Prise en charge des personnes pour sevrage éthylique
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- Don Quichotte
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cedr1c a écrit :
les vitamines b1 et b6 associées visent a contrer les carences dues a l'arret de cet alcool
la suppléance en vitamine ne serait t'elle pas plutot donnée car l'alcool détruisant le foie la synthése de ces vitamines ne peut plus se faire correctement ,je n'est pas souvenance que l'alcool soit riche en vitamines b1 b6

l'on est toujours le fou de quelqu'un!
(inf en psy) de retour en Bretagne
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Salut, je suis inf. en cure de desintoxication alcoolique et notre protocole est le suivant: la 1ere semaine rehydratation par voie iv (glucidion + becozyme (vit b)), si la personne est trémulente ++ à l'arrivée on la met sous valium en degressif et arrêt 5 jours apres.
Comme on vise à ce qu'il n'y ai plus une seule dependance on arrete tous les ttt (en degressif).
En 2O ans mes collegues ont eu seulement 1 DT, c'est que le protocole est efficace.Si vous avez des questions n'hesitez pas.
Comme on vise à ce qu'il n'y ai plus une seule dependance on arrete tous les ttt (en degressif).
En 2O ans mes collegues ont eu seulement 1 DT, c'est que le protocole est efficace.Si vous avez des questions n'hesitez pas.
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IDE dans le sevrage alcoolique
Bonjour à tous,
débutant un sujet sur l'alcoolisme j'ai besoin de vos reponses ( sous forme de sondage) au sujet de la question suivante:
merci de votre participation ( ps je me doute de vos réponses mais cela me permet de préciser plus pleinement ce que j'avance merci merci
)
débutant un sujet sur l'alcoolisme j'ai besoin de vos reponses ( sous forme de sondage) au sujet de la question suivante:
merci de votre participation ( ps je me doute de vos réponses mais cela me permet de préciser plus pleinement ce que j'avance merci merci

- OhQuellejoie
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oui je pense que l'ide a un role à jouer comme dans toutes les prises en charge, mais dans cette situation en particulmier, la motivation du patient compte plus que tout...
on n'aidera pas un patient alcoolique à se sevrer s'il n'en a pas le desir..
enfin c mon avis
on n'aidera pas un patient alcoolique à se sevrer s'il n'en a pas le desir..
enfin c mon avis
IDE en psy (me voilà aux admissions après 2ans 1/2 de longs séjours)
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- OhQuellejoie
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Est-ce que le rôle du soignant n'est pas de faire émerger le besoin chez le malade dépendant? fait il attendre que les alcooliques éprouvent le besoin de se sevrer? quid des HDT que l'on rencontre dans nos services...sitot la crise passé nous devrions les laisser sortir or...
Et bien voila docteur:je verrouille,je verrouille,je verrouille,dites,c'est grave docteur?
-Meuh non,c'est juste une verouillitte aiguë!
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Prise en charge des personnes pour sevrage éthylique
Bonsoir, je voulais votre avis sur une situation qui se répète de plus en plus au sein du pavillon ouvert où je travaille (HL/HO/HDT) et qui est problématique.
Les personnes qui sont hospitalisées pour sevrage éthylique passent en général aux urgences avant pour avoir un bilan somatique (enfin c'est ce qu'on pense!) et voir un psy ou l'inf psy pour une orientation.
Hors de plus en plus, les personnes arrivent manifestement alcoolisées au service sans bilan sanguin et certains sont mutés sans passer par la case cellule de dégrisement alors qu'il faudrait. Même pas d'alcoolémie, pensez-vous, à quoi bon ?!
Ce qui fait que les personnes reçoivent un ttt sans aucun bilan précisant leur fonction hépatique et j'en passe, nos médecins ne prescrivant pas de bilan avant le lendemain de leur arrivée ! Ca pose un problème de sécurité évident.
On en a parlé à certains de nos psychiatres qui semblent un peu démunis. Il semble que ce soit un peu la gueguerre avec les urgentistes !
Comment ça se passe de votre coté ? J'aimerais connaitre vos avis sur cette situation délicate mais qui se reproduit de plus en plus
Merci bonne soirée à tous
Les personnes qui sont hospitalisées pour sevrage éthylique passent en général aux urgences avant pour avoir un bilan somatique (enfin c'est ce qu'on pense!) et voir un psy ou l'inf psy pour une orientation.
Hors de plus en plus, les personnes arrivent manifestement alcoolisées au service sans bilan sanguin et certains sont mutés sans passer par la case cellule de dégrisement alors qu'il faudrait. Même pas d'alcoolémie, pensez-vous, à quoi bon ?!

Ce qui fait que les personnes reçoivent un ttt sans aucun bilan précisant leur fonction hépatique et j'en passe, nos médecins ne prescrivant pas de bilan avant le lendemain de leur arrivée ! Ca pose un problème de sécurité évident.
On en a parlé à certains de nos psychiatres qui semblent un peu démunis. Il semble que ce soit un peu la gueguerre avec les urgentistes !
Comment ça se passe de votre coté ? J'aimerais connaitre vos avis sur cette situation délicate mais qui se reproduit de plus en plus

Merci bonne soirée à tous
J-4 avant les vacances !
- karibounette
- Forcené
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- Inscription : 26 févr. 2008 16:10
je travaille comme toi en service ouvert et nous avons également beaucoup de sevrage alcooliques. par contre, ils passent tous( s'ils sont alcoolisés) par les urgences qui nous les envoie en général le lendemain avec un bilan complet de piqué (urée, créat, iono complet, glycémie, NFP et bien sur alcoolémie...) et un bilan physique réalisé.
s'ils se présentent d'eux même et qu'ils ne sont par conséquent pas passé par les urg, ils sont vu à leur entrée par le somaticien qui prescrit tout le bilan et le psychiatre qui démarre généralement un traitement type séresta, vitamines b1 b6, nicobion et hydratation 2 litres par jours et éffectivement ds ce cas le traitement est commencé avant les résultats du bilan.
s'ils se présentent d'eux même et qu'ils ne sont par conséquent pas passé par les urg, ils sont vu à leur entrée par le somaticien qui prescrit tout le bilan et le psychiatre qui démarre généralement un traitement type séresta, vitamines b1 b6, nicobion et hydratation 2 litres par jours et éffectivement ds ce cas le traitement est commencé avant les résultats du bilan.

même sur le plus beau trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul.