quelles sont les probleme rencontrer pendants les stages ?
Modérateurs : Modérateurs, ESI
Je trouve que c'est une façon très superficielle de considérer les différents témoignages qu'on peut trouver sur ce site.Gengis a écrit :à mon avis ça ne répond pas à ma questionProsper a écrit :
Parce que tout es fait pour qu'elles le soient alors qu'il n'y a pas de raison particuliere. Rabacher "ca va etre dur, faut travailler enormement sinon vous redoublerez" ou (pour cette année) "vous aurez envie d'arreter, c'est normal" "vous allez devoir fournir encore plus d'effort que l'année derniere" "la seconde année est extremement difficile" etc etc, on peut pas dire qu'on est proche d'un discours plus coherent qui pourrait etre "la formation demande de l'investissement, des milliers d'infirmiers y sont arrivés, vous devriez egalement y arriver".ce qui fait qu'aujourd'hui les études sont ou sont perçues comme si stressantes ?
Pareil pour les stages, quand on se plaint de probleme en stage et qu'on nous repond "bah oui, on peut rien faire, de toute maniere tout le monde y passe, tout le monde a au moins un tres mauvais stage", ca renvoit pas tellement une bonne image de la formation ^^
.
Tout ce dont tu parles ici n'est pas négatif et n'est pas en principe source de stress
on vous met en face de la réalité (pour ceux qui viennent en touristes ou avec des rêves de petites filles-ou gars) ; on vous dit ce qu'on attend de vous et ce que vous pouvez vous attendre à être confrontés.
Ici on entend plus souvent : l'infirmière est chiante, on me pourrit la vie, ils sont méchants avec moi, ils veulent casser de l'esi... sans compter les encadrants qui ne peuvent pas m'encadrer...un apitoiement sur soi-même en sorte...qu'une réelle remise en question de soi , même si ça existe
"l'infirmière est chiante, on me pourrit la vie, ils sont méchants avec moi, ils veulent casser de l'esi"
Tout ceci est peut être exprimé maladroitement mais c'est l'expression d'un certain malaise ressenti en stage par les étudiants (qui souvent d'ailleurs est le reflet du malaise présent sur place).
Et le stress des étudiants personnellement je le constate assez vite quand on est plusieurs esi sur un même stage.
"sans compter les encadrants qui ne peuvent pas m'encadrer"
Il ne s'agit pas d'un apitoiement sur soi même mais d'un triste constat de la réalité.
Un étudiant non ou mal encadré en stage est un étudiant dangereux.
On est conscient de la difficulté que représente pour l'ide, en + de sa charge de travail, le fait de devoir encadrer 1 à plusieurs esi.
Mais on est également conscient de notre responsabilité en tant qu'étudiant soignant qui n'est pas négligeable, mais semble négligée lorsqu'on n'est pas encadré.
Tout ceci est source de stress.
Personnellement j'ai d'autres sources de stress en stage mais prendre en considération ce que pensent les étudiants, leur ressenti, semble faire sourire certains professionnels.
Pourquoi avoir du mal à prendre en compte les difficultés éprouvées par les esi quand on est ide ou formateur? cela les renvoie t il à leur propre vécu de la profession où peu de place est faite pour exprimer les difficultés rencontrées au quotidien ?(et pourtant ce n'est pas ce qui manque quand on est ide)
Je suis peut être à côté de la plaque, il ne s'agit que d'interrogations....
esi 3ème année, dernière ligne droite... ça passe vite et tant mieux!
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Certainement et encore heureux qu'il y ait des esi bien dans leurs basketsGengis a écrit :Je pense qu'il y a beaucoup de généralisation, il y a des esi heureux et bien dans leurs baskets que ce soit en stage ou en cours...j'en connais![]()
Pour les autres la question reste posée

C'est une formation ou il faut s'appliquer et etre curieux de tout pour avancer. Malheureusement, il y aura comme de partout des individus ne faisant que le minimum pour décrocher le DE. Ce sont ces memes personnes qui vous dégouterons.
Allez travailler dans la grande distribution et on en reparlera! En tout cas, moi je crois toujours et encore en ma formation et mon futur métier

MSP DE passée le 28 octobre!! Ca y est, après plus de 3 années d'études.....
Selon moi, un ESI tout le temps stressé et se sentant rejetté et mal dans les lieux de stage est une personne qui n'a surement pas choisi la bonne voie! En effet, l'esi même si il ne sait pas quelle place il doit prendre dans un stage, si il trouve qu'il fait trop de nursing, si il pense que ces horaires sont trop hard, si il peste après les calculs de doses ou les patients "chiants" n'a pas fini de se prendre des claques dans sa future vie professionnelle, car le travail sera 10 fois plus dur quand il aura son DE. Et cela sera encore plus vrai quand il aura à encadrer un ESI comme décrit plus haut qui passe son temps à faire la gueule et à râler contre tout!
Admise à CASTRES
ESI 2008/2011
msp1 et 2 validées!
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A première vue oui moi même j'ai toujours de très bonnes notes en cours, ainsi qu'en stage la plupart du temps, je suis tout sourire et je plaisante tout le temps....Gengis a écrit :Je pense qu'il y a beaucoup de généralisation, il y a des esi heureux et bien dans leurs baskets que ce soit en stage ou en cours...j'en connais![]()
Pour les autres la question reste posée
A première vue tout se passe parfaitement pour moi mais ce n'est pas le cas, j'avoue ne pas être à l'aise en stage du fait de mon statut de stagiaire, comme la plupart de mes collègues.
Ca ne m'empêche pas d'avoir comme appréciation de la part des équipes "étudiante qui a su s'intégrer, s'est très bien adaptée, très bon relationnel".......entre l'être et le paraitre il y a une marge.
Je ne connais que peu d'esi qui se disent très à l'aise en stage, il y en a très certainement, mais je doute qu'il s'agisse de la majorité des étudiants.
A l'ifsi on a des temps d'exploitation de stage en petit groupe avec une psychologue et à chaque fois une partie des étudiants (pas toujours les mêmes) a mal vécu son stage, et il n'est pas rare que des étudiants pleurent en cours en évoquant leur stage.
Ca peut paraitre puéril comme attitude mais ça ne l'est pas du tout certains de ces étudiants ont + de 40 ans...
C'est une réalité.
Dans ma famille il a pas mal d'infirmiers et aucun ne garde un bon souvenir de ces fameux stages......
Je souhaite à tous les étudiants ou futurs étudiants de bien se sentir en stage, d'être à l'aise mais il n'est pas du tout rare d'entendre des étudiants se plaindre de leurs stages.
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- elfearwen64
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ca se passe comme ca aussi dans mon ifsi. la psy fait un tour de table (groupe de 10 personnes), elle nous demande ce qu'on aime et ce qu'on aime pas, les difficultés que l'on éprouve dans notre stage...hatsumi a écrit :A l'ifsi on a des temps d'exploitation de stage en petit groupe avec une psychologue et à chaque fois une partie des étudiants (pas toujours les mêmes) a mal vécu son stage, et il n'est pas rare que des étudiants pleurent en cours en évoquant leur stage.
Ca peut paraitre puéril comme attitude mais ça ne l'est pas du tout certains de ces étudiants ont + de 40 ans...
quelques un ne répondent pas ou disent qu'ils n'ont rien à raconter mais pourtant quand on discute un peu avec eux à la fin, on voit qu'eux aussi ont des difficultés.
donc je pense que tout le monde a ou aura au moins une fois des difficultés. mais certains n'osent pas le dire
- myocarde38
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Les stages !!!! Un mal nécessaire !
Oh là là...
Lorsque je lis ce qui précède, j'ai envie de réagir et c'est ce que je fais d'ailleurs.
Pour ce qui me concerne, E.S.I. en 4ème année, c'est à dire à quelques semaines du D.E., je pense pouvoir en parler.
Je dirais que les stages sont un peu le reflet de notre personnalité. On pourrais dire qu'ils sont un peu à notre image.
En 1ère et 2 ème année, j'ai eu quelques difficultés en stage et ce, pour diverses raisons. J'ai repris mes études à 43 ans et j'arrivais avec un vécu important et une certaine maturité. Je n'ai pas su toujours trouver ma place.
Ajouté à cela que j'ai fait des remplacements d'A.S.D. pratiquement tous les week-ends (je continue) et j'avais également du mal à adapter mon attitude en stage et au taf.
Mais je crois qu'en stage, il faut rester sincère, authentique et humble . Ne pas craindre de dire qu'on a pas compris quelque chose, faire preuve de curiosité, ne pas regarder la pendule sans arrêt, travailler avec l'ensemble de l'équipe : A.S.H., A.S.D.,... et tout devrais bien se passer...
Une remarque sur la dureté des études : je suis sorti de l'école en 3ème à 17 ans avec juste mon B.E.P.C. (Ex brevet des collèges) et je n'ai eu aucune, je dis bien aucune difficulté au cours de ces 36 mois. J'ai été reçu à 3 concours sur 4, J'ai validé sans aucun problème tous les modules avec une moyenne de 14 sur les 3 ans. Et tout en assumant une famille, 3 enfants, une maison, en travaillant 12 mois sur 12, etc,...
Alors, ne me faites pas rire en parlant des études d'infirmier !!!!, j'ai les lèvres gercées....
Lorsque je lis ce qui précède, j'ai envie de réagir et c'est ce que je fais d'ailleurs.
Pour ce qui me concerne, E.S.I. en 4ème année, c'est à dire à quelques semaines du D.E., je pense pouvoir en parler.
Je dirais que les stages sont un peu le reflet de notre personnalité. On pourrais dire qu'ils sont un peu à notre image.
En 1ère et 2 ème année, j'ai eu quelques difficultés en stage et ce, pour diverses raisons. J'ai repris mes études à 43 ans et j'arrivais avec un vécu important et une certaine maturité. Je n'ai pas su toujours trouver ma place.
Ajouté à cela que j'ai fait des remplacements d'A.S.D. pratiquement tous les week-ends (je continue) et j'avais également du mal à adapter mon attitude en stage et au taf.
Mais je crois qu'en stage, il faut rester sincère, authentique et humble . Ne pas craindre de dire qu'on a pas compris quelque chose, faire preuve de curiosité, ne pas regarder la pendule sans arrêt, travailler avec l'ensemble de l'équipe : A.S.H., A.S.D.,... et tout devrais bien se passer...
Une remarque sur la dureté des études : je suis sorti de l'école en 3ème à 17 ans avec juste mon B.E.P.C. (Ex brevet des collèges) et je n'ai eu aucune, je dis bien aucune difficulté au cours de ces 36 mois. J'ai été reçu à 3 concours sur 4, J'ai validé sans aucun problème tous les modules avec une moyenne de 14 sur les 3 ans. Et tout en assumant une famille, 3 enfants, une maison, en travaillant 12 mois sur 12, etc,...
Alors, ne me faites pas rire en parlant des études d'infirmier !!!!, j'ai les lèvres gercées....

Il est grand temps de rallumer les étoiles
msp
l'ambiance entre les équipés
ne pas pouvoir dire ce qu'on pense
devoir se laisser marcher sur les pieds parce qu'a la fin il te pénalise
devoir faire les choses que personne ne veut faire
être considéré comme des personnes qui ne connaît rien a rien mais selon leur besoin devoir savoir des choses qu'on a jamais vu
...
j'adore être étudiante...
l'ambiance entre les équipés
ne pas pouvoir dire ce qu'on pense
devoir se laisser marcher sur les pieds parce qu'a la fin il te pénalise
devoir faire les choses que personne ne veut faire
être considéré comme des personnes qui ne connaît rien a rien mais selon leur besoin devoir savoir des choses qu'on a jamais vu
...
j'adore être étudiante...
Je fais partie de ces gens toujours optimistes et je pense sincèrement que tu te victimises.J'avoue je ne sais pas ce que tu vis mais de temps en temps il faut se remettre en question et essayer de faire un travail sur soi pour que ce ne soit pas toujours la faute des autres si ça ne va pas!Telches a écrit :msp
l'ambiance entre les équipés
ne pas pouvoir dire ce qu'on pense
devoir se laisser marcher sur les pieds parce qu'a la fin il te pénalise
devoir faire les choses que personne ne veut faire
être considéré comme des personnes qui ne connaît rien a rien mais selon leur besoin devoir savoir des choses qu'on a jamais vu
...
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ESI 2008/2011
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Le mieux aurait été que tu le précises parce que là on a l'impression que c'est une généralité et que ça se passe ainsi à chaque stage!Telches a écrit :ben mes pbs en stage ce sont passé que sur un stage donc je ne pense pas que je me "victimise"
sinon sur tous mes autres stage on a jms rien eu a me reprocher
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Témoignage de stage
A Leopold ou je sais plus trop comment il s'appelle
Je n'ai jamais dit que les calculs de doses étaient d'un niveau exceptionnel et que c'était hyper dur je dis simplement que quand on débarque dans un service de réa en début de 2 ème année et qu'on a l'habitude de faire des lovenox allez calculer une seringue de dobu en gamma et convertir cela demande beaucoup plus de temps qu'à quelqu'un qui travaille en réa depuis trois ans et qui en fait 100 fois plus souvent. Ce que je demande c'est un peu plus d'indulgence c'est tout. On peut pas apprendre en 2 jours ce que vous avez eu le temps d'apprendre en plusieurs mois voire années. Moi j'ai souvent été seule dans mes stages alors je ne sais pas comment sont les autres étudiants. Comme partout il y en a sûrement qui sont fainéants et pas très demandeurs. Mais faut quand même pas généraliser!
Pour ce qui est des questions d'anatomie ce n'est effectivement pas excusable de ne pas pouvoir définir l'œsophage mais moi je parlais plus de choses plus spécifiques du genre les effets indésirables du nimbex. Les curares sont quand même pas utilisés dans tous les services.
Je voulais surtout m'attarder sur un élément important: la rapidité d'adaptation en stage. Je suis en 3ème année (fin) et j'ai fait pas mal de soins intensifs et de réa je suis actuellement en stage pré pro en réa et je suis donc beaucoup plus à l'aise dans ce type de service où on a peu de patients qui comportent beaucoup de soins. Je suis donc moins à l'aise en gériatrie ou médecine On peut pas être parfaits je pense et s'adapter à tous les lieux de stage. J'ai fait un stage en mai en gériatrie et SANS EXAGÉRER JE VOUS PROMET au bout de 2 jours on m'a dit que j'allais pas assez vite et que je savais pas m'organiser AU BOUT DE DEUX JOURS c'est ça qui est stressant finalement! de nous mettre la pression dès le départ pour bien nous casser après. J'ai toujours eu de bons résultats et là ça a été le flop. Pourquoi? Parce que j'ai eu du mal à m'organiser et qu'on m'a mis une étiquette dès le départ et qu'on me l'a plus retirée. Et ce qui est certain est que j'ai fait des efforts. Pas assez peut être mais le niveau d'exigence ne devrait pas être trop élevé.
Habituellement dans d'autres stages même si j'avais du mal on m'accordait un peu de temps on me donnait des conseils. Je pense que si j'étais déjà IDE je brusquerais pas les gens. Sauf s'ils ne font aucun effort. J'ai rencontré d'excellentes IDE qui prenaient le temps d'expliquer et de m'encadrer sans brusquer. Je pouvais tranquillement faire mon bonhomme de chemin et évoluer à mon rythme. Je dis pas qu'il faut pas nous booster mais nous mettre la pression cela ne peut que être négatif.
Je n'ai jamais dit que les calculs de doses étaient d'un niveau exceptionnel et que c'était hyper dur je dis simplement que quand on débarque dans un service de réa en début de 2 ème année et qu'on a l'habitude de faire des lovenox allez calculer une seringue de dobu en gamma et convertir cela demande beaucoup plus de temps qu'à quelqu'un qui travaille en réa depuis trois ans et qui en fait 100 fois plus souvent. Ce que je demande c'est un peu plus d'indulgence c'est tout. On peut pas apprendre en 2 jours ce que vous avez eu le temps d'apprendre en plusieurs mois voire années. Moi j'ai souvent été seule dans mes stages alors je ne sais pas comment sont les autres étudiants. Comme partout il y en a sûrement qui sont fainéants et pas très demandeurs. Mais faut quand même pas généraliser!
Pour ce qui est des questions d'anatomie ce n'est effectivement pas excusable de ne pas pouvoir définir l'œsophage mais moi je parlais plus de choses plus spécifiques du genre les effets indésirables du nimbex. Les curares sont quand même pas utilisés dans tous les services.
Je voulais surtout m'attarder sur un élément important: la rapidité d'adaptation en stage. Je suis en 3ème année (fin) et j'ai fait pas mal de soins intensifs et de réa je suis actuellement en stage pré pro en réa et je suis donc beaucoup plus à l'aise dans ce type de service où on a peu de patients qui comportent beaucoup de soins. Je suis donc moins à l'aise en gériatrie ou médecine On peut pas être parfaits je pense et s'adapter à tous les lieux de stage. J'ai fait un stage en mai en gériatrie et SANS EXAGÉRER JE VOUS PROMET au bout de 2 jours on m'a dit que j'allais pas assez vite et que je savais pas m'organiser AU BOUT DE DEUX JOURS c'est ça qui est stressant finalement! de nous mettre la pression dès le départ pour bien nous casser après. J'ai toujours eu de bons résultats et là ça a été le flop. Pourquoi? Parce que j'ai eu du mal à m'organiser et qu'on m'a mis une étiquette dès le départ et qu'on me l'a plus retirée. Et ce qui est certain est que j'ai fait des efforts. Pas assez peut être mais le niveau d'exigence ne devrait pas être trop élevé.
Habituellement dans d'autres stages même si j'avais du mal on m'accordait un peu de temps on me donnait des conseils. Je pense que si j'étais déjà IDE je brusquerais pas les gens. Sauf s'ils ne font aucun effort. J'ai rencontré d'excellentes IDE qui prenaient le temps d'expliquer et de m'encadrer sans brusquer. Je pouvais tranquillement faire mon bonhomme de chemin et évoluer à mon rythme. Je dis pas qu'il faut pas nous booster mais nous mettre la pression cela ne peut que être négatif.
Effectivement, en theorie, rien n'ai source de stress (hormis le concret, situation d'urgence inconnue par exemple). Seulement tout dans la formation insufle ce stress.Gengis a écrit :à mon avis ça ne répond pas à ma question
Tout ce dont tu parles ici n'est pas négatif et n'est pas en principe source de stress
Je suis pas foncierement negatif sur ma formation, je comprends tout à fait les enjeux de la partie theorique et pratique qui me permettront d'être un professionnel "adequate", le probleme c'est que tout le reste n'ai ni fait ni à faire. Te dire "tu vas en chier", c'est source de stress alors que "c'est une année importante, nous allons vous aider à passer ce cap" est source de motivation.
Je sais pas si jsuis plus clair comme ca ^^
Sur ton second point, hatsumi y repond bien. Les jugements des eleves sur les encadrants sont souvent percus comme hatifs de la part des dits encadrants, seulement derriere, cela reflete un mal etre, peut etre mal exprimé, mais le probleme est la.
Cela reste quand meme un sujet multitraite et j'ai un peu l'impression qu'il n'y a pas de communication possible, ne serait ce que sur un forum où les IDE/ESI ne se connaissent theoriquement pas. Meme si les propos sont plus directs, on pourrait penser qu'il y a une solution qui pourrait se degager, valable pour les ESI en difficulte, comme pour les IDE qui n'arrivent pas à encadrer (dans les deux sens du terme

La reponse de calimerote est d'ailleurs bien demonstrative de la position de l'IDE face à l'ESI qui critique. C'est bien dommage.
Je suis tout à fait d'accord que tous les ESIs ne sont pas parfaits ne connaissent pas tout sur le bout des doigts (de toute maniere, si c'etait le cas, ils seraient IDE), font des erreurs, ne sont pas forcement up tout le temps, etc etc. Seulement il y a des choses qui m'etonnent toujours autant dans l'encadrement des stagiaires. Sur des dizaines de stages (en comparant avec mes collegues de promo), actuellement c'est mon premier "vrai" stage. Il y a un livret special ESI expliquant la structure, expliquant ce que le stage attend de lui (sur ce point, c'est souvent le jeu du "devine ce qu'on attend de toi") et ce que l'ESI peut attendre de la structure. Je suis integre dans leur planning (haha, j'en ai fait halluciné plus d'une), et ou des journées sont reservees pour la decouverte de la structure (donc dans des services "non IDE/AS" comme une journée avec les assistantes sociales).
Ma question est la suivante :
pourquoi est ce que ce n'ai pas systematique ?
Ensuite que l'ESI ne veuille pas travailler, tres bien, mais la, la structure a tout mis en oeuvre pour que le stage soit ... un stage.
C'est imo une solution a apporte à l'encadrement, c'est du travail, mais le gain de temps au final est tres rentable.
Pour ma part, sur 5 stage, a 2 stages j'ai demande à sortir un peu de mon role "standard" d'etudiant, entre autres en participant aux activites psychomotrices en geriatrie et en allant au moins une fois au bloc. Resultat, pour les activites je me suis fait alpaguer x fois pendant la sceance en mode "t'es etudiant tu viens aider", le personnel soignant se fichant que mon depart casse la structure de la sceance et donc le travail de la psychomotricienne, pour le bloc, cela a ete "on verra", et j'attends toujours ^^.
Mais j'aime mon métier
infirmière est un métier qui se mérite !!!
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