L'Ordre national Infirmier : Qu'en est-il ?
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - ONI
thierry84 a écrit :
mais c'est un fait que maintenant, le truc vous échappe, la résistance s'organise, le boycott des cotisations se précise, des élus l'ont été car ils étaient ouvertement anti ordre, d'ou affolement général: on ose proposer les retenues sur salaires, faut t'il que vous ayez peur que le magot vous échappe.
Qu'il y ait des élus anti ONI, ça ne me gène absolument pas. Ce qui me gène, par contre, c'est que, contrairement à ce que tu dis, beaucoup l'ont été sans l'avoir dit clairement dans leur PDF (quand il y en avait une...).
J'ai hâte de lire les PDF des candidats au niveau régional afin de voir s'ils auront un peu plus le courage d'afficher clairement leur opinion.
Sinon, au sujet du délire sur le "magot", dois-je rappeler que, contrairement aux syndicats (merci Waldeck Rouseau), l'ONI aura l'obligation de publier des comptes certifiés ?

Sur la cotisation obligatoire, vous "omettez" de rappeler que les gros syndicats, dont la CGT, profitent de subventions publiques (et donc, indirectement de mon argent). Tous les français y participent donc, sans qu'ils aient leur avis à donner, et sans même pouvoir bénéficier de l'aide d'un syndicat sauf à payer en plus une cotisation...
En cela, payer une cotisation obligatoire à l'ONI, et y être de fait adhérent, ne me parait pas plus plus scandaleux.
J'ai des questions à toutes vos réponses (W. Allen)
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cb64800 a écrit :thierry84 a écrit :
mais c'est un fait que maintenant, le truc vous échappe, la résistance s'organise, le boycott des cotisations se précise, des élus l'ont été car ils étaient ouvertement anti ordre, d'ou affolement général: on ose proposer les retenues sur salaires, faut t'il que vous ayez peur que le magot vous échappe.
Qu'il y ait des élus anti ONI, ça ne me gène absolument pas. Ce qui me gène, par contre, c'est que, contrairement à ce que tu dis, beaucoup l'ont été sans l'avoir dit clairement dans leur PDF (quand il y en avait une...).
J'ai hâte de lire les PDF des candidats au niveau régional afin de voir s'ils auront un peu plus le courage d'afficher clairement leur opinion.
Sinon, au sujet du délire sur le "magot", dois-je rappeler que, contrairement aux syndicats (merci Waldeck Rouseau), l'ONI aura l'obligation de publier des comptes certifiés ?
Sur la cotisation obligatoire, vous "omettez" de rappeler que les gros syndicats, dont la CGT, profitent de subventions publiques (et donc, indirectement de mon argent). Tous les français y participent donc, sans qu'ils aient leur avis à donner, et sans même pouvoir bénéficier de l'aide d'un syndicat sauf à payer en plus une cotisation...
En cela, payer une cotisation obligatoire à l'ONI, et y être de fait adhérent, ne me parait pas plus plus scandaleux.
les grosses entreprises du cac 40 bénéficient aussi massivement de l'argent public, argent qui manque ainsi à la sécu ( car exonération de charges sociales ) et par ricochet à nous.
si un peu d'argent va aux syndicats, est ce que ça te gene.
historiquement, fait la balance entre ce que t'ont apporté les syndicats en matiere de progrés social, et ce que t'a apporté le patronat.
là, on peut discuter, si tu veux.
le financement des syndicats est certainement perfectible, car en partie occulte, mais il n'est en rien illegal.
pour en revenir à l'ordre, je rapelle si besoins en était qu'on ne fait pas le bonheur des gens malgrés eux
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thierry84 a écrit :le financement des syndicats est certainement perfectible, car en partie occulte, mais il n'est en rien illegal.
pour en revenir à l'ordre, je rapelle si besoins en était qu'on ne fait pas le bonheur des gens malgrés eux
Est-ce que vous vous rendez compte que vos arguments peuvent tout à fait s'appliquer à l'oni ?
Le financement de l'ordre est sûrement perfectible, mais il n'a rien d'illégal.
Pour en revenir aux syndicats, je rappelle si besoin en était qu'on ne fait pas le bonheur des gens malgré eux...
Eh oui, tout le monde paye pour les syndicats. Donc nous payons déjà pour travailler. Pour l'oni, nous aurons la possibilité d'examiner les comptes.
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Leopold Anasthase a écrit :thierry84 a écrit :le financement des syndicats est certainement perfectible, car en partie occulte, mais il n'est en rien illegal.
pour en revenir à l'ordre, je rapelle si besoins en était qu'on ne fait pas le bonheur des gens malgrés eux
Est-ce que vous vous rendez compte que vos arguments peuvent tout à fait s'appliquer à l'oni ?
Le financement de l'ordre est sûrement perfectible, mais il n'a rien d'illégal.
Pour en revenir aux syndicats, je rappelle si besoin en était qu'on ne fait pas le bonheur des gens malgré eux...
Eh oui, tout le monde paye pour les syndicats. Donc nous payons déjà pour travailler. Pour l'oni, nous aurons la possibilité d'examiner les comptes.
fallacieux tes arguments.
avec les syndicats, pas de double peine.
pas d'interdiction d'exercer.
un peu facile comme oubli.
et bien sur, tu ne dis rien des avancées sociales obtenues, que l'on nous rabote, et pour lesquelles l'ordre ne fera rien
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Cathy75012 a écrit :Cathy75012 a écrit :payje a écrit :Dans le 57 un forum ainsi qu'un blog sont en places
Cool.
C'est quoi ton blog ?
Peux tu donner le lien ?
Allo ? On demande le 57 !
Dans le 57, votre blog est "top secret" lui aussi ?
Impossible de l'atteindre par google...
Dernière modification par Cathy75012 le 24 mai 2008 21:46, modifié 1 fois.
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Le premier Conseil Départemental de l’Ordre des Infirmiers est né en Charente Maritime
Fabice BRIVADY, IDE du CH de Rochefort a été élu Président à l’unanimité. Le Conseil Départemental a adopté une motion demandant au conseil national que la cotisation ordinale ne soit pas supérieure à 30 euros.
La réunion a lieu le 23 mai 2008 dans les locaux de la DDASS à La Rochelle. Elle était présidée par JOUBERT Sylvette, doyenne d’age de l’assemblée.
La réunion à débuté à 14h30 par la présentation de l’ordre du jour :
Présentation des élus
Election du président
Election du bureau
Designation par tirage au sort des membres sortants dans deux ans
Election de la commission de conciliation
Déroulement des élections régionales
Organisation de l’ordre départemental (horaires, rythme réunions ...)
Questions diverses
Election du Bureau du Conseil Départemental
Ont été élus au Bureau :
Président : BRIVADY Fabrice (public)
Vice président : QUILLY Jean Michel (privé)
Trésorière : SENARD PRINCE Béatrice (libéral)
Secrétaire Général : BODIN Christophe (public)
Secrétaire général adjoint : BRION Stéphane (public)
Commission de Conciliation
La commission de conciliation doit comporter au minimum 3 membres. Les élus décident d’attribuer 4 sièges à cette commission et autant de suppléants.
Les élus titulaires a la commission de conciliation sont :
QUILLY Jean Michel (privé)
SAUNIER Béatrice (libérale)
OLLIVIER Alain (libéral)
FOUGOU Vincent (public)
Suppléants :
JULIE Marie Christine (public)
IMBERDIS Muriel (libérale)
PORCAR Guy (public)
JOUBERT Sylvette (public)
Motion adoptée à l’unanimité :
Nous, conseillers départementaux de Charente Maritime, exprimons, par le vote de cette motion, notre engagement a vouloir garantir une cotisation ordinale d’un montant raisonnable pour l’ensemble des infirmiers, tout en garantissant l’indépendance et l’autonomie de l’ordre. Nous demandons au conseil national que cette cotisation ne soit pas supérieure à 30 euros.
Source :
http://www.syndicat-infirmier.com/artic ... rticle=580
Fabice BRIVADY, IDE du CH de Rochefort a été élu Président à l’unanimité. Le Conseil Départemental a adopté une motion demandant au conseil national que la cotisation ordinale ne soit pas supérieure à 30 euros.
La réunion a lieu le 23 mai 2008 dans les locaux de la DDASS à La Rochelle. Elle était présidée par JOUBERT Sylvette, doyenne d’age de l’assemblée.
La réunion à débuté à 14h30 par la présentation de l’ordre du jour :
Présentation des élus
Election du président
Election du bureau
Designation par tirage au sort des membres sortants dans deux ans
Election de la commission de conciliation
Déroulement des élections régionales
Organisation de l’ordre départemental (horaires, rythme réunions ...)
Questions diverses
Election du Bureau du Conseil Départemental
Ont été élus au Bureau :
Président : BRIVADY Fabrice (public)
Vice président : QUILLY Jean Michel (privé)
Trésorière : SENARD PRINCE Béatrice (libéral)
Secrétaire Général : BODIN Christophe (public)
Secrétaire général adjoint : BRION Stéphane (public)
Commission de Conciliation
La commission de conciliation doit comporter au minimum 3 membres. Les élus décident d’attribuer 4 sièges à cette commission et autant de suppléants.
Les élus titulaires a la commission de conciliation sont :
QUILLY Jean Michel (privé)
SAUNIER Béatrice (libérale)
OLLIVIER Alain (libéral)
FOUGOU Vincent (public)
Suppléants :
JULIE Marie Christine (public)
IMBERDIS Muriel (libérale)
PORCAR Guy (public)
JOUBERT Sylvette (public)
Motion adoptée à l’unanimité :
Nous, conseillers départementaux de Charente Maritime, exprimons, par le vote de cette motion, notre engagement a vouloir garantir une cotisation ordinale d’un montant raisonnable pour l’ensemble des infirmiers, tout en garantissant l’indépendance et l’autonomie de l’ordre. Nous demandons au conseil national que cette cotisation ne soit pas supérieure à 30 euros.
Source :
http://www.syndicat-infirmier.com/artic ... rticle=580
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SNPI syndicat infirmier a écrit :Le premier Conseil Départemental de l’Ordre des Infirmiers est né en Charente Maritime
Fabice BRIVADY, IDE du CH de Rochefort a été élu Président à l’unanimité. Le Conseil Départemental a adopté une motion demandant au conseil national que la cotisation ordinale ne soit pas supérieure à 30 euros.
ET responsable au SNPI.
Bravo encore un peu de pouvoir de gagné.
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Vous changez de thème pour noyer le poisson. Il s'agissait de financement. Mais je vous réponds quand même.
La double peine est un argument bidon. Dans le public, pas de double peine, puisque les conseils de discipline restent en place. Dans le privé et le libéral, les conseils de discipline de l'oni remplacent les conseils de discipline des entreprises et les jugements rendus par l'ordre des médecins, donc pas de double peine.
Avec l'oni, c'est l'assurance d'être jugé par ses pairs, et pas par un conseil de discipline composé de représentants de la direction (pas tous infirmiers) et des représentants syndicaux (pas tous infirmiers).
Une interdiction d'exercer peut être salutaire, en empêchant d'exercer des personnes qui ne respectent pas la déontologie (concurence déloyale, arnaque des patients, prosélitisme...).
Il est difficile de reprocher à l'oni de ne pas avoir fait ceci ou cela alors que l'oni n'a pas encore commencé ses actions.
Et ça ne change rien au fait que l'oni et les syndicats n'ont pas le même rôle : l'oni n'empêche en rien le rôle des syndicats et les avancées sociales.
thierry84 a écrit :avec les syndicats, pas de double peine.
La double peine est un argument bidon. Dans le public, pas de double peine, puisque les conseils de discipline restent en place. Dans le privé et le libéral, les conseils de discipline de l'oni remplacent les conseils de discipline des entreprises et les jugements rendus par l'ordre des médecins, donc pas de double peine.
Avec l'oni, c'est l'assurance d'être jugé par ses pairs, et pas par un conseil de discipline composé de représentants de la direction (pas tous infirmiers) et des représentants syndicaux (pas tous infirmiers).
thierry84 a écrit :pas d'interdiction d'exercer.
Une interdiction d'exercer peut être salutaire, en empêchant d'exercer des personnes qui ne respectent pas la déontologie (concurence déloyale, arnaque des patients, prosélitisme...).
thierry84 a écrit :et bien sur, tu ne dis rien des avancées sociales obtenues, que l'on nous rabote, et pour lesquelles l'ordre ne fera rien
Il est difficile de reprocher à l'oni de ne pas avoir fait ceci ou cela alors que l'oni n'a pas encore commencé ses actions.
Et ça ne change rien au fait que l'oni et les syndicats n'ont pas le même rôle : l'oni n'empêche en rien le rôle des syndicats et les avancées sociales.
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Oui très heureux de voir que le SNPI récupère toute les miettes de pouvoir qu'il peut. Et tout cela en "cachette". Bien sur, on dénonce les anti ordres syndiqués élus, mais le SNPI (et la CNI) se sont bien gardés d'annoncer la couleur.
Et encore une fois, comment ferez vous pour assumer votre position pro ordres lorsque le SNPI fusionnera avec l'UNSA qui elle est anti ordre? Au point que l'UNSA appele au boycott de la cotisation et de l'adhésion.
Choix et conséquences...
Et encore une fois, comment ferez vous pour assumer votre position pro ordres lorsque le SNPI fusionnera avec l'UNSA qui elle est anti ordre? Au point que l'UNSA appele au boycott de la cotisation et de l'adhésion.
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Leopold Anasthase a écrit :Vous changez de thème pour noyer le poisson. Il s'agissait de financement. Mais je vous réponds quand même.thierry84 a écrit :avec les syndicats, pas de double peine.
La double peine est un argument bidon. Dans le public, pas de double peine, puisque les conseils de discipline restent en place. Dans le privé et le libéral, les conseils de discipline de l'oni remplacent les conseils de discipline des entreprises et les jugements rendus par l'ordre des médecins, donc pas de double peine.
Avec l'oni, c'est l'assurance d'être jugé par ses pairs, et pas par un conseil de discipline composé de représentants de la direction (pas tous infirmiers) et des représentants syndicaux (pas tous infirmiers).thierry84 a écrit :pas d'interdiction d'exercer.
Une interdiction d'exercer peut être salutaire, en empêchant d'exercer des personnes qui ne respectent pas la déontologie (concurence déloyale, arnaque des patients, prosélitisme...).thierry84 a écrit :et bien sur, tu ne dis rien des avancées sociales obtenues, que l'on nous rabote, et pour lesquelles l'ordre ne fera rien
Il est difficile de reprocher à l'oni de ne pas avoir fait ceci ou cela alors que l'oni n'a pas encore commencé ses actions.
Et ça ne change rien au fait que l'oni et les syndicats n'ont pas le même rôle : l'oni n'empêche en rien le rôle des syndicats et les avancées sociales.
dans le public, les conseils de discipline restent en place, et alors rien ne dit que l'oni n'en remettra pas une couche en deuxieme intention, qu'est ce qui l'en empeche?
dans le public un ide est jugé, coté représentant du personnel par d'autres ide ( le cas s'est produit dans mon hopital ) dans le cas présent, il s'agissait de harcèlement sexuel et de vols de toxiques. en quoi etait t'il obligatoire d'etre jugé uniquement par des infifmiers.
les membres de la direction sont t'il incapables d'apprecier ces faits.
c'est vrai qu'une interdiction d'exercer pour non paiement de cotisations, c'est salutaire et qu'entendez vous par prosélitisme ( syndical ? )
la concurreznce déloyale: ça concerne les idel.
arnaque des patients: la loie ordinaire ( et pas ordinale ) pour tous.
pour ce qui est des avancées sociales, l'histoire des ordres parle d'elle meme, c'est celle d'une courroie de transmission des pouvoirs en place, certainement pas un outil d'emancipation.
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Merci de faire un effort dans les citations. Il n'est pas utile de citer tout le message précédent.
Mais bien sûr... Et qui dit que les syndicats ne négocieront pas une autorisation administrative d'aller pisser ?
Dans le public, ce sont les syndicats qui ont demandé à conserver les conseils de discipline, arguant du fait qu'un fonctionnaire devra toujours répondre devant l'État de ses obligations et sa déontologie de fonctionnaire.
1) Je vous retourne l'argument, pourquoi cet infirmier ne serait-il pas jugé par une justice ordinaire, la même que pour tous les citoyens ?
2) Les seuls faits qui seront jugés par le conseil de discipline de l'oni concerneront les obligations déontologiques des ide.
Il existe régulièrement des affaires d'idel qui utilisent leur position auprès des patients pour leur vendre une soupe qui n'a rien à voir avec les soins (faire la promotion d'une secte, d'un courant de pensée, d'une religion). Il existe aussi des idel qui proposent des pseudo-traitements fumeux (par exemple à base de plantes) à leurs patients.
Tout à fait d'accord : pensez-vous que les médecins auraient la position de monopole décisionnel qu'ils occupent actuellement sans l'odm ?
thierry84 a écrit :dans le public, les conseils de discipline restent en place, et alors rien ne dit que l'oni n'en remettra pas une couche en deuxieme intention, qu'est ce qui l'en empeche?
Mais bien sûr... Et qui dit que les syndicats ne négocieront pas une autorisation administrative d'aller pisser ?
Dans le public, ce sont les syndicats qui ont demandé à conserver les conseils de discipline, arguant du fait qu'un fonctionnaire devra toujours répondre devant l'État de ses obligations et sa déontologie de fonctionnaire.
thierry84 a écrit :dans le public un ide est jugé, coté représentant du personnel par d'autres ide ( le cas s'est produit dans mon hopital ) dans le cas présent, il s'agissait de harcèlement sexuel et de vols de toxiques. en quoi etait t'il obligatoire d'etre jugé uniquement par des infifmiers.
les membres de la direction sont t'il incapables d'apprecier ces faits.
1) Je vous retourne l'argument, pourquoi cet infirmier ne serait-il pas jugé par une justice ordinaire, la même que pour tous les citoyens ?
2) Les seuls faits qui seront jugés par le conseil de discipline de l'oni concerneront les obligations déontologiques des ide.
thierry84 a écrit :[...] qu'entendez vous par prosélitisme ( syndical ? )
Il existe régulièrement des affaires d'idel qui utilisent leur position auprès des patients pour leur vendre une soupe qui n'a rien à voir avec les soins (faire la promotion d'une secte, d'un courant de pensée, d'une religion). Il existe aussi des idel qui proposent des pseudo-traitements fumeux (par exemple à base de plantes) à leurs patients.
thierry84 a écrit :pour ce qui est des avancées sociales, l'histoire des ordres parle d'elle meme [...]
Tout à fait d'accord : pensez-vous que les médecins auraient la position de monopole décisionnel qu'ils occupent actuellement sans l'odm ?
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DEUX CASQUETTES ET ALORS ?
Je tiens a apporter quelques précisions que j'ai fourni a mes collégues lors de la premiere réunion de l'ordre.
Je suis adhérent et participant à un syndicat, ceci pour la défense des conditions de travail, des salaires.
Je suis membre de l'ordre infirmier à titre PERSONNEL.
Je tiens et je tiendrais a rendre ces deux fonctions sur deux lignes parralléles. En effet, mes fonctions de syndicaliste et de président de l'ordre de charente maritime ne doivent pas se mêler.
Durant toute la période qui a préceder les élections départementales, nous avons organisé des réunions d'information SANS étiquette syndicale. Les remprésentants qui sont intervenus lors de ses réunions l'on été à titre d'expert. Le but étant de donner une vision objective à chacun des participants a ces réunions. C'est avec plaisir que nous avons pu débattre avec des syndicalistes dont les centrales nationales sont anti ordre. ces derniers venant aux réunions pour être informer.
La mission qui m'a été confié pour l'ordre concerne la profession infirmière. Si je juge qu'une décision est bonne pour la profession mais que le SNPI n'y est pas favorable, je l'accepterai car je serais dans le cadre de mon mandat.
De même que si l'ordre doit prendre position contre une décision concernant la profession et que le SNPI y y favorable, je jugerai en ma qualité de membre de l'ordre. J'espère que j'ai été clair : en résumé je ne mélangerai jamais mes deux missions : l'ordre et le syndicalisme.
Depuis le début de mon engagement pour l'ordre (bien avant mon engagement au SNPI) j'ai toujours différencié les deux. POur info, Mrs de Sud, j'ai fait parti de vos adhérent il y a quelques années, et j'ai quitté votre organisation car j'étais contre cette politique du non à tout et du refus des réforme. Je n'ai jamais voulu mélanger engagement politique et syndicalisme (je suis membre du PS), et ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer a mélanger engagement syndicalisme et ordre.
Les rapports LCR et SUD sont très fusionnels ?
Ma conviction personnelle est à la source de mon engagement pour l'ordre, et non ma conviction syndicale.
Je suis élu à l'ordre à titre PERSONNEL et non syndical. Qu'on se le dise, et que ce topic se recentre sur le débat et le sujet de ce topic (qui fonctionne moins bien depuis le retour de la propagande anti ordre)
Une chose est sure : l'ordre est là, maintenant il faut qu'il fonctionne et ne profite qu'à une seule chose : LA PROFESSION INFIRMIERE, et ceci est mon engagement.
Je ne souhaite pas que les conseils régionaux et nationaux soient ligotés par des cadres sup, IDE généraux et privés. Il faut que des hommes et des femmes IDE de terrain soient présent et participent aux décisions prises pour LA PROFESSION INFIRMIERE, en consultant les départements.
Je suis adhérent et participant à un syndicat, ceci pour la défense des conditions de travail, des salaires.
Je suis membre de l'ordre infirmier à titre PERSONNEL.
Je tiens et je tiendrais a rendre ces deux fonctions sur deux lignes parralléles. En effet, mes fonctions de syndicaliste et de président de l'ordre de charente maritime ne doivent pas se mêler.
Durant toute la période qui a préceder les élections départementales, nous avons organisé des réunions d'information SANS étiquette syndicale. Les remprésentants qui sont intervenus lors de ses réunions l'on été à titre d'expert. Le but étant de donner une vision objective à chacun des participants a ces réunions. C'est avec plaisir que nous avons pu débattre avec des syndicalistes dont les centrales nationales sont anti ordre. ces derniers venant aux réunions pour être informer.
La mission qui m'a été confié pour l'ordre concerne la profession infirmière. Si je juge qu'une décision est bonne pour la profession mais que le SNPI n'y est pas favorable, je l'accepterai car je serais dans le cadre de mon mandat.
De même que si l'ordre doit prendre position contre une décision concernant la profession et que le SNPI y y favorable, je jugerai en ma qualité de membre de l'ordre. J'espère que j'ai été clair : en résumé je ne mélangerai jamais mes deux missions : l'ordre et le syndicalisme.
Depuis le début de mon engagement pour l'ordre (bien avant mon engagement au SNPI) j'ai toujours différencié les deux. POur info, Mrs de Sud, j'ai fait parti de vos adhérent il y a quelques années, et j'ai quitté votre organisation car j'étais contre cette politique du non à tout et du refus des réforme. Je n'ai jamais voulu mélanger engagement politique et syndicalisme (je suis membre du PS), et ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer a mélanger engagement syndicalisme et ordre.
Les rapports LCR et SUD sont très fusionnels ?
Ma conviction personnelle est à la source de mon engagement pour l'ordre, et non ma conviction syndicale.
Je suis élu à l'ordre à titre PERSONNEL et non syndical. Qu'on se le dise, et que ce topic se recentre sur le débat et le sujet de ce topic (qui fonctionne moins bien depuis le retour de la propagande anti ordre)
Une chose est sure : l'ordre est là, maintenant il faut qu'il fonctionne et ne profite qu'à une seule chose : LA PROFESSION INFIRMIERE, et ceci est mon engagement.
Je ne souhaite pas que les conseils régionaux et nationaux soient ligotés par des cadres sup, IDE généraux et privés. Il faut que des hommes et des femmes IDE de terrain soient présent et participent aux décisions prises pour LA PROFESSION INFIRMIERE, en consultant les départements.
Qui mieux que les infirmiers pour parler et décider pour les infirmiers.