expliquer pourquoi elle avait accepté de porter l’enfant d’un couple. Les Mennesson ont raconté qu’il fallait «encourager la relation, entre les deux femmes, et les deux couples», comme eux l’ont fait avec Mary, l’«amie» californienne.
Inventer. Au Sénat, Michèle André a mené une cinquantaine d’auditions. Son groupe de travail, crée à la suite de la décision de justice concernant les Mennesson, s’est également rendu en Grande-Bretagne. «Au début, il a fallu réexpliquer à certains sénateurs ce qu’était un ovocyte, ou un gamète [les cellules reproductrices, ndlr]», sourit-elle. Après plusieurs mois de travail, la voilà convaincue : «On ne peut pas laisser des femmes françaises en difficulté pour porter des enfants, par exemple celles qui n’ont pas d’utérus, partir à l’étranger pour un tourisme procréatif. Ce n’est pas satisfaisant.» D’autant, estime-t-elle, que quand «les parents intentionnels» reviennent, leurs enfants sont «dans le flou juridique».Elle pense qu’il faut «aider ces femmes» infertiles et clarifier l’état civil des enfants. Sa position n’est «pas unanime», mais elle est partagée par d’autres parlementaires, «à gauche comme à droite». Elle souhaite déboucher sur une proposition de loi.
Les filles de Sylvie et Dominique ont compris qu’ils avaient inventé «une nouvelle façon de faire les bébés». L’une d’elles a expliqué à l’école, que parfois la «maman n’a pas de sac» et qu’il faut demander «à une autre dame». «On a réussi à les préserver mais avec l’affaire judiciaire, elles sont inquiètes. Cela leur revient comme un bomerang.» Dominique et Sylvie, qui ont accepté de ne plus se cacher espèrent que d’autres couples «vont prendre la relève».
(1) Interdits d’enfants, éd. Michalon, (sortie le 29 mai).
http://www.liberation.fr/actualite/soci ... 742.FR.php
Plus d'infos avec une entrevue avec Michèle André, sénatrice socialiste du Puy-de-Dôme ici :
http://www.la-croix.com/article/index.j ... rubId=4076Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Journée mains propres à l’hôpital avec Roselyne Bachelot
"Des mains désinfectées, des risques évités" : tel est le slogan de la première journée nationale sur l’hygiène des mains, qui se tient ce vendredi 23 mai. Cette journée, annoncée en janvier dernier par la ministre de la santé Roselyne Bachelot, a pour but d’informer et sensibiliser les patients et les professionnels de santé sur les gestes à faire pour réduire les risques d’infections nosocomiales.
Absentes au moment de l’admission du patient, les infections nosocomiales sont contractées à l’hôpital. Elles touchent 7% des patients hospitalisés, soit près de 800.000 personnes par an.
A l’occasion de cette première journée nationale sur l’hygiène des mains, Roselyne Bachelot visite le centre chirurgical Marie Lannelongue (PSPH) au Plessis-Robinson, dans les Hauts-de Seine. Elle doit discuter avec le personnel de l’établissement sur les nouveaux outils pédagogiques, les affiches et les plaquettes que le ministère de la santé a mis à leur disposition.
Une charte d’engagement en 10 points sera signée par le directeur et le président de la commission médicale d’établissement (CME) du centre. Développement d’une politique "mains sans bijou", généralisation de l’installation de distributeurs de produits hydro-alcooliques dans les chambres et à aux postes de soins, achat de produits pour la friction des mains aux normes européennes... constituent quelques-uns des points clés de cette charte.
Le site du ministère de la santé proposera bientôt deux clips vidéo de sensibilisation, actuellement visibles sur le site du Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (Cclin) Sud-Ouest : www.cclin-sudouest.com.
Différents hôpitaux participent à cette première journée nationale sur l’hygiène des mains. Avec différentes animations. A l’hôpital Saint-Joseph à Paris, par exemple, on a prévu une "boitacoucou" où chacun aura la possibilité de tester la qualité de la désinfection de ses mains.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"Des mains désinfectées, des risques évités" : tel est le slogan de la première journée nationale sur l’hygiène des mains, qui se tient ce vendredi 23 mai. Cette journée, annoncée en janvier dernier par la ministre de la santé Roselyne Bachelot, a pour but d’informer et sensibiliser les patients et les professionnels de santé sur les gestes à faire pour réduire les risques d’infections nosocomiales.
Absentes au moment de l’admission du patient, les infections nosocomiales sont contractées à l’hôpital. Elles touchent 7% des patients hospitalisés, soit près de 800.000 personnes par an.
A l’occasion de cette première journée nationale sur l’hygiène des mains, Roselyne Bachelot visite le centre chirurgical Marie Lannelongue (PSPH) au Plessis-Robinson, dans les Hauts-de Seine. Elle doit discuter avec le personnel de l’établissement sur les nouveaux outils pédagogiques, les affiches et les plaquettes que le ministère de la santé a mis à leur disposition.
Une charte d’engagement en 10 points sera signée par le directeur et le président de la commission médicale d’établissement (CME) du centre. Développement d’une politique "mains sans bijou", généralisation de l’installation de distributeurs de produits hydro-alcooliques dans les chambres et à aux postes de soins, achat de produits pour la friction des mains aux normes européennes... constituent quelques-uns des points clés de cette charte.
Le site du ministère de la santé proposera bientôt deux clips vidéo de sensibilisation, actuellement visibles sur le site du Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (Cclin) Sud-Ouest : www.cclin-sudouest.com.
Différents hôpitaux participent à cette première journée nationale sur l’hygiène des mains. Avec différentes animations. A l’hôpital Saint-Joseph à Paris, par exemple, on a prévu une "boitacoucou" où chacun aura la possibilité de tester la qualité de la désinfection de ses mains.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- aneso81
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- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Une contraception pour 5 ans, sans y penser
[23 mai 2008 - 08:30]
La contraception intra-utérine connait un succès grandissant en France. Au point qu’elle se place désormais en deuxième position, juste après la pilule contraceptive. Mais il y a « stérilet » et « stérilet ». Si le traditionnel dispositif en cuivre existe toujours, les femmes se tournent de plus en plus vers les « systèmes Intra-Utérins » (SIU) diffuseurs de progestatif. Une voie contraceptive plus souple et mieux tolérée.
« Il s’agit d’une nouvelle catégorie de stérilet, qui délivre de manière régulière une petite quantité de progestérone » nous explique le Pr Patrick Thonneau. Pour ce gynécologue-obstétricien à l’hôpital Paule de Viguier (Toulouse) et Directeur de recherche INSERM, « le SIU hormonal s’est avéré plus efficace que les DIU les plus fortement chargés en cuivre.
« Cette méthode est particulièrement appréciée des femmes qui viennent d’avoir un enfant. » A tel point qu’aujourd’hui, une sur deux s’est déjà tournée vers le SIU hormonal. Son avantage ? « Une diminution non négligeable des règles, en durée comme en intensité. Il apporte à la fois une meilleure efficacité contraceptive et une qualité de vie améliorée… et se fait oublier ! »
Mieux « il n’existe pas d’effets secondaires connus, si ce n’est l’acceptation par la femme d’un petit corps étranger à l’intérieur de soi. Les seules contraintes sont donc des examens de contrôle réguliers. » Le SIU hormonal permet ainsi un confort plus important. Quant à sa durée d’utilisation, « elle est progressivement passée de 3 ans à 5 ans. Avec un retour rapide à la fertilité après son retrait, le SIU hormonal peut-être retiré dès un nouveau désir de grossesse . » Ce qui en fait une contraception vraiment adaptée à la vie active de la femme moderne !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[23 mai 2008 - 08:30]
La contraception intra-utérine connait un succès grandissant en France. Au point qu’elle se place désormais en deuxième position, juste après la pilule contraceptive. Mais il y a « stérilet » et « stérilet ». Si le traditionnel dispositif en cuivre existe toujours, les femmes se tournent de plus en plus vers les « systèmes Intra-Utérins » (SIU) diffuseurs de progestatif. Une voie contraceptive plus souple et mieux tolérée.
« Il s’agit d’une nouvelle catégorie de stérilet, qui délivre de manière régulière une petite quantité de progestérone » nous explique le Pr Patrick Thonneau. Pour ce gynécologue-obstétricien à l’hôpital Paule de Viguier (Toulouse) et Directeur de recherche INSERM, « le SIU hormonal s’est avéré plus efficace que les DIU les plus fortement chargés en cuivre.
« Cette méthode est particulièrement appréciée des femmes qui viennent d’avoir un enfant. » A tel point qu’aujourd’hui, une sur deux s’est déjà tournée vers le SIU hormonal. Son avantage ? « Une diminution non négligeable des règles, en durée comme en intensité. Il apporte à la fois une meilleure efficacité contraceptive et une qualité de vie améliorée… et se fait oublier ! »
Mieux « il n’existe pas d’effets secondaires connus, si ce n’est l’acceptation par la femme d’un petit corps étranger à l’intérieur de soi. Les seules contraintes sont donc des examens de contrôle réguliers. » Le SIU hormonal permet ainsi un confort plus important. Quant à sa durée d’utilisation, « elle est progressivement passée de 3 ans à 5 ans. Avec un retour rapide à la fertilité après son retrait, le SIU hormonal peut-être retiré dès un nouveau désir de grossesse . » Ce qui en fait une contraception vraiment adaptée à la vie active de la femme moderne !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
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- aneso81
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La spondylarthrite ? Un mal de dos, mais pas seulement…
[23 mai 2008 - 12:39]
Quel lien peut-il bien exister entre un mal de dos et… la perte d’acuité visuelle ? Comme le précise le Pr Philippe Goupille rhumatologue à Tours, « nous ne connaissons pas les mécanismes physiologiques qui permettent de l’expliquer. Mais toujours est-il que 20% à 30% des malades qui souffrent de spondylarthrite ankylosante font des uvéites ».
Une uvéite est une inflammation de l’uvée, une membrane de l’œil qui comprend notamment l’iris et les corps ciliaires. Cette affection se traduit le plus souvent par une rougeur locale associée à une douleur, laquelle n’a rien de commun avec la sensation de « grain de sable » typique d’une conjonctivite.
« Une uvéite nécessite un traitement d’urgence pour éviter des complications et une perte au moins partielle de la vision » explique Philippe Goupille. « Un œil rouge et douloureux doit entraîner la consultation d’un ophtalmologue ». C’est un conseil à suivre à la lettre, et cela lors de chaque épisode d’uvéite. Car c’est une affection qui tend à récidiver.
Outre des signes très caractéristiques, la spondylarthrite ankylosante entraîne dans son sillage un cortège de troubles associés, que les spécialistes qualifient « d’extra-articulaires ». L’uvéite en fait partie, mais pas seulement. D’autres manifestations peuvent survenir, comme une douleur au talon… qui présente la caractéristique singulière de s’améliorer à la marche. Voilà pourquoi si vous êtes traité pour un « mal de dos », surtout persistant et si vous avez des douleurs oculaires ou dans le talon, vous devez en parler sans tarder à votre médecin traitant. Il vous enverra certainement voir un spécialiste.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[23 mai 2008 - 12:39]
Quel lien peut-il bien exister entre un mal de dos et… la perte d’acuité visuelle ? Comme le précise le Pr Philippe Goupille rhumatologue à Tours, « nous ne connaissons pas les mécanismes physiologiques qui permettent de l’expliquer. Mais toujours est-il que 20% à 30% des malades qui souffrent de spondylarthrite ankylosante font des uvéites ».
Une uvéite est une inflammation de l’uvée, une membrane de l’œil qui comprend notamment l’iris et les corps ciliaires. Cette affection se traduit le plus souvent par une rougeur locale associée à une douleur, laquelle n’a rien de commun avec la sensation de « grain de sable » typique d’une conjonctivite.
« Une uvéite nécessite un traitement d’urgence pour éviter des complications et une perte au moins partielle de la vision » explique Philippe Goupille. « Un œil rouge et douloureux doit entraîner la consultation d’un ophtalmologue ». C’est un conseil à suivre à la lettre, et cela lors de chaque épisode d’uvéite. Car c’est une affection qui tend à récidiver.
Outre des signes très caractéristiques, la spondylarthrite ankylosante entraîne dans son sillage un cortège de troubles associés, que les spécialistes qualifient « d’extra-articulaires ». L’uvéite en fait partie, mais pas seulement. D’autres manifestations peuvent survenir, comme une douleur au talon… qui présente la caractéristique singulière de s’améliorer à la marche. Voilà pourquoi si vous êtes traité pour un « mal de dos », surtout persistant et si vous avez des douleurs oculaires ou dans le talon, vous devez en parler sans tarder à votre médecin traitant. Il vous enverra certainement voir un spécialiste.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
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