MO2 questions sans réponses....
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
MO2 questions sans réponses....
voila, j'ai un petit souci, j'ai établi un questionnement ressortant d'une situation de départ vécue en psychiatrie, dans le cadre d'un travail de recherche de seconde année: le MO2.
ma situation et mon questionnement (ainsi que ma question de départ) ont été analysés et réajustés lors de régulation à mon IFSI en présence de mes coordinatrices.
mon problème vient donc de mes question, je pensai avoir suffisament de documents et pensais trouver les bons.... mais non!
alors voila je vous soumets ma situation avec le questionnement et la question de départ, en sachant que vous êtes mon dernier recours puisque lundi à 13heures il doit être rendu!
Situation d’appel :
Lors de ma première année de formation en soins infirmiers, j’ai effectué mon premier stage en psychiatrie à l’hôpital Trousseau.
Des membres de l’équipe et moi-même étions en train d’effectuer un tour au sein du service permettant d’y observer le calme et ainsi voir si la journée et les activités se déroulaient de manière normale, quand nous avons surpris un jeune patient passant à l’acte sur un autre résident (couché sous la table de la salle à manger) le ruant de coups, étant donc en pleine crise d’angoisse.
Comme tout service de psychiatrie fermé, celui-ci possédait une chambre d’isolement, utilisée sur prescription médicale dans un cas d’urgence au travers de violences, de patients dangereux… afin de le protéger lui, mais aussi les autres patients puis l’équipe soignante.
Aussitôt donc, avec l’aide du cadre du service présent sur les lieux au moment des faits le jeune homme a été stoppé et placé en chambre de sécurité, dans le but de calmer ses esprits et de faire redescendre son délire sans risquer pour sa vie. Une opération à laquelle j’ai assisté faute d’avoir le droit d’y participer.
Le patient malgré son agitation a été isolé sans recours à l’usage de la force.
Une fois mis à l’abri, le jeune homme à repris ses cris et s’est de nouveau agité. Des cris qui étaient peu compréhensibles, et que l’équipe soignante, étant formée et habituée à ce genre de situations fréquentes, à jugé bon de laisser s’atténuer.
Certains infirmiers se relayaient donc régulièrement pour aller voir si tout se passait bien, et si il était toujours en sécurité, faisant abstraction des cris, des demandes et de l’agitation, choses courantes dans ces cas là.
C’est au bout d’une demi-heure d’isolement que nous sommes retournés le voir avec l’ensemble de l’équipe après avoir entendu un bruit sourd et relativement impressionnant. Ce bruit étant celui du plafond de la chambre venant en partie de s’écrouler sous le poids des coups que ce dernier lui avait porté, ne causant bienheureusement que des dégâts matériels.
Immédiatement donc le cadre du service (grand et de carrure très imposante et impressionnante) est arrivé demandant au jeune homme des explications.
En réponse à son agitation il explique avec un calme relatif que depuis son entrée il réclame une bouteille d’eau et un gobelet. N’ayant pas obtenu satisfaction, son recours a été de se manifester par des cris et de l’agitation pour se faire entendre et comprendre, étant selon lui en dehors de tout délire.
Une bouteille d’eau lui a donc été apportée, c’est ensuite que le jeune homme a retrouvé un certain calme avant d’être transféré dans le service voisin en attendant la réparation de la chambre détériorée.
Une discussion avec l’équipe soignante a donc fait directement suite à cet incident, faisant ressortir un questionnement sur l’origine de sa demande, et l’interprétation que les différents professionnels présent ont pu en faire (sans jugement), autrement dit à savoir si la bouteille d’eau rentrait dans un processus de manipulation au travers duquel l’objet n’aurait été qu’un prétexte, entrainant un passage à l’acte du fait de notre « non-réponse », ou si un réel besoin en dehors de tout signe pathologique aurait pu faire place à une frustration et un sentiment de « non-écoute ».
Implication professionnelle, et motivations :
Dans le cadre de ma formation, et de mon projet professionnel, il me semble intéressant de mettre un point sur le rôle infirmier lors d’une mise en chambre d’isolement, et plus globalement lors d’une situation d’urgence et de danger psychiatrique, que ce soit dans un service de soins spécifique, ou en dehors.
En effet, mon projet de vie s’oriente vers une « carrière » humanitaire, en France ou à l’étranger, je serais donc très personnellement confronté à tout un type de personnes, et devra faire face à de multiples réactions.
De plus, le module de psychiatrie est étudié à l’institut de formation en soins infirmiers au cours de nos trois ans d’études, étant évalué chaque année du cycle. Il me parait donc important pour moi d’approfondir et d’effectuer un travail de recherche sur un sujet majeur dans l’apprentissage de ma profession, mais aussi un sujet que je serais mené à maitriser, et qui pour le moment me pose un réel questionnement autour des soins infirmiers spécifiques qui s’y exercent.
Lors de ma situation, qui n’est pas unique et donc lors de l’ensemble de mon stage effectué en service psychiatrique, j’ai eu du mal à cerner le rôle infirmier vis-à-vis d’un isolement, la bonne conduite à tenir…
Ainsi je me suis posé un grand nombre de questions ressortant de l’analyse de ce constat de départ ;
-la réaction du patient aurait-elle été différente en présence d’un cadre de nature physique moins impressionnante ?
-existe-t-il pour autant un « profil type » d’infirmier(ère) pour ce genre de situation, ou le psychologique prédomine ?
-jusqu’où peut-on aller dans l’interprétation d’un délire ?
-quand peut-on trouver la limite entre délire et besoin réel ? Comment faire différence entre manipulation et demande ?
-l’aspect technique de l’isolement est très protocolé, mais qu’en est-il de la prise en charge psychologique ?
-l’isolement ne doit pas être vécu comme une punition mais comme une mesure de protection, que faire dans le cas inverse accompagné de violences ?
-l’usage de la force est-il nécessaire dans une mise en chambre d’isolement ? Existe-t-il une méthode type ou « bonne méthode » ?
La question de départ :
Toutes les question ressortant de ma situation d’appel m’ont fait déboucher sur une question de départ, qui fera l’objet d’un travail de recherche me permettant d’établir des éléments de réponse sans pour autant donner une réponse au problème posé.
Cette question que voila représente de manière condensée le plan de mon travail que je vais analyser dans sa globalité :
« Quelle est l’importance du travail d’équipe et des compétences de l’infirmier dans la mise en chambre d’isolement et la surveillance d’un patient violent en psychiatrie ? »
voila mon plan:
(entre les parties de mon exploration se trouvent les éléments que je souhaite exploiter)
L’exploration :…………………………………………………………………………
-Travail d’équipe en psychiatrie : l’importance………………………………
(définition…)
-Compétences de l’infirmier en secteur psychiatrique……………………….
(nature physique, « profil type » ?, compétences)
-Mise en chambre d’isolement d’un patient en psychiatrie……………………
(aspect technique protocolé, prise en charge psychologique, usage de la force, leur droits (législation), expérience 3ème année)…
-Surveillance d’un patient violent en chambre d’isolement…………………..
(fiche surveillance, protocole surveillance, loi sur leur droit « legislation », interprétation delire, limite entre delire et besoin réel, différence entre manipulation et demande, isolement vécu comme une punition…)
Problématique :…………………………………………………………………………
ma situation et mon questionnement (ainsi que ma question de départ) ont été analysés et réajustés lors de régulation à mon IFSI en présence de mes coordinatrices.
mon problème vient donc de mes question, je pensai avoir suffisament de documents et pensais trouver les bons.... mais non!
alors voila je vous soumets ma situation avec le questionnement et la question de départ, en sachant que vous êtes mon dernier recours puisque lundi à 13heures il doit être rendu!
Situation d’appel :
Lors de ma première année de formation en soins infirmiers, j’ai effectué mon premier stage en psychiatrie à l’hôpital Trousseau.
Des membres de l’équipe et moi-même étions en train d’effectuer un tour au sein du service permettant d’y observer le calme et ainsi voir si la journée et les activités se déroulaient de manière normale, quand nous avons surpris un jeune patient passant à l’acte sur un autre résident (couché sous la table de la salle à manger) le ruant de coups, étant donc en pleine crise d’angoisse.
Comme tout service de psychiatrie fermé, celui-ci possédait une chambre d’isolement, utilisée sur prescription médicale dans un cas d’urgence au travers de violences, de patients dangereux… afin de le protéger lui, mais aussi les autres patients puis l’équipe soignante.
Aussitôt donc, avec l’aide du cadre du service présent sur les lieux au moment des faits le jeune homme a été stoppé et placé en chambre de sécurité, dans le but de calmer ses esprits et de faire redescendre son délire sans risquer pour sa vie. Une opération à laquelle j’ai assisté faute d’avoir le droit d’y participer.
Le patient malgré son agitation a été isolé sans recours à l’usage de la force.
Une fois mis à l’abri, le jeune homme à repris ses cris et s’est de nouveau agité. Des cris qui étaient peu compréhensibles, et que l’équipe soignante, étant formée et habituée à ce genre de situations fréquentes, à jugé bon de laisser s’atténuer.
Certains infirmiers se relayaient donc régulièrement pour aller voir si tout se passait bien, et si il était toujours en sécurité, faisant abstraction des cris, des demandes et de l’agitation, choses courantes dans ces cas là.
C’est au bout d’une demi-heure d’isolement que nous sommes retournés le voir avec l’ensemble de l’équipe après avoir entendu un bruit sourd et relativement impressionnant. Ce bruit étant celui du plafond de la chambre venant en partie de s’écrouler sous le poids des coups que ce dernier lui avait porté, ne causant bienheureusement que des dégâts matériels.
Immédiatement donc le cadre du service (grand et de carrure très imposante et impressionnante) est arrivé demandant au jeune homme des explications.
En réponse à son agitation il explique avec un calme relatif que depuis son entrée il réclame une bouteille d’eau et un gobelet. N’ayant pas obtenu satisfaction, son recours a été de se manifester par des cris et de l’agitation pour se faire entendre et comprendre, étant selon lui en dehors de tout délire.
Une bouteille d’eau lui a donc été apportée, c’est ensuite que le jeune homme a retrouvé un certain calme avant d’être transféré dans le service voisin en attendant la réparation de la chambre détériorée.
Une discussion avec l’équipe soignante a donc fait directement suite à cet incident, faisant ressortir un questionnement sur l’origine de sa demande, et l’interprétation que les différents professionnels présent ont pu en faire (sans jugement), autrement dit à savoir si la bouteille d’eau rentrait dans un processus de manipulation au travers duquel l’objet n’aurait été qu’un prétexte, entrainant un passage à l’acte du fait de notre « non-réponse », ou si un réel besoin en dehors de tout signe pathologique aurait pu faire place à une frustration et un sentiment de « non-écoute ».
Implication professionnelle, et motivations :
Dans le cadre de ma formation, et de mon projet professionnel, il me semble intéressant de mettre un point sur le rôle infirmier lors d’une mise en chambre d’isolement, et plus globalement lors d’une situation d’urgence et de danger psychiatrique, que ce soit dans un service de soins spécifique, ou en dehors.
En effet, mon projet de vie s’oriente vers une « carrière » humanitaire, en France ou à l’étranger, je serais donc très personnellement confronté à tout un type de personnes, et devra faire face à de multiples réactions.
De plus, le module de psychiatrie est étudié à l’institut de formation en soins infirmiers au cours de nos trois ans d’études, étant évalué chaque année du cycle. Il me parait donc important pour moi d’approfondir et d’effectuer un travail de recherche sur un sujet majeur dans l’apprentissage de ma profession, mais aussi un sujet que je serais mené à maitriser, et qui pour le moment me pose un réel questionnement autour des soins infirmiers spécifiques qui s’y exercent.
Lors de ma situation, qui n’est pas unique et donc lors de l’ensemble de mon stage effectué en service psychiatrique, j’ai eu du mal à cerner le rôle infirmier vis-à-vis d’un isolement, la bonne conduite à tenir…
Ainsi je me suis posé un grand nombre de questions ressortant de l’analyse de ce constat de départ ;
-la réaction du patient aurait-elle été différente en présence d’un cadre de nature physique moins impressionnante ?
-existe-t-il pour autant un « profil type » d’infirmier(ère) pour ce genre de situation, ou le psychologique prédomine ?
-jusqu’où peut-on aller dans l’interprétation d’un délire ?
-quand peut-on trouver la limite entre délire et besoin réel ? Comment faire différence entre manipulation et demande ?
-l’aspect technique de l’isolement est très protocolé, mais qu’en est-il de la prise en charge psychologique ?
-l’isolement ne doit pas être vécu comme une punition mais comme une mesure de protection, que faire dans le cas inverse accompagné de violences ?
-l’usage de la force est-il nécessaire dans une mise en chambre d’isolement ? Existe-t-il une méthode type ou « bonne méthode » ?
La question de départ :
Toutes les question ressortant de ma situation d’appel m’ont fait déboucher sur une question de départ, qui fera l’objet d’un travail de recherche me permettant d’établir des éléments de réponse sans pour autant donner une réponse au problème posé.
Cette question que voila représente de manière condensée le plan de mon travail que je vais analyser dans sa globalité :
« Quelle est l’importance du travail d’équipe et des compétences de l’infirmier dans la mise en chambre d’isolement et la surveillance d’un patient violent en psychiatrie ? »
voila mon plan:
(entre les parties de mon exploration se trouvent les éléments que je souhaite exploiter)
L’exploration :…………………………………………………………………………
-Travail d’équipe en psychiatrie : l’importance………………………………
(définition…)
-Compétences de l’infirmier en secteur psychiatrique……………………….
(nature physique, « profil type » ?, compétences)
-Mise en chambre d’isolement d’un patient en psychiatrie……………………
(aspect technique protocolé, prise en charge psychologique, usage de la force, leur droits (législation), expérience 3ème année)…
-Surveillance d’un patient violent en chambre d’isolement…………………..
(fiche surveillance, protocole surveillance, loi sur leur droit « legislation », interprétation delire, limite entre delire et besoin réel, différence entre manipulation et demande, isolement vécu comme une punition…)
Problématique :…………………………………………………………………………
un QI digne de médecine... mouahahahaha.. nan!
--> IFSI CRF TOURS
--> IFSI CRF TOURS
c'est déjà un bon travail, dans le sens ou les questions posées me sembles correctes.
regarde ici aussi
http://www.has-sante.fr/portail/upload/ ... CHISOL.pdf
pas de profil type pour les mises en chambre d'isolement, mais certains y sedront plus à l'aise que d'autres car cela demande certaines connaissances et compétences, comme tout soin.
regarde ici aussi
http://www.has-sante.fr/portail/upload/ ... CHISOL.pdf
pas de profil type pour les mises en chambre d'isolement, mais certains y sedront plus à l'aise que d'autres car cela demande certaines connaissances et compétences, comme tout soin.
merci beaucoup de votre réponse, que je me permet en partie de prendre comme un compliment.
puis je me permettre (ne connaissant pas votre identité) de citer votre réponse au sujet du "profil type", me permettant ainsi d'avoir un petit plus personnel quand à l'ébauche d'une argumentation?
mon ordinateur, bien que très récent a du mal en ce moment à lire les fichier pdf, et ne peu donc ouvrir correctement le lien.
si il s'agit des recommendation de l'ANAES, je les ai déjà et vous remerci, sinon je me vois embêter de ne pouvoir me servir de votre aide...
puis je me permettre (ne connaissant pas votre identité) de citer votre réponse au sujet du "profil type", me permettant ainsi d'avoir un petit plus personnel quand à l'ébauche d'une argumentation?
mon ordinateur, bien que très récent a du mal en ce moment à lire les fichier pdf, et ne peu donc ouvrir correctement le lien.
si il s'agit des recommendation de l'ANAES, je les ai déjà et vous remerci, sinon je me vois embêter de ne pouvoir me servir de votre aide...

un QI digne de médecine... mouahahahaha.. nan!
--> IFSI CRF TOURS
--> IFSI CRF TOURS
-la réaction du patient aurait-elle été différente en présence d’un cadre de nature physique moins impressionnante ?
-existe-t-il pour autant un « profil type » d’infirmier(ère) pour ce genre de situation, ou le psychologique prédomine ?
-jusqu’où peut-on aller dans l’interprétation d’un délire ?
-quand peut-on trouver la limite entre délire et besoin réel ? Comment faire différence entre manipulation et demande ?
-l’aspect technique de l’isolement est très protocolé, mais qu’en est-il de la prise en charge psychologique ?
-l’isolement ne doit pas être vécu comme une punition mais comme une mesure de protection, que faire dans le cas inverse accompagné de violences ?
-l’usage de la force est-il nécessaire dans une mise en chambre d’isolement ? Existe-t-il une méthode type ou « bonne méthode » ?
bon je vais prendre le temps de répondre
- la réaction du patient aurait été différente, oui...mais l'isolement s'il est décidé l'est pour ses vertues contenantes au sens psychique, ce n'est donc pas impressionnant à proprement parler, c'est rassurant, voir contenant. Il faut par contre quand on fait une MCI (mise en chambre d'iso) expliquer le but thérapeutique. Le "je vous mets là car vous avez fait ça" fait plus punitif.
- Le profil type, j'ai déjà répondu vite fait, mais en gros il faut beaucoup de choses: assimiler soi le même le rôle thérapeutique de l'isolement, pour pouvoir le signifier au patient, rester à l'écoute (et c'est là que l'histoire du verre aurait pu etre maitrisée), donner des repères au patient (je suis là, vous avez besoin de quelquechose? après, on vous laisse un peu seul pour que l'isolement en soit un et vous soit bénéfique, ensuite je reviens à telle heure pour vous accompagner fumer, etc) dans les isolements de mon CHS, il y a une horloge dans le sas, visible pâr le plexi de la porte par le patient, c'est ultra important. Pour continuer le listing, il faut aussi maitriser l'environnement lors d'une mise en chambre d'isolement (l'exemple d'une personne dépressive qui voit cette scène...), etc
- L'interprétation d'un délire, elle se fait avec du recul, en équipe, seul et dans l'action, à moins que celà soit un patient bien connu, cela me semble plus délicat.
- Le patient fait il la différence entre délire et réalité? non, donc la demande qui va en découler sera aussi importante pour lui, et l'angoisse sera la même.
- L'aspect psy, on peut dire qu'il est plus ou moins protocolisé, dans mon lien, tu vois les recommandations faites pour l'évaluation des psychiatre (temps+conseils pour l'évaluation). Mais cela diffère du patient, du soignant, ...
- pour les deux dernières questions, l'usage de la force n'est pas nécessaire, mais quelquefois le patient est tellement en crise que le dialogue est impossible, il y a donc mise en chambre d'isolement, un "on en reparlera un peu plus tard", et un retour sur l'évènement quelques temps après.
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regarde aussi dans les sujets ici
il y a sur les différents sujets en rapport avec l'isolement, la violence, la contention psychique, des réflexions, des liens qui peuvent t'aider.
un exemple de lien qui peut t'intéresser
http://psyassises.free.fr/charte.php3