ma dirlo est anti-nuls
Modérateurs : Modérateurs, ESI
J'exerce seulement depuis 4 ans et je ne pense pas être une "ancienne".
Mais les ESi me paraissent moins motivés (un peu trop scolaires?). Pour certains "time is time"... Je me souviens que j'attendais les IDE finirent les trans avant de partir.
Ils sortent de term et vont directement en IFSI . Ils ont moins de maturité par rapport à quelqu'un qui a "galéré" un peu avant.
Ce n'est pas une généralité mais un petit constat.
Donc certains galèrent en stage et en MSP car comme ils ne "transpirent" pas la motivation, certaines IDE n'ont pas envie de les encadrer.
Mais les ESi me paraissent moins motivés (un peu trop scolaires?). Pour certains "time is time"... Je me souviens que j'attendais les IDE finirent les trans avant de partir.
Ils sortent de term et vont directement en IFSI . Ils ont moins de maturité par rapport à quelqu'un qui a "galéré" un peu avant.
Ce n'est pas une généralité mais un petit constat.
Donc certains galèrent en stage et en MSP car comme ils ne "transpirent" pas la motivation, certaines IDE n'ont pas envie de les encadrer.
Le lama ça respire l'intelligence !
Elaïze a écrit :J'exerce seulement depuis 4 ans et je ne pense pas être une "ancienne".
Mais les ESi me paraissent moins motivés (un peu trop scolaires?). Pour certains "time is time"... Je me souviens que j'attendais les IDE finirent les trans avant de partir.
Ils sortent de term et vont directement en IFSI . Ils ont moins de maturité par rapport à quelqu'un qui a "galéré" un peu avant.
Ce n'est pas une généralité mais un petit constat.
Donc certains galèrent en stage et en MSP car comme ils ne "transpirent" pas la motivation, certaines IDE n'ont pas envie de les encadrer.
ah bon un eleve qui part a l'heure n'est pas motivé...
carpe diem
Les hommes naissent libres et égaux... après ils se démerdent. 'Jean Yann'
Les hommes naissent libres et égaux... après ils se démerdent. 'Jean Yann'
Elaïze a écrit :non biensûr !
C'est un exemple! Mais j'en ai vu qui partaient comme des sauvages alors qu'il ya avait des examens ou des soins intéressants qu'ils auraient pu voir ou faire...
Mais arriver à chaque fois en retard.....
un exemple ne permet pas de généraliser....
qu'ils profitent de partir a l'heure ce seras plus dur quand ils seront en poste...
carpe diem
Les hommes naissent libres et égaux... après ils se démerdent. 'Jean Yann'
Les hommes naissent libres et égaux... après ils se démerdent. 'Jean Yann'
Un étudiant qui grignote sur sa feuille d'horaire, et qui revient à l'IFSI avec 132 heures et 28 minutes de présence, ne renvoie effectivement pas l'image d'un étudiants en cours de professionnalisation.
OK pour arrêter de se faire utiliser, OK pour changer l'image du don de soi de l'IDE.
Mais PAS D'ACCORD pour tout planter sous prétexte que "c'est l'heure", en laissant les collègues (et futurs collègues) dans la panade.
L'étudiants qui demande à assister à une greffe de rein, à qui on organise tout, qui reste avec le patient jusqu'en SSPI, et qui va attaquer la surveillante, en lui disant "demain je ne viens pas, hier je suis restée au bloc jusqu'à 21 heures, je rattrape mes heures", eh bien ça me choque ! On lui offre une possibilité de "voir", c'est sa demande, c'est son choix ....... Ca me renvoie une image de consommateur ... pas d'acteur !
Bon, j'ai peut-être définitivement pris (encore ..) une génération !
OK pour arrêter de se faire utiliser, OK pour changer l'image du don de soi de l'IDE.
Mais PAS D'ACCORD pour tout planter sous prétexte que "c'est l'heure", en laissant les collègues (et futurs collègues) dans la panade.
L'étudiants qui demande à assister à une greffe de rein, à qui on organise tout, qui reste avec le patient jusqu'en SSPI, et qui va attaquer la surveillante, en lui disant "demain je ne viens pas, hier je suis restée au bloc jusqu'à 21 heures, je rattrape mes heures", eh bien ça me choque ! On lui offre une possibilité de "voir", c'est sa demande, c'est son choix ....... Ca me renvoie une image de consommateur ... pas d'acteur !
Bon, j'ai peut-être définitivement pris (encore ..) une génération !
VB - IDE
je ne suis pas encore esi mais je suis sure de m'investir à fond, de ne pas compter les "heures sup". le plus important est d'en voir un maximum.
de plus il faut avoir l'esprit d'équipe, "lacher" les collegues parce que c l'heure me parait limite.
actuellement je travaille en bureau et si je n'ai pas fini un boulot important et bien je reste. ca s'appelle de la conscience professionnelle.
de plus il faut avoir l'esprit d'équipe, "lacher" les collegues parce que c l'heure me parait limite.
actuellement je travaille en bureau et si je n'ai pas fini un boulot important et bien je reste. ca s'appelle de la conscience professionnelle.
en stage chir generale
BereChoupinette et son chouchou en guerre contre la mediocrité...
BereChoupinette et son chouchou en guerre contre la mediocrité...
Bonjour tout le monde,
Tout d'abord, je me présente. J'ai 42 ans, suis informaticienne et vais entamer une reconversion en commençant la formation d'IDE en février 2006.
Je viens de lire ce sujet et comprends tout à fait V.Benet.
Dans l'informatique, nous avons le même problème (qui n'en est pas forcément un). Les "jeunes" n'ont pas la même conception du professionnalisme.
Qui a raison ? Je ne sais pas. Les choses changent, évoluent. Les personnes changent, évoluent ... La société change, évolue ....
Les jeunes avec qui je travaille sont effectivement plus consommateurs. Les horaires sont les horaires... l'individualisme est grandissant.
Je pense que d'ici quelque temps, je n'arriverai plus à comprendre les nouvelles générations comme mes parents n'arrivaient pas à me comprendre.
Je ne pensais pas que ça pourrait m'arriver un jour !
Pourtant je ne pense vraiement pas être un "vieux crouton".
Pour moi, ce qui compte avant tout, c'est le "Respect" des autres. Respect des patients, respect de ses (futurs) collègues, respect de ses formateurs.
On pourrait disserter encore longtemps ... qu'est-ce qu'implique le respect ...
Mais je m'arrêterai là.
Encore une fois, ce n'est que mon ressenti. Je ne jette la pierre à personne. Et ce n'est pas de la morale non plus.
Essayons de vivre ensemble dans la joie et la bonne humeur quelque soit l'âge que nous avons.
Bonne journée à vous
Tout d'abord, je me présente. J'ai 42 ans, suis informaticienne et vais entamer une reconversion en commençant la formation d'IDE en février 2006.
Je viens de lire ce sujet et comprends tout à fait V.Benet.
Dans l'informatique, nous avons le même problème (qui n'en est pas forcément un). Les "jeunes" n'ont pas la même conception du professionnalisme.
Qui a raison ? Je ne sais pas. Les choses changent, évoluent. Les personnes changent, évoluent ... La société change, évolue ....
Les jeunes avec qui je travaille sont effectivement plus consommateurs. Les horaires sont les horaires... l'individualisme est grandissant.
Je pense que d'ici quelque temps, je n'arriverai plus à comprendre les nouvelles générations comme mes parents n'arrivaient pas à me comprendre.
Je ne pensais pas que ça pourrait m'arriver un jour !
Pourtant je ne pense vraiement pas être un "vieux crouton".
Pour moi, ce qui compte avant tout, c'est le "Respect" des autres. Respect des patients, respect de ses (futurs) collègues, respect de ses formateurs.
On pourrait disserter encore longtemps ... qu'est-ce qu'implique le respect ...
Mais je m'arrêterai là.
Encore une fois, ce n'est que mon ressenti. Je ne jette la pierre à personne. Et ce n'est pas de la morale non plus.
Essayons de vivre ensemble dans la joie et la bonne humeur quelque soit l'âge que nous avons.
Bonne journée à vous
Mieux vaut tard que jamais : bientôt 44 ans, 2 enfants et l'envie d'y arriver quoi qu'il arrive. Maintenant en 2ème année
jack a écrit :l'individualisme est grandissant
Je crois que cette phrase résume tout. Pour ma part dans mes anciens boulots, je n'ai jamais non plus compté mes heures. Quant il s'agissait de terminer un travail, aider un collègue, j'essayais d'être là. Tant pis si je dépassais le quota horaire.
Concernant les études en IFSI, je me connais, je suis passionnée, curieuse et j'aime apprendre. Alors râler parce que j'ai la possibilité d'assister à une intervention chirurgicale et que c'est l'heure de partir, ça ne me viendrait même pas à l'idée. Avec tout ce que je galère pour entreprendre cette reconversion tant espérée, je compte me donner à fond !
Généralement, lorsque je vais au bloc, je descend un peu avant le malade pour voir la préparation de la salle. Puis j'assiste à l'intervention et ensuite, j'accompagne le patient en SSPI. Résultat : je dépasse toujours mes horaires. Et alors ??? Ce que j'ai eu la chance de voir me servira pour mes études et ma profession, je n'en suis pas à une heure près.
En ce qui concerne les étudiants qui partent pile à l'heure, j'avoue l'avoir fait une fois... J'avais un RDV à la médecine du travail à 15h30 et je devais finir à 15h. Or, je n'ai fini qu'a 15h15 et au moment où j'allais partir, un patient sonne. Je réponds et ce patient avait vomi au large dans la chambre.. Etant quasiment en retard mais ne pouvant annuler ce RDV (il fallait y aller sinon je ne pouvais pas travailler cet été), j'ai été voir l'AS en lui expliquant et je suis partie. Je n'ai eu aucune réflexion de sa part, au contraire elle m'a dit d"y aller. j'ai eu un tès bon rapport de stage car l'équipe a bien vu par la suite que je ne rechignais pas à mettre la main à la pate...
Bien sur, j'aurais été diplômée, je ne sais pas si j'aurais pu me permettre de partir.. Sachant que la relève était arrivée et les trans' faites...
Tout ça pour dire que ce n'est pas parce qu'un etudiant pars pile à l'heure qu'il n'est pas motivé. Loin de là.. J'entends déjà vos hurlements
En ce qui concerne les étudiants qui partent pile à l'heure, j'avoue l'avoir fait une fois... J'avais un RDV à la médecine du travail à 15h30 et je devais finir à 15h. Or, je n'ai fini qu'a 15h15 et au moment où j'allais partir, un patient sonne. Je réponds et ce patient avait vomi au large dans la chambre.. Etant quasiment en retard mais ne pouvant annuler ce RDV (il fallait y aller sinon je ne pouvais pas travailler cet été), j'ai été voir l'AS en lui expliquant et je suis partie. Je n'ai eu aucune réflexion de sa part, au contraire elle m'a dit d"y aller. j'ai eu un tès bon rapport de stage car l'équipe a bien vu par la suite que je ne rechignais pas à mettre la main à la pate...
Bien sur, j'aurais été diplômée, je ne sais pas si j'aurais pu me permettre de partir.. Sachant que la relève était arrivée et les trans' faites...
Tout ça pour dire que ce n'est pas parce qu'un etudiant pars pile à l'heure qu'il n'est pas motivé. Loin de là.. J'entends déjà vos hurlements
Infirmière puéricultrice
-
Leopold Anasthase
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- Inscription : 06 mai 2004 14:45
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Il ne s'agit pas àmha de partir pile à l'heure ou pas. Il s'agit d'un état d'esprit, ça peut concerner aussi bien un professionnel qu'un étudiant. Mais en général, quand ça commence pendant les études, ça n'est pas un bon présage pour la vie professionnelle.
Je ne demande pas aux étudiants de venir pile à l'heure ou en avance et de repartir en retard. Par ailleurs, de longues luttes syndicales ont permis de réduire la durée du travail, et c'est une bonne chose, et il est normal que les étudiants en profitent.
Non, ce que je n'apprécie pas, ce sont :
-les étudiants qui grapillent, qui arrivent juste juste le matin, qui se tirent en douce sans prévenir, qui viennent vous voir une fois par semaine en vous expliquant que pour telle raison (consultation, enfants, préparer une évaluation...) ils souhaiteraient (ou "ils doivent", ou "ils vont") partir plus tôt tel jour ;
-en anesthésie, les étudiants qui loupent systématiquement l'ouverture de salle parce qu'ils arrivent dix minutes trop tard ;
-les étudiants qui disparaissent à l'heure du repas, quui prenent une pause déjeuner démesurée, qui renâclent à s'habiller pour retourner en salle l'après-midi ;
-ceux pour qui on s'est décarcassé pour organiser quelque chose et qui visiblement sont plus passionnés par leurs horaires de train...
Bref, il faut que l'étudiant comprenne que nous faisons un métier où on ne peut pas toujours secouer son tablier à l'heure de la quille et tout plaquer le coeur léger.
Et pour employer un terme plus générique, ce qu'on apprécie chez un étudiant, c'est son implication, quand on sent qu'il aime ce qu'il fait dans ce service, qu'il a envie de bien le faire et de bien apprendre.
Je ne demande pas aux étudiants de venir pile à l'heure ou en avance et de repartir en retard. Par ailleurs, de longues luttes syndicales ont permis de réduire la durée du travail, et c'est une bonne chose, et il est normal que les étudiants en profitent.
Non, ce que je n'apprécie pas, ce sont :
-les étudiants qui grapillent, qui arrivent juste juste le matin, qui se tirent en douce sans prévenir, qui viennent vous voir une fois par semaine en vous expliquant que pour telle raison (consultation, enfants, préparer une évaluation...) ils souhaiteraient (ou "ils doivent", ou "ils vont") partir plus tôt tel jour ;
-en anesthésie, les étudiants qui loupent systématiquement l'ouverture de salle parce qu'ils arrivent dix minutes trop tard ;
-les étudiants qui disparaissent à l'heure du repas, quui prenent une pause déjeuner démesurée, qui renâclent à s'habiller pour retourner en salle l'après-midi ;
-ceux pour qui on s'est décarcassé pour organiser quelque chose et qui visiblement sont plus passionnés par leurs horaires de train...
Bref, il faut que l'étudiant comprenne que nous faisons un métier où on ne peut pas toujours secouer son tablier à l'heure de la quille et tout plaquer le coeur léger.
Et pour employer un terme plus générique, ce qu'on apprécie chez un étudiant, c'est son implication, quand on sent qu'il aime ce qu'il fait dans ce service, qu'il a envie de bien le faire et de bien apprendre.
Oui mais point trop n'en faut non plus....
Dans mon ancien boulot (ANPE), je faisais plus d'heures qu'il ne fallait (si si y'en a !):
j'arrivais 1/2 h avant, allumais mon ordi, lisais les mails...puis j'emmenais ma fille à l'école (10mn) ensuite pendant que les autres sirotaient leur café (3/4 d'h environ) j'avais déjà commencé à bosser, je ne prenais que rarement de pause à midi car je ne déjeunais pas, quand ma fille était malade (absence pour garde d'enfant), j'emportais mon travail à la maison pour ne pas avoir de retard....
Et bien un jour, j'ai eu le malheur d'aller déjeuner avec une copine (j'avais 1/2 h de pause), je suis partie à midi et revenue à 12h30.....Et bien j'ai été convoquée par ma directrice qui m'a dit que c'était inadmissible (j'avais prévenu pourtant son adjointe...) car un demandeur d'emploi s'était présenté à 12h05 et qu'elle avait été obligée de le recevoir à ma place...que dorénavant si je voulais "pauser" je devais le faire en lui demandant son accord quand aux horaires (alors que j'étais bien dans les horaires prévus..).
De ce jour je n'ai plus jamais fait une minute supplémentaire, ni emporté de travail chez moi !!
Alors oui je suis OK pour la continuité des soins mais pas d'accord de supporter ceux qui arricent systématiquement en retard....De se défoncer sans aucune reconnaissance ou qu'on me pointe ce qui ne va pas sans voir ce qui va bien !
J'ai aussi des contraintes horaires dans ma vie privée et ma vie professionnelle ne prendra jamais le dessus sur ma vie perso, si j'avais voulu choisir un sacerdoce, j'aurai fait bonne soeur.
Je suis hyper motivée, je ne laisse pas un soin ou une relève en plein milieu mais l'IDE qui papote et va voir ses collègues des autres services tout l'AM car elle sait qu'il y a "l'élève" qui assure, qui t'a promis de t'encadrer sur un soin et qui revient 10 mn avant ton heure en te disant "bon on se le fait ce soin ?" là je dis NON.(mesdames IDE ne sautez pas au plafond, je ne généralise pas !)
Et je manque pas de motivation encore une fois et je n'ai pas à faire systématiquement des heures sup pour prouver que j'en veux...si c'est pour vous le seul signe de motivation alors jettez moi à la poubelle.
Le respect fonctionne dans les deux sens, je ne laisserai pas tomber quelqu'un dans la panade parce que c'est l'heure, mais qu'on ne me regarde pas de travers si je dis que je ne peux pas attendre la trachéo qui va avoir lieu dans 1 h !!
Y'a des fois où je peux, d'autres fois NON.
je me méfie des gens qui "ne comptent pas leurs heures" ce n'est pas sain de n'avoir qu'une priorité dans sa vie !!!
Dans mon ancien boulot (ANPE), je faisais plus d'heures qu'il ne fallait (si si y'en a !):
j'arrivais 1/2 h avant, allumais mon ordi, lisais les mails...puis j'emmenais ma fille à l'école (10mn) ensuite pendant que les autres sirotaient leur café (3/4 d'h environ) j'avais déjà commencé à bosser, je ne prenais que rarement de pause à midi car je ne déjeunais pas, quand ma fille était malade (absence pour garde d'enfant), j'emportais mon travail à la maison pour ne pas avoir de retard....
Et bien un jour, j'ai eu le malheur d'aller déjeuner avec une copine (j'avais 1/2 h de pause), je suis partie à midi et revenue à 12h30.....Et bien j'ai été convoquée par ma directrice qui m'a dit que c'était inadmissible (j'avais prévenu pourtant son adjointe...) car un demandeur d'emploi s'était présenté à 12h05 et qu'elle avait été obligée de le recevoir à ma place...que dorénavant si je voulais "pauser" je devais le faire en lui demandant son accord quand aux horaires (alors que j'étais bien dans les horaires prévus..).
De ce jour je n'ai plus jamais fait une minute supplémentaire, ni emporté de travail chez moi !!
Alors oui je suis OK pour la continuité des soins mais pas d'accord de supporter ceux qui arricent systématiquement en retard....De se défoncer sans aucune reconnaissance ou qu'on me pointe ce qui ne va pas sans voir ce qui va bien !
J'ai aussi des contraintes horaires dans ma vie privée et ma vie professionnelle ne prendra jamais le dessus sur ma vie perso, si j'avais voulu choisir un sacerdoce, j'aurai fait bonne soeur.
Je suis hyper motivée, je ne laisse pas un soin ou une relève en plein milieu mais l'IDE qui papote et va voir ses collègues des autres services tout l'AM car elle sait qu'il y a "l'élève" qui assure, qui t'a promis de t'encadrer sur un soin et qui revient 10 mn avant ton heure en te disant "bon on se le fait ce soin ?" là je dis NON.(mesdames IDE ne sautez pas au plafond, je ne généralise pas !)
Et je manque pas de motivation encore une fois et je n'ai pas à faire systématiquement des heures sup pour prouver que j'en veux...si c'est pour vous le seul signe de motivation alors jettez moi à la poubelle.
Le respect fonctionne dans les deux sens, je ne laisserai pas tomber quelqu'un dans la panade parce que c'est l'heure, mais qu'on ne me regarde pas de travers si je dis que je ne peux pas attendre la trachéo qui va avoir lieu dans 1 h !!
Y'a des fois où je peux, d'autres fois NON.
je me méfie des gens qui "ne comptent pas leurs heures" ce n'est pas sain de n'avoir qu'une priorité dans sa vie !!!
Quand deux verbes se suivent le 2eme se met à l'infinitif.
Après les auxiliaires être et avoir, on met un participe passé.
Après être : il s'accorde, après avoir : non, sauf si le COD est placé devant....
Après les auxiliaires être et avoir, on met un participe passé.
Après être : il s'accorde, après avoir : non, sauf si le COD est placé devant....
Je n'avais pas vu ton message Leopold, par contre là je suis d'accord...mais ce que tu décris, ça s'apelle "tirer sur la corde" et c'est un peu plus nuancé que ce qui était dit plus haut...celà caractérise salement du mauvais esprit !
Mon message avait pour cible le fait de "faire des heures sup" pour prouver sa motivation...Mais j'ose espérer que tu ne décris qu'un cas parmi des dizaines d'autres "normaux" ?
Mon message avait pour cible le fait de "faire des heures sup" pour prouver sa motivation...Mais j'ose espérer que tu ne décris qu'un cas parmi des dizaines d'autres "normaux" ?
Quand deux verbes se suivent le 2eme se met à l'infinitif.
Après les auxiliaires être et avoir, on met un participe passé.
Après être : il s'accorde, après avoir : non, sauf si le COD est placé devant....
Après les auxiliaires être et avoir, on met un participe passé.
Après être : il s'accorde, après avoir : non, sauf si le COD est placé devant....
Péniflo a écrit :je me méfie des gens qui "ne comptent pas leurs heures" ce n'est pas sain de n'avoir qu'une priorité dans sa vie !!!
Tout à fait. J'ose espérer que la plupart d'entre nous ont une vie en-dehors du boulot. Je voulais juste parler 'd'état d'esprit' en ce qui me concerne. A ce titre LEOPOLD a très bien résumé la question pour ma part.
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