licence master doctorat et volonte de la profession
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la tutorat est une bonne idée et devrait etre étendu.
mais le DE unique est une exellente idée. il permet une plus grande mobilité
. il dvrait permettre à tout ide une approche et une prise en charge de la personne dans sa globalité
, de donner à tout ide des bases dans tous les champs d'actions de la profession
et aurait du mettre fin à la guerre techniques et relationnel.
Oui mais voila des vieux c...s persuadés que les jeunes sont nuls se chargent en shuntant l'étape du noviciat (voir en la niant) de faire comprendre à leurs cadets ou est la vérité, que les IFSI sont nuls que le DE est nul et que cela va en empirant. chaque génération méprisant la suivante!!
objectivement seul l'abaissement du seuil de redoublement est un facteur de décote de notre diplome. mais je n'ai pas souvenance de l'avoir lu sur ce poste.
mais le DE unique est une exellente idée. il permet une plus grande mobilité




Oui mais voila des vieux c...s persuadés que les jeunes sont nuls se chargent en shuntant l'étape du noviciat (voir en la niant) de faire comprendre à leurs cadets ou est la vérité, que les IFSI sont nuls que le DE est nul et que cela va en empirant. chaque génération méprisant la suivante!!

objectivement seul l'abaissement du seuil de redoublement est un facteur de décote de notre diplome. mais je n'ai pas souvenance de l'avoir lu sur ce poste.
j'aime bien Charlie, mais Nigéria a beaucoup plus besoin de nous
#je suis Nigéria
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Reconnaissance universitaire : une licence professionnelle pour les IDE ?
Le rapport LMD est enfin disponible, et un cycle de "concertation" débutera le 17 novembre par une séance introductive qui permettra de définir la méthode et le calendrier préparatoire à la réforme proposée par le Ministère.
Nous avons enfin pu avoir un exemplaire du fameux rapport LMD de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche : « EVALUATION DE L’IMPACT DU DISPOSITIF LMD SUR LES FORMATIONS ET LE STATUT DES PROFESSIONS PARAMEDICALES ».
Commandé par 4 Ministres le 13 septembre 2007, le rapport LMD devait être rendu en janvier 2008. Repoussé de mois en mois, il était annoncé finalement pour le 22 septembre dernier (communiqué du Ministère daté du 24.07.08). Finalement, il a été officiellement remis aux Ministres le 7 octobre.
La mission recommande généreusement une « licence professionnelle » ! Curieusement, les pistes du BTS ou du DUT n’ont pas été envisagées. Quant au bac pro, cela n’aurait pas fait sérieux.
Quelle différence entre une licence, et la « sous licence » proposée aux Cendrillons des soins ?
L’arrêté du 23 avril 2002 relatif aux études universitaires conduisant au grade de licence mentionne en particulier deux diplômes :
- la licence, régie par l’arrêté du 9 avril 1997 modifié, qui se substitue à l’ancien diplôme d’études universitaires générales - D.E.U.G - en deux ans suivi de la licence en un an et se prépare en six semestres ;
- la licence professionnelle, régie par l’arrêté du 17 novembre 1999, ouverte notamment aux étudiants ayant obtenu un B.T.S. ou un D.U.T., qui se prépare en deux semestres.
Donc la mission nous propose de faire deux ans en IFSI, puis de faire une troisième année « chez les grands » qui elle, serait validée par l’université. En résumé, on veut bien faire plaisir aux petites infirmières, car elles sont bien gentilles, mais vous comprenez, elles sont quand même un peu bébêtes, elles n’ont pas le niveau.
Vous pensez que l’on caricature ? Certes, les propos de la mission sont plus « politiquement correct » dans l’écriture, mais la condescendance et le mépris envers notre profession de "caractère opérationnel" (bonnes exécutantes mais pas capables de réfléchir par elles-mêmes) transpirent dans ce « florilège » d’extraits du rapport :
paragraphe 90 page 33 :
Enfin, en ce qui concerne les infirmiers, ce sont moins les actes pratiqués eux-mêmes qui vont évoluer hormis peut-être la prise en charge des maladies chroniques avec le développement des fonctions d’éducation et de prévention- que les conditions et le contexte dans lesquels ils vont être réalisés. Le respect des contraintes et exigences en matière de sécurité et de qualité des soins, le développement des réseaux et la nécessité de penser plus globalement les prises en charge, l’évolution des techniques en matière de traitement de la douleur ou de chirurgie ambulatoire, la place de l’informatique dans la gestion des dossiers, l’évolution des modes de management privilégiant des marges d’autonomie... Tous ces éléments devraient conduire à revoir leur formation initiale pour leur permettre de prendre plus de recul par rapport à leur pratique et de mieux appréhender la logique globale dans laquelle elle s’insère.
paragraphe 122 page 39 :
des doutes quant à la capacité des infirmiers tels qu’ils sont actuellement recrutés et formés à prendre des responsabilités de cadres.
paragraphe 127 p40
La construction d’une discipline des soins infirmiers n’est pas simple non plus dans les autres pays européens (Italie, Allemagne ...). Les recherches publiées par les espagnols et les portugais sont plutôt de l’ordre d’études ou d’audit.
paragraphe 146 p42
on peut s’interroger sur la signification et la portée qui seraient celles de la seule reconnaissance de niveau déconnectée du contenu des enseignements suivis et envisagés.
paragraphe 147 p42
Une équivalence de grade, fondée sur la seule durée des études, négligeant les écarts nés de la nature des formations, ne manquerait pas d’être contestée par une communauté universitaire attentive, à juste titre, au niveau des diplômes, et courrait ainsi le risque d’être rapidement perçue comme une licence « au rabais ».
paragraphe 185 p47
écarter toute formule qui ferait courir le risque d’une formation élitiste ou trop abstraite, dérive qui détournerait cette formation d’une de ses vocations : la promotion professionnelle. Le maintien de la promotion interne est fondamental. Dans le même esprit, le dispositif retenu devrait faire toute sa place à la VAE. La formation continue est l’une des formules d’accès qu’il convient de préserver, impliquant de concilier les règles d’entrée et de déroulement des formations universitaires avec le parcours qualifiant de la VAE. Dans ce cadre le principe de validation de l’expérience professionnelle pour l’acquisition de « crédits » ou ECTS doit être reconnu.
paragraphe 200 p49
Il n’est en effet pas contestable que la profession d’infirmier possède, pour une large part des attributions qui lui sont actuellement conférées, un caractère opérationnel.
***********************************************************
Pour le fun, le top des incohérences :
- les infirmières puéricultrices n’existent pas pour les auteurs du rapport : la licence pro pour les IDE, le grade de master pour les IBODE, IADE et cadres de santé
- le chapitre de la page 43 est intitulé "Scepticisme, voire méfiance des organisations syndicales", alors que le contenu du texte dit exactement le contraire ! Exemple :[157] Dans leur ensemble les organisations syndicales représentatives sont favorables à l’inscription dans le dispositif LMD des professions paramédicales.
- la VAE validation de l’expérience professionnelle qui donne des crédits universitaires ECTS !
Détails :
http://www.syndicat-infirmier.com/artic ... rticle=699
Le rapport LMD est enfin disponible, et un cycle de "concertation" débutera le 17 novembre par une séance introductive qui permettra de définir la méthode et le calendrier préparatoire à la réforme proposée par le Ministère.
Nous avons enfin pu avoir un exemplaire du fameux rapport LMD de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche : « EVALUATION DE L’IMPACT DU DISPOSITIF LMD SUR LES FORMATIONS ET LE STATUT DES PROFESSIONS PARAMEDICALES ».
Commandé par 4 Ministres le 13 septembre 2007, le rapport LMD devait être rendu en janvier 2008. Repoussé de mois en mois, il était annoncé finalement pour le 22 septembre dernier (communiqué du Ministère daté du 24.07.08). Finalement, il a été officiellement remis aux Ministres le 7 octobre.
La mission recommande généreusement une « licence professionnelle » ! Curieusement, les pistes du BTS ou du DUT n’ont pas été envisagées. Quant au bac pro, cela n’aurait pas fait sérieux.
Quelle différence entre une licence, et la « sous licence » proposée aux Cendrillons des soins ?
L’arrêté du 23 avril 2002 relatif aux études universitaires conduisant au grade de licence mentionne en particulier deux diplômes :
- la licence, régie par l’arrêté du 9 avril 1997 modifié, qui se substitue à l’ancien diplôme d’études universitaires générales - D.E.U.G - en deux ans suivi de la licence en un an et se prépare en six semestres ;
- la licence professionnelle, régie par l’arrêté du 17 novembre 1999, ouverte notamment aux étudiants ayant obtenu un B.T.S. ou un D.U.T., qui se prépare en deux semestres.
Donc la mission nous propose de faire deux ans en IFSI, puis de faire une troisième année « chez les grands » qui elle, serait validée par l’université. En résumé, on veut bien faire plaisir aux petites infirmières, car elles sont bien gentilles, mais vous comprenez, elles sont quand même un peu bébêtes, elles n’ont pas le niveau.
Vous pensez que l’on caricature ? Certes, les propos de la mission sont plus « politiquement correct » dans l’écriture, mais la condescendance et le mépris envers notre profession de "caractère opérationnel" (bonnes exécutantes mais pas capables de réfléchir par elles-mêmes) transpirent dans ce « florilège » d’extraits du rapport :
paragraphe 90 page 33 :
Enfin, en ce qui concerne les infirmiers, ce sont moins les actes pratiqués eux-mêmes qui vont évoluer hormis peut-être la prise en charge des maladies chroniques avec le développement des fonctions d’éducation et de prévention- que les conditions et le contexte dans lesquels ils vont être réalisés. Le respect des contraintes et exigences en matière de sécurité et de qualité des soins, le développement des réseaux et la nécessité de penser plus globalement les prises en charge, l’évolution des techniques en matière de traitement de la douleur ou de chirurgie ambulatoire, la place de l’informatique dans la gestion des dossiers, l’évolution des modes de management privilégiant des marges d’autonomie... Tous ces éléments devraient conduire à revoir leur formation initiale pour leur permettre de prendre plus de recul par rapport à leur pratique et de mieux appréhender la logique globale dans laquelle elle s’insère.
paragraphe 122 page 39 :
des doutes quant à la capacité des infirmiers tels qu’ils sont actuellement recrutés et formés à prendre des responsabilités de cadres.
paragraphe 127 p40
La construction d’une discipline des soins infirmiers n’est pas simple non plus dans les autres pays européens (Italie, Allemagne ...). Les recherches publiées par les espagnols et les portugais sont plutôt de l’ordre d’études ou d’audit.
paragraphe 146 p42
on peut s’interroger sur la signification et la portée qui seraient celles de la seule reconnaissance de niveau déconnectée du contenu des enseignements suivis et envisagés.
paragraphe 147 p42
Une équivalence de grade, fondée sur la seule durée des études, négligeant les écarts nés de la nature des formations, ne manquerait pas d’être contestée par une communauté universitaire attentive, à juste titre, au niveau des diplômes, et courrait ainsi le risque d’être rapidement perçue comme une licence « au rabais ».
paragraphe 185 p47
écarter toute formule qui ferait courir le risque d’une formation élitiste ou trop abstraite, dérive qui détournerait cette formation d’une de ses vocations : la promotion professionnelle. Le maintien de la promotion interne est fondamental. Dans le même esprit, le dispositif retenu devrait faire toute sa place à la VAE. La formation continue est l’une des formules d’accès qu’il convient de préserver, impliquant de concilier les règles d’entrée et de déroulement des formations universitaires avec le parcours qualifiant de la VAE. Dans ce cadre le principe de validation de l’expérience professionnelle pour l’acquisition de « crédits » ou ECTS doit être reconnu.
paragraphe 200 p49
Il n’est en effet pas contestable que la profession d’infirmier possède, pour une large part des attributions qui lui sont actuellement conférées, un caractère opérationnel.
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Pour le fun, le top des incohérences :
- les infirmières puéricultrices n’existent pas pour les auteurs du rapport : la licence pro pour les IDE, le grade de master pour les IBODE, IADE et cadres de santé
- le chapitre de la page 43 est intitulé "Scepticisme, voire méfiance des organisations syndicales", alors que le contenu du texte dit exactement le contraire ! Exemple :[157] Dans leur ensemble les organisations syndicales représentatives sont favorables à l’inscription dans le dispositif LMD des professions paramédicales.
- la VAE validation de l’expérience professionnelle qui donne des crédits universitaires ECTS !
Détails :
http://www.syndicat-infirmier.com/artic ... rticle=699
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tiens je croyais qu'une licence professionnelle était une vrai licence.
il y a certes une validation non automatique pour accéder au master.
il y aurait l'avantage que pour exercer, il faut la licence pro et non une licence quelquonque.
j'ai entendu qu'en dehors de ces insultes il y avait la préconisation du passage en cat A est vrai??
il y a certes une validation non automatique pour accéder au master.
il y aurait l'avantage que pour exercer, il faut la licence pro et non une licence quelquonque.
j'ai entendu qu'en dehors de ces insultes il y avait la préconisation du passage en cat A est vrai??
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Deug (4 semestres) + licence (2 semestres)= 6 semestres ok d'accord
Iut (ou bts) (4 semestres+stages d'étés+projets...) + licence pro= 6 semestres.
La même chose, sur ce point particulier je ne vois pas le soucis....
J'ai gouté personnellement à l'iut et l'équivalent licence pro et cela correspond plus à notre formation qu'un cursus universitaire classique. Ne dévalorisez pas ces formations qui sont parfois dans certains points plus ardues que la notre.
Iut (ou bts) (4 semestres+stages d'étés+projets...) + licence pro= 6 semestres.
La même chose, sur ce point particulier je ne vois pas le soucis....
J'ai gouté personnellement à l'iut et l'équivalent licence pro et cela correspond plus à notre formation qu'un cursus universitaire classique. Ne dévalorisez pas ces formations qui sont parfois dans certains points plus ardues que la notre.
je parle de ceci:
je suis d'accord avec hub en plus c'est révez que de croire que les universitaire vont accepter que des professionnels non masterisés voir non licneciés puissent enseigner dans une licence classique!
cela dit je vais lire le rapport et je donnerais mon avis après
alors pour la cat A que repondez vous??En résumé, on veut bien faire plaisir aux petites infirmières, car elles sont bien gentilles, mais vous comprenez, elles sont quand même un peu bébêtes, elles n’ont pas le niveau.
Vous pensez que l’on caricature ? Certes, les propos de la mission sont plus « politiquement correct » dans l’écriture, mais la condescendance et le mépris envers notre profession de "caractère opérationnel" (bonnes exécutantes mais pas capables de réfléchir par elles-mêmes) transpirent dans ce « florilège » d’extraits du rapport :
paragraphe 90 page 33 :
Enfin, en ce qui concerne les infirmiers, ce sont moins les actes pratiqués eux-mêmes qui vont évoluer hormis peut-être la prise en charge des maladies chroniques avec le développement des fonctions d’éducation et de prévention- que les conditions et le contexte dans lesquels ils vont être réalisés. Le respect des contraintes et exigences en matière de sécurité et de qualité des soins, le développement des réseaux et la nécessité de penser plus globalement les prises en charge, l’évolution des techniques en matière de traitement de la douleur ou de chirurgie ambulatoire, la place de l’informatique dans la gestion des dossiers, l’évolution des modes de management privilégiant des marges d’autonomie... Tous ces éléments devraient conduire à revoir leur formation initiale pour leur permettre de prendre plus de recul par rapport à leur pratique et de mieux appréhender la logique globale dans laquelle elle s’insère.
je suis d'accord avec hub en plus c'est révez que de croire que les universitaire vont accepter que des professionnels non masterisés voir non licneciés puissent enseigner dans une licence classique!
cela dit je vais lire le rapport et je donnerais mon avis après
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Vos propos ne renforcent pas l'image et la crédibilité des syndicalistes. Vous pouvez avoir des analyses différentes, mais respecter les autres syndicats.
1) les propos rapportés par le SNPI son facilement vérifiables, car vous avez la page et le paragraphe
2) Le SNPI n'a pas "participé" à ce rapport, il a été "auditionné" par les rapporteurs, comme d'autres syndicats (CGT, FO, FSU...).
1) les propos rapportés par le SNPI son facilement vérifiables, car vous avez la page et le paragraphe
2) Le SNPI n'a pas "participé" à ce rapport, il a été "auditionné" par les rapporteurs, comme d'autres syndicats (CGT, FO, FSU...).
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Avec la réforme LMD la formation se calcule en semestre et crédits européens ECTS (le DEUG n'existe plus depuis) :Hub a écrit :Deug (4 semestres) + licence (2 semestres)= 6 semestres ok d'accord
Iut (ou bts) (4 semestres+stages d'étés+projets...) + licence pro= 6 semestres.
La même chose, sur ce point particulier je ne vois pas le soucis....
J'ai gouté personnellement à l'iut et l'équivalent licence pro et cela correspond plus à notre formation qu'un cursus universitaire classique. Ne dévalorisez pas ces formations qui sont parfois dans certains points plus ardues que la notre.
- la licence, c'est 6 semestres, soit 180 ECTS
- la proposition de licence pro pour les IDE, c'est deux ans en IFSI (soit zéro ECTS) et la troisième année en partenariat avec l'université (soit 2 semestres et 60 ECTS)
Ce n'est donc pas la même chose, mais 3 fois moins !
SNPI syndicat infirmier a écrit :Avec la réforme LMD la formation se calcule en semestre et crédits européens ECTS (le DEUG n'existe plus depuis) :Hub a écrit :Deug (4 semestres) + licence (2 semestres)= 6 semestres ok d'accord
Iut (ou bts) (4 semestres+stages d'étés+projets...) + licence pro= 6 semestres.
La même chose, sur ce point particulier je ne vois pas le soucis....
J'ai gouté personnellement à l'iut et l'équivalent licence pro et cela correspond plus à notre formation qu'un cursus universitaire classique. Ne dévalorisez pas ces formations qui sont parfois dans certains points plus ardues que la notre.
- la licence, c'est 6 semestres, soit 180 ECTS
- la proposition de licence pro pour les IDE, c'est deux ans en IFSI (soit zéro ECTS) et la troisième année en partenariat avec l'université (soit 2 semestres et 60 ECTS)
Ce n'est donc pas la même chose, mais 3 fois moins !
En ce qui concerne toutes les licences pro existantes:
Même si la troisième année donne uniquement ,60 ECTS, les 2 premières années en BTS ou IUT (par exemple) donnent de toute façon 120 ECTS. Soit bien 180 ECTS en tout.
D'ailleurs, pour toutes les licences pro qui existent, un des critères d'admission est d'avoir déjà obtenu 120 ECTS comme un BTS.
Si la proposition de licence pro est maintenue, ce qu'il faut demander, c'est que les deux premières années en IFSI donnent 120 ECTS, comme pour toute autre licence pro.
Ca ne règlera pas, c'est vrai, le problème de la plus grande difficulté de poursuivre son cursus après une licence pro qu'après une licence normale...
J'ai des questions à toutes vos réponses (W. Allen)
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