la mort d'une enfant
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Mily
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la mort d'une enfant
Je suis DE depuis le 24/11 et je travaille depuis en pédiatrie dite "générale". Depui le début de mes études c'était ce que je voulais et c'était une décision mure et réfléchie. J'ai d'ailleurs orientée tout mes stages dans ce sens (stage optionnel et pré-pro).
Lors de mon stage pré-pro cet été j'ai fait la connaissance d'une petite puce d'1 an et quelques mois. Son diagnostic venait posé: nephroblastome au stade 4, pronostic mauvais. Je me suis occupée d'elle, j'ai rencontré ses parents. Son histoire me touchait (qui ne serait pas touché par cela?!), mais j'arrivait à faire la part des choses, je n'ai pas transféré mes émotions.
Je reviens dans le service une fois diplomée, mais dans l'aile des plus grands. Très vite, j'apprends que la petite fille passe de cure de chimio en cure de chimio, de suivi en hopital de jour en hospitalisation prolongée... Toute l'équipe s'est très vite attachée à elle, et pourtant, ce n'est pas la première enfant cancéreuse qui est prise encharge dans le service. Jusque la, j'arrive "bien" à gerer cela.
Mi-janvier: Son médecin réferent déclare la fillette en soins palliatifs.
Et de la, c'est comme si une tornade s'était abattu. Evidemment, depuis le début je savais l'issue mais là, c'est la fin de tout espoir. Tout les jours, on apprend les nouvelles de santé et tous les jours c'est un pas de plus vers la mort: douleur, mise sous morphine, augmentation des doses, encombrement bronchique et nécessité de l'aspirer... Et je me surprends à dire et à penser : elle souffre trop, il faudrait qu'elle parte vite.
Lundi matin, l'aumonière de l'hopital vient en pédiatrie et nous demande si c'est chez nous qu'il y a une petite à baptiser: "non, c'est en face..."
La fillette est décédée Vendredi à 3h du matin avec ses parents à coté d'elle. Sur le coup, j'ai pris la nouvelle relativement bien: elle ne souffre plus, ses parants vont pouvoir commencer le travail de deuil. Mes collègues aussi. Et pourtant, au déjeuner, spontanément nous parlons d'elle, des souvenirs que nous avions d'elle. Puis une collègue craque en pensant aux "filles d'en face" et à leur peine. Je craque à mon tour. Très vite, il faut continuer, la visite commence et je met à bosser comme une folle.Relève d'après-midi, annonce aux collègues, nouveaux pleurs.
Toute l'après-midi, chez moi, j'ai pensé à la petite fille, elle n'aviat pas 2 ans, elle n'a soufflé qu'une seule bougie... Et ma réaction, pourquoi je reagissais ainsi alors que je l'avis bien vécu jusque la?
Au diner du soir, avec mes parents, nous en parlons et je craque de nouveau. Et eux me disent que c'est probablement normal de réagir ainsi:nous sommes des professionnelles c'est surs mais des humaines avant tout et il peut arriver que parfois, la blouse , cette belle carapace ne nous protège pas de nos émotions.
Aujourd'hui cela va mieux, "il faut continuer".
Lors de mon stage pré-pro cet été j'ai fait la connaissance d'une petite puce d'1 an et quelques mois. Son diagnostic venait posé: nephroblastome au stade 4, pronostic mauvais. Je me suis occupée d'elle, j'ai rencontré ses parents. Son histoire me touchait (qui ne serait pas touché par cela?!), mais j'arrivait à faire la part des choses, je n'ai pas transféré mes émotions.
Je reviens dans le service une fois diplomée, mais dans l'aile des plus grands. Très vite, j'apprends que la petite fille passe de cure de chimio en cure de chimio, de suivi en hopital de jour en hospitalisation prolongée... Toute l'équipe s'est très vite attachée à elle, et pourtant, ce n'est pas la première enfant cancéreuse qui est prise encharge dans le service. Jusque la, j'arrive "bien" à gerer cela.
Mi-janvier: Son médecin réferent déclare la fillette en soins palliatifs.
Et de la, c'est comme si une tornade s'était abattu. Evidemment, depuis le début je savais l'issue mais là, c'est la fin de tout espoir. Tout les jours, on apprend les nouvelles de santé et tous les jours c'est un pas de plus vers la mort: douleur, mise sous morphine, augmentation des doses, encombrement bronchique et nécessité de l'aspirer... Et je me surprends à dire et à penser : elle souffre trop, il faudrait qu'elle parte vite.
Lundi matin, l'aumonière de l'hopital vient en pédiatrie et nous demande si c'est chez nous qu'il y a une petite à baptiser: "non, c'est en face..."
La fillette est décédée Vendredi à 3h du matin avec ses parents à coté d'elle. Sur le coup, j'ai pris la nouvelle relativement bien: elle ne souffre plus, ses parants vont pouvoir commencer le travail de deuil. Mes collègues aussi. Et pourtant, au déjeuner, spontanément nous parlons d'elle, des souvenirs que nous avions d'elle. Puis une collègue craque en pensant aux "filles d'en face" et à leur peine. Je craque à mon tour. Très vite, il faut continuer, la visite commence et je met à bosser comme une folle.Relève d'après-midi, annonce aux collègues, nouveaux pleurs.
Toute l'après-midi, chez moi, j'ai pensé à la petite fille, elle n'aviat pas 2 ans, elle n'a soufflé qu'une seule bougie... Et ma réaction, pourquoi je reagissais ainsi alors que je l'avis bien vécu jusque la?
Au diner du soir, avec mes parents, nous en parlons et je craque de nouveau. Et eux me disent que c'est probablement normal de réagir ainsi:nous sommes des professionnelles c'est surs mais des humaines avant tout et il peut arriver que parfois, la blouse , cette belle carapace ne nous protège pas de nos émotions.
Aujourd'hui cela va mieux, "il faut continuer".
Elle veut pas finir seule et moche / Elle veut qu’on s’inquiète pour elle
Elle veut pas voir de la bidoche / Ni se laisser des poils sous les aisselles...!
Puer... Et mariée depuis le 21 juin08!
Elle veut pas voir de la bidoche / Ni se laisser des poils sous les aisselles...!
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Je comprends ta douleur, je n'ai pas connu ça mais la nuit dernière j'ai lu le témoignage de parents qui racontent le calvaire de 10 mois d'une petite fille de 3-4 ans atteinte d'un neuroblastome métastatique...
http://www.donationlousalome.org/fichie ... alome1.htm
(300 pages pour vous donner une idée du parcours d'un enfant cancéreux)
Rien que de lire ce témoignage j'en suis toute retournée, pourtant je suis AP en réanimation pédia, et je vois aussi bcp d'enfants souffrir et mourir (des fois je me demande comment je fais pour prendre de la distance)
Mais bon la vie continue, et nous sommes là (Puér et AP, etc) pour soutenir ces petits bouts et les accompagner pendant leur calvaire jusqu'à la fin...
http://www.donationlousalome.org/fichie ... alome1.htm
(300 pages pour vous donner une idée du parcours d'un enfant cancéreux)
Rien que de lire ce témoignage j'en suis toute retournée, pourtant je suis AP en réanimation pédia, et je vois aussi bcp d'enfants souffrir et mourir (des fois je me demande comment je fais pour prendre de la distance)
Mais bon la vie continue, et nous sommes là (Puér et AP, etc) pour soutenir ces petits bouts et les accompagner pendant leur calvaire jusqu'à la fin...
Dernière modification par ap.sally le 07 août 2005 16:11, modifié 1 fois.
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Mily
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Merci Wendy pour ta réponse et aussi pour l'adresse du site. J'ai commencé à lire l'histoire de lou salomé et du combat de ses parents. Je crois qu'on ne parle pas assez de tout cela, hormis dans quelques émissions ponctuelles à la télévision. La mort d'un enfant est malheureusement encore trop banale pour qu'on puisse occulter ce sujet.
Comme tu le dis, parfois on arrive à mettre la distance nécessaire et parfois, une histoire nous touche plus qu'une autre, sans qu'on sache vraiment pourquoi...
Comme tu le dis, parfois on arrive à mettre la distance nécessaire et parfois, une histoire nous touche plus qu'une autre, sans qu'on sache vraiment pourquoi...
Elle veut pas finir seule et moche / Elle veut qu’on s’inquiète pour elle
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Re: la mort d'une enfant
Mily a écrit :Et je me surprends à dire et à penser : elle souffre trop, il faudrait qu'elle parte vite.
Moi aussi je me surprends à le penser et on le dis entre collègues et médecins quand on voient que ça fait un mois qu'un petit bout est en réa, encore intubé, gonflé par les oedèmes et qui commence à s'infecter de partout...
Il y a un moment où l'on sait que l'enfant ne pourra plus s'en sortir ou du moins pas sans séquelles graves.
Oui tu as raison on ne parle pas assez de tout cela... l'histoire de Lou Salomé vaut bien plus que tous les documentaires faits jusqu'à aujourd'hui...
Merci pour ce lien Wendy.... l'histoire de Lou Salomé est .... poignante.
Je suis en pleine lecture, ça me replonge aussi à cette époque où je travaillais en immuno-hémato pédiatrique à Necker (je n'y sui restée que 6 mois)
Cette histoire est pleine de sincérité et de vérité
Tellement réaliste aussi pour TOUTES ces familles.
Je suis en pleine lecture, ça me replonge aussi à cette époque où je travaillais en immuno-hémato pédiatrique à Necker (je n'y sui restée que 6 mois)
Cette histoire est pleine de sincérité et de vérité
Tellement réaliste aussi pour TOUTES ces familles.
autre lecture qui pourra vous intéresser et vous aider:
http://www.infirmiers.com/carr/puer/enf ... nDeVie.pdf
http://www.infirmiers.com/carr/puer/enf ... nDeVie.pdf
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Frankie30
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- Localisation : Un jour ailleurs... Mais quand ?
Si j'ai la chance d'avoir ce fameux concours, je préfère ne pas avoir affaire à des enfants : c'est trop injuste. Toutes ces souffrances pour ces bouts de chou, ce n'est pas dans l'ordre des choses. Sincèrement, je ne pense pas être capable de supporter ça quotidiennement, je les aime trop p/ les voir souffrir. Il faut avoir 1 sacré moral pour ce job !!
chapeau à tous ceux qui s'en occupent.
chapeau à tous ceux qui s'en occupent.
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con 
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Mily
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Merci Hibiscus pour le lien avec ce mémoire.
Hier, vendredi 4 (soit tout juste 2 semaines après)une autre enfant est décédé. Elle avait 8 ans, était encéphalopathe et est morte suite à une détresse respiratoire. Les parents ont refusé toute réanimation et tout geste invasif.
En ce moment, c'est sur, c'est dur, 2 décès coup sur coup, c'est pas facile. Pourtant, cela me donne encore plus envie de travailler pour des enfants qui souffrent et aider leurs parents. La mort d'un enfant est difficile à accepter, certes, mais c'est en l'accompagnant pendant sa fin de vie, en assurant des soins de confort que j'ai appris à mieux accepter la mort de cet autre petite fille. Nous n'avons malheureusement pas le pouvoir magique pour les sauver, mais avons la possibilité de rendre ces derniers moments plus humains pour l'enfant et pour la famille.
Et puis, il y a tellement de bons moments en pédiatrie, cela surpasse ces difficultés...
Hier, vendredi 4 (soit tout juste 2 semaines après)une autre enfant est décédé. Elle avait 8 ans, était encéphalopathe et est morte suite à une détresse respiratoire. Les parents ont refusé toute réanimation et tout geste invasif.
En ce moment, c'est sur, c'est dur, 2 décès coup sur coup, c'est pas facile. Pourtant, cela me donne encore plus envie de travailler pour des enfants qui souffrent et aider leurs parents. La mort d'un enfant est difficile à accepter, certes, mais c'est en l'accompagnant pendant sa fin de vie, en assurant des soins de confort que j'ai appris à mieux accepter la mort de cet autre petite fille. Nous n'avons malheureusement pas le pouvoir magique pour les sauver, mais avons la possibilité de rendre ces derniers moments plus humains pour l'enfant et pour la famille.
Et puis, il y a tellement de bons moments en pédiatrie, cela surpasse ces difficultés...
Elle veut pas finir seule et moche / Elle veut qu’on s’inquiète pour elle
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Mily a écrit :Nous n'avons malheureusement pas le pouvoir magique pour les sauver, mais avons la possibilité de rendre ces derniers moments plus humains pour l'enfant et pour la famille.
Et puis, il y a tellement de bons moments en pédiatrie, cela surpasse ces difficultés...
je crois que là tu as vraiment bien résumé ce que nous vivons dans certains services !!!
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MissPurple
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il avait 11 ans
Je crois, une dizaine d'années en tous cas.
C'était mon premier poste, dans un service avec des enfants atteints de pathologies chroniques. On savait qu'il n'était pas opérable et que son état empirait à chaque fois qu'il revenait.
Il est décédé après un week-end que l'on a passé à faire des soins plus ou moins invasifs (je vous passerai les détails mais j'ai détesté mon boulot par moments...) et le voyant s'enfoncer et souffrir la question de l'arrêt des soins est venue sur le tapis.'
Finalement il a été 'apaisé médicalement' et il est parti...ça a été un soulagement pour lui mais la douleur de ses parents et de sa famille me reste en mémoire. Pourtant ils savaient que ça finirait ainsi mais peut-on s'habituer à l'idée de perdre son enfant?
Le pire a été le moment où on a du ranger ses affaires, refaire la chambre...c'était comme si son petit fantôme nous regardait...Ca parait un peu niais mais tant pis.
J'ai pas mal pleuré mais le côté positif c'est que pour une fois dans ce service (cf mon poste 'tenez bon!') j'ai senti de la solidarité entre collègues. Nous étions unies dans la douleur.
Cela ne remet pas en cause mon envie d'être puéricultrice même si étant maman à mon tour j'aurai encore une autre vision des soins je pense.
C'était mon premier poste, dans un service avec des enfants atteints de pathologies chroniques. On savait qu'il n'était pas opérable et que son état empirait à chaque fois qu'il revenait.
Il est décédé après un week-end que l'on a passé à faire des soins plus ou moins invasifs (je vous passerai les détails mais j'ai détesté mon boulot par moments...) et le voyant s'enfoncer et souffrir la question de l'arrêt des soins est venue sur le tapis.'
Finalement il a été 'apaisé médicalement' et il est parti...ça a été un soulagement pour lui mais la douleur de ses parents et de sa famille me reste en mémoire. Pourtant ils savaient que ça finirait ainsi mais peut-on s'habituer à l'idée de perdre son enfant?
Le pire a été le moment où on a du ranger ses affaires, refaire la chambre...c'était comme si son petit fantôme nous regardait...Ca parait un peu niais mais tant pis.
J'ai pas mal pleuré mais le côté positif c'est que pour une fois dans ce service (cf mon poste 'tenez bon!') j'ai senti de la solidarité entre collègues. Nous étions unies dans la douleur.
Cela ne remet pas en cause mon envie d'être puéricultrice même si étant maman à mon tour j'aurai encore une autre vision des soins je pense.
Avant j'avais des principes, maintenant j'ai des enfants
MissPurple, tes mots sont criant de verité.
J'ai aussi vecu un déces dont je me souviendrai toujours (mon 1er en tant que professionnelle) et ben la fille forte que j'étais s'est effondrée ..... et là aussi , tout comme toi, la solidarité entre collegues et meme le réanimateur présent ce soir là était unanime ! Cela n'enleve en rien la peine mais se sentir 'soutenue' ou meme juste constater l'emotion chez tout le monde .... ben dans ces moments là c'est essentiel pour continuer d'avancer dans cette profession.
Ces épreuves aussi pénibles soient elles me confortent aussi d'avoir choisi ce métier de PUER
Il y a aussi tellement de bons moments à vivre ....
En tout cas bonne chance pour le concours
J'ai aussi vecu un déces dont je me souviendrai toujours (mon 1er en tant que professionnelle) et ben la fille forte que j'étais s'est effondrée ..... et là aussi , tout comme toi, la solidarité entre collegues et meme le réanimateur présent ce soir là était unanime ! Cela n'enleve en rien la peine mais se sentir 'soutenue' ou meme juste constater l'emotion chez tout le monde .... ben dans ces moments là c'est essentiel pour continuer d'avancer dans cette profession.
Ces épreuves aussi pénibles soient elles me confortent aussi d'avoir choisi ce métier de PUER
Il y a aussi tellement de bons moments à vivre ....
En tout cas bonne chance pour le concours
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MissPurple
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Mily
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presque un mois, déja...
tiens, c'est bizarre que mon post remonte aujourd'hui. Cela va faire un mois que la petite puce d'un an et demi est partie...
En tout cas, je suis très contente de tous vos témoignages. J'avais écrit mon histoire peut-être pour pouvoir m'aider à "évacuer", et je me rends compte que partout, vivre la mort d'un enfant est difficile.
Sincèrement merci pour vos témoignages
En tout cas, je suis très contente de tous vos témoignages. J'avais écrit mon histoire peut-être pour pouvoir m'aider à "évacuer", et je me rends compte que partout, vivre la mort d'un enfant est difficile.
Sincèrement merci pour vos témoignages
Elle veut pas finir seule et moche / Elle veut qu’on s’inquiète pour elle
Elle veut pas voir de la bidoche / Ni se laisser des poils sous les aisselles...!
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Elle veut pas voir de la bidoche / Ni se laisser des poils sous les aisselles...!
Puer... Et mariée depuis le 21 juin08!
L'histoire de Lou-Salomé sort ce mois ci sur papier (au prix de 20€), vous pouvez le commander en téléchargeant le bon de commande sur le site de la donation Lou-Salomé :
http://www.donationlousalome.org./fichi ... l_actu.htm
(bon de commande)
Une grosse pensée pour sa maman qui est elle même maintenant atteinte d'une tumeur médiastinale avec métastases...
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(bon de commande)
Une grosse pensée pour sa maman qui est elle même maintenant atteinte d'une tumeur médiastinale avec métastases...
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