Nouveaux diplômés : chômage ou pas chômage ?
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Re: Nouveaux diplômés : chômage ou pas chômage ?
J'étais dans le 71 et je suis maintenant dans le 76 secteur dit aussi bouché.Eteux06 a écrit :Bonjour à tous!
Merci Chipie76 pour ce retour plutôt encourageant...
Je suis "jeune" DE et je déménage dans un département plutôt bouché (05) donc ça me rassure un peu!
Sans indiscrétion, de quelle région es-tu?
C'est clair qu'il ne faut pas accepter n'importe quoi et savoir ce que nous souhaitons. Je préfère laisser les postes de nuits a ceux qui souhaitent en faire et ne pas revenir sur des repos à tout va, pour le plaisir du cadre car il manque du monde à chaque fois
promotion 2013-2016
Infirmière depuis le 22/03/2017
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- Lucioledechue
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Re: Nouveaux diplômés : chômage ou pas chômage ?
Dans l'Yonne pas trop de souci pour trouver un poste. Diplômée de juillet j'avais postulé à 3 endroits différents et était prise aux 3. Mes camarades de promo ont également trouvé des postes sans difficulté apparente.
IDE juillet 2018
A moi la psy !
A moi la psy !

Re: Nouveaux diplômés : chômage ou pas chômage ?
Bonjour,
je vais partager mon expérience.
Diplômée en Mars 2015 (école en décalé), je suis du sud Seine et Marne, donc en région parisienne.
J'ai trouvé un poste en CDD dans un CH très rapidement. Ce qui m'a fait partir, c'est le fait de ne pas avoir d'embauche à long terme.
Ensuite, par choix et pour me rassurer sur mes compétences de soignantes, j'ai fait environ six mois de remplacements en tous genres, vacations d'une journée comme contrat d'un mois. Je voulais voir de tout et je n'ai pas été déçue.
Puis j'ai obtenu un poste à l'AP, en neuro, loin de chez moi et fatiguant mais hyper intéressant. Seulement voilà, je devais être de jour et finalement je me suis retrouvée catapultée de nuit à temps plein. Même avec la promesse de stagiairisation, et malgré mon très grand intérêt pour le service, je n'aime pas être manipulée de la sorte. J'ai donc démissionné.
J'ai refait des vacations, c'était vraiment cool.
Et j'ai trouvé mon poste actuel: temps plein en psy dans un CH proche de chez moi. Un an de CDD de 3 mois, puis stagiairisation et titularisation cette année.
Là, je suis en pleine période de mutation, j'ai trouvé le boulot de mes rêves : je vais bosser pour l'AP (oui de nouveau ^^) avec les enfants.
Ma vie va totalement changé mais c'est le poste "idéal" qui m'a poussé à passer le concours IDE.
En résumé... Aucun parcours ne se ressemble, mais je pense qu'il faut savoir être polyvalent et motivé pour arriver à ses fins. Ce n'est pas parce que tout n'est pas idéal dans l'immédiat qu'on a aucune chance de voir ses envies se réaliser.
Mais bon, je suis du genre déterminée et têtue donc c'est peut-être ça aussi...
Quoiqu'il en soit, j'ai eu des périodes de chômage, des mois creux en intérim et pour autant je n'ai jamais douté de moi. J'ai parfois accepté des missions qui ne m'intéressaient qu'à moitié.
Ceci dit, je me suis toujours demandé si ce n'était pas le fameux nouveau diplôme qui rebutait certains employeurs à engager sur du long terme? Quand je vois certains entretiens d'embauche que j'ai eu... Presque à devoir justifier que j'ai bien mérité mon diplôme (calculs de doses, questions théoriques...) après je me trompe peut-être.
Bref. Courage à toutes et tous !
Je me dis que si on a survécu à l'IFSI, on peut tout dépasser.
je vais partager mon expérience.
Diplômée en Mars 2015 (école en décalé), je suis du sud Seine et Marne, donc en région parisienne.
J'ai trouvé un poste en CDD dans un CH très rapidement. Ce qui m'a fait partir, c'est le fait de ne pas avoir d'embauche à long terme.
Ensuite, par choix et pour me rassurer sur mes compétences de soignantes, j'ai fait environ six mois de remplacements en tous genres, vacations d'une journée comme contrat d'un mois. Je voulais voir de tout et je n'ai pas été déçue.
Puis j'ai obtenu un poste à l'AP, en neuro, loin de chez moi et fatiguant mais hyper intéressant. Seulement voilà, je devais être de jour et finalement je me suis retrouvée catapultée de nuit à temps plein. Même avec la promesse de stagiairisation, et malgré mon très grand intérêt pour le service, je n'aime pas être manipulée de la sorte. J'ai donc démissionné.
J'ai refait des vacations, c'était vraiment cool.

Et j'ai trouvé mon poste actuel: temps plein en psy dans un CH proche de chez moi. Un an de CDD de 3 mois, puis stagiairisation et titularisation cette année.
Là, je suis en pleine période de mutation, j'ai trouvé le boulot de mes rêves : je vais bosser pour l'AP (oui de nouveau ^^) avec les enfants.
Ma vie va totalement changé mais c'est le poste "idéal" qui m'a poussé à passer le concours IDE.
En résumé... Aucun parcours ne se ressemble, mais je pense qu'il faut savoir être polyvalent et motivé pour arriver à ses fins. Ce n'est pas parce que tout n'est pas idéal dans l'immédiat qu'on a aucune chance de voir ses envies se réaliser.
Mais bon, je suis du genre déterminée et têtue donc c'est peut-être ça aussi...

Quoiqu'il en soit, j'ai eu des périodes de chômage, des mois creux en intérim et pour autant je n'ai jamais douté de moi. J'ai parfois accepté des missions qui ne m'intéressaient qu'à moitié.
Ceci dit, je me suis toujours demandé si ce n'était pas le fameux nouveau diplôme qui rebutait certains employeurs à engager sur du long terme? Quand je vois certains entretiens d'embauche que j'ai eu... Presque à devoir justifier que j'ai bien mérité mon diplôme (calculs de doses, questions théoriques...) après je me trompe peut-être.
Bref. Courage à toutes et tous !
Je me dis que si on a survécu à l'IFSI, on peut tout dépasser.

2015 : IDE.
2016 : Début en psy.
2018 : Let's go to Pédiatrie !!
Parcours atypique pour un électron libre.
2016 : Début en psy.
2018 : Let's go to Pédiatrie !!
Parcours atypique pour un électron libre.
