Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
Bonjour,
Effectivement ce sont des situations difficiles à vivre.
Ce qui est important après avoir vécu des évènements marquants est de pouvoir en discuter en équipe. Etre entendu. Faire le point sur ce qui a été fait et aurait pu être fait sans porter de jugement. Il est important de le verbaliser pour être reconnu dans son vécu de soignant.
Balsamic
Effectivement ce sont des situations difficiles à vivre.
Ce qui est important après avoir vécu des évènements marquants est de pouvoir en discuter en équipe. Etre entendu. Faire le point sur ce qui a été fait et aurait pu être fait sans porter de jugement. Il est important de le verbaliser pour être reconnu dans son vécu de soignant.
Balsamic
Tout a fait malou, quant au fait de mettre a l'iso avant de faire l'injection impossible , il nous fallais la calmer pour la descendre 2 etage en dessous. Car nous etions dans un service ouvert.
Enfin bref le truc qui choc le plus c'est la fait que nous etions 4 ou 5 par momment a la maintenir pour eviter tout passage a l'acte de sa part. cela est tres violent surtotu dans un bureau infirmier ou l'on a deja pas enormement de place quant on est en equipe alors avec quelqu'un d'agité c'est encore pire. Enfin voila c'été mon ressenti a chaud, j'ai apris hier qu ela jeune fille est plus calme. Moi j'ai fait quand meme une declaration d'AT, suite ca cet episode d'agitation car j'ai un bel hematome sur le bras et surtout des douleurs intercostal a l'effort,du au mommment ou on la maintenais et qu'elle s'y opposé.
Enfin bref le truc qui choc le plus c'est la fait que nous etions 4 ou 5 par momment a la maintenir pour eviter tout passage a l'acte de sa part. cela est tres violent surtotu dans un bureau infirmier ou l'on a deja pas enormement de place quant on est en equipe alors avec quelqu'un d'agité c'est encore pire. Enfin voila c'été mon ressenti a chaud, j'ai apris hier qu ela jeune fille est plus calme. Moi j'ai fait quand meme une declaration d'AT, suite ca cet episode d'agitation car j'ai un bel hematome sur le bras et surtout des douleurs intercostal a l'effort,du au mommment ou on la maintenais et qu'elle s'y opposé.
la psychiatrie pour l'instant ca me va bien.....
il nous fallais la calmer pour la descendre 2 etage en dessous
Le problème est que je ne connais pas de produit à action immédiate...mais c'est toujours très délicat de gérer une telle agitation...tenir compte des locaux et du creneau horaire (les difficultés se sont cumulées sur ce coup là...), dans la même situaution j'ai déjà vu fixr une personne en chambre normale en attendant d'assurer le transfert en sécurité (et l'injection en suivant...). C'est un peu le principe du Protéger, Alerter, Secourir...
Il été 21h30 heur de la releve et ou les autre malade viennent chercher leur traitement du couché.
Elel a eu uun loxapac et une tranxene 50 iv et une heure apres etant donner qu'aucun effet n'avais apparut elle eu de nouveau une ampoule de loxapac. Et a 23h, heure du transfert elle été encore tres tonique nous avons du la sanglé au fauteuil et etre 4 pour la tenir lors d ela descente.
Elel a eu uun loxapac et une tranxene 50 iv et une heure apres etant donner qu'aucun effet n'avais apparut elle eu de nouveau une ampoule de loxapac. Et a 23h, heure du transfert elle été encore tres tonique nous avons du la sanglé au fauteuil et etre 4 pour la tenir lors d ela descente.
la psychiatrie pour l'instant ca me va bien.....
Et rebellote ce soir.
Hier on a eu un transfert vers le ch pour un de nos patients qui a fait une crise d'epi. Il nous le renvois cet aprem et arrivant dans l'etablissement il en refait une. Nous n'avions pas de courrier donc renvoi ilico presto aux urgences. Qui bien sur nous le renvois a 20h30 . Donc ce soir j'arrive a 21h30 mes collegues avais du retard logique car les retpour de perm n'été pas tous bon.
DOnc voila je suis dans un service avec 36 patients sur 2 etages, j'ai une surveillance de perf et de glycemie tout tes 2h pour une dame ayant eu une alcoolisation en perm( qui aurai d'ailleur etre transferé!)
Et j'ai mon patient, qui est mal qui a enfin a 0h00 une prescription d'anticonvulsivant apres 3 crise caracteristique en 3 jours. Et un medecin de garde qui est a 8km de notre etablissement et qui n'ose pas faire grand chose. Voila j'en ai ras le bol on surveille des alcolo qui boivent depuis des année de facon raproché et on ne traite pas des gens qui font des crise d'epi massive . Enfin bref c'est peut etre moi qui satture mais la c'est le ponpon.
et puis je vous explique pas notre disponibilité pour les autre patient dans des periode comme celle la. En fait cette nouit je ne suis pas en psy mais au lit porte des urgences sans medecin avec accessoirement 33 patient psy. Bon j'espere que la fin de nuit se passera bien en totu cas la j'en peut plus , vivement 6h30 que je soit en repos.
Hier on a eu un transfert vers le ch pour un de nos patients qui a fait une crise d'epi. Il nous le renvois cet aprem et arrivant dans l'etablissement il en refait une. Nous n'avions pas de courrier donc renvoi ilico presto aux urgences. Qui bien sur nous le renvois a 20h30 . Donc ce soir j'arrive a 21h30 mes collegues avais du retard logique car les retpour de perm n'été pas tous bon.
DOnc voila je suis dans un service avec 36 patients sur 2 etages, j'ai une surveillance de perf et de glycemie tout tes 2h pour une dame ayant eu une alcoolisation en perm( qui aurai d'ailleur etre transferé!)
Et j'ai mon patient, qui est mal qui a enfin a 0h00 une prescription d'anticonvulsivant apres 3 crise caracteristique en 3 jours. Et un medecin de garde qui est a 8km de notre etablissement et qui n'ose pas faire grand chose. Voila j'en ai ras le bol on surveille des alcolo qui boivent depuis des année de facon raproché et on ne traite pas des gens qui font des crise d'epi massive . Enfin bref c'est peut etre moi qui satture mais la c'est le ponpon.
et puis je vous explique pas notre disponibilité pour les autre patient dans des periode comme celle la. En fait cette nouit je ne suis pas en psy mais au lit porte des urgences sans medecin avec accessoirement 33 patient psy. Bon j'espere que la fin de nuit se passera bien en totu cas la j'en peut plus , vivement 6h30 que je soit en repos.
la psychiatrie pour l'instant ca me va bien.....
la fin de la nuit je ne vous la raconte pas car sinon je vais peter un plomb!
je retourne voir le cadre cet aprem pour parler de ce we.
Je suis lessivé masi n'arrive pas a trouver le sommeil telement je suis enervé. Cette nuit c'est ccontre notre medecin de garde que j'en ai.
je retourne voir le cadre cet aprem pour parler de ce we.
Je suis lessivé masi n'arrive pas a trouver le sommeil telement je suis enervé. Cette nuit c'est ccontre notre medecin de garde que j'en ai.
la psychiatrie pour l'instant ca me va bien.....
-
- Messages : 6
- Inscription : 04 janv. 2008 17:01
soignant face à l'agressivité verbale d'un ancien patient
Travaillant en psy depuis plusieurs année, j' ai été récemment confrontée aux insultes par telephone d' une patiente qui etait en hdt et qui est sortie sur sortie requise.Elle m ' accusait de l ' avoir attachée et de lui avoir fait une injection alors que tout cela était avant tout une prescription medicale et que nous étions plusieurs à agir pour éviter qu 'elle se mette en danger.Elle hurlait au telephone qu ' elle allait le signaler au chef de service et qu ' elle allait porter plainte.Alors je voulais savoir si vous aussi vous aviez été confronté à une situation similaire et comment vous avez réagis.Merci d' avance!!!
-
- Messages : 6
- Inscription : 04 janv. 2008 17:01
Bonjour,
Dans l'enseignement il existe ce que l'on appelle "l'autonome de solidarité" (Les Autonomes de Solidarité et leur Fédération sont des associations créées en 1903 pour la défense des intérêts moraux et matériels des personnels de l’enseignement public et privé laïque.), existe-t'il la même chose pour les personnels médicaux ?
Merci beaucoup et bon courage
Dans l'enseignement il existe ce que l'on appelle "l'autonome de solidarité" (Les Autonomes de Solidarité et leur Fédération sont des associations créées en 1903 pour la défense des intérêts moraux et matériels des personnels de l’enseignement public et privé laïque.), existe-t'il la même chose pour les personnels médicaux ?
Merci beaucoup et bon courage
-
- Messages : 6
- Inscription : 04 janv. 2008 17:01
prévention de la violence en psychiatrie
bonjour a tous
étant en 2eme année, nous commencons les modules optionnels. j ai choisi "approfondissement en soins infirmiers aux personnes atteintes de psychose" pour la validation du module nous devons présenter un oral sur un théme choisi. pour ma part, j ai choisi comment prévenir la violence en psychiatrie et j aimerai savoir si vous aviez des idées autres que -les médiateurs thérapeutiques
-les neuroleptiques
-la relations soignant/soignés avec les attitudes à adopter au quotidiens
-l acceptation du soin par le patient...
voila!!! j attend vos idées et autres suggestions et vous remercie d avance!!!
étant en 2eme année, nous commencons les modules optionnels. j ai choisi "approfondissement en soins infirmiers aux personnes atteintes de psychose" pour la validation du module nous devons présenter un oral sur un théme choisi. pour ma part, j ai choisi comment prévenir la violence en psychiatrie et j aimerai savoir si vous aviez des idées autres que -les médiateurs thérapeutiques
-les neuroleptiques
-la relations soignant/soignés avec les attitudes à adopter au quotidiens
-l acceptation du soin par le patient...
voila!!! j attend vos idées et autres suggestions et vous remercie d avance!!!

Salut
je ne sait pas si ce que je vais citer entre dans le cadre de ce que vous appeler :la relations soignant/soignés avec les attitudes à adopter au quotidiens. Si non je peut ajouter le suivant :
- Fouiller systématiquement le malade a la recherche d'objets tranchants.
- Surveillance stricte, avec isolement du patient de sa famille les premiers jours ( en cas d'accès dépressif Mélancolique).
- éviter de préparer les injections IM sous les yeux du malade afin que ce geste thérapeutique ne soit pas considéré comme une sanction.
- Au décours d'un état d'agitation, il ne faut pas se satisfaire du simple retour au calme, mais susciter chez le malade la verbalisation de ses difficultés.
- Vis a vis de l'agité il ne faut manifester ni crainte, ni agitation.
Ben j'ai essayer de me rappeler du cours psychiatrie, j'espère que je suis pas hors sujet, bon chance.
je ne sait pas si ce que je vais citer entre dans le cadre de ce que vous appeler :la relations soignant/soignés avec les attitudes à adopter au quotidiens. Si non je peut ajouter le suivant :
- Fouiller systématiquement le malade a la recherche d'objets tranchants.
- Surveillance stricte, avec isolement du patient de sa famille les premiers jours ( en cas d'accès dépressif Mélancolique).
- éviter de préparer les injections IM sous les yeux du malade afin que ce geste thérapeutique ne soit pas considéré comme une sanction.
- Au décours d'un état d'agitation, il ne faut pas se satisfaire du simple retour au calme, mais susciter chez le malade la verbalisation de ses difficultés.
- Vis a vis de l'agité il ne faut manifester ni crainte, ni agitation.
Ben j'ai essayer de me rappeler du cours psychiatrie, j'espère que je suis pas hors sujet, bon chance.
Rien ne nous rend si grand qu'une grande douleur