tfe:stress et professionnalisme du soignant=)urgence vitale
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
situation de départ
Champion Charlène
TFE : L’angoisse de l’infirmière dans une situation d’urgence peut elle être un facteur d’erreur ?
- Manque de formation ?
- La rareté de l’urgence ?
- Les conditions de travail ?
- Le travail en solitaire ?
Situations de départ :
Durant mon stage aux serives des urgences j’ai été amené à observer la prise en charge d’un patient qui s’était brulé par un retour de flamme avec de l’alcool à brulé. Le bras droit ainsi qu’une partie de l’abdomen et le dos était brulé au deuxième et troisième degré. L’ IDE présent ce jour là, a commencer à angoissé de l’arrivée du patient, il courait dans tous les sens sortait du matériel en prévision et plus si besoin. Le médecin des urgences prévenu, l’IDE commence à prendre les constantes et seulement après le brule stop. Ensuite lors du pansement, dans les jours suivant, il applique de l’éosine sur les zones brulées, ce qui masque la peau. Le lendemain obligé de décapé la peau à l’aide du curette et de mettre le patient sous Kalinox pendant la durée du soin, nous avons découverts des nécroses en dessous et provoquer des saignements. Cela à ralenti le processus de cicatrisation.
Les erreurs dans le soin était de ne pas appliquer avant toute chose le brule stop et ensuite on n’applique pas d’éosine sur une brulure sa provoque un assèchement, un risque de rétractation de la peau hors la peau doit rester souple et un retard de cicatrisation.
TFE : L’angoisse de l’infirmière dans une situation d’urgence peut elle être un facteur d’erreur ?
- Manque de formation ?
- La rareté de l’urgence ?
- Les conditions de travail ?
- Le travail en solitaire ?
Situations de départ :
Durant mon stage aux serives des urgences j’ai été amené à observer la prise en charge d’un patient qui s’était brulé par un retour de flamme avec de l’alcool à brulé. Le bras droit ainsi qu’une partie de l’abdomen et le dos était brulé au deuxième et troisième degré. L’ IDE présent ce jour là, a commencer à angoissé de l’arrivée du patient, il courait dans tous les sens sortait du matériel en prévision et plus si besoin. Le médecin des urgences prévenu, l’IDE commence à prendre les constantes et seulement après le brule stop. Ensuite lors du pansement, dans les jours suivant, il applique de l’éosine sur les zones brulées, ce qui masque la peau. Le lendemain obligé de décapé la peau à l’aide du curette et de mettre le patient sous Kalinox pendant la durée du soin, nous avons découverts des nécroses en dessous et provoquer des saignements. Cela à ralenti le processus de cicatrisation.
Les erreurs dans le soin était de ne pas appliquer avant toute chose le brule stop et ensuite on n’applique pas d’éosine sur une brulure sa provoque un assèchement, un risque de rétractation de la peau hors la peau doit rester souple et un retard de cicatrisation.
Stage aux urgences : j'adore
- berenice38
- Forcené
- Messages : 284
- Inscription : 11 janv. 2004 19:45
Je travaille en psy depuis l'obtention de mon diplôme il y a 11 mois.
J'ai vécu une situation d'urgence somatique une fois: Cela faisait 2 mois que je bossais, c'était un samedi soir au moment du repas. Je travaillait avec une autre IDE fraichement diplômée elle aussi. Une patiente a fait une crise comitale devant tous les autres patients avec une chute très impressionnante, elle s'est "éclaté la tête sur une table ce qui a provoqué une petite coupure qui à saigné ++++) puis s'est mise à convulser avec relâchement d'urine, mousse aux lèvres... Malgré ma panique, j'ai appelé le médecin de garde et suis allée ensuite chercher notre trousse d'urgence. Le plus difficile pour moi fut de préparer le valium que le médecin nous a demandé pour injecter en intra-rectale: je tremblait, une première ampoule m'a échappée des mains et à sauté en travers de le pièce
Puis maquais des compresses dans la trousse d'urgence, heureusement, nous avions avec nous 2 AS très compétentes qui ont fait de nombreux aller et retour entre le réfectoire et la salle de soin pour aller chercher tout ce qu'on avait besoin... Enfin la crise s'est calmée et la patiente a été transportée aux urgence du CH le plus proche.
Ensuite j'ai pu en reparler avec le médecin car je me sentais très mal car je me suis trouvée très nulle pendant la crise. Celui-ci m'a rassurée ne me disant qu'il trouvait que j'avais assuré et que c'était avec l'expérience que j'allais prendre confiance.
Il est vrai que je redoute toujours les urgences somatiques mais je commence à prendre confiance en moi.
J'ai vécu une situation d'urgence somatique une fois: Cela faisait 2 mois que je bossais, c'était un samedi soir au moment du repas. Je travaillait avec une autre IDE fraichement diplômée elle aussi. Une patiente a fait une crise comitale devant tous les autres patients avec une chute très impressionnante, elle s'est "éclaté la tête sur une table ce qui a provoqué une petite coupure qui à saigné ++++) puis s'est mise à convulser avec relâchement d'urine, mousse aux lèvres... Malgré ma panique, j'ai appelé le médecin de garde et suis allée ensuite chercher notre trousse d'urgence. Le plus difficile pour moi fut de préparer le valium que le médecin nous a demandé pour injecter en intra-rectale: je tremblait, une première ampoule m'a échappée des mains et à sauté en travers de le pièce

Ensuite j'ai pu en reparler avec le médecin car je me sentais très mal car je me suis trouvée très nulle pendant la crise. Celui-ci m'a rassurée ne me disant qu'il trouvait que j'avais assuré et que c'était avec l'expérience que j'allais prendre confiance.
Il est vrai que je redoute toujours les urgences somatiques mais je commence à prendre confiance en moi.
1 an de DE déjà!!!
Que c'est bien la psy!!!!
Que c'est bien la psy!!!!
tef gestion du stress en situation d'urgence dur dur
bjr je fai mon tfe sur la gestion du stress en situation d'urgence ms je n'ai pas bcp de docs si kkl1 peu m'aider et echanger ac moi ca serai cool merci davance et courage a tous
le tfe approche j'ai besoin d'aide
-
- Messages : 7
- Inscription : 26 oct. 2007 20:43
- Localisation : est
tefe: svp aide pour mon titre
bonjour à tous, j'aimerais savoir si quelques personnes ont des idées sur mon titre de tfe le thème est sur :le stress des soignants et l anxiété des familles aux urgences peuvent ils engendrer une mauvaise prise en charge relationnelle
merci de votre aide
merci de votre aide
Dernière modification par ptite fouinette le 05 juin 2008 21:52, modifié 3 fois.
-
- Messages : 7
- Inscription : 26 oct. 2007 20:43
- Localisation : est
J'ai fait mon TFE sur les urgences et je pense que ce qui est primordial par rapport aux famille c'est l'information... Mais il existe une complexité: doit on prioriser le soin ou l'information lorsqu'on est face à une urgence vitale... Jusqu'où peut-on informer, à quel moment peut-on informer ? Avec les urgences tu as de quoi faire...
Concernant mon ouverture j'avais parlé de la mise en place d'un poste IDE d'accueil qui établir un premier "diagnostic" (reconnaitre une urgence vitale d'un petit bobo) afin d'améliorer la prise en charge, informer, rassurer et agir. Car dans certains services d'urgences la personne à l'accueil n'a aucune connaissance sur le point de vue médical (secrétaire)...
Concernant mon ouverture j'avais parlé de la mise en place d'un poste IDE d'accueil qui établir un premier "diagnostic" (reconnaitre une urgence vitale d'un petit bobo) afin d'améliorer la prise en charge, informer, rassurer et agir. Car dans certains services d'urgences la personne à l'accueil n'a aucune connaissance sur le point de vue médical (secrétaire)...
**Obtention du DE le 16/11/2007 - Rouen**
-
- Messages : 7
- Inscription : 26 oct. 2007 20:43
- Localisation : est
Lullaby a écrit :J'ai fait mon TFE sur les urgences et je pense que ce qui est primordial par rapport aux famille c'est l'information... Mais il existe une complexité: doit on prioriser le soin ou l'information lorsqu'on est face à une urgence vitale... Jusqu'où peut-on informer, à quel moment peut-on informer ? Avec les urgences tu as de quoi faire...
Concernant mon ouverture j'avais parlé de la mise en place d'un poste IDE d'accueil qui établir un premier "diagnostic" (reconnaitre une urgence vitale d'un petit bobo) afin d'améliorer la prise en charge, informer, rassurer et agir. Car dans certains services d'urgences la personne à l'accueil n'a aucune connaissance sur le point de vue médical (secrétaire)...
je pense qu il est important dans un 1er temps de s'occuper de l 'urgence vital et ensuite d'informer la famille.effectivement dans beaucoup de service il n'y a pas d'IOA
pour toi quelles sont les difficultés que l ide peut rencontrer par rapport a cette PEC car bien souvent les familles sont anxieuse
as tu des sources de doc ou de site
tfe gestion du stress des soignant
bonjour je voudrais avoir des temoignage, des points de vue de soignat sur mon sujet qui est
comment les ide gerent ils leur stress face à une situation dans un service de soin généraux au regard d'un événement imprévu l'arret cardio respi merci
comment les ide gerent ils leur stress face à une situation dans un service de soin généraux au regard d'un événement imprévu l'arret cardio respi merci
les idées sont les bienvenues!!!!!!!!!!!!!!
en langage plus professionnel et actualisé, je parlerai "d'unités de soins généraux" mais puisque l ifsi a validé cette expression...
dans une unités de soins généraux, comme dant tout autre unité, l'arret cardio respiratoire est toujours possible, ( meme dans la rue) en tant que soignant nous devons nous'y attendre et nous préparér ;
voila pourquoi nous devons connaitre la prise en soins. d'ailleurs c'est pour cela que lnous devons connaitre les gestes, qui appeler, savoir ou est le chariot d'urgence et le devibrillateur....
ainsi cette formation est devenue obligatoire.
Le les jeux de roles, les répétitions ,avec mannequins dans cette urgence
fait que nous maitrisons parfaitement les gestes... un stress en moins
j'ai eu un jour a prendre en charge avec une aux de puer un arret cardio respi d"un nourrisson de 3 mois en attendant l'anesthesiste réanimateur .tout s'est trés bien passé car nous savions que cela pouvait arrivé et nous nous nous etions préparées
car si l inf pense qu'elle stresse sur le risque d'arret cardio, c'est à elle de demander une formation spécifique ( cf code de sante publique concernant le devoir de formation)
l imprévu doit etre prévu...
"pour ne pas stresser : prévoir l'imprévu"
dans une unités de soins généraux, comme dant tout autre unité, l'arret cardio respiratoire est toujours possible, ( meme dans la rue) en tant que soignant nous devons nous'y attendre et nous préparér ;
voila pourquoi nous devons connaitre la prise en soins. d'ailleurs c'est pour cela que lnous devons connaitre les gestes, qui appeler, savoir ou est le chariot d'urgence et le devibrillateur....
ainsi cette formation est devenue obligatoire.
Le les jeux de roles, les répétitions ,avec mannequins dans cette urgence
fait que nous maitrisons parfaitement les gestes... un stress en moins
j'ai eu un jour a prendre en charge avec une aux de puer un arret cardio respi d"un nourrisson de 3 mois en attendant l'anesthesiste réanimateur .tout s'est trés bien passé car nous savions que cela pouvait arrivé et nous nous nous etions préparées
car si l inf pense qu'elle stresse sur le risque d'arret cardio, c'est à elle de demander une formation spécifique ( cf code de sante publique concernant le devoir de formation)
l imprévu doit etre prévu...
"pour ne pas stresser : prévoir l'imprévu"