Souffrance psychologique et communication
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Souffrance psychologique et communication
Coucou tout le monde
je dois bientot rendre mon thème et ma question de départ et je suis complètement perdu !!!
Ma situation:
Une petite fille en onco sterile 3ème rechute de leucémie qui ne voulait pas communiquer verbalement avec moi et toute l'équipe soignante mais également clown, maitresse ....
Elle ne nous regardait meme pas qu'en on entrait dans la chambre. Répondait à peine à nos questions (mouvement de tête), elle pleurait souvent. sa mère était présente mais elles parlait peu entre elle ce qui n'empéchait pas à ce tte petite fille de toujours vouloir sa maman auprès d'elle.
Un jour avec une IDE et l'interne on l'a questionné sur une photo où il y avait son chien et elle a commencé à pleuré et dire que elle voulait sortir d'ici promener son chien qu'elle en avait marre que ses vacances étaient gachées.
Mon ressentit très difficile par rapport au manque de communication , difficile d'entrer dans la chambre et d'y rester. Sentiment de mal etre et culpibilité en meme temps . je n'arriver pas à parler de al maladie moi même.
Questionnement :
- Quelle est la place de la communication verbale dans la maladie grave ?
- Qu'est ce que la souffrance psychologique ?
- Quelles mécanismes de défenses face à la maladie grave pour les patients et les IDE ?
- Comment faire verbaliser le patient sur sa souffrance morale quand celle ci est difficile à entendre ?
- La souffrance psychologique est difficile à entendre mais l'absence de parole n'est-elle pas plus difficile ?
- La verbalisation de la souffrance influence t-elle ensuite nos soins ?
- Tous les patients ont-ils un besoin de parole ?
Voilà ou j'en suis rendu actuellement je suis perdu pour tout dire je sais pas si vers quoi je me dirige est bon ou non?
Et puis je n'arrive pas à decoller de là !!
donc j'attends s'il vous plait de l'aide pour m'aider à avancer
je dois bientot rendre mon thème et ma question de départ et je suis complètement perdu !!!


Ma situation:
Une petite fille en onco sterile 3ème rechute de leucémie qui ne voulait pas communiquer verbalement avec moi et toute l'équipe soignante mais également clown, maitresse ....
Elle ne nous regardait meme pas qu'en on entrait dans la chambre. Répondait à peine à nos questions (mouvement de tête), elle pleurait souvent. sa mère était présente mais elles parlait peu entre elle ce qui n'empéchait pas à ce tte petite fille de toujours vouloir sa maman auprès d'elle.
Un jour avec une IDE et l'interne on l'a questionné sur une photo où il y avait son chien et elle a commencé à pleuré et dire que elle voulait sortir d'ici promener son chien qu'elle en avait marre que ses vacances étaient gachées.
Mon ressentit très difficile par rapport au manque de communication , difficile d'entrer dans la chambre et d'y rester. Sentiment de mal etre et culpibilité en meme temps . je n'arriver pas à parler de al maladie moi même.
Questionnement :
- Quelle est la place de la communication verbale dans la maladie grave ?
- Qu'est ce que la souffrance psychologique ?
- Quelles mécanismes de défenses face à la maladie grave pour les patients et les IDE ?
- Comment faire verbaliser le patient sur sa souffrance morale quand celle ci est difficile à entendre ?
- La souffrance psychologique est difficile à entendre mais l'absence de parole n'est-elle pas plus difficile ?
- La verbalisation de la souffrance influence t-elle ensuite nos soins ?
- Tous les patients ont-ils un besoin de parole ?
Voilà ou j'en suis rendu actuellement je suis perdu pour tout dire je sais pas si vers quoi je me dirige est bon ou non?
Et puis je n'arrive pas à decoller de là !!
donc j'attends s'il vous plait de l'aide pour m'aider à avancer
Resultat DE qui approche
Bon sujet pas évident, mais il faudrais savor de quoi tu veux parler toi. De ta difficulté de parler de la maladie.
Du mutisme de cette petite fille.
De l'utilité de la photo pour délier les langues.
Ou encore la colère de cette peite de fille de devoir rester ici alors qu'elle ne veut pas.
Car pour moi cette petite fille ne communique pas verbalement mais dans ces comportements, elle en dit beaucoup...
Du mutisme de cette petite fille.
De l'utilité de la photo pour délier les langues.
Ou encore la colère de cette peite de fille de devoir rester ici alors qu'elle ne veut pas.
Car pour moi cette petite fille ne communique pas verbalement mais dans ces comportements, elle en dit beaucoup...

Si je t'ai bien compris tu t'interresse au problème du côté du soignant.
Dans ce cas là, tu pourrais formuler:
En quoi est-ce difficile pour une infirmière d'aborder le sujet de la leucémie chez une petite fille qui ne parle pas mais qui manifeste physiquement les signes d'une souffrance psychologique.
Si dans votre IFSI vous débutez le TFE avec une question profane, done la moi car la question de départ se base sur ta question profane.
Dans ce cas là, tu pourrais formuler:
En quoi est-ce difficile pour une infirmière d'aborder le sujet de la leucémie chez une petite fille qui ne parle pas mais qui manifeste physiquement les signes d'une souffrance psychologique.
Si dans votre IFSI vous débutez le TFE avec une question profane, done la moi car la question de départ se base sur ta question profane.
merci beaucoup pour ton aide c'est super sympa
Ta question est vraiment bien et je voit mieux maintenant comment la formuler.
par contre moi je voulais genraliser également au adultes car j'ai pu aussi le voir chez des adultes.
Pour la question profane nous n'avons pas ça pour nous on doit mettre notre situation un questionnement puis la question de depart.
Ta question est vraiment bien et je voit mieux maintenant comment la formuler.
par contre moi je voulais genraliser également au adultes car j'ai pu aussi le voir chez des adultes.
Pour la question profane nous n'avons pas ça pour nous on doit mettre notre situation un questionnement puis la question de depart.
Resultat DE qui approche
Salut, je suis contente d'avoir pu t'aider. Pour nous la question de départ doit se baser sur la situation interpellante, c'est pour cela que je t'ai noté chez une petite fille ou chez un jeune enfant comme tu veu.
Mais si dans ton IFSI vous ne faite pas pareille tu peut tout a fait remplacer par "...chez un patient...".
Bon courage
Mais si dans ton IFSI vous ne faite pas pareille tu peut tout a fait remplacer par "...chez un patient...".
Bon courage