La politique v.1
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cedr1c a écrit :autant pour moi, mais elle me semblait tellement réac que je l'ai cru...
Bon, c'est quand même religion et compagnie, et mettre quelqu'un d'ultra conservateur (il n'y a pas plus conservateur qu'une religion) dans un ministère, c'est pas le top pour moi...
En ce qui concerne Christine Boutin, ce n'est pas qu'elle aurait été foncièrement contre la peine de mort, mais proner la vie (anti IVG, anti contraception, anti adoption pour les homosexuels ou les gens non mariés
) était assez incompatible avec le fait de réclamer la peine de mort...
Elle a une vision bien à elle du social alors les critères d'attribution des logemsnts : Que pour les couples mariés ? en excluant tous les autres y compris les homosexuels ?
On peut légitimement se poser la question...
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
dino a écrit :Gengis a écrit :En ce qui concerne Christine Boutin, ce n'est pas qu'elle aurait été foncièrement contre la peine de mort,
Ah bon, elle s'est exprimé de cette façon sur la question
Non il suffit de suivre la progression de la pensée, il me semble...
Elle ne n'est pas exprimée clairement sur le sujet il me semble, tout le monde en a déduit qu'elle était contre car elle était pro-vie (à tout prix)...
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
Bonne soirée à tous
Non apparemment elle est bien contre la peine de mort. Voici un résumé de ses prises de position sur ce sujet:
Rien à voir...
Une collègue me soulignait ce matin que Morin (nouveau ministre des armées) est bien un traitre 100% pur sucre au vu de ses positions pro Bayrou, anti Sarko pendant tte la campagne et qui in extremis retourne sa veste pour rejoindre le nouveau président.
Dites moi.
Ca vous fait pas peur d'avoir un traitre a la tête des armées?
D'autant plus que ca doit etre génétique?
http://www.frs-ladroitehumaine.fr/aboli ... 06d9c48b09
30/01/2007
Abolition de la peine de mort dans la Constitution
« La dignité intrinsèque de tout Homme est supérieure à ses actes », rappelle Christine BOUTIN, Député des Yvelines, Présidente du Forum des Républicains Sociaux (FRS) à propos de l’inscription dans la Constitution de l’abolition de la peine de mort, débattue aujourd’hui à l’Assemblée nationale.
« Le vote par le Parlement réuni en Congrès voulu par le Président de la République vient confirmer le statut de la France comme véritable pays des droits de l’Homme », se félicite Christine BOUTIN, Présidente du FRS – la Droite humaine.
« Inscrire dans la Constitution l’abolition de la peine de mort vient rappeler de façon solennelle la dignité intrinsèque de tout Homme quels que soit ces actes et quelle que soit sa condamnation pénale », relève la Présidente du groupe d’études sur les prisons à l’Assemblée nationale et membre de l’association parlementaire abolitionniste.
Rien à voir...
Une collègue me soulignait ce matin que Morin (nouveau ministre des armées) est bien un traitre 100% pur sucre au vu de ses positions pro Bayrou, anti Sarko pendant tte la campagne et qui in extremis retourne sa veste pour rejoindre le nouveau président.
Dites moi.
Ca vous fait pas peur d'avoir un traitre a la tête des armées?
D'autant plus que ca doit etre génétique?
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cedr1c a écrit :Pour boutin aussi, il me semble qu'en 2002, elle avait aussi une proposition pour notre hymne...je ne me souviens plus trop quoi, mais ça m'avait choqué, je m'en souviens.
elle voulait changer l'ordre des couplets car elle trouvait le 1er trop sanguinaire ( ceci dit elle n'a pas tort)
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Gengis a écrit :Alain Juppé compte rester maire de Bordeaux
N'est-ce pas le signe qu'il pense être sur un ministère éjectable ?
Pour moi c'est tout simplement que Sarko ne peut guère raler contre cela vu que lui même est un cumulard invertébré et que pour concentrer des pouvoirs il n'hésite pas a tricher pour cela:
Le Parisien - 28 octobre 2005 - Cumul des mandats : Sarkozy gagne du temps
"Cet été, devant ses amis de l'UMP réunis en petit comité au conseil général, Nicolas Sarkozy affirmait vouloir rester coûte que coûte à la tête du département des Hauts-de-Seine pour pouvoir mener à bien sa politique.
Ignorant, du coup, la règle du non-cumul d'un portefeuille ministériel et d'une présidence d'un exécutif local. Hier, lors de la conférence de presse de Dominique de Villepin, le ministre de l'Intérieur a pourtant affirmé le contraire, jurant qu'il se conformerait à cette consigne dès que les recours électoraux en cours dans le département « seront épuisés ». Le président du conseil général aurait-il changé d'avis en quelques semaines ? Ou affiche-t-il, devant les caméras, une bonne volonté de façade, tout en assurant en privé à ses proches qu'il n'abandonnera pas son siège au département ? Devant les journalistes, Nicolas Sarkozy a expliqué qu'il n'a pu démissionner de son poste au conseil général en raison de la tenue de cantonales partielles (NDLR : au Plessis-Robinson). « Or, il est impossible de procéder à une nouvelle élection tant que l'assemblée n'est pas au complet, a précisé le président du conseil général. Naturellement, une fois les recours épuisés, je me mettrai en conformité avec cette règle. Ce n'est pas un choix politique, simplement une contrainte juridique. »
« C'est clair qu'il veut rester »
Une explication qui ne convainc pas les élus PS. « Depuis l'élection de l'UMP Jacques Perrin le 25 septembre dernier, le conseil général est au complet et je n'ai pas déposé de recours, affirme le socialiste Benoît Marquaille. Plus rien n'empêche donc Nicolas Sarkozy de démissionner mais il cherche à gagner du temps car sa succession au conseil général risquerait de diviser les différents ténors de la droite. » La conseillère générale PS Michèle Canet estime elle aussi que l'argument des recours n'est qu'un « prétexte ». « Il repousse, il repousse... jusqu'à l'échéance de 2007. » « C'est clair qu'il veut rester, reconnaît un cadre de l'UMP. Il se considère capable d'assumer ses fonctions de ministre et son poste de président du conseil général. Et il n'a pas intérêt à susciter aujourd'hui des querelles dans sa majorité départementale en quittant son poste de président si c'est finalement pour quitter le gouvernement l'an prochain. » « Il fera traîner les choses jusqu'au bout, estime une élue des Hauts-de-Seine. Mais il ne pouvait tout de même pas, devant Dominique de Villepin, dire ouvertement qu'il se fiche de cette règle. » Les proches de Nicolas Sarkozy, eux, ne se gênent pas pour le faire : « Le non-cumul n'est ni une loi ni une règle légale et il n'y a pas de délai pour l'appliquer, fait remarquer un proche du ministre de l'Intérieur. Il faudra à un moment qu'il réfléchisse au système qu'il veut mettre en place au conseil général mais il n'y a pas d'urgence extrême. » L'UMP Isabelle Balkany est encore plus radicale : « Cette règle de non-cumul est inepte et ne fait que couper les ministres du terrain, estime la conseillère générale de Levallois-Perret. Certains ministres de l'ancien gouvernement ne s'y étaient d'ailleurs jamais conformés. » Alors, démissionnera, démissionnera pas ? La réponse reste en suspens."
Frédéric Mouchon
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