nouvelle calédonie
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nouvelle calédonie
je viens de m'inscrire. Je suis ide mai 2006 ifsi saint nazaire. Je suis partie en nouvelle calédonie pour voir du pays et travailler; est ce qu'io y a des ide à nouméa qui se connecte ou si qq'un a besoin d'info je suis dispo. Ici il est 2 h du matin et la température est de 24.
je suis en nouvelle calédonie pendant 1 an; je reviens en sept 07 en métropole.
- chrystouille
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doudou89 a écrit :salut tout le monde je suis actuellement infirmière à Avallon en Bourgogne j'envisage avec mon ami de partir un peu en nouvelle calédonie
auriez des conseils à me donner ou des expérioencs de vie là bas
tous les conseils et les renseignements sont les bienvenus
merci à tous à l'avance
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
noumea
saluté zoreille, je suis actuellement ide en corse et j'arrive à noumea debut juillet avec une amie elle aussi infirmiere. comment est ce que tu as fait pour trouver du travail?tu peux me dire s'il vaut mieux que je postule maintenant ou dois je attendre d'etre sur place? car j'entends beaucoup de discours different!!!
a part ca tu te plais la bas? n'hesite à donner qq detail....
en tout ca moi j'ai hate d'y etre
merci et à bientot
a part ca tu te plais la bas? n'hesite à donner qq detail....
en tout ca moi j'ai hate d'y etre

merci et à bientot
Re: nouvelle calédonie
zoreille a écrit :je viens de m'inscrire. Je suis ide mai 2006 ifsi saint nazaire. Je suis partie en nouvelle calédonie pour voir du pays et travailler; est ce qu'io y a des ide à nouméa qui se connecte ou si qq'un a besoin d'info je suis dispo. Ici il est 2 h du matin et la température est de 24.
Bonjour zoreille!!!
Je serai (si tout va bien), diplômée en Novembre et j'ai toujours voulu aller travailler là-bas quelques mois.
Peux tu nous donner plus d'infos sur la façon dont tu as trouvé du travail, et aussi sur les avantages et inconvénients d'y être allé...
Merci pour ton témoignage

toujours Nouvelle Calédonie
coucou
je répond aux messages que je viens de découvrir. Bon, pour le travail, il est bien d'envoyer un mail à la direction des soins infirmiers, mais le CHT attends que vous soyez sur le territoire pour vous proposer du travail. Ils ont peur qu'on leur demande le billet d'avion. Une fois sur Nouméa, il faut tel au CHT pour dire que vous êtes bien arrivés. Ils ne tarderont pas à vous proposer des missions en CDD. Il y a un turn over important ici, pas de souci pour le travail. c'est très souvent des contrats de 1 ou 2 mois renouvellable. Il y a 2 CHT sur Nouméa, les dispensaires en Brousse, un hopital dans le Nord a Koumac et un secont à Poindimier, j'oublie les iles Loyauté. Bon, ici je me plait bien: le contact n'est pas simple. Mais les locaux ne sont pas trop méchants, sauf lorsqu'ils ont bu. L'alcool et le cannabis sont des problèmes récurrents.
s'il y a d'autres questions ou des pistes que je puisse explorer, pas de souci.
Salut
je répond aux messages que je viens de découvrir. Bon, pour le travail, il est bien d'envoyer un mail à la direction des soins infirmiers, mais le CHT attends que vous soyez sur le territoire pour vous proposer du travail. Ils ont peur qu'on leur demande le billet d'avion. Une fois sur Nouméa, il faut tel au CHT pour dire que vous êtes bien arrivés. Ils ne tarderont pas à vous proposer des missions en CDD. Il y a un turn over important ici, pas de souci pour le travail. c'est très souvent des contrats de 1 ou 2 mois renouvellable. Il y a 2 CHT sur Nouméa, les dispensaires en Brousse, un hopital dans le Nord a Koumac et un secont à Poindimier, j'oublie les iles Loyauté. Bon, ici je me plait bien: le contact n'est pas simple. Mais les locaux ne sont pas trop méchants, sauf lorsqu'ils ont bu. L'alcool et le cannabis sont des problèmes récurrents.
s'il y a d'autres questions ou des pistes que je puisse explorer, pas de souci.
Salut
je suis en nouvelle calédonie pendant 1 an; je reviens en sept 07 en métropole.
Re: toujours Nouvelle Calédonie

Est-il difficile de trouver un logement?
Et La vie est-elle beaucoup plus chère là-bas, peut-être, si oui que les salaires sont en conséquence???
Merci pour tes réponses,

zoreille a écrit :coucou
je répond aux messages que je viens de découvrir. Bon, pour le travail, il est bien d'envoyer un mail à la direction des soins infirmiers, mais le CHT attends que vous soyez sur le territoire pour vous proposer du travail. Ils ont peur qu'on leur demande le billet d'avion. Une fois sur Nouméa, il faut tel au CHT pour dire que vous êtes bien arrivés. Ils ne tarderont pas à vous proposer des missions en CDD. Il y a un turn over important ici, pas de souci pour le travail. c'est très souvent des contrats de 1 ou 2 mois renouvellable. Il y a 2 CHT sur Nouméa, les dispensaires en Brousse, un hopital dans le Nord a Koumac et un secont à Poindimier, j'oublie les iles Loyauté. Bon, ici je me plait bien: le contact n'est pas simple. Mais les locaux ne sont pas trop méchants, sauf lorsqu'ils ont bu. L'alcool et le cannabis sont des problèmes récurrents.
s'il y a d'autres questions ou des pistes que je puisse explorer, pas de souci.
Salut
Bonjour,
Je suis actuellement infirmiere libérale sur la gironde et j'ai un copain qui est parti en Nouvelle Calédonie(mondiale assistance)
Il m'a dit que les IDE Libérales gagnaient tres bien leurs vies la bas
Je recherche une IDE qui me relate son expèrience avec beaucoup de détails
-nombre de jours travailles
-nombre d'heures effectuées
-nombre de kms dans une journée
-cotisations obligatoires ?
-logements
-alimentation
-conditions climatiques ....
Je suis actuellement infirmiere libérale sur la gironde et j'ai un copain qui est parti en Nouvelle Calédonie(mondiale assistance)
Il m'a dit que les IDE Libérales gagnaient tres bien leurs vies la bas
Je recherche une IDE qui me relate son expèrience avec beaucoup de détails
-nombre de jours travailles
-nombre d'heures effectuées
-nombre de kms dans une journée
-cotisations obligatoires ?
-logements
-alimentation
-conditions climatiques ....

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bonjour lapouya
peut-être trouverez-vous quelques éléments de réponses ici
:
travailler dans un DOM-TOM ?
Travail à l'étranger ou dans les DOM-TOM
partir travailler en Nouvelle Calédonie
nouvelle calédonie
nouvelle calédonie
infirmière en nouvelle calédonie?
[url=http://www.infirmiers.com/frm/ftopic71097.php&highlight=nouvelle+cal%E9donie]Demander des congés sans solde pour exercer dans un TOM ?
[/url]
peut-être trouverez-vous quelques éléments de réponses ici

travailler dans un DOM-TOM ?
Travail à l'étranger ou dans les DOM-TOM
partir travailler en Nouvelle Calédonie
nouvelle calédonie
nouvelle calédonie
infirmière en nouvelle calédonie?
[url=http://www.infirmiers.com/frm/ftopic71097.php&highlight=nouvelle+cal%E9donie]Demander des congés sans solde pour exercer dans un TOM ?
[/url]
L'urinal : parce que vous le vallez bien !
Sans Haldol , la fête est plus folle !
Sans Haldol , la fête est plus folle !
au niveau libéral, c'est vrai que les IDE sont réputées pour gagner très très bien leur vie.
Mais je ne suis encore qu'ESI! donc pour les détails, je ne peux pas trop te dire !
Par contre, les logements sont très chers ( je paye en gros 1100 euros pour un T3, en ville mais pas dans le centre)
L'alimentation aussi est chère, d'autant plus si on veut des produits de marque venant de métropole. Mais à part si tu manges que du riz, c'est cher !
le climat est super agréable : on est en hiver en ce moment, et il fait 25° dans la journée ! mais on trouve qu'il fait frais !!! l'été est très chaud.
Si tu veux des renseignements, pas de souci !!! si je peux bien sur !
Mais je ne suis encore qu'ESI! donc pour les détails, je ne peux pas trop te dire !
Par contre, les logements sont très chers ( je paye en gros 1100 euros pour un T3, en ville mais pas dans le centre)
L'alimentation aussi est chère, d'autant plus si on veut des produits de marque venant de métropole. Mais à part si tu manges que du riz, c'est cher !
le climat est super agréable : on est en hiver en ce moment, et il fait 25° dans la journée ! mais on trouve qu'il fait frais !!! l'été est très chaud.
Si tu veux des renseignements, pas de souci !!! si je peux bien sur !
ESI 3ème année à Nouméa
Et rebelotte pour déléguée de promo !!!!
Et rebelotte pour déléguée de promo !!!!
un petit article qui reflète bien la situation...
21 mai 2008
MALAISE DANS LES DISPENSAIRES
L’équipe du dispensaire de Touho a observé un débrayage d’une heure, hier matin, pour protester contre l’agression d’une infirmière vendredi soir.
Un mouvement similaire a été suivi dans les quinze dispensaires du Nord et dans celui de Lifou, à la direction de la DASSPS Nord, ainsi que dans les hôpitaux de Poindimié et de Koumac.
«Merci d’être venu et pour tout le reste… Ça me touche beaucoup. » C’est avec simplicité et émotion que Sarah, l’infirmière de 24 ans violemment attaquée vendredi dernier, a délivré ces quelques mots aux nombreuses personnes venues lui témoigner leur soutien hier matin au dispensaire de Touho.
Cette nuit-là, vers 22h30, alors qu’elle était de garde, l’interphone avait sonné dans son logement. N’obtenant aucune réponse après avoir décroché, elle avait choisi de sortir voir en pensant à une éventuelle situation d’urgence médicale. Un homme armé d’un couteau s’était alors jeté sur elle et avait tenté de l’agresser sexuellement. Après l’intervention du chien d’une amie qu’elle gardait, elle s’était finalement enfermée à clef dans le dispensaire et l’agresseur avait pris la fuite.
Insécurité latente
Si ce genre de guet-apens est fort heureusement exceptionnel, il n’en demeure pas moins que les personnels de santé sont fréquemment exposés à des situations délicates qui peuvent très vite déraper et devenir dangereuses. Les insultes et menaces verbales reviennent assez souvent, plus ou moins selon les endroits. Particulièrement lors d’accidents sur la voie publique, mais aussi dans les établissements de soins, en présence de patients et/ou d’accompagnants ayant souvent consommé de l’alcool ou du cannabis. Les nuits, les week-ends et les jours fériés sont les moments les plus sensibles. Les infirmières peuvent se retrouver seules face à une bande ivre dans un endroit isolé.
« Nous sommes toujours en première ligne », fait observer l’une d’elles, Florence Mengual-Esposito. Cela dit, « en vingt-deux ans, c’est la première fois que ça arrive à Touho. Il fallait marquer le coup pour que ça ne se reproduise pas, et ouvrir une réflexion. » Mais que faire pour permettre à ce service public de proximité de s’exercer dans des conditions normales ? A Houaïlou, des vigiles accompagnent les gardes de nuit.
Une réunion avec tous les services concernés est programmée en ce sens le 3 mai à la DASSPS (Direction des affaires sanitaires et sociales et des problèmes de société) à Koné. Les infirmières de Touho demandent qu’une étude au cas par cas soit effectuée pour chaque dispensaire (matériel d’alarme, éclairage…) et que des protocoles d’action précis soient mis en œuvre. Pourtant, une grande rencontre réunissant personnels médicaux, maires, gendarmerie, Etat, administration provinciale et élus s’était tenue sur ces sujets… en octobre 2004.
Relancer l’action concertée
Outre un travail de fond sur des problèmes de société comme l’alcool et le cannabis, plusieurs mesures avaient été décidées. Certaines ont été suivies d’effet à certains endroits, d’autres non. Certes, le risque zéro n’existe pas en la matière, mais la DASSPS reconnaît qu’il y a lieu de relancer le processus. Un travail sérieux de partenariat entre dispensaire et gendarmerie reste apparemment à mettre en place ou à peaufiner. L’événement malheureux de vendredi dernier aura peut-être permis la reprise de la concertation.
La « violence éducative » en question
Le docteur Bousquet, médecin-chef du dispensaire de Touho, appelle à réfléchir sur la violence au quotidien. Il est un fervent partisan d’une « éducation respectueuse des enfants. »« Si la population n’est pas responsable du comportement de quelques-uns, comment croire que le recours si facile à la violence, entre hommes, envers les femmes et les enfants, n’ait pas des racines profondément ancrées ? », interroge le docteur. « Je n’avance pas cela par hasard ou provocation. De nombreuses études confirment le lien entre les violences même minimes subies dans l’enfance et certains comportements pathologiques : délinquance, violences, suicides, consommation de drogue et même échec scolaire. » Le docteur Bousquet estime que « nous avons trop tendance à minimiser les conséquences de la violence éducative familiale ». Mais ce qui le surprend encore plus, c’est « que certains enseignants recourent à la violence physique malgré l’interdiction, souvent avec l’assentiment, des parents, ainsi qu’en témoignent de nombreux enfants ». Une réalité que beaucoup ne veulent pas entendre. Et de conclure : « Rien ne peut réparer un être humilié ou meurtri, et pourtant c’est là que vont tous nos moyens au lieu d’agir sur les causes et de voir comme certains pays abolitionnistes chuter les chiffres de la maltraitance, des suicides ou de la délinquance. »
http://lesiad.canalblog.com/archives/20 ... 59358.html
C'est un peu brut de pomme pour un premier Post mais ça résume assez bien.
J'ai travaillé en dispensaire un peu moins d'un an, à mon arrivée je ne m'attendait pas du tout à ce genre de situations !
Chers collègues, il y a du travail ici, beaucoup de postes et beaucoup de rotation, il faut juste savoir ou on va !
courage a tous !
Allez au bout de vos projets !
MALAISE DANS LES DISPENSAIRES
L’équipe du dispensaire de Touho a observé un débrayage d’une heure, hier matin, pour protester contre l’agression d’une infirmière vendredi soir.
Un mouvement similaire a été suivi dans les quinze dispensaires du Nord et dans celui de Lifou, à la direction de la DASSPS Nord, ainsi que dans les hôpitaux de Poindimié et de Koumac.
«Merci d’être venu et pour tout le reste… Ça me touche beaucoup. » C’est avec simplicité et émotion que Sarah, l’infirmière de 24 ans violemment attaquée vendredi dernier, a délivré ces quelques mots aux nombreuses personnes venues lui témoigner leur soutien hier matin au dispensaire de Touho.
Cette nuit-là, vers 22h30, alors qu’elle était de garde, l’interphone avait sonné dans son logement. N’obtenant aucune réponse après avoir décroché, elle avait choisi de sortir voir en pensant à une éventuelle situation d’urgence médicale. Un homme armé d’un couteau s’était alors jeté sur elle et avait tenté de l’agresser sexuellement. Après l’intervention du chien d’une amie qu’elle gardait, elle s’était finalement enfermée à clef dans le dispensaire et l’agresseur avait pris la fuite.
Insécurité latente
Si ce genre de guet-apens est fort heureusement exceptionnel, il n’en demeure pas moins que les personnels de santé sont fréquemment exposés à des situations délicates qui peuvent très vite déraper et devenir dangereuses. Les insultes et menaces verbales reviennent assez souvent, plus ou moins selon les endroits. Particulièrement lors d’accidents sur la voie publique, mais aussi dans les établissements de soins, en présence de patients et/ou d’accompagnants ayant souvent consommé de l’alcool ou du cannabis. Les nuits, les week-ends et les jours fériés sont les moments les plus sensibles. Les infirmières peuvent se retrouver seules face à une bande ivre dans un endroit isolé.
« Nous sommes toujours en première ligne », fait observer l’une d’elles, Florence Mengual-Esposito. Cela dit, « en vingt-deux ans, c’est la première fois que ça arrive à Touho. Il fallait marquer le coup pour que ça ne se reproduise pas, et ouvrir une réflexion. » Mais que faire pour permettre à ce service public de proximité de s’exercer dans des conditions normales ? A Houaïlou, des vigiles accompagnent les gardes de nuit.
Une réunion avec tous les services concernés est programmée en ce sens le 3 mai à la DASSPS (Direction des affaires sanitaires et sociales et des problèmes de société) à Koné. Les infirmières de Touho demandent qu’une étude au cas par cas soit effectuée pour chaque dispensaire (matériel d’alarme, éclairage…) et que des protocoles d’action précis soient mis en œuvre. Pourtant, une grande rencontre réunissant personnels médicaux, maires, gendarmerie, Etat, administration provinciale et élus s’était tenue sur ces sujets… en octobre 2004.
Relancer l’action concertée
Outre un travail de fond sur des problèmes de société comme l’alcool et le cannabis, plusieurs mesures avaient été décidées. Certaines ont été suivies d’effet à certains endroits, d’autres non. Certes, le risque zéro n’existe pas en la matière, mais la DASSPS reconnaît qu’il y a lieu de relancer le processus. Un travail sérieux de partenariat entre dispensaire et gendarmerie reste apparemment à mettre en place ou à peaufiner. L’événement malheureux de vendredi dernier aura peut-être permis la reprise de la concertation.
La « violence éducative » en question
Le docteur Bousquet, médecin-chef du dispensaire de Touho, appelle à réfléchir sur la violence au quotidien. Il est un fervent partisan d’une « éducation respectueuse des enfants. »« Si la population n’est pas responsable du comportement de quelques-uns, comment croire que le recours si facile à la violence, entre hommes, envers les femmes et les enfants, n’ait pas des racines profondément ancrées ? », interroge le docteur. « Je n’avance pas cela par hasard ou provocation. De nombreuses études confirment le lien entre les violences même minimes subies dans l’enfance et certains comportements pathologiques : délinquance, violences, suicides, consommation de drogue et même échec scolaire. » Le docteur Bousquet estime que « nous avons trop tendance à minimiser les conséquences de la violence éducative familiale ». Mais ce qui le surprend encore plus, c’est « que certains enseignants recourent à la violence physique malgré l’interdiction, souvent avec l’assentiment, des parents, ainsi qu’en témoignent de nombreux enfants ». Une réalité que beaucoup ne veulent pas entendre. Et de conclure : « Rien ne peut réparer un être humilié ou meurtri, et pourtant c’est là que vont tous nos moyens au lieu d’agir sur les causes et de voir comme certains pays abolitionnistes chuter les chiffres de la maltraitance, des suicides ou de la délinquance. »
http://lesiad.canalblog.com/archives/20 ... 59358.html
C'est un peu brut de pomme pour un premier Post mais ça résume assez bien.
J'ai travaillé en dispensaire un peu moins d'un an, à mon arrivée je ne m'attendait pas du tout à ce genre de situations !
Chers collègues, il y a du travail ici, beaucoup de postes et beaucoup de rotation, il faut juste savoir ou on va !
courage a tous !
Allez au bout de vos projets !