quelles sont les probleme rencontrer pendants les stages ?
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pourquoi tu continues? tu as fait un mauvais choix au départ? ça a vraiment l'air de te peser !Noodle a écrit :Ceci n'engage que moi mais je dirais :quelles sont les probleme rencontrer pendants les stages ?
La soumission
L'ennui
La fatigue
Le ras le bol
Le désespoir
L'obéissance
Les MSP
Liste non exhaustive
Mais il y a quand même quelques points positifs![]()
Encore une fois cela n'engage que moi, mais ces études sont vraiment très lourdes (pour rester poli), autant sur le plan physique (les stages, le manque de repos, les horaires), que sur le plan mental (lla douleur, le sang, la mort, la folie concernant certains patients et la lourdeur de certains stages concernant le travail et l'ambiance générale etc ...) et enfin assez chiantes sur le plan intellectuel avec tout ce qu'il faut retenir, apprendre par cœur etc ... Voilà en gros pourquoi selon moi ces études sont bien pourries
CHECHE47
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Et bien ça s'amuse bien ici
Perso sur tous mes stages, il n'y en a qu'un seul qui s'est réellement mal passé. Pas à l'aise dans le service de part la spécialité en elle-meme. Et un véritable problème en soi avec l'équipe également. Le genre de stage où on se rend à reculons. Mais à part celui là no soucy. Bien sûr il y a des stages parfois que l'on peut considérer comme mitigés de part l'ambiance de le service, l'encadrement ect mais je fais mon taff et basta.
Lors de mon stage cet été, la 1ère semaine a été assez tendue. Au bout de 5 jours, le ton est monté entre une infirmière et moi et la situation s'est arrangée d'elle-même. Elle a vu que je faisais mon boulot, que je maitrisais mes soins et que je n'hésitais pas à demander de l'aide si besoin. Contre toute attente malgré nos débuts difficiles on s'est merveilleusement bien entendues et elle a meme demandé si faire mon stage pré-pro dans le service m'interessait
J'ai appris à prendre sur moi en stage. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds pour autant.
Il y a un juste milieu. Oui les stages "noirs" existent mais ils représentent une minorité. Et il est vrai qu'on en arrive à croire ici et là qu'ils représentent la majorité.
Après il faut arrêter avec certaines choses. Lors d'un stage, j'ai vu une ESI 1ère année qui prenait seule les tensions avec le dynamap. Elle avait dit à l'infirmière qu'elle maîtrisait et l'infirmière lui a fait confiance. J'ai beau être encore ESI mais 3h pour prendre 10 TA ça me gave
J'ai pris l'étudiante dans la salle de soins et je lui ai demandé à quoi correspondait pour elle une hyper et une hypotension, ce qu'était la pression systolique et diastolique... Elle m'a répondu "mais c'est que mon 2ème stage de 1ère année et ce sont juste des TA faut pas exagérer"
Ba oui désolée mais dans un service où il y a un risque hémorragique plus que présent çà le fait encore moins qu'ailleurs:roll:
Elle a dit que je n'étais pas gentille, qu'entre ESI on devrait se soutenir et que je ferai une infirmière chiante
C'est si facile de se retrancher derrière ce genre de phrases
Poser des questions, faire des recherches à côté c'est pas la fin du monde. Cela devrait couler de source mais ce n'est pas le cas.

Perso sur tous mes stages, il n'y en a qu'un seul qui s'est réellement mal passé. Pas à l'aise dans le service de part la spécialité en elle-meme. Et un véritable problème en soi avec l'équipe également. Le genre de stage où on se rend à reculons. Mais à part celui là no soucy. Bien sûr il y a des stages parfois que l'on peut considérer comme mitigés de part l'ambiance de le service, l'encadrement ect mais je fais mon taff et basta.
Lors de mon stage cet été, la 1ère semaine a été assez tendue. Au bout de 5 jours, le ton est monté entre une infirmière et moi et la situation s'est arrangée d'elle-même. Elle a vu que je faisais mon boulot, que je maitrisais mes soins et que je n'hésitais pas à demander de l'aide si besoin. Contre toute attente malgré nos débuts difficiles on s'est merveilleusement bien entendues et elle a meme demandé si faire mon stage pré-pro dans le service m'interessait

J'ai appris à prendre sur moi en stage. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds pour autant.

Après il faut arrêter avec certaines choses. Lors d'un stage, j'ai vu une ESI 1ère année qui prenait seule les tensions avec le dynamap. Elle avait dit à l'infirmière qu'elle maîtrisait et l'infirmière lui a fait confiance. J'ai beau être encore ESI mais 3h pour prendre 10 TA ça me gave


Elle a dit que je n'étais pas gentille, qu'entre ESI on devrait se soutenir et que je ferai une infirmière chiante



Poser des questions, faire des recherches à côté c'est pas la fin du monde. Cela devrait couler de source mais ce n'est pas le cas.
Je vends mes charmes Et mes armes Ma violence et ma douceur. Je vends ce que je vaux Et si ça ne vaut pas un clou Tant pis, je donnerai tout. Je vends mon âme au diable et j'envoie ma vie en l'air;
Parce que j'y trouve mon compte, les points positifs que je trouve compensent. J'ai cité les PROBLÈMES comme l'indique le titre du topic, si on me demande les trucs cools, je les citerai.CHECHE47 a écrit :pourquoi tu continues? tu as fait un mauvais choix au départ? ça a vraiment l'air de te peser !Noodle a écrit :Ceci n'engage que moi mais je dirais :quelles sont les probleme rencontrer pendants les stages ?
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Encore une fois cela n'engage que moi, mais ces études sont vraiment très lourdes (pour rester poli), autant sur le plan physique (les stages, le manque de repos, les horaires), que sur le plan mental (lla douleur, le sang, la mort, la folie concernant certains patients et la lourdeur de certains stages concernant le travail et l'ambiance générale etc ...) et enfin assez chiantes sur le plan intellectuel avec tout ce qu'il faut retenir, apprendre par cœur etc ... Voilà en gros pourquoi selon moi ces études sont bien pourries
C'est fou ça, on a pas le droit de trouver ces études lourdes et pesantes sans s'en prendre plein la figure et se faire remettre en question. Étrange.
Sinon un truc qui m'agace un peu, ce sont les gens qui causent alors qu'ils viennent de commencer la formation, attendez un peu, vous avez le temps d'avoir des trucs à raconter pour vraiment juger.
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Re: Témoignage de stage
À didi ou je sais plus trop comment il s'appelle.Didi ESI a écrit :A Leopold ou je sais plus trop comment il s'appelle
Oh, mais moi je vous laisse le temps que vous voulez. Tant qu'on ne me répond pas "j'y arriverai jamais, de toutes façons j'ai jamais compris les calculs de dose", ou "mais à quoi ça va me servir", ou "j'ai bien le temps d'apprendre ça, je suis en première, deuxième, troisième (rayer les mentions inutiles) année", ou "de toutes façons, je veux faire de la médecine du travail (ou de la psychiatrie, ou de la gériatrie etc.)".Didi ESI a écrit :[...] quand on débarque dans un service de réa en début de 2 ème année et qu'on a l'habitude de faire des lovenox allez calculer une seringue de dobu en gamma et convertir cela demande beaucoup plus de temps [...]
Quant au stress, de nombreux ési disent être stressés, et bien souvent ils disent "qu'on leur met la pression". Je leur ce que ça veut dire, et on me répond ce qui figure sur ce topic, "ils nous disent qu'on va en chier, que la deuxième année est très difficile, que l'école est en bataille pour garder sa place de meilleure école de l'Univers"...
Mais tout ça, on nous le disait aussi. Les termes étaient un peu différents ("ces études sont une école d'excellence, il n'y a pas de place pour la médiocrité, nous n'avons quasiment pas d'échec au DÉI dans cette école, vous n'allez pas remplir la liste, il va falloir travailler beaucoup plus qu'en première année"...).
Et chacun adaptait sa dose de travail pour obtenir les notes qu'il souhaitait, et tout le monde était content. Il y avait bien quelques stressés, soit parce qu'ils étaient d'un niveau un peu juste, ou parce qu'ils visaient la première place, ou parce qu'ils étaient inquiets de nature ("non, cette semaine je ne sors pas, on a l'évaluation la semaine prochaine, je me dépêche de rentrer et je bosse trois heures par jour, et huit heures par jour le week-end").
Une de nos source de stress, c'était de prendre la mesure de ce que serait notre profession. "Là, j'ai deux malades, mais l'ide elle en a dix-huit ; ça doit être infaisable...". Mais la très grande majorité ne se disait pas stressé par les études.
C'est fort possible, quoiqu'une de l'ancienne ecole me disait aujourd'hui qu'elle trouvait les etudes d'infirmiers bien plus dur qu'a son epoque.
Ma question au dessus reste entiere, comment faire pour ameliorer les choses ?
C'est presqu'une question pour la partie IDE en faite
Ma question au dessus reste entiere, comment faire pour ameliorer les choses ?
C'est presqu'une question pour la partie IDE en faite

Mais j'aime mon métier
infirmière est un métier qui se mérite !!!
infirmière est un métier qui se mérite !!!
Primo, je m'excuse mais je ne t'en ai pas mis plein la tête, je cherchai seulement à comprendre.Noodle a écrit :Parce que j'y trouve mon compte, les points positifs que je trouve compensent. J'ai cité les PROBLÈMES comme l'indique le titre du topic, si on me demande les trucs cools, je les citerai.CHECHE47 a écrit :pourquoi tu continues? tu as fait un mauvais choix au départ? ça a vraiment l'air de te peser !Noodle a écrit : Ceci n'engage que moi mais je dirais :
La soumission
L'ennui
La fatigue
Le ras le bol
Le désespoir
L'obéissance
Les MSP
Liste non exhaustive
Mais il y a quand même quelques points positifs![]()
Encore une fois cela n'engage que moi, mais ces études sont vraiment très lourdes (pour rester poli), autant sur le plan physique (les stages, le manque de repos, les horaires), que sur le plan mental (lla douleur, le sang, la mort, la folie concernant certains patients et la lourdeur de certains stages concernant le travail et l'ambiance générale etc ...) et enfin assez chiantes sur le plan intellectuel avec tout ce qu'il faut retenir, apprendre par cœur etc ... Voilà en gros pourquoi selon moi ces études sont bien pourries
C'est fou ça, on a pas le droit de trouver ces études lourdes et pesantes sans s'en prendre plein la figure et se faire remettre en question. Étrange.
Sinon un truc qui m'agace un peu, ce sont les gens qui causent alors qu'ils viennent de commencer la formation, attendez un peu, vous avez le temps d'avoir des trucs à raconter pour vraiment juger.
Secondo, je ne te fais pas remettre en question, j'essayai juste d'y voir plus clair.
Tertio, donnes les bons côtés comme ça chacun y trouvera son compte
Merci et bonne soirée.
CHECHE47
Alors ça ça résume bien ce que je pensais les gens ont besoin d'entendre des choses positives....mais le sujet c'était bien "quels sont les problèmes rencontrés en stage"CHECHE47 a écrit :Primo, je m'excuse mais je ne t'en ai pas mis plein la tête, je cherchai seulement à comprendre.Noodle a écrit :Parce que j'y trouve mon compte, les points positifs que je trouve compensent. J'ai cité les PROBLÈMES comme l'indique le titre du topic, si on me demande les trucs cools, je les citerai.CHECHE47 a écrit : pourquoi tu continues? tu as fait un mauvais choix au départ? ça a vraiment l'air de te peser !
C'est fou ça, on a pas le droit de trouver ces études lourdes et pesantes sans s'en prendre plein la figure et se faire remettre en question. Étrange.
Sinon un truc qui m'agace un peu, ce sont les gens qui causent alors qu'ils viennent de commencer la formation, attendez un peu, vous avez le temps d'avoir des trucs à raconter pour vraiment juger.
Secondo, je ne te fais pas remettre en question, j'essayai juste d'y voir plus clair.
Tertio, donnes les bons côtés comme ça chacun y trouvera son compte
Merci et bonne soirée.
Ames sensibles s'abstenir

Je suis assez d'accord avec ce que dit noodle, c'est étrange que le fait de trouver ces études lourdes par certains côtés dérange, alors qu'autour de moi j'entends beaucoup de monde se plaindre des mêmes problèmes.
Il faut être aveugle pour le nier (il suffit de voir le nombre de messages rien que sur ce site concernant les soucis que rencontrent les étudiants).
Personnellement j'ai des facilités en cours et ai des très bonnes notes sans beaucoup travailler.
Au départ ça m'agaçait un peu de voir des messages d'étudiants se plaindre de devoir travailler, de ne pas réussir un calcul de dose....
Mais en y réfléchissant 2 minutes on se dit que si des étudiants viennent en parler jusqu'ici c'est qu'il y a un réel problème dont ils ne sont pas forcément responsables.
Pareil pour les stages, avant de tomber sur des équipes vraiment spéciales, ça m'énervait aussi de lire certains témoignages que je trouvais un peu "gros".
Mais depuis je comprends mieux ce que j'ai pu lire ici ou là.
Encore une fois j'ai la chance d'être dans un ifsi où les formateurs sont très bien mais ça ne m'empêche pas d'envisager que certaines écoles soient + fermées d'esprit.
Il est vrai que certains n'ayant pas encore commencé un seul stage ont peut être des idées bien arrêtées sur ce que sera leur formation et c'est assez étonnant.
Je leur souhaite que tout se passe parfaitement bien sûr mais je trouve dommage de se centrer sur soi et ne pas envisager que les autres vivent les choses différemment, sans forcément pour autant être de moins bons étudiants.
Personnellement rien ne me fait plus peur en stage que les personnes trop sûre d'elles, qui ne se remettent pas en question, et les personnes qui portent des jugement un peu hâtifs.
On est tous différents, on a chacun notre propre vécu de la formation et c'est ce qui est intéressant à prendre en compte d'après moi.
esi 3ème année, dernière ligne droite... ça passe vite et tant mieux!
Noodle a écrit :Ceci n'engage que moi mais je dirais :quelles sont les probleme rencontrer pendants les stages ?
La soumission
L'ennui
La fatigue
Le ras le bol
Le désespoir
L'obéissance
Les MSP
Liste non exhaustive
Mais il y a quand même quelques points positifs![]()
Encore une fois cela n'engage que moi, mais ces études sont vraiment très lourdes (pour rester poli), autant sur le plan physique (les stages, le manque de repos, les horaires), que sur le plan mental (lla douleur, le sang, la mort, la folie concernant certains patients et la lourdeur de certains stages concernant le travail et l'ambiance générale etc ...) et enfin assez chiantes sur le plan intellectuel avec tout ce qu'il faut retenir, apprendre par cœur etc ... Voilà en gros pourquoi selon moi ces études sont bien pourries
Le problème, et comme le dit Leopold plus bas c'est apparemment après le D.E c'est pire.
Pour ma seule part je dirai que les études sont hyper intéressantes du point de vue... théorique (et des rencontres), alors il faut aimer les cours, apprendre, c'est le gratin, ça l'est pour moi.
Vient la réalité : les stages, et surtout ceux en hôpital donc l'endroit où nous sommes censés exercer :
- Personnel épuisé
- Personnel mal rémunéré, même après 10 ans de fonction (je ne parle pas de ceux qui passent leur vie, leurs nuits et week end à l'hôpital et qui évidemment gagnent un peu plus, en tout cas qui prétendent bien gagner leur vie, par omission du nombre d'heures travaillées dans le mois)
-Personnel jeune et déjà aux portes du Burn-Out (impressionnant à voir)
-Personnel tout juste diplômé et déjà obligé de bâcler les soins (manque de temps, démotivation)
- L'horreur des services "gériatrie" (maison de retraite comprises) - la toilette en 1 minutes et 30 chrono avec le même gant et à l'arrache
- Administratif et paperasse bien que les stagiaires y échappent.
- Angoisses matinales du fait d'aller en stage
- La psycho rigidité de quelques formatrices lors des MSP (atavisme de l'aigrie de bénitier), elles souhaitent des étudiants infirmiers d'élites, faut-il leur répéter que "l'élite" logiquement ne gagne pas 1500 euros à la sortie d'un diplôme ?
- Le rapport épanouissement/travail difficile qui amène automatiquement la question de la "vocation" (la vocation c'est quoi ? L'abnégation soit dix minutes de souffrances pour une probable jouissance de 3 secondes).
Pour beaucoup la vocation c'est soit le mythe du papier glacé (devenez infirmière ! Métier unique, relationnel incroyable), mythe que l'on retrouve également pour l'armée (l'aventure, la solidarité, les copaingues ! etc) ou simplement le désir d'avoir un emploi.
- l'envie de taire à coup de vannes incisives la "hauteur" d'infirmier(e)s donneur de leçons, qu'ils ne respectent pas eux-mêmes
- il y a aussi l'aspect le plus grave et le plus comique : le salaire des médecins comparés à ceux des infirmiers... là c'est l'admirable représentation de l'inégalité portée à son excellence. D'ailleurs nombre de médecins ne connaissent pas le salaire des IDE.
Bon, soyons plus optimistes : Les cours sont géniaux, certaines formatrices exemplaires voire formidables, le rapport aux patients motivant et riche, des personnalités ici et là attachantes, la sensation d'être intégré au coeur de la société, une profession active et responsable (mais tellement peu valorisée !).
Pour moi ça n'est pas la désillusion, loin de là mais le cruel constat de ce que j'ai lu ici depuis quelques années. c'est une profession en crise +++, l'absence de solidarité disons "syndicale" entre les infirmiers est troublante, chacun pour sa peau et au diable les mouvements collectifs (non idéologiques). Le turn over impressionnant. En tant que stagiaire c'est admirable, on voit un infirmier différent tout les deux jours ! Alors pour votre suivi...
Demeure la fuite par excellence soit quitter le service pour un probable autre meilleur.
1ère année en attente de validation pour la seconde
Vous vouliez dire le contraire je suppose : la majorité. Dans ma promo c'est bien le stress qui domine, la peur de l'échec. des modules pour les uns, des msp pour les autres voire les deux.Gengis a écrit :
Ceci dit les personnes qui viennent parler ici de stress, de pression, ... ne représentent qu'une infime majorité des esi de FRance non ?
.
Il serait intéressant d'analyser ce stress justement. Probablement qu'il n'est pas que la résultante d'une génération d'étudiants plus stressés ou bien de formatrices plus stressants. L'ambiance est général et dans d'autres milieux professionnels cet état de stress est aussi mis en avant.
Si les études ont été simples pour moi (écouter en cours suffit, avec un peu de travail de relecture puis la dernière semaine avant le module on synthétise), j'ai trouvé les stages (en hôpital) médiocres. Quand il y a peu de personnel ceci entraîne plus de travail pour les IDE donc moins de temps pour les stagiaires, donc des stagiaires peu formés ou laissés à leur propre capacité d'auto apprentissage.
1ère année en attente de validation pour la seconde
Merci thousta pour ces messages!
S'ils ne sont pas d'un optimisme frappant (ce qui risque de déplaire fortement à certains
), ils ont le mérite d'être clairs et, d'après mon point de vue, très représentatifs des aspects négatifs de la formation voire de la profession
.
S'ils ne sont pas d'un optimisme frappant (ce qui risque de déplaire fortement à certains


esi 3ème année, dernière ligne droite... ça passe vite et tant mieux!
Très bonne question.Caro37 a écrit :Bonjour,
Concernant les relations avec l'encadrement :
l'encadrement a-t-il un comportement différent selon l'âge de l'élève?
L'âge peut-être une facilité comme un problème et plus, si vous avez dix ans d'expérience dans une autre branche de métier, il y a des comportements de "jeunes" infirmiers qui vous irritent ou vous amusent tant ils reproduisent le rapport élève/formateur psychorigide qu'ils ont subi.
Naturellement pour ma part j'étais plus proche des soignants plus âgés, c'était problématique lors des stages où il n'y avait que des infirmiers bien plus jeunes que moi, puis bien plus simple avec ceux de ma tranche d'âge hormis les exceptions.
Le problème (que j'ai vécu) d'être plus âgé est que l'on oubli que vous êtes débutant, autant que les autres et que vous avez besoin d'être cadré, d'une forme différente certes mais le fond d'apprentissage est identique, vous ne savez pas grand chose des soins, de l'organisation etc. Vous avez besoin les premiers temps/stage d'être mis sur les rails.
Plus que lié à l'âge en finalité c'est très lié à la personnalité des uns et des autres.
Pour l'histoire du café, du thé, j'aurai tendance à soutenir les professionnels, ça ne coûte rien un paquet de thé (2 euros pour 20 sachets), et il vaut mieux être indépendant avec son matos qu'attendre le fouet qui de toute façon vous donnera tort. Alors ajoutez à votre budget le thé et café puis les galettes au beurre. perso j'amenai mes gourmandises et en proposait. La générosité n'est pas une qualité à ignorer, sauf si votre pingrerie vous en empêche.
Le plus regrettable mais c'est assez rare sera d'être exclu de la salle de repos parce que vous êtes stagiaire, là nous sommes dans la bêtise datée.
En finalité, si vous êtes incapables de vous intégrer en tant que stagiaire, je ne vois pas comment ça sera plus simple après le D.E (Le diplôme n'est pas une vaseline sociale), alors on prend sur soit, on réagit quand raisonnablement la ligne jaune est franchie (et non quand sa susceptibilité est tiraillée). De toute façon vous êtes dans un milieu particulier où le psychisme est fragilisé (fatigue etc), donc la susceptibilité plus vulnérable (enfin je trouve).
1ère année en attente de validation pour la seconde
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- Localisation : Dans les montagnes de p_titpoussin !!
Et bien moi je peux vous dire que ma vie a été beaucoup plus simple dès que j'ai eu le diplome en poche ! Je ne supportais pas le statut d'étudiant, me sentir jugé observé tout le temps me faisait perdre les pédales.Une fois le DE en poche j'ai réussi a m'afirmer, a trouver mon organisation, a defendre mes opinions...Thousta a écrit : En finalité, si vous êtes incapables de vous intégrer en tant que stagiaire, je ne vois pas comment ça sera plus simple après le D.E (Le diplôme n'est pas une vaseline sociale), alors on prend sur soit, on réagit quand raisonnablement la ligne jaune est franchie (et non quand sa susceptibilité est tiraillée). De toute façon vous êtes dans un milieu particulier où le psychisme est fragilisé (fatigue etc), donc la susceptibilité plus vulnérable (enfin je trouve).
Alors bien sur c'est pas evident d'avoir en charge 30 personnes mais je trouve cela beaucoup plus simple de m'en occuper vraiment : je veux dire par la que si y'a un soucis je suis au courant.Parce que lorsque qu'on est esi c'est bcp plus dur de savoir ce qui se passe, si y'a quelque chose a dire le medecin en parle avec l'ide et l'étudiant n'est pas forcement au courant.Surtout que l'étudiant aura passé une partie de la journèe avec l'ide et le reste avec l'aide soignante (sans compter les aller retour labo, radio...)donc beaucoup plus dur de tout suivre...
Alors peu être (certainement) que je ne savais pas gérer en tant étudiante mais en tant qu'IDE ça se passe bien ...
On voudrait passer l'arme à gauche pour être à la droite de Dieu, moi je préfère prendre les armes et rester au milieu...
- mimidu
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- Inscription : 17 sept. 2008 14:32
- Localisation : Dans la tête encore dans ma combi SAMU 62!
Slt à tous
les problèmes rencontrés sont bien souvent en tout cas pour ma part la frustration de certaines AS lorsque l'on est en 1e année qui nous font pas confiance, nous donne tout leur travaille de M... et nous traite comme des chiens!!!!!!!!!!!!!
HEUREUSEMENT ELLES NE SONT POUR LA PLUPART PAS COMME CA mais la minorité comme ca rencontré peuvent nous saper un stage entier, rapport y compris!!!!!!!!!!!
les problèmes rencontrés sont bien souvent en tout cas pour ma part la frustration de certaines AS lorsque l'on est en 1e année qui nous font pas confiance, nous donne tout leur travaille de M... et nous traite comme des chiens!!!!!!!!!!!!!
HEUREUSEMENT ELLES NE SONT POUR LA PLUPART PAS COMME CA mais la minorité comme ca rencontré peuvent nous saper un stage entier, rapport y compris!!!!!!!!!!!

[quote="Crunch
Et bien moi je peux vous dire que ma vie a été beaucoup plus simple dès que j'ai eu le diplome en poche ! Je ne supportais pas le statut d'étudiant, me sentir jugé observé tout le temps me faisait perdre les pédales.Une fois le DE en poche j'ai réussi a m'afirmer, a trouver mon organisation, a defendre mes opinions...
Alors bien sur c'est pas evident d'avoir en charge 30 personnes mais je trouve cela beaucoup plus simple de m'en occuper vraiment : je veux dire par la que si y'a un soucis je suis au courant.Parce que lorsque qu'on est esi c'est bcp plus dur de savoir ce qui se passe, si y'a quelque chose a dire le medecin en parle avec l'ide et l'étudiant n'est pas forcement au courant.Surtout que l'étudiant aura passé une partie de la journèe avec l'ide et le reste avec l'aide soignante (sans compter les aller retour labo, radio...)donc beaucoup plus dur de tout suivre...
Alors peu être (certainement) que je ne savais pas gérer en tant étudiante mais en tant qu'IDE ça se passe bien ...[/quote]
C'est ce que me disent les infirmiers que je connais ils se sentent beaucoup plus à l'aise le diplome en poche et ça parait assez logique en fait.
Et bien moi je peux vous dire que ma vie a été beaucoup plus simple dès que j'ai eu le diplome en poche ! Je ne supportais pas le statut d'étudiant, me sentir jugé observé tout le temps me faisait perdre les pédales.Une fois le DE en poche j'ai réussi a m'afirmer, a trouver mon organisation, a defendre mes opinions...
Alors bien sur c'est pas evident d'avoir en charge 30 personnes mais je trouve cela beaucoup plus simple de m'en occuper vraiment : je veux dire par la que si y'a un soucis je suis au courant.Parce que lorsque qu'on est esi c'est bcp plus dur de savoir ce qui se passe, si y'a quelque chose a dire le medecin en parle avec l'ide et l'étudiant n'est pas forcement au courant.Surtout que l'étudiant aura passé une partie de la journèe avec l'ide et le reste avec l'aide soignante (sans compter les aller retour labo, radio...)donc beaucoup plus dur de tout suivre...
Alors peu être (certainement) que je ne savais pas gérer en tant étudiante mais en tant qu'IDE ça se passe bien ...[/quote]
C'est ce que me disent les infirmiers que je connais ils se sentent beaucoup plus à l'aise le diplome en poche et ça parait assez logique en fait.
esi 3ème année, dernière ligne droite... ça passe vite et tant mieux!