TFE : prise en charge de la douleur
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TFE : prise en charge de la douleur
26/11 22h D'avance merci pour vos messages, là je bosse donc je ne peux rectifier tout de suite mais je vais le faire petit à petit et les corrections seront en gras! pour ce qui est de mon questionnement je vous le ferai parvenir également sachant que celui-ci est entrain de porter je pense, sur les représentations "douleur est normale"??? ou le prendre soin... je ne sais encore bref je le passerai... si des idées vous viennent...
24/11 20h Je cherche à savoir si la situation est assez explicite,compréhensible, si elle ne présente pas de préjugés, jugements de valeurs... A vous de me dire! d'avance MERCI
Pour la réalisation de mon Travail de Fin d’Etude (TFE) j’ai choisi d’exploiter une situation qui m’a interpellée au cours de ma deuxième année de formation lors du deuxième stage.
Celui-ci s’est déroulé dans le service de chirurgie digestive d’un centre hospitalier. Ce service est divisé en deux secteurs comprenant dix lits chacun. Chaque matin, une infirmière et deux aides soignantes sont affectées à chaque secteur.
Le troisième jour, 7h30, une infirmière travaillant dans le service depuis 5 ans, me propose de l’accompagner durant la matinée. Nous entrons alors dans la chambre de Madame C, 41ans, à J1 d’une hémorroïdectomie radicale avec incision et drainage d’un abcès de la marge anale : la patiente est seule, dans une chambre double, du côté fenêtre, en décubitus latéral droit face à la porte d’entrée.
Pendant que je mesure les paramètres vitaux de Me C, l’infirmière lui demande:
« comment ça va ce matin ? »
et Me C de répondre :
« pour l’instant, je n’ai pas mal donc ça va».
Elle lui administre alors, sur sa voie veineuse périphérique posée à gauche, le traitement intra-veineux, à savoir : un antalgique de palier I prescrit toutes les six heures. Puis elle l’informe que la première réfection du pansement est prévue ce jour et qu’elle viendra le lui faire après sa toilette, ce à quoi la patiente répond acquiesce.
Peu après 10h, nous étant assuré que la toilette de Me C était faite, nous préparons sur le chariot de soin le matériel nécessaire pour la réalisation du pansement de MeC puis nous entrons dans la chambre. Me C est dans son lit dans la même position qu’en début de matinée, l’infirmière lui dit donc de rester ainsi. Je me tiens alors au pied du lit de la patiente, au plus près de l’infirmière, afin d’observer le soin que je n’ai jamais vu pratiqué auparavant.
L’infirmière commence par enlever le pansement puis dit à Me C :
« il y a une mèche, ça risque de tirer un peu ne vous inquiétez pas c’est juste désagréable» , il s'agissait d'une mèche iodée longue de cinq centimètres environ. Elle retire la mèche mais avec quelques difficultés car celle-ci adhère à la plaie ; à ce moment là, la patiente inspire bruyamment puis coupe sa respiration le temps du déméchage (l’espace de trois secondes), elle rétracte ses jambes, a le visage crispé, les yeux fermés et les mains qui serrent les draps. L’infirmière lui dit alors :
« ah oui je sais, ça fait mal mais c’est normal, je nettoie et ça sera fini ».
Une fois le pansement terminé, Me C respire de nouveau calmement, son faciès reste tendu mais elle a les yeux ouverts, ses mains sont desserrées et ses jambes détendues. Nous sortons alors de sa chambre.
[Titre modifié => Juju5544][/color]
24/11 20h Je cherche à savoir si la situation est assez explicite,compréhensible, si elle ne présente pas de préjugés, jugements de valeurs... A vous de me dire! d'avance MERCI
Pour la réalisation de mon Travail de Fin d’Etude (TFE) j’ai choisi d’exploiter une situation qui m’a interpellée au cours de ma deuxième année de formation lors du deuxième stage.
Celui-ci s’est déroulé dans le service de chirurgie digestive d’un centre hospitalier. Ce service est divisé en deux secteurs comprenant dix lits chacun. Chaque matin, une infirmière et deux aides soignantes sont affectées à chaque secteur.
Le troisième jour, 7h30, une infirmière travaillant dans le service depuis 5 ans, me propose de l’accompagner durant la matinée. Nous entrons alors dans la chambre de Madame C, 41ans, à J1 d’une hémorroïdectomie radicale avec incision et drainage d’un abcès de la marge anale : la patiente est seule, dans une chambre double, du côté fenêtre, en décubitus latéral droit face à la porte d’entrée.
Pendant que je mesure les paramètres vitaux de Me C, l’infirmière lui demande:
« comment ça va ce matin ? »
et Me C de répondre :
« pour l’instant, je n’ai pas mal donc ça va».
Elle lui administre alors, sur sa voie veineuse périphérique posée à gauche, le traitement intra-veineux, à savoir : un antalgique de palier I prescrit toutes les six heures. Puis elle l’informe que la première réfection du pansement est prévue ce jour et qu’elle viendra le lui faire après sa toilette, ce à quoi la patiente répond acquiesce.
Peu après 10h, nous étant assuré que la toilette de Me C était faite, nous préparons sur le chariot de soin le matériel nécessaire pour la réalisation du pansement de MeC puis nous entrons dans la chambre. Me C est dans son lit dans la même position qu’en début de matinée, l’infirmière lui dit donc de rester ainsi. Je me tiens alors au pied du lit de la patiente, au plus près de l’infirmière, afin d’observer le soin que je n’ai jamais vu pratiqué auparavant.
L’infirmière commence par enlever le pansement puis dit à Me C :
« il y a une mèche, ça risque de tirer un peu ne vous inquiétez pas c’est juste désagréable» , il s'agissait d'une mèche iodée longue de cinq centimètres environ. Elle retire la mèche mais avec quelques difficultés car celle-ci adhère à la plaie ; à ce moment là, la patiente inspire bruyamment puis coupe sa respiration le temps du déméchage (l’espace de trois secondes), elle rétracte ses jambes, a le visage crispé, les yeux fermés et les mains qui serrent les draps. L’infirmière lui dit alors :
« ah oui je sais, ça fait mal mais c’est normal, je nettoie et ça sera fini ».
Une fois le pansement terminé, Me C respire de nouveau calmement, son faciès reste tendu mais elle a les yeux ouverts, ses mains sont desserrées et ses jambes détendues. Nous sortons alors de sa chambre.
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Dernière modification par littleSi le 26 nov. 2008 22:22, modifié 3 fois.
En quoi les représentations sociales de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en soin d'une personne hospitalisée lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
Re: Avis sur ma Situation de départ
eT alors, la question?
Sur la prise en charge de la douleur?
Sur la prise en charge de la douleur?
IDE depuis le 20 novembre
Re: TFE : prise en charge de la douleur
information du deroulement, explication, confiance, douleur prévenue..?
Re: TFE : prise en charge de la douleur
par rapports aux questions que tu te pose, ta situation est neutre bien explicite bien circonstanciées.
par contre je ferai quelques retenues; tu es un peu trop dans le detail de la chambre, c'est a dire que de savoir qu'elle est du coté fenetre, cela n'apporte rien a ta situation.
mais par contre tu devrais plutot rajouter des details sur le pansement a faire: a premiere vue tu parle de mechage... mais quel type de meche? est ce que tu sais comment s'est passé le soin a J1, est ce que c'est un pansement quotidien?
il serait aussi super interessant aussi de savoir ce que l'infirmiere a fait apres le soin? rien? relève ecrite? si oui qu'a t'elle préciser??
et derniere remarque, evite de mettre les paroles de l'infirmiere ou de la patiente entre guillemets! cela voudrait dire que tu as une super memoire. je pense qu'il serait plus judicieux d'etre d'avantage dans la narration!.
voila mes quelques remarques.
et maintenant tu n'as plus qu'a poser le questionnement que t'a imposé cette situation...
courage
par contre je ferai quelques retenues; tu es un peu trop dans le detail de la chambre, c'est a dire que de savoir qu'elle est du coté fenetre, cela n'apporte rien a ta situation.
mais par contre tu devrais plutot rajouter des details sur le pansement a faire: a premiere vue tu parle de mechage... mais quel type de meche? est ce que tu sais comment s'est passé le soin a J1, est ce que c'est un pansement quotidien?
il serait aussi super interessant aussi de savoir ce que l'infirmiere a fait apres le soin? rien? relève ecrite? si oui qu'a t'elle préciser??
et derniere remarque, evite de mettre les paroles de l'infirmiere ou de la patiente entre guillemets! cela voudrait dire que tu as une super memoire. je pense qu'il serait plus judicieux d'etre d'avantage dans la narration!.
voila mes quelques remarques.
et maintenant tu n'as plus qu'a poser le questionnement que t'a imposé cette situation...
courage
la connaissance n'a de valeur que si elle est partagée
Re: TFE : prise en charge de la douleur
littleSi a écrit :Je cherche à savoir si la situation est assez explicite,compréhensible, si elle ne présente pas de préjugés, jugements de valeurs... A vous de me dire! d'avance MERCI
Pour la réalisation de mon Travail de Fin d’Etude (TFE) j’ai choisi d’exploiter une situation qui m’a interpellée au cours de ma deuxième année de formation lors du deuxième stage.Celui-ci s’est déroulé dans le service de chirurgie digestive d’un centre hospitalier. Ce service est divisé en deux secteurs comprenant dix lits chacun. Chaque matin, une infirmière et deux aides soignantes sont affectées à chaque secteur.
INUTILE
L.e troisième jour, 7h30, une infirmière travaillant dans le service depuis 5 ans, me propose de l’accompagner durant la matinée
INUTILE
Nous entrons alors dans la chambre de Madame C, 41ans, à J2 d’une hémorroïdectomie radicale avec incision et drainage d’un abcès de la marge anale : la patiente est seule, dans une chambre double, du côté fenêtre, en décubitus latéral droit face à la porte d’entrée.
Pendant que je mesure les paramètres vitaux de Me C, l’infirmière lui demande:
« comment ça va ce matin ? »
et Me C de répondre :
« pour l’instant, je n’ai pas mal donc ça va».
Elle lui administre alors, sur sa voie veineuse périphérique posée à gauche, le traitement intra-veineux, à savoir : un antalgique de palier I prescrit toutes les six heures. Puis elle l’informe que la réfection de son pansement est prévu ce jour et qu’elle viendra le lui faire après sa toilette, ce à quoi la patiente répond
« d’accord ».
Peu après 10h, nous étant assuré que la toilette de Me C était faite, nous préparons sur le chariot de soin le matériel nécessaire pour la réalisation du pansement de MeC puis nous entrons dans la chambre. Me C est dans son lit dans la même position qu’en début de matinée, l’infirmière lui dit donc de rester ainsi. Je me tiens alors au pied du lit de la patiente, au plus près de l’infirmière, afin d’observer le soin que je n’ai jamais vu pratiqué auparavant.
L’infirmière commence par enlever le pansement puis dit à Me C :
« il y a une mèche, ça risque de tirer un peu ne vous inquiétez pas c’est juste désagréable».
Elle retire la mèche mais avec quelques difficultés car celle-ci adhère à la plaie ; à ce moment là, la patiente inspire bruyamment puis coupe sa respiration le temps du déméchage (l’espace de trois secondes), elle rétracte ses jambes, a le visage crispé, les yeux fermés et les mains qui serrent les draps. L’infirmière lui dit alors :
« ah oui je sais, ça fait mal mais c’est normal, je nettoie et ça sera fini ».
Une fois le pansement terminé, Me C respire de nouveau calmement, son faciès reste tendu mais elle a les yeux ouverts, ses mains sont desserrées et ses jambes détendues. Nous sortons alors de sa chambre.
[Titre modifié => Juju5544]
il faudrait que tu précises ce qui t'a posé des questions
que s'est il passé avec l'IDE apres? en as tu parlé avec elle?
quel est ton vécu? ton ressenti?
tes questions?
ta situation est claire mais o reste sur la fin...on ne sait pas ou tu veux en venir...
nain fermière dans son bled!!!!
que de changements...
que de changements...
Re: TFE : prise en charge de la douleur
27/11 19h D'avance merci pour vos messages, là je bosse donc je ne peux rectifier tout de suite mais je vais le faire petit à petit et les corrections seront en gras! pour ce qui est de mon questionnement je vous le ferai parvenir également sachant que celui-ci est entrain de porter je pense, sur les représentations "douleur est normale"??? ou le prendre soin... je ne sais encore bref je le passerai... si des idées vous viennent...
En quoi les représentations sociales de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en soin d'une personne hospitalisée lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
Re: TFE : prise en charge de la douleur


[Pourquoi la patiente a-t-elle eu mal ?
L'infirmière n'a rien mis en place, le pic d'action de l'antalgique était largement dépassé
Qu’aurai pu faire l’infirmière pour éviter la douleur de la patiente ?
Tout est fait dans la société pour soulager les douleurs (décrets, lois, plans, traitements médicamenteux et non médicamenteux)
Ma question a alors été :
Pourquoi rien n'a été mis en place?
Pourquoi y a t-il eu un écart entre la perception de la douleur de la patiente et celle consentie par l’infirmière ?
Qu'est-ce qui a fait que l'infirmière puisse dire "c'est juste désagréable" (alors que c'est bien plus que désagréable) et "ça fait mal c'est normal" ( en gros, la douleur est normale, et elle ne met donc rien en place contre)?
Après avoir été orienté par une formatrice ayant un D.U. sur "la douleur de l'adulte", j'ai lu le livre de l'Institut UPSA "douleurs induites", j'ai vu que ma situation rentrait dans ce cadre là, puis j'ai lu Durkheim qui fait la différence entre représentations individuelles et collectives (sociales) et je pense avoir une première ébauche de question de départ:
En quoi les représentations (de la douleur?) de l'infirmier (ière) peuvent-elles influencer la prise en charge des douleurs induites sur le patient?
Avant de réaliser une grille d'entretien ou un questionnaire, je ne sais encore, si pous pouviez déjà m'aider à voir si je pars dans la bonne direction ça serait sympa

En quoi les représentations sociales de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en soin d'une personne hospitalisée lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
Re: TFE : prise en charge de la douleur
ceci n'est pas une question. et attention tu interprete ce que l'ide a fait et tu es limite dans le jugement de valeur.littleSi a écrit :![]()
Mon questionnement:
L'infirmière n'a rien mis en place, le pic d'action de l'antalgique était largement dépassé
a 7h30 elle a eu un antagique de palier 1, et vous etes arrivez a 10 heure pour le pansemenrt. soit 2h30 apres l'administration!! donc vous etiez dans la periode d'efficacité, 'qui est de 4 a 6 heures)
soit plus professionnel, on ne parle pas de la société, mais plutot de legislation, je te laisse le soin de reformuler en 1 question.Qu’aurai pu faire l’infirmière pour éviter la douleur de la patiente ?
Tout est fait dans la société pour soulager les douleurs (décrets, lois, plans, traitements médicamenteux et non médicamenteux)
faux la patiente a eu un antalgique. apres il peut y avoir un ecart entre l'administration d'un antalgique de palier 1 et celui qu'elle aurait du avoir... cela peut venir d'une mauvaise connaissance de la patiente... peut etre probleme dans les transmissions???Ma question a alors été :
Pourquoi rien n'a été mis en place?
tres bonnes questions en effet.Pourquoi y a t-il eu un écart entre la perception de la douleur de la patiente et celle consentie par l’infirmière ?
Qu'est-ce qui a fait que l'infirmière puisse dire "c'est juste désagréable" (alors que c'est bien plus que désagréable) et "ça fait mal c'est normal" ( en gros, la douleur est normale, et elle ne met donc rien en place contre)?[/color]
Après avoir été orienté par une formatrice ayant un D.U. sur "la douleur de l'adulte", j'ai lu le livre de l'Institut UPSA "douleurs induites", j'ai vu que ma situation rentrait dans ce cadre là, puis j'ai lu Durkheim qui fait la différence entre représentations individuelles et collectives (sociales) et je pense avoir une première ébauche de question de départ:
En quoi les représentations (de la douleur?) de l'infirmier (ière) peuvent-elles influencer la prise en charge des douleurs induites sur le patient?
Avant de réaliser une grille d'entretien ou un questionnaire, je ne sais encore, si pous pouviez déjà m'aider à voir si je pars dans la bonne direction ça serait sympa... et tout commentaire sur ma situation est encore bienvenue bien-sûr...
ta question finale est interessante.
par contre tu peux aussi te poser d'autres questions: comment l'infirmiere évalur t'elle la douleur?quand??...outils??
je te conseille aussi de lire un tres bon livre c'est celui de David Le BRETON : l'antropologie de la douleur.
et aussi un livre de WALTER HESBEEN (prendre soin a l'hopital ou la qualité du soin infirmier)
voila mes premières reflexion.
pour infos, j'ai aussi fait mon TFE sur ce que pouvait faire l'infirmier pour minimiser la douleur induite.
n'hesites pas a me poser des questions.
la connaissance n'a de valeur que si elle est partagée
Re: TFE : prise en charge de la douleur
Oui j'ai vraiment mis ce qui m'est passé à l'esprit lors de la situation, il est clair que mes jugements de valeurs n'apparaitront pas dans mon travail, j'essaie de rester le plus neutre possible et c'est ça aussi qui n'est pas évident, et qui ne doit pas être évident une fois infirmière, laisser tous ces préjugés, stéréotypes... ou représentations? de coté...
En quoi les représentations sociales de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en soin d'une personne hospitalisée lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
Re: TFE : prise en charge de la douleur
c'est pas ce qu'il y a de plus facile, mais je ne suis pas la pour te faire un cours sur les prejugés dans le soin.... mais ta situation de départ est vraiment essentielle. elle pose le cadre de départ!!! donc il faut qu'elle soit niquelle!!!
courage
courage
la connaissance n'a de valeur que si elle est partagée
Re: TFE : prise en charge de la douleur
ta question de départ est tres pertinente et ressemble un peu a celle de mon sujet de TFE (douleur induite et rire)
par contre ilf audra reformuler certaines réflexion et question au cours de ton cheminement car il y a des jugements de valeurs comme dit argiop
par contre ilf audra reformuler certaines réflexion et question au cours de ton cheminement car il y a des jugements de valeurs comme dit argiop
nain fermière dans son bled!!!!
que de changements...
que de changements...
Re: TFE : prise en charge de la douleur
Voici ma nouvelle question de départ:
En quoi les représentations individuelles de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en charge lors d'un soin pouvant entraîner une douleur chez le patient?
En quoi les représentations individuelles de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en charge lors d'un soin pouvant entraîner une douleur chez le patient?
En quoi les représentations sociales de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en soin d'une personne hospitalisée lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
Re: TFE : prise en charge de la douleur
pour moi ta question me parait niquel!!!!
pas de jugement et est pertinente
bon courage
pas de jugement et est pertinente
bon courage
nain fermière dans son bled!!!!
que de changements...
que de changements...
Re: TFE : prise en charge de la douleur
Pourtant j'ai plusieurs doutes sur ma question afin qu'elle soit bien comprise de tous:
d'abord, le problème me vient de ce terme "individuelle" en faisant mes entretiens je me suis apercue qu'en fin de compte plusieurs infirmières parlait de la douleur induite comme une fatalité, quelquechose d'utile " un mal pour un bien" et que plusieurs avait encore cette image de l'infirmière qui soulage, fait du bien etc et cela les frustrait alors de "faire mal" à l'opposé de "l'ideal soignant" et déniait alors qu'elle puisse faire mal à un patient... faut-il alors plutot que je parle de représentation sociale??
puis "En quoi les représentations individuelles DE l'infirmière" ou "D'UNE infirmière" pour éviter de généraliser ma situation à tous les soignants
ensuite "peuvent-elles influencer SA prise en charge" ou "LA prise en charge"
et dois-je plutot parler de "prise en CHARGE" ou "prise en SOIN"
après je me disais que le lecteur pouvait se demander "la prise en charge ou en soin de quoi? la douleur, le patient... alors que c'est bien de la prise en soin d'un patient dont il est question
de plus est-il nécessaire de préciser "en service de soins généraux" parce que j'ai pensé qu'au service des urgences les memes questions sur les douleurs induites ne se posaient pas: dans l'urgence je ne vais pas poser un patch EMLA pour une gazo si admettons le patient entre pour décompensation respi mais en même temps pleins de petites choses vont pouvoir prévenir ou souager sa douleur (l(information, la position etc)...
Ce qui m'amène à reposer autrement ma question de départ:
En quoi les représentations individuelles d'une infirmière travaillant en service de soins généraux peuvent-elles influencer sa prise en soin d'un patient lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
sachant que ça ne me va pas encore tout à fait car le mot soin est redondant?
Je reste sur ma fin, je crois que je préfère encore ma premièr question mais en même elle me fait douter de sa bonne compréhension par tous.
Si vous pouvez m'apporter votre aide... merci encore!
d'abord, le problème me vient de ce terme "individuelle" en faisant mes entretiens je me suis apercue qu'en fin de compte plusieurs infirmières parlait de la douleur induite comme une fatalité, quelquechose d'utile " un mal pour un bien" et que plusieurs avait encore cette image de l'infirmière qui soulage, fait du bien etc et cela les frustrait alors de "faire mal" à l'opposé de "l'ideal soignant" et déniait alors qu'elle puisse faire mal à un patient... faut-il alors plutot que je parle de représentation sociale??
puis "En quoi les représentations individuelles DE l'infirmière" ou "D'UNE infirmière" pour éviter de généraliser ma situation à tous les soignants
ensuite "peuvent-elles influencer SA prise en charge" ou "LA prise en charge"
et dois-je plutot parler de "prise en CHARGE" ou "prise en SOIN"
après je me disais que le lecteur pouvait se demander "la prise en charge ou en soin de quoi? la douleur, le patient... alors que c'est bien de la prise en soin d'un patient dont il est question
de plus est-il nécessaire de préciser "en service de soins généraux" parce que j'ai pensé qu'au service des urgences les memes questions sur les douleurs induites ne se posaient pas: dans l'urgence je ne vais pas poser un patch EMLA pour une gazo si admettons le patient entre pour décompensation respi mais en même temps pleins de petites choses vont pouvoir prévenir ou souager sa douleur (l(information, la position etc)...
Ce qui m'amène à reposer autrement ma question de départ:
En quoi les représentations individuelles d'une infirmière travaillant en service de soins généraux peuvent-elles influencer sa prise en soin d'un patient lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
sachant que ça ne me va pas encore tout à fait car le mot soin est redondant?
Je reste sur ma fin, je crois que je préfère encore ma premièr question mais en même elle me fait douter de sa bonne compréhension par tous.
Si vous pouvez m'apporter votre aide... merci encore!
En quoi les représentations sociales de l'infirmière peuvent-elles influencer sa prise en soin d'une personne hospitalisée lors d'un soin pouvant entrainer une douleur?
Re: TFE : prise en charge de la douleur
pour ta question, je vois que tu as bien progréssé dans ta réflexion.
comme je te l'ai dis plus haut ( je crois) j'ai aussi fais mon TFE sur la douleur induite, et le role de l'IDE.
pour la redondance du mot soin, je te conseille de garder l'expression de la prise en soin (walter hasbeen a écrit de tres bons livres a ce sujet),
mais perso je n'aurais pas forcément utilisé l'expresion des services de soins généraux.
car tu parles des réprésentations infirmières qui peuvent moduler la prise en soin. c'est clair que c'est ultra important. mais l'essentiel de ta question se trouve en milieu hospitalier!
car pour reprendre ton exemple qui est très parlant ( a mon gout), que ce soit dans un service d'urgence, ou en long séjour, tu n'auras peut etre pas tout a fait la même approche, mais c'est bien tes représentations qui vont te faire agir. en long séjour tu vas poser un patch emla, dans un services d'urgence tyu utilisera peut etre plus l'hypna analgésies, la sophrologie, le "toucher massage...) mais tu vas le faire dans la même optique: limiter la douleur induite ( par un soin douloureux).
donc perso, je parlerai plus de l'infirmière en mileu hospitalier que de l'infirmière en service de soins généraux.
j'espère t'avoir éclairer un peu
courage, sachant qu'on sent ta motivation
comme je te l'ai dis plus haut ( je crois) j'ai aussi fais mon TFE sur la douleur induite, et le role de l'IDE.
pour la redondance du mot soin, je te conseille de garder l'expression de la prise en soin (walter hasbeen a écrit de tres bons livres a ce sujet),
mais perso je n'aurais pas forcément utilisé l'expresion des services de soins généraux.
car tu parles des réprésentations infirmières qui peuvent moduler la prise en soin. c'est clair que c'est ultra important. mais l'essentiel de ta question se trouve en milieu hospitalier!
car pour reprendre ton exemple qui est très parlant ( a mon gout), que ce soit dans un service d'urgence, ou en long séjour, tu n'auras peut etre pas tout a fait la même approche, mais c'est bien tes représentations qui vont te faire agir. en long séjour tu vas poser un patch emla, dans un services d'urgence tyu utilisera peut etre plus l'hypna analgésies, la sophrologie, le "toucher massage...) mais tu vas le faire dans la même optique: limiter la douleur induite ( par un soin douloureux).
donc perso, je parlerai plus de l'infirmière en mileu hospitalier que de l'infirmière en service de soins généraux.
j'espère t'avoir éclairer un peu
courage, sachant qu'on sent ta motivation
la connaissance n'a de valeur que si elle est partagée