tfe:polyhandicap
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tfe:polyhandicap
bonjour à tous.
je suis actuellement en 3e année et je prépare mon tfe qui porte sur la communication non verbale dans le soin aux personnes polyhandicapée
mais je suis bloquée j'arrive pas à avancer après l'introduction!
j'aurais besoin d'aide pour ma problématique car je pense avoir compris ce que c'est mais je bloque!
merci d'avance
je suis actuellement en 3e année et je prépare mon tfe qui porte sur la communication non verbale dans le soin aux personnes polyhandicapée
mais je suis bloquée j'arrive pas à avancer après l'introduction!
j'aurais besoin d'aide pour ma problématique car je pense avoir compris ce que c'est mais je bloque!
merci d'avance
bonjour, alors en pb pratiqe il faudrai ke tu mette des definitions sur le polyhandicap et sur les autres mots clés de ta qu de depart.
ensuite tu aura ta pb pratique et la tu peu choisir le concept de la comunication.
3) 1. La communication
3)1.1 Définition
La communication n’est pas qu’un échange de parole. C’est aussi « un processus dynamique verbal et non verbal permettant à des personnes de se rendre accessibles d’une à l’autre, de parvenir à la mise en commun de sentiments d’opinions, d’expérience et d’informations » . C’est un échange qui permet la socialisation, en transmettant des informations, des émotions, des donnés, par le biais du langage verbal ou non verbal.
3) 1.2 Les différents moyens de communiquer
C’est souvent l’état psychologique, comme le stress, l’anxiété, qui interfère la communication.
Les mimiques et le ton de la voix sont des notions très importantes, qu’il ne faut pas négliger, car elles font passer l’émotion. Il est donc important d’instaurer un contact oculaire.
C’est pourquoi chaque geste, chaque comportement est important à repérer chez les enfants. C’est par leurs troubles qu’ils peuvent et veulent certainement dire quelque chose. Les mots qu’ils utilisent ont parfois moins d’importance que l’attitude qu’ils ont. Néanmoins il faut tout de même faire très attention à ce qu’ils disent, et parfois analyser leurs phrases, qui parfois ne veulent pas dire ce que l’on pense, mais ne pas rentrer dans l’interprétation. Dans l’entretien n°4 la psychologue donne l’ exemple d’un petit garçon de 5 ans ; Ses parents sont séparés et sa maman avait des soupçons sur le père, et pensait que celui-ci avait abusé sexuellement de son fil ; Il à donc fallut passer par le biais de poupées sexuées, et aider l’enfant à parler un petit peu du contexte dans lequel il voyait son papa, parce qu’il avait une seule chambre et il dormait dans le même lit, être assez explicite au niveau des poupées, savoir s’il y avait eu introduction de quelque chose et en fait l’enfant est assez spontané et vous répond tout de suite oui, ou non ça c’est produit et pour ce petit garçon c’était non. On est revenu plusieurs fois sur ce sujet et c’était toujours non.
Il ne faut donc pas faire de conclusion trop hâtives et bien entendre ce qu’ils ont voulu nous dire et non ce que l’on voudrait entendre.
Gilbert Gasparutto parle dans son livre , de la légitimité multiple. C'est-à-dire que chaque personne, pour un même problème peut avoir des points de vue différents. Il est écrit que « la relation figée créer les situations bloquées, souvent pour un rien, un mot mal interprété, un élément essentiel passe sous silence ». Ce qui montre l’importance de communiquer entre soignants et de faire des transmissions, afin d’éclaircir certaine situations.
Il faut laisser l’enfant communiquer de lui-même, sans faire d’interprétation, reformuler ce qu’il dit pour être sur de ne pas comprendre autre chose.
Il est important de faire attention à tout ce qu’il peut nous faire passer dans ses gestes, ses paroles et même ses silences.
3) 1.3 Le refus de communiquer, les silences.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ils font partis entièrement de la communication. Selon le manuel de psychologie, il existe trois formes de refus de communication :
- L’annulation ; c’est lorsque le patient montre ou exprime clairement, qui ne veut rien dire.
- Le rejet ; c’est lorsque que la personne soignée ignore, ou rejette tout ce que le soignant lui dit. Cela peut être également lorsque l’autre est convaincu qu’il a raison et donc qu’il ne veut pas écouter ce que l’autre a, à lui dire.
- Le déni ; c’est le refus d’établir une communication, bien que les deux personnes soient d’accord sur le contenu. Ce rejet s’exprime sous la forme de déni.
Les enfants maltraités sont très souvent mutiques, repliés sur eux même, et ne veulent pas répondre aux questions que l’on peut leur poser sur ce qu’il se passe à la maison. Mais il est très important de ne pas vouloir l’inciter à communiquer, cela pourrait encore plus le bloquer. Il faut faire preuve de beaucoup de patience, pour qu’il parle de lui-même.
3) 1.4 La communication et le soin
La communication est l’une des bases de la relation de soin. L’efficacité des soins est due à une bonne relation soignant/ soigné, dont le support est la communication quelle q’elle soit.
Il existe plusieurs moyens pour le soignant d’amener la communication. L’entretien en fait parti c’est une façon d’amener l’échange, mais il est important qu’il se déroule correctement. L’infirmière doit faire preuve de bienveillance, d’empathie, pour permettre, au patient entre autre dans ce cas à l’enfant, de comprendre qu’on l’écoute sans juger et que l’on est là pour l’aider.
voila kelke truk
ensuite tu aura ta pb pratique et la tu peu choisir le concept de la comunication.
3) 1. La communication
3)1.1 Définition
La communication n’est pas qu’un échange de parole. C’est aussi « un processus dynamique verbal et non verbal permettant à des personnes de se rendre accessibles d’une à l’autre, de parvenir à la mise en commun de sentiments d’opinions, d’expérience et d’informations » . C’est un échange qui permet la socialisation, en transmettant des informations, des émotions, des donnés, par le biais du langage verbal ou non verbal.
3) 1.2 Les différents moyens de communiquer
C’est souvent l’état psychologique, comme le stress, l’anxiété, qui interfère la communication.
Les mimiques et le ton de la voix sont des notions très importantes, qu’il ne faut pas négliger, car elles font passer l’émotion. Il est donc important d’instaurer un contact oculaire.
C’est pourquoi chaque geste, chaque comportement est important à repérer chez les enfants. C’est par leurs troubles qu’ils peuvent et veulent certainement dire quelque chose. Les mots qu’ils utilisent ont parfois moins d’importance que l’attitude qu’ils ont. Néanmoins il faut tout de même faire très attention à ce qu’ils disent, et parfois analyser leurs phrases, qui parfois ne veulent pas dire ce que l’on pense, mais ne pas rentrer dans l’interprétation. Dans l’entretien n°4 la psychologue donne l’ exemple d’un petit garçon de 5 ans ; Ses parents sont séparés et sa maman avait des soupçons sur le père, et pensait que celui-ci avait abusé sexuellement de son fil ; Il à donc fallut passer par le biais de poupées sexuées, et aider l’enfant à parler un petit peu du contexte dans lequel il voyait son papa, parce qu’il avait une seule chambre et il dormait dans le même lit, être assez explicite au niveau des poupées, savoir s’il y avait eu introduction de quelque chose et en fait l’enfant est assez spontané et vous répond tout de suite oui, ou non ça c’est produit et pour ce petit garçon c’était non. On est revenu plusieurs fois sur ce sujet et c’était toujours non.
Il ne faut donc pas faire de conclusion trop hâtives et bien entendre ce qu’ils ont voulu nous dire et non ce que l’on voudrait entendre.
Gilbert Gasparutto parle dans son livre , de la légitimité multiple. C'est-à-dire que chaque personne, pour un même problème peut avoir des points de vue différents. Il est écrit que « la relation figée créer les situations bloquées, souvent pour un rien, un mot mal interprété, un élément essentiel passe sous silence ». Ce qui montre l’importance de communiquer entre soignants et de faire des transmissions, afin d’éclaircir certaine situations.
Il faut laisser l’enfant communiquer de lui-même, sans faire d’interprétation, reformuler ce qu’il dit pour être sur de ne pas comprendre autre chose.
Il est important de faire attention à tout ce qu’il peut nous faire passer dans ses gestes, ses paroles et même ses silences.
3) 1.3 Le refus de communiquer, les silences.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ils font partis entièrement de la communication. Selon le manuel de psychologie, il existe trois formes de refus de communication :
- L’annulation ; c’est lorsque le patient montre ou exprime clairement, qui ne veut rien dire.
- Le rejet ; c’est lorsque que la personne soignée ignore, ou rejette tout ce que le soignant lui dit. Cela peut être également lorsque l’autre est convaincu qu’il a raison et donc qu’il ne veut pas écouter ce que l’autre a, à lui dire.
- Le déni ; c’est le refus d’établir une communication, bien que les deux personnes soient d’accord sur le contenu. Ce rejet s’exprime sous la forme de déni.
Les enfants maltraités sont très souvent mutiques, repliés sur eux même, et ne veulent pas répondre aux questions que l’on peut leur poser sur ce qu’il se passe à la maison. Mais il est très important de ne pas vouloir l’inciter à communiquer, cela pourrait encore plus le bloquer. Il faut faire preuve de beaucoup de patience, pour qu’il parle de lui-même.
3) 1.4 La communication et le soin
La communication est l’une des bases de la relation de soin. L’efficacité des soins est due à une bonne relation soignant/ soigné, dont le support est la communication quelle q’elle soit.
Il existe plusieurs moyens pour le soignant d’amener la communication. L’entretien en fait parti c’est une façon d’amener l’échange, mais il est important qu’il se déroule correctement. L’infirmière doit faire preuve de bienveillance, d’empathie, pour permettre, au patient entre autre dans ce cas à l’enfant, de comprendre qu’on l’écoute sans juger et que l’on est là pour l’aider.
voila kelke truk
j'ai fait mon travail sur la prise en charge des enfants maltraités, et je le repasse au ratrapage. Je cherche des info sur le sujet et surtout sur comment font les ide pour suspecter et detecter un enfant maltraité. merci d'avance.
salut je fais moi aussi mon memoire sur le polyhandicap plus particulièrement sur l evaluation de la douleur chez ces patients et les difficultés que l'on rencontre du fait de l'absence de commmunication verbale
en introduction je suis resté très général sur la prise en charge de la douleur
et c est dans mes cadres conceptuels que j ai defini le polyhandicap la communication.....
il existe une definition légale du polyhandicap que tu peux trouver sur internet
voilou
si t as besoin n'hésite pas
en introduction je suis resté très général sur la prise en charge de la douleur
et c est dans mes cadres conceptuels que j ai defini le polyhandicap la communication.....
il existe une definition légale du polyhandicap que tu peux trouver sur internet
voilou
si t as besoin n'hésite pas
merci
tu as ciblés sur les personnes polyhandicapée en institution ou bien à l'hôpital?
je voulais faire dans le milieu hospitalier mais j'ai peur de pas avoir assez de terrain pour enquêter et ma guidante m'a dit la meme chose.
je suis entrain de me demander si je pourrais pas faire mon tfe sur la relation soignant-soigné avec les personnes polyhandicapés pour ensuite rejoindre la communication et aussi le fait d'informer la personne polyhandicapée avant et pendant le soin au même titre qu'un patient non polyhandicapé.
Qu'en pensez vous?
si vous avez des adresses pour les enquête ça m'interesse aussi.
merci encore de votre aide
tu as ciblés sur les personnes polyhandicapée en institution ou bien à l'hôpital?
je voulais faire dans le milieu hospitalier mais j'ai peur de pas avoir assez de terrain pour enquêter et ma guidante m'a dit la meme chose.
je suis entrain de me demander si je pourrais pas faire mon tfe sur la relation soignant-soigné avec les personnes polyhandicapés pour ensuite rejoindre la communication et aussi le fait d'informer la personne polyhandicapée avant et pendant le soin au même titre qu'un patient non polyhandicapé.
Qu'en pensez vous?
si vous avez des adresses pour les enquête ça m'interesse aussi.
merci encore de votre aide
félicitation pour ton DE.
Ma guidante m'a dit de revoir la théorie de dolto (image corporelle, schéma corporel...) est ce que tu aurais des infos la dessus en rapport avec le polyhandicap?
et pour ce qui est de ma problématique je suis pas sure de moi
c'est bien un cheminement de questions? Et tout ce qui est définitions, cadres législatif... C'est dans le cadre conceptuel c'est bien ça?
Et d'ailleur jveux bien des infos sur le cadre juridique stp!
merci de ton aide
Ma guidante m'a dit de revoir la théorie de dolto (image corporelle, schéma corporel...) est ce que tu aurais des infos la dessus en rapport avec le polyhandicap?
et pour ce qui est de ma problématique je suis pas sure de moi
c'est bien un cheminement de questions? Et tout ce qui est définitions, cadres législatif... C'est dans le cadre conceptuel c'est bien ça?
Et d'ailleur jveux bien des infos sur le cadre juridique stp!
merci de ton aide
Bonjour Lilinne, en ce qui concerne le schéma corporel oui c'est un thème que j'ai abordé dans mon écrit...En gros j'avais d'abord défini la notion de schéma corporel, la maturation psychique "normale", (les grandes étapes de représentation de son corps chez l'enfant), tout cela assez brièvement; puis j'avais parler de la représentation du schém corporel chez la personne souffant de déficience mentale plus ou moins psychotique ou autiste...et la principale idée était celle du schéma corporel morcelé ou la non reconnaissance par l'individu d'une partie de son corps comme étant la sienne... (difficultés de globalisation, de synthèse et d'abstraction, dyspraxie) J'avais appellé ce petit paragraphe "la représentation du corps"
Sinon en ce qui concerne ta méthodologie elle me semble correcte!
Pour la recherche de tes lieux d'enquête je te conseille les pages jaunes (oui je sais ça peut paraitre bete mais bon...) et aussi le site internet de l'ADAPEI, moi dans ma région il y a la liste de leurs structures d'accueil (je pense qu'il en est de meme en région parisienne)
Bon courage à toi et n'hésites pas!
Sinon en ce qui concerne ta méthodologie elle me semble correcte!
Pour la recherche de tes lieux d'enquête je te conseille les pages jaunes (oui je sais ça peut paraitre bete mais bon...) et aussi le site internet de l'ADAPEI, moi dans ma région il y a la liste de leurs structures d'accueil (je pense qu'il en est de meme en région parisienne)
Bon courage à toi et n'hésites pas!
Bonjour Lilinne, en ce qui concerne le schéma corporel oui c'est un thème que j'ai abordé dans mon écrit...En gros j'avais d'abord défini la notion de schéma corporel, la maturation psychique "normale", (les grandes étapes de représentation de son corps chez l'enfant), tout cela assez brièvement; puis j'avais parler de la représentation du schém corporel chez la personne souffant de déficience mentale plus ou moins psychotique ou autiste...et la principale idée était celle du schéma corporel morcelé ou la non reconnaissance par l'individu d'une partie de son corps comme étant la sienne... (difficultés de globalisation, de synthèse et d'abstraction, dyspraxie) J'avais appellé ce petit paragraphe "la représentation du corps"
Sinon en ce qui concerne ta méthodologie elle me semble correcte!
Pour la recherche de tes lieux d'enquête je te conseille les pages jaunes (oui je sais ça peut paraitre bete mais bon...) et aussi le site internet de l'ADAPEI, moi dans ma région il y a la liste de leurs structures d'accueil (je pense qu'il en est de meme en région parisienne)
Bon courage à toi et n'hésites pas!
Sinon en ce qui concerne ta méthodologie elle me semble correcte!
Pour la recherche de tes lieux d'enquête je te conseille les pages jaunes (oui je sais ça peut paraitre bete mais bon...) et aussi le site internet de l'ADAPEI, moi dans ma région il y a la liste de leurs structures d'accueil (je pense qu'il en est de meme en région parisienne)
Bon courage à toi et n'hésites pas!