Ordre National Infirmier : les candidats aux éléctions
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - ONI
- SNPI syndicat infirmier
- Insatiable
- Messages : 532
- Inscription : 29 janv. 2006 03:00
- Contact :
alise a écrit :Vu à quoi est censé servir l'adeli, je ne vois pas en quoi je ne pourrais pas être défendue en cas de procès ou enfoncée ou lâchée par ma direction du seul fait que je ne serais pas inscrite à ce truc.
Vous pourrez bien entendu être défendue par un avocat, et votre direction décidera ce qu'elle voudra.
C'est votre RCP PJ et l'assurance de votre établissement qui pourront utiliser l'argument juridique pour ne pas vous couvrir.
- SNPI syndicat infirmier
- Insatiable
- Messages : 532
- Inscription : 29 janv. 2006 03:00
- Contact :
alise a écrit : quant à surveiller la démographie infirmière, il suffit d'aller sur le site de l'anpe et de regarder dans quels départements il y a le plus de postes à pourvoir ! Non ?)
Non, car il faut trois ans pour former une IDE, donc faire de la GPEC gestion prévisionnelle des emplois et compétences.
Non, car les ESI formés dans un département peuvent aller exercer dans un autre département (exemple en Ile de France, où 40 % des nouveaux diplômés prennent leur premier poste dans d'autres régions).
Il faut surtout une volonté politique et des moyens.
Mais qu'est ce que vous croyez?
Que les gouvernements successifs ont mal fait leurs calculs?
Qu'ils ne disposent pas de toutes les analyses possibles et imaginables? Que la situation démographique est une lamentable erreur?
Mais mesdames et messieurs arrétez TF1 et dites vous que tout est calculé, planifié, prévu et surtout VOULU!
La situation actuelle de pénurie offre un boulevard aux entreprises privées pour racheter à moindre prix les hopitaux. Bah bien sur, ils sont tellement mauvais dans leur gestion qu'il faut tout privatiser!!!
Mais si la santé n'était pas rentable pourquoi y aurait il autant denreprises du secteur de l'assurance se pressent autour du cadavre tiède?
Mais qu'est ce que vous croyez?
Que les gouvernements successifs ont mal fait leurs calculs?
Qu'ils ne disposent pas de toutes les analyses possibles et imaginables? Que la situation démographique est une lamentable erreur?



Mais mesdames et messieurs arrétez TF1 et dites vous que tout est calculé, planifié, prévu et surtout VOULU!
La situation actuelle de pénurie offre un boulevard aux entreprises privées pour racheter à moindre prix les hopitaux. Bah bien sur, ils sont tellement mauvais dans leur gestion qu'il faut tout privatiser!!!
Mais si la santé n'était pas rentable pourquoi y aurait il autant denreprises du secteur de l'assurance se pressent autour du cadavre tiède?
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
- SNPI syndicat infirmier
- Insatiable
- Messages : 532
- Inscription : 29 janv. 2006 03:00
- Contact :
Bien entendu que la pénurie a été organisée par le gouvernement afin de pouvoir fermer des lits (100.000 depuis 1992).
Nous sommes d'accord sur le diagnostic, mais pas sur le traitement. Nous considérons que l'ordre va pouvoir fixer les quotas en fonction des besoins en IDE.
C'est ce qui se fait en Espagne : il n'y a pas trop d'IDE en fonction des besoins, mais pas assez de postes budgétés dans les établissements. Soit, du coup certaines IDE vont travailler en France, mais au moins leur gouvernement ne peut se réfugier derrière une pénurie artificiellement créee.
Nous sommes d'accord sur le diagnostic, mais pas sur le traitement. Nous considérons que l'ordre va pouvoir fixer les quotas en fonction des besoins en IDE.
C'est ce qui se fait en Espagne : il n'y a pas trop d'IDE en fonction des besoins, mais pas assez de postes budgétés dans les établissements. Soit, du coup certaines IDE vont travailler en France, mais au moins leur gouvernement ne peut se réfugier derrière une pénurie artificiellement créee.
-
- Messages : 10
- Inscription : 26 mars 2008 10:28
Re: Profession de foi
Anthony Arfib a écrit :Bonjour.
ARFIB Anthony
Département : 59
Date de naissance : 19/06/1979
(Apparement nous serions 2 candidats avec le même prénom et le même nom, la DDASS doit avoir prévu cette éventualité.
La date de naissance est donc ici importante.)
Chers confrères, chères consoeurs,
Je m’appelle Anthony Arfib. Je suis infirmier au centre hospitalier régional de Lille.
Au moment où je soumets ma candidature à vos suffrages, je voudrais vous dire à quel point la création de l’Ordre National Infirmier est une chance pour notre profession. Rappelons que l’ordre concerne 480 000 professionnels et qu’il aura pour mission d’élaborer un code de déontologie mais surtout de défendre les intérêts des infirmiers et des infirmières en étant l’interlocuteur des pouvoirs publics. Le Haut Comité des Profession paramédicales doit nous laisser légitimement réfléchir en professionnels autonomes. Il est temps que les décisions qui nous concernent soient prises par notre organisation ordinale et plus par des personnes qui se donnent le droit de décider pour les membres d’une profession que certains ne connaissent même pas, en nous reléguant au niveau de subalterne incapable de raisonner par eux même. Assez de mépris.
L’ordre National Infirmier sera donc ce que nous en ferons, ce que vous en ferez.
Notre ordre doit pouvoir donner sa position sur l’organisation générale des soins infirmiers, développer la recherche en soins infirmiers (pilier d’une vraie reconnaissance universitaire), participer à l’évaluation de nos pratiques professionnelles et à la politique d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Il doit pouvoir participer à l’élaboration des projets d’établissement et à l’organisation interne de tout établissement de santé. Nous devons avoir un rôle reconnu et légitimé sur tous les sujets de santé publique auxquels la profession infirmière se doit de contribuer activement. L’ordre infirmier, fort du nombre des personnes qui le composent, doit pouvoir fonctionner avec une cotisation modique (20 euros).
Nous devons défendre la qualité des soins, pouvoir répondre aux besoins de la population. Nous sommes une profession de soignant. Nos valeurs nous interdisent de laisser des impératifs économiques mettre en danger nos patients en nous surexploitant et en ne nous donnant pas les moyens d’être efficace.
Nous avons tous constaté que les infirmiers et les infirmières n’en peuvent plus. La situation se dégrade chaque jour. La charge de travaille ne cesse d’augmenter alors que nos salaires et notre reconnaissance professionnelle sont mis de coté. Nous ne sommes pas reconnus à la hauteur de nos compétences et de nos responsabilités. Cela doit changer. L’Ordre infirmier permettra d’unir la profession derrière des valeurs communes que nous allons enfin pouvoir défendre.
Nous ne devons pas laisser brader notre profession. Nous devons continuer à nous battre pour que nos responsabilités et nos compétences soient reconnues à leur juste valeur sur le plan professionnel et salarial.
Une réflexion sur le transfert de compétence est actuellement en place. Elle doit s’accompagner d’une réelle reconnaissance. Le professionnel infirmier a, depuis cette année, obtenu un droit de prescription limité et la consultation infirmière se développe. Nos responsabilités ont donc augmenté. Notre salaire lui ne suit même pas la courbe de l’inflation.
Nous travaillons la nuit, nous assurons des horaires postés, des jours fériés, nous ne sommes pas avares d’heures supplémentaires pour maintenir la qualité des soins d’un pays qui ne nous reconnaît pas à notre juste valeur. Notre quotidien professionnel est difficile. Notre abnégation et notre dévouement sont dévoyés par l'institution. Nous pouvons améliorer nos conditions de travail et de vie si nous nous unissons pour nous faire reconnaître à la hauteur de nos responsabilités et de nos compétences.
La profession infirmière doit s’organiser pour entrer dans le système licence master doctorat. Nous avons de droit notre place à l’université. Comment avons-nous pu accepter de laisser nos trois ans et demi d’études reconnus seulement comme deux années d’études depuis si longtemps ? Comme dans presque tous les autres pays, les infirmiers et les infirmières doivent avoir accès aux études supérieures universitaires en soins infirmiers. Le diplôme d’infirmier doit donner droit au grade de licence 3, celui de cadre de santé, d’infirmière puéricultrice et d’infirmière de bloc opératoire à celui de master 1, et l’infirmière anesthésiste doit avoir accès au master 2. Une vraie réflexion sur la transformation de la profession d’infirmière anesthésiste en profession médicale à responsabilité limité (comme les sages-femmes) doit avoir lieu. Nous devons refuser la validation des acquis d’expérience qui doit obligatoirement s’accompagner d’un vrai apport théorique indispensable. Nous ne pouvons pas laisser brader nos diplômes si nous voulons une vraie reconnaissance. Il faut développer la recherche en soins infirmiers. C’est par la que notre reconnaissance se fera.
Cette reconnaissance universitaire doit s’accompagner évidement d’une revalorisation salariale et professionnelle.
Certains pensent que la profession infirmière ne peut pas se mobiliser. Certains pensent que nous avons peu changé et que nous avons gardé de nos ancêtres religieuses, un manque d’intérêt pour nous même et notre condition. Je pense surtout que ceci est lié à une non reconnaissance chronique. Cela doit changer. L’ordre permettra d’assurer la défense et l’honneur de notre profession. Vous vous plaignez d’un manque de cohésion de notre profession, vous vous plaignez de ne pas être entendu, vous vous plaignez de ne pas pouvoir vous exprimer ? Tout cela va changer !
L’ordre infirmier nous donne la possibilité de défendre nos valeurs.
Voilà ce que je vous propose de réaliser ensemble.
Voilà le sens du combat que je suis prêt à conduire avec vous.
Anthony ARFIB
Pour ceux qui voudrait voter pour moi, je vous rappelle que mon nom apparait deux fois sur la liste et qu'il faut bien choisir le numéro 2, sur lequel on peut lire ma profession de foi via le lien.
Merci.
- YO/YO
- Modérateur
- Messages : 5165
- Inscription : 03 avr. 2006 19:46
- Localisation : Alone Land
- Contact :
Gengis a écrit ::roll: Tous les sujets dérivent, on ne sait plus de quoi parler sur quoi...
Il me semblait qu'ici on parlait des candidats
Tout à fait !
Alors recentrez sur le sujet de départ : les candidats
et svp, évitez les multi postages publicitaires sur tous les topics sur l'ordre
merci de votre compréhension

L'urinal : parce que vous le vallez bien !
Sans Haldol , la fête est plus folle !
Sans Haldol , la fête est plus folle !
Re: Profession de foi
Anthony Arfib a écrit :Anthony Arfib a écrit :Bonjour.
ARFIB Anthony
Département : 59
Date de naissance : 19/06/1979
(Apparement nous serions 2 candidats avec le même prénom et le même nom, la DDASS doit avoir prévu cette éventualité.
La date de naissance est donc ici importante.)
Chers confrères, chères consoeurs,
Je m’appelle Anthony Arfib. Je suis infirmier au centre hospitalier régional de Lille.
Au moment où je soumets ma candidature à vos suffrages, je voudrais vous dire à quel point la création de l’Ordre National Infirmier est une chance pour notre profession. Rappelons que l’ordre concerne 480 000 professionnels et qu’il aura pour mission d’élaborer un code de déontologie mais surtout de défendre les intérêts des infirmiers et des infirmières en étant l’interlocuteur des pouvoirs publics. Le Haut Comité des Profession paramédicales doit nous laisser légitimement réfléchir en professionnels autonomes. Il est temps que les décisions qui nous concernent soient prises par notre organisation ordinale et plus par des personnes qui se donnent le droit de décider pour les membres d’une profession que certains ne connaissent même pas, en nous reléguant au niveau de subalterne incapable de raisonner par eux même. Assez de mépris.
L’ordre National Infirmier sera donc ce que nous en ferons, ce que vous en ferez.
Notre ordre doit pouvoir donner sa position sur l’organisation générale des soins infirmiers, développer la recherche en soins infirmiers (pilier d’une vraie reconnaissance universitaire), participer à l’évaluation de nos pratiques professionnelles et à la politique d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Il doit pouvoir participer à l’élaboration des projets d’établissement et à l’organisation interne de tout établissement de santé. Nous devons avoir un rôle reconnu et légitimé sur tous les sujets de santé publique auxquels la profession infirmière se doit de contribuer activement. L’ordre infirmier, fort du nombre des personnes qui le composent, doit pouvoir fonctionner avec une cotisation modique (20 euros).
Nous devons défendre la qualité des soins, pouvoir répondre aux besoins de la population. Nous sommes une profession de soignant. Nos valeurs nous interdisent de laisser des impératifs économiques mettre en danger nos patients en nous surexploitant et en ne nous donnant pas les moyens d’être efficace.
Nous avons tous constaté que les infirmiers et les infirmières n’en peuvent plus. La situation se dégrade chaque jour. La charge de travaille ne cesse d’augmenter alors que nos salaires et notre reconnaissance professionnelle sont mis de coté. Nous ne sommes pas reconnus à la hauteur de nos compétences et de nos responsabilités. Cela doit changer. L’Ordre infirmier permettra d’unir la profession derrière des valeurs communes que nous allons enfin pouvoir défendre.
Nous ne devons pas laisser brader notre profession. Nous devons continuer à nous battre pour que nos responsabilités et nos compétences soient reconnues à leur juste valeur sur le plan professionnel et salarial.
Une réflexion sur le transfert de compétence est actuellement en place. Elle doit s’accompagner d’une réelle reconnaissance. Le professionnel infirmier a, depuis cette année, obtenu un droit de prescription limité et la consultation infirmière se développe. Nos responsabilités ont donc augmenté. Notre salaire lui ne suit même pas la courbe de l’inflation.
Nous travaillons la nuit, nous assurons des horaires postés, des jours fériés, nous ne sommes pas avares d’heures supplémentaires pour maintenir la qualité des soins d’un pays qui ne nous reconnaît pas à notre juste valeur. Notre quotidien professionnel est difficile. Notre abnégation et notre dévouement sont dévoyés par l'institution. Nous pouvons améliorer nos conditions de travail et de vie si nous nous unissons pour nous faire reconnaître à la hauteur de nos responsabilités et de nos compétences.
La profession infirmière doit s’organiser pour entrer dans le système licence master doctorat. Nous avons de droit notre place à l’université. Comment avons-nous pu accepter de laisser nos trois ans et demi d’études reconnus seulement comme deux années d’études depuis si longtemps ? Comme dans presque tous les autres pays, les infirmiers et les infirmières doivent avoir accès aux études supérieures universitaires en soins infirmiers. Le diplôme d’infirmier doit donner droit au grade de licence 3, celui de cadre de santé, d’infirmière puéricultrice et d’infirmière de bloc opératoire à celui de master 1, et l’infirmière anesthésiste doit avoir accès au master 2. Une vraie réflexion sur la transformation de la profession d’infirmière anesthésiste en profession médicale à responsabilité limité (comme les sages-femmes) doit avoir lieu. Nous devons refuser la validation des acquis d’expérience qui doit obligatoirement s’accompagner d’un vrai apport théorique indispensable. Nous ne pouvons pas laisser brader nos diplômes si nous voulons une vraie reconnaissance. Il faut développer la recherche en soins infirmiers. C’est par la que notre reconnaissance se fera.
Cette reconnaissance universitaire doit s’accompagner évidement d’une revalorisation salariale et professionnelle.
Certains pensent que la profession infirmière ne peut pas se mobiliser. Certains pensent que nous avons peu changé et que nous avons gardé de nos ancêtres religieuses, un manque d’intérêt pour nous même et notre condition. Je pense surtout que ceci est lié à une non reconnaissance chronique. Cela doit changer. L’ordre permettra d’assurer la défense et l’honneur de notre profession. Vous vous plaignez d’un manque de cohésion de notre profession, vous vous plaignez de ne pas être entendu, vous vous plaignez de ne pas pouvoir vous exprimer ? Tout cela va changer !
L’ordre infirmier nous donne la possibilité de défendre nos valeurs.
Voilà ce que je vous propose de réaliser ensemble.
Voilà le sens du combat que je suis prêt à conduire avec vous.
Anthony ARFIB
Pour ceux qui voudrait voter pour moi, je vous rappelle que mon nom apparait deux fois sur la liste et qu'il faut bien choisir le numéro 2, sur lequel on peut lire ma profession de foi via le lien.
Merci.
C'est fait !

-
- Fidèle
- Messages : 181
- Inscription : 02 déc. 2007 23:12
- Localisation : paris
Gengis a écrit :Dans certains département, certains collèges, une seule candidature... comment ça va se passer pour les réunions de travail ?
La loi devant être appliqué l'échelon départemental ne peut fonctionner. En effet la loi stipule que:
Aucune des trois catégories de représentants susmentionnées ne peut cependant détenir à elle seule la majorité absolue des sièges au sein du conseil départemental.
Donc...
Si on est pointilleux et nous le serons, logiquement un tel conseil ne peut voter pour les élections régionales. C'est un échelon "incapable".
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
Je m'interroge sur une chose:
Je vois des candidats parler des régionales et des nationales.
On peut donc se présenter aux régionales et nationales que:
Si on est élu départemental ?
Librement?
Bien sur, une élection au conseil National empêche tout exercice dans les collèges départementaux et régionaux.
Donc: est ce que le candidat qui est élu départemental/régional doit démissionner AVANT de se présenter ou APRES avoir été élu au collège National ?
Je m'interroge sur ces 2 points car en voyant la liste des candidats, et ceux classés comme "poids lourds" et déja candidats aux départementales, j'ai du mal à voir leur stratégie.
A moins qu'ils soient persuadés qu'il faille être élu départemental pour aller plus "haut".
Je vois des candidats parler des régionales et des nationales.
On peut donc se présenter aux régionales et nationales que:
Si on est élu départemental ?
Librement?
Bien sur, une élection au conseil National empêche tout exercice dans les collèges départementaux et régionaux.
Donc: est ce que le candidat qui est élu départemental/régional doit démissionner AVANT de se présenter ou APRES avoir été élu au collège National ?
Je m'interroge sur ces 2 points car en voyant la liste des candidats, et ceux classés comme "poids lourds" et déja candidats aux départementales, j'ai du mal à voir leur stratégie.
A moins qu'ils soient persuadés qu'il faille être élu départemental pour aller plus "haut".
- SNPI syndicat infirmier
- Insatiable
- Messages : 532
- Inscription : 29 janv. 2006 03:00
- Contact :
Pour le régional et le national :
Là encore, il faut trois années d’inscription sur le répertoire, mais il n’est pas nécessaire d’être élu en départemental pour se présenter au régional ou au national.
Par contre, comme pour le Sénat, les conseillers régionaux sont élus par les « grands électeurs », c’est-à-dire les conseillers départementaux de la région, le 25 juillet 2008. De même, seuls les conseillers régionaux éliront les membres du conseil national le 25 novembre 2008.
Le Conseil national de l’ordre des infirmiers comprendra cinquante-deux membres, dont douze représentant les infirmiers exerçant à titre libéral, seize représentant les infirmiers salariés du secteur privé et vingt-quatre représentant les infirmiers relevant du secteur public, et autant de suppléants.
Là encore, il faut trois années d’inscription sur le répertoire, mais il n’est pas nécessaire d’être élu en départemental pour se présenter au régional ou au national.
Par contre, comme pour le Sénat, les conseillers régionaux sont élus par les « grands électeurs », c’est-à-dire les conseillers départementaux de la région, le 25 juillet 2008. De même, seuls les conseillers régionaux éliront les membres du conseil national le 25 novembre 2008.
Le Conseil national de l’ordre des infirmiers comprendra cinquante-deux membres, dont douze représentant les infirmiers exerçant à titre libéral, seize représentant les infirmiers salariés du secteur privé et vingt-quatre représentant les infirmiers relevant du secteur public, et autant de suppléants.
A lire la loi, je pense que l'on peut cumuler des postes au trois échelons. Il n'y a rien qui s'y oppose.
Par contre, j'avoue je n'avais pas pensé à la possibilité de personnes extérieures aux élections départementales se présentant juste au national. C'est assez machiavélique.
Par contre, j'avoue je n'avais pas pensé à la possibilité de personnes extérieures aux élections départementales se présentant juste au national. C'est assez machiavélique.

"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche