[Etude Bac STG GRH] Conditions de travail des Inf.Psy
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
-
- Messages : 2
- Inscription : 06 déc. 2007 11:15
[Etude Bac STG GRH] Conditions de travail des Inf.Psy
Bonjour à toutes et à tous,
Etant en Term STG GRH, j'ai une étude à faire à l'oral pour le bac (coeff 5...). L'étude nous donne le choix sur 3thèmes nationaux. Parmis ces thèmes se trouvaient "les conditions de travail". J'ai donc choisi ce thème et mon sujet est donc:
"les pénibilités des conditions de travail des infirmièr(es) en hopital psychiatrique"
Dans ce sujet je souhaite aborder les parties suivante:
-les horaires de travail qui pour certain(e)s sont beaucoup trop longs
-la formation qui n'est pas tout le temps adaptée aux situations en hopital psy
-le contact direct avec le patient
-le meutre des infirmières à Pau.
Serait-ce possible de prendre contact avec quelques un(e)s d'entre vous qui pourraient m'aider à développer mes parties?
Quel parcours faut-il faire pour devenir infimièr(e) en psychiatrie?
Merci merci merci d'avance pour vos réponses.
Etant en Term STG GRH, j'ai une étude à faire à l'oral pour le bac (coeff 5...). L'étude nous donne le choix sur 3thèmes nationaux. Parmis ces thèmes se trouvaient "les conditions de travail". J'ai donc choisi ce thème et mon sujet est donc:
"les pénibilités des conditions de travail des infirmièr(es) en hopital psychiatrique"
Dans ce sujet je souhaite aborder les parties suivante:
-les horaires de travail qui pour certain(e)s sont beaucoup trop longs
-la formation qui n'est pas tout le temps adaptée aux situations en hopital psy
-le contact direct avec le patient
-le meutre des infirmières à Pau.
Serait-ce possible de prendre contact avec quelques un(e)s d'entre vous qui pourraient m'aider à développer mes parties?
Quel parcours faut-il faire pour devenir infimièr(e) en psychiatrie?
Merci merci merci d'avance pour vos réponses.
Dernière modification par ptiteloona le 06 déc. 2007 12:00, modifié 2 fois.
Quel parcours pour être infirmier en psychiatrie? Le même que pour être infirmier en général, mais cela n'a pas été toujours le cas, voici un historique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Infirmier_ ... chiatrique
Donc maintenant, c'est D.E infirmier tout simplement.
Les horaires de travail sont comparables à ceux de n'importe quel infirmier. Notre durée de travail hebdomadaire est de 35h, comme tout le monde, le problème se joue peut être plus sur la pénibilité de ces horaires.
La formation s'adapte au fûr et à mesure, avec le plan santé mentale qui a instauré le tutorat, on nous reconnait une spécificité après nous avoir retiré une spécialité il y a 10 ans (et après de nombreux carnages, effectivement).
- Pour le contact avec le patient, c'est d'ailleurs tout ça qui a disparu de l'enseignement, pas la théorie, mais le "la théorie et moi comme relais de cette théorie".
- L'histoire de Pau, elle est trop médiatisée, on veut que cela serve d'exemple, mais ce n'en est point un, c'est un drame, exeptionnel, tout ce qu'il y a de plus navrant, mais cela ne reflète pas la psychiatrie actuelle. Par contre, les réactions que cela a entrainé reflète la vision de la société sur la psychiatrie. On nous demande de soigner nos malades, mais quand on déclare qu'ils ont besoin de soins, on nous dit qu'ils doivent faire de la prison...et le psychiatre est toujours responsable. Je n'ai encore jamais vu une société reprocher aux cardiologues le nombre d'infarctus.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Infirmier_ ... chiatrique
Donc maintenant, c'est D.E infirmier tout simplement.
Les horaires de travail sont comparables à ceux de n'importe quel infirmier. Notre durée de travail hebdomadaire est de 35h, comme tout le monde, le problème se joue peut être plus sur la pénibilité de ces horaires.
La formation s'adapte au fûr et à mesure, avec le plan santé mentale qui a instauré le tutorat, on nous reconnait une spécificité après nous avoir retiré une spécialité il y a 10 ans (et après de nombreux carnages, effectivement).
- Pour le contact avec le patient, c'est d'ailleurs tout ça qui a disparu de l'enseignement, pas la théorie, mais le "la théorie et moi comme relais de cette théorie".
- L'histoire de Pau, elle est trop médiatisée, on veut que cela serve d'exemple, mais ce n'en est point un, c'est un drame, exeptionnel, tout ce qu'il y a de plus navrant, mais cela ne reflète pas la psychiatrie actuelle. Par contre, les réactions que cela a entrainé reflète la vision de la société sur la psychiatrie. On nous demande de soigner nos malades, mais quand on déclare qu'ils ont besoin de soins, on nous dit qu'ils doivent faire de la prison...et le psychiatre est toujours responsable. Je n'ai encore jamais vu une société reprocher aux cardiologues le nombre d'infarctus.