HYSTERIE DE CONVERSION
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HYSTERIE DE CONVERSION
Bonjour,
Je viens de découvrir que j'avais la névrose de l'hystérie de conversion...
Je suis en psychanalyse et aussi en institut.........
Mais connaissez vous d'autres myens pour faire péter cette névrose ???
Je vous remercie tous d'avance..........
Amicalement

Je viens de découvrir que j'avais la névrose de l'hystérie de conversion...
Je suis en psychanalyse et aussi en institut.........
Mais connaissez vous d'autres myens pour faire péter cette névrose ???
Je vous remercie tous d'avance..........
Amicalement

La Rebelle de l'Amour.......
Re: HYSTERIE DE CONVERSION
LIONGIRLY a écrit :Bonjour,
Je viens de découvrir que j'avais la névrose de l'hystérie de conversion...
Je suis en psychanalyse et aussi en institut.........
Mais connaissez vous d'autres myens pour faire péter cette névrose ???
Je vous remercie tous d'avance..........
Amicalement
Qu'est ce que tu entends par "faire péter cette névrose"?
Mais que dis tu la?
Nous sommes tous névrosés dans le sens ou ce n'est pas une maladie c'est une structure de la personnalité. Maintenant il y a plusieurs "types" de comportement du névrosé. Sauf celui (ou celle) qui "s'enkyste" dans une facon de se comporter.
Exemple:
Mon patron me fais un coup de calcaire et me repproche des choses injustes. Je peux me mettre en colère, déprimer, me mettre à acheter des tas de choses pour compenser, faire le beau devant lui, developper une phobie de mon boulot, je peux tomber malade, etc...
Maintenant aucune de ces "réponses" n'est pathologique en soi; c'est au contraire un bel exemple de normalité.
Ce qui est pathologique c'est de ne plus avoir cette souplesse de réponse et de réagir sytématiquement de facon semblable quel que soit le problème. C'est la que l'on développe une névrose au sens pathologique.
Les névroses trouvent leur origine dans un traumatisme de l'enfance profondément enfoui (refoulé). Le meilleur moyen est une psychanalyse pour deterrer ce souvenir, le décortiquer et ainsi le faire devenir un souvenir et non plus un traumatisme.
Les médicaments peuvent aider, mais ne guérissent pas.
La psychanalyse n'est pas non plus une méthode à 100% de réussite...
Il faut que le courant passe avec le thérapeute, et personellement je pencherais pour un thérapeute du sexe opposé.
Nous sommes tous névrosés dans le sens ou ce n'est pas une maladie c'est une structure de la personnalité. Maintenant il y a plusieurs "types" de comportement du névrosé. Sauf celui (ou celle) qui "s'enkyste" dans une facon de se comporter.
Exemple:
Mon patron me fais un coup de calcaire et me repproche des choses injustes. Je peux me mettre en colère, déprimer, me mettre à acheter des tas de choses pour compenser, faire le beau devant lui, developper une phobie de mon boulot, je peux tomber malade, etc...
Maintenant aucune de ces "réponses" n'est pathologique en soi; c'est au contraire un bel exemple de normalité.
Ce qui est pathologique c'est de ne plus avoir cette souplesse de réponse et de réagir sytématiquement de facon semblable quel que soit le problème. C'est la que l'on développe une névrose au sens pathologique.
Les névroses trouvent leur origine dans un traumatisme de l'enfance profondément enfoui (refoulé). Le meilleur moyen est une psychanalyse pour deterrer ce souvenir, le décortiquer et ainsi le faire devenir un souvenir et non plus un traumatisme.
Les médicaments peuvent aider, mais ne guérissent pas.
La psychanalyse n'est pas non plus une méthode à 100% de réussite...
Il faut que le courant passe avec le thérapeute, et personellement je pencherais pour un thérapeute du sexe opposé.
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
Argrath le Troll a écrit :Mais que dis tu la?
Nous sommes tous névrosés dans le sens ou ce n'est pas une maladie c'est une structure de la personnalité. Maintenant il y a plusieurs "types" de comportement du névrosé. Sauf celui (ou celle) qui "s'enkyste" dans une facon de se comporter.
Exemple:
Mon patron me fais un coup de calcaire et me repproche des choses injustes. Je peux me mettre en colère, déprimer, me mettre à acheter des tas de choses pour compenser, faire le beau devant lui, developper une phobie de mon boulot, je peux tomber malade, etc...
Maintenant aucune de ces "réponses" n'est pathologique en soi; c'est au contraire un bel exemple de normalité.
Ce qui est pathologique c'est de ne plus avoir cette souplesse de réponse et de réagir sytématiquement de facon semblable quel que soit le problème. C'est la que l'on développe une névrose au sens pathologique.
Les névroses trouvent leur origine dans un traumatisme de l'enfance profondément enfoui (refoulé). Le meilleur moyen est une psychanalyse pour deterrer ce souvenir, le décortiquer et ainsi le faire devenir un souvenir et non plus un traumatisme.
Les médicaments peuvent aider, mais ne guérissent pas.
La psychanalyse n'est pas non plus une méthode à 100% de réussite...
Il faut que le courant passe avec le thérapeute, et personellement je pencherais pour un thérapeute du sexe opposé.
Tu dis ça uniquement pour les névroses Grat' ?
Pourquoi stp ?
Argrath le Troll a écrit :La psychanalyse n'est pas non plus une méthode à 100% de réussite...
Il faut que le courant passe avec le thérapeute, et personellement je pencherais pour un thérapeute du sexe opposé.
pourquoi de sexe opposé ? pourquoi le courant ne passerait-il pas aussi bien avec un thérapeute du même sexe ?
Zeb a écrit :bonjour les transferts !!!(comprends pas, là... c'est pô risqué ?)
ben, en psychanalyse, rejouer les scènes traumatiques c'est le but de la manoeuvre.. tout ça étant entre les "mains" d'un professionnel de l'inconscient... Douloureux, assurément... risqué, aussi... mais dans le but d'aller mieux et de pouvoir "vivre avec"...