Mets le au couloir !
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
Re: Mets le au couloir !
Oui, cool.
Comme ça, ça va bien améliorer les choses.
Comme ça, ça va bien améliorer les choses.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Mets le au couloir !
Tu croyais que tu allais refaire l hôpital ????? , ce que vs dites est vrai , mais fermer les urg ??? impossible , refuser des patients ????impossible , alors faire quoi , oui il y a des patients qui restent des hrs ds un coin a attendre : l avis chir , le bilan , la radio......mais la solution a mon avis c est limiter la bobologieloulic a écrit :Oui, cool.
Comme ça, ça va bien améliorer les choses.
Re: Mets le au couloir !
Google:Enoncé de position sur les soins infirmiers dans les couloirs;Fédération canadienne des syndicats d'infirmiers.Ce texte ne change rien au vécu des infirmières canadienne concernées,juste à se dire que leurs syndicats connaissent leur problème,ce qui changerait serait si la suite appelait à une exigence d'ouverture de boxs supplémentaires avec le personnel en nombre et à un arrêt de travail jusqu'à satisfaction.Pour moi,c'est la seule solution,si on veut échapper à"vous êtes mal organisés","les malades sont pas malades","change de service".En cas de soucis:mort par décès comme dit Indis,oui,l'infirmière et le médecin,et l'hôpital sont responsables,et donc l'infirmière elle trinque pour défaut de surveillance.
Re: Mets le au couloir !
La problématique soulevait dans ce post est très intéressante.
Je pense que ce post aurait aussi sa place dans la rubrique juridique puisqu'il traite du thème de la légalité et des responsabilités juridiques. Et qu'en conséquence un juriste pourrait nous donner son point de vue.
Personnellement, je pense les équipes soignantes ne peuvent pas faire grand chose sur le fait d'installer les patients dans les couloirs. Elles n'ont pas le choix par contrainte organisationnelle et configuration des locaux.
Le problème est politico-financier. Il faut octroyer des moyens supplémentaires en terme de personnels médicaux et paramédicaux et ne pas supprimer des lits sans cesse.
Il faut aussi peut-être évaluer les besoins de la population en terme de soins d'urgence et mettre en place des moyens en adéquation: locaux plus grands et fonctionnels, personnels supplémentaire...
Au niveau organisationnel: quelles sont les solutions sont à mettre en place pour réduire l'attente, diminuer le nombre de patients qui attendent dans le couloir?
C'est un travail de fond et qui nécessite des budgets . Alors que nous sommes en restriction budgétaire....
En gros, en tant qu'infirmier, on peut faire des fiches d' évènements indésirables à chaque dysfonctionnements pour faire remonter l'info auprès des instances concernées.
Ou appeler les cadres + cadres sup pour qu'elles viennent constater la situation sur place!
Il est évident qu'au niveau juridique, un certain nombre de questions se posent et resteront sans réponse.
A voir ce que la jurisprudence dit...
Je pense que ce post aurait aussi sa place dans la rubrique juridique puisqu'il traite du thème de la légalité et des responsabilités juridiques. Et qu'en conséquence un juriste pourrait nous donner son point de vue.
Personnellement, je pense les équipes soignantes ne peuvent pas faire grand chose sur le fait d'installer les patients dans les couloirs. Elles n'ont pas le choix par contrainte organisationnelle et configuration des locaux.
Le problème est politico-financier. Il faut octroyer des moyens supplémentaires en terme de personnels médicaux et paramédicaux et ne pas supprimer des lits sans cesse.
Il faut aussi peut-être évaluer les besoins de la population en terme de soins d'urgence et mettre en place des moyens en adéquation: locaux plus grands et fonctionnels, personnels supplémentaire...
Au niveau organisationnel: quelles sont les solutions sont à mettre en place pour réduire l'attente, diminuer le nombre de patients qui attendent dans le couloir?
C'est un travail de fond et qui nécessite des budgets . Alors que nous sommes en restriction budgétaire....
En gros, en tant qu'infirmier, on peut faire des fiches d' évènements indésirables à chaque dysfonctionnements pour faire remonter l'info auprès des instances concernées.
Ou appeler les cadres + cadres sup pour qu'elles viennent constater la situation sur place!
Il est évident qu'au niveau juridique, un certain nombre de questions se posent et resteront sans réponse.
A voir ce que la jurisprudence dit...
Re: Mets le au couloir !
hello,
j'ai été perso aux urgences la semaine dernière pour un oedeme du visage.
J'ai été prise en charge de suite, et le senior a décidé une perf de polaramine.
On me pose la perf, et ......direction le couloir pour libérer le box.
Ce qui m'a le plus étonné, c'est que dans ce couloir où je n'étais pas seule, ils y ont installé des sonnettes et des potences. Donc ce n'est plus un manque de place, c'est devenu un "sous box" officiel.
Et franchement, voir tout le monde passer (moi qui roupillait à cause des antihistaminiques que j'avais déjà pris), discuter, se saluer (mais personne pour clamper la perf et passer le G5 en attente), c'est fatiguant! on pourrait au moins etre dans une salle commune, avec des rideaux de séparation, c'est mieux qu'un couloir pendant la relève...
j'ai été perso aux urgences la semaine dernière pour un oedeme du visage.
J'ai été prise en charge de suite, et le senior a décidé une perf de polaramine.
On me pose la perf, et ......direction le couloir pour libérer le box.
Ce qui m'a le plus étonné, c'est que dans ce couloir où je n'étais pas seule, ils y ont installé des sonnettes et des potences. Donc ce n'est plus un manque de place, c'est devenu un "sous box" officiel.
Et franchement, voir tout le monde passer (moi qui roupillait à cause des antihistaminiques que j'avais déjà pris), discuter, se saluer (mais personne pour clamper la perf et passer le G5 en attente), c'est fatiguant! on pourrait au moins etre dans une salle commune, avec des rideaux de séparation, c'est mieux qu'un couloir pendant la relève...

le harceleur est faible,il devient harceleur pour ne pas être harcelé lui même. Marcel Rufo