Israël/Palestine : 60 ans d'espoir ou 60 ans de désespoir ?

[europe222]

à vous

[europe222]

bonjour à toutes et tous
voila mon sentiment dans ce conflit quei bourdonne dans nos oreilles depuis des années à 13 h et 20 h

je ne comprends pas comment un peuple qui a vécu les pires misères durant la deuxième guerre mondiale , un peuple qui a connu la faim l'humiliation la torture la misère la mort les maladies dans les camp de concentration peut reproduire ce qu'ils ont subit . Au collège on nous demande de réfléchir sur les erreurs du passé pour qu'elles ne se reproduisent plus pour que nous génération future ne reproduisant pas les erreurs de nos aieux, je comprends pas comment d'un côté on nous bassine avec des films comme le pianiste, la liste de schindler, entre autres aisni que tous les reportages sur arte envoyé special .... et que de l'autre coté le gouverement israeliens son armée soutenu par 80 % de la population agissent de cette manière

les VICTIMES SERAIENT DEVENUES BOURREAUX je le crains . le pire c'est qu'aucun pays ni européen ni usa ni arabes ne levent le petit doigt la seule chose c'est qu'il condamne verbalement et laisse faire alors que le gouvernement israleine ne respecte aucun accord depuis 42 ans , occupent des terres colonies , bombardent de maniere disproportionnée, un peuple affamé dans cette prison a ciel ouvert dit Gaza .


si il doit y avoir un devoir de mémoire et bien que cette shoa serent en premier aux israeliens . certes ils ont en bavés ils ont souffert durant la deuxiéme guerre mondiale mais est ce que cela legitimise leur barbarie? est ce le spalestiniens qui les ont occupé et tué? il n'avait qu' à occupé une partie de l'allemagne ou de la pologne ... c'est injuste voila mon opinion HONTE EUX mais eux qui sont trés croyants rassurez vous DIEU VOIT

esperons que cela s'arrete ç a suffit trop de pleurs dtrop de larmes qui ont coulés esperons une paix sincere

[haricot vert]

je ne comprends pas comment un peuple qui a vécu les pires misères durant la deuxième guerre mondiale , un peuple qui a connu la faim l'humiliation la torture la misère la mort les maladies dans les camp de concentration peut reproduire ce qu'ils ont subit .

D' une part , ceux qui ont subi cela sont morts . D'autre part , c'est une guerre qui se déroule là-bas, donc ça n' a aucun rapport .

Au collège on nous demande de réfléchir sur les erreurs du passé pour qu'elles ne se reproduisent plus pour que nous génération future ne reproduisant pas les erreurs de nos aieux, je comprends pas comment d'un côté on nous bassine avec des films comme le pianiste, la liste de schindler, entre autres aisni que tous les reportages sur arte envoyé special ....

Ça , c'est ce qui se passe en France , La shoah est la shoah , elle ne doit pas se reproduire .
Ce qui se passe à Gaza n' a rien d' une shoah , ne fait pas d' amalgame STP .

et que de l'autre coté le gouverement israeliens son armée soutenu par 80 % de la population agissent de cette manière

Tu mélanges tout en effet .

Dire que 80% de la population israélienne soutient le gouvernement qui a ordonné l'attaque de Gaza est exagéré .
Les médias ne nous montrent que les israéliens favorables à cette guerre , pas ceux qui n' aspirent qu' à la paix .

les VICTIMES SERAIENT DEVENUES BOURREAUX je le crains .

Rien de nouveau sous le soleil , c'est l' histoire humaine qui se répète depuis des millénaires .

le pire c'est qu'aucun pays ni européen ni usa ni arabes ne levent le petit doigt la seule chose c'est qu'il condamne verbalement et laisse faire alors que le gouvernement israleine ne respecte aucun accord depuis 42 ans , occupent des terres colonies , bombardent de maniere disproportionnée, un peuple affamé dans cette prison a ciel ouvert dit Gaza .

C'est de la politique , des luttes d' influence et de pouvoir tout simplement .

si il doit y avoir un devoir de mémoire et bien que cette shoa serent en premier aux israeliens . certes ils ont en bavés ils ont souffert durant la deuxiéme guerre mondiale mais est ce que cela legitimise leur barbarie?

Est-ce qui se passe au Darfour , au Congo , en Birmanie , dans les dictatures actuellement , est légitime ?

il n'avait qu' à occupé une partie de l'allemagne ou de la pologne ...

C'est une plaisanterie ! Tu as oublié une partie de la France pour "l'occupation" tant que tu y es .

Connais-tu un peu la 2é guerre mondiale et le partage territorial à la fin de la guerre et sais-tu qui leur a octroyé un territoire en terre soit-disant sainte ?

mais eux qui sont trés croyants rassurez vous DIEU VOIT

Ils sont comme tout le monde . Il y a des extrémistes religieux , des modérés et des athées là-bas .

esperons que cela s'arrete ç a suffit trop de pleurs dtrop de larmes qui ont coulés esperons une paix sincere

On l' espère tous pour cette partie du monde et dans les autres régions du globe où sévissent les guerres et les massacres .

[Gengis]

A propos des 80% de soutien, ce n'est pas 80% de soutien à la destruction de Gaza, mais 80% de soutien à la politique d'Israel concernant le Hamas... ça fait de la différence

D'autre part concernant les Arabes Israeliens (ceux qui vivent en Israel et qui en ont la nationalité = 1,5 millions = 20% de la population d'Israel = mathématiquement les 20% qui ne soutiennent pas) ont été menacés dans un discours de Tzipi Livni de leur déplacement vers un état palestinien quand celui-ci serait délimité (?)

La communication voudrait nous faire croire donc que 100% des Israéliens (juifs) donc approuvent cette offensive.... n'importe qui de censé comprend que ce n'est pas possible, il y a des pacifiste éminemment actifs là-bas... mais tout comme la presse n'a pas été autorisé à entrer dans Gaza, elle n'a pas été autorisées à parler librement de tout ou alors ce n'est pas sorti des frontières ... ça me semble propbable

Des niouzes

La situation à Gaza divise les Etats arabes
L’Egypte et l’Arabie Saoudite boycottent le sommet de Doha

Un sommet des Etats arabes en soutien aux Palestiniens s’est tenu, vendredi, à Doha, la capitale Qatarie. Cette rencontre qui s’est soldée par l’adoption d’un document, a révélé de profondes divergences entre les Etats arabes. La « Oumma », en proie à une guerre de leadership, est divisée en deux camps : d’une part les durs et d’autre part les modérés, partisans d’une diplomatie plus conciliante avec Israël. Pendant ce temps, les habitants de Gaza meurent. Plus de 1 100 ont été tués depuis le début de l’offensive israélienne, le 27 décembre.


vendredi 16 janvier 2009, par Djamel Belayachi

« Encore une fois, l’aphorisme “les Arabes se sont mis d’accord pour ne jamais s’entendre” se vérifie sur le terrain », ironisait le quotidien algérien Liberté, jeudi, la veille de la tenue du sommet extraordinaire des pays arabes à Doha, au Qatar. Un Sommet que l’Egyptien Amr Moussa, le secrétaire général de la Ligue arabe, refuse de qualifier comme tel, le quorum de participation prévu par la charte de la Ligue n’ayant pas été atteint. En clair, les résolutions adoptées lors de cette rencontre ne seront pas prises en compte par la Ligue.

Des 22 pays membres de l’organisation, treize Etats ont accepté de participer à la rencontre de Doha. Celle-ci, a pourtant adopté un document en onze points pour soutenir les populations palestiniennes qui subissent les bombardements israéliens. Ce texte qui sera soumis au sommet de Koweït prévu lundi et mardi prochain, exige, entre autres, « une cessation immédiate de l’agression israélienne sous toute ces formes » contre la Bande de Gaza, la levée du blocus « illégitime » imposé par Israël et l’ouverture immédiate « et durable de tous les points de passage » aux frontières de ce territoire.

Alors que le président algérien, Abdelaziz Bouteflika s’est rendu, jeudi, à Doha, ses voisins, le roi du Maroc, Mohamed VI, et le président tunisien, Ben Ali, ont refusé de faire le déplacement. L’un se plaignant de « la dégradation sans précédent de l’action arabe commune », et l’autre jugeant préférable d’aborder la question dans le cadre, « mieux adapté », du Sommet économique de Koweït, prévu le 19 janvier. Les présidents soudanais, mauritanien et comorien ont, comme Abdelaziz Bouteflika, jugé, eux aussi, opportun de prendre part à ce sommet de Doha. L’Irak, la Libye et Djibouti se sont contentés, quant à eux, d’envoyer de hauts responsables. Les grands absents, l’Arabie Saoudite et l’Egypte, ont déclaré préférer prendre part à des « discussions » (sans conséquences) sur la question palestinienne en marge du sommet économique koweïtien.

« L’Egypte veut conserver un rôle incontournable »

Le sommet de Doha a, ainsi, révélé au grand jour de profondes divergences entre les Etats arabes. La « Oumma » serait désormais donc divisée en deux camps qui s’affrontent : une sorte d’axe dur mené par le Qatar, et qui regrouperait des infréquentables, comme le chef du Hamas en exil, Khaled Mechaal, les présidents syrien et iranien, Bachar al-Assad et Mahmoud Ahmadinejad. Un autre, plus modéré, conduit par l’Egypte, partisan d’une diplomatie plus conciliante avec Israël et ouverte aux Etats-Unis.

« Le Qatar et la Syrie voulaient la présence du Hamas présent en tant que tel. L’Egypte, qui veut conserver un rôle incontournable, ne voulait pas que sa présence soit légitimée », commente Didier Billion, directeur adjoint de l’IRIS (Institut de Recherches Internationales et Stratégiques), joint par Afrik.com. Il regrette une guerre de leadership qui ne sera d’aucun secours aux Palestiniens.

Ce spécialiste du Moyen-Orient n’exclut pas, en outre, que l’on parvienne à « un cessez-le-feu assez rapide » entre le Hamas et Israël, « dans l’intérêt des deux parties ». « D’une part, Israël a quasiment atteint ses objectifs, en tout cas ses objectifs affichés. Les fameux tunnels d’où le Hamas fait parvenir les armes sont presque tous détruits, les tirs de roquettes ont sensiblement baissé, et l’infrastructure du Hamas est très durement touchée. D’autre part, l’organisation islamiste, très affaiblie, apparaîtrait aux yeux des Palestiniens et, au-delà, dans le monde musulman, comme celle qui a résisté à l’agression israélienne. Certains parlent d’ailleurs de la date symbolique de l’investiture du président américain, Barak Obama, le 20 janvier », indique-il.

« Les Etas-Unis vont continuer à défendre les intérêts d’Israël »

Le pessimisme reste cependant de mise en ce qui concerne une gestion plus équitable du conflit israélo-palestinien par la nouvelle administration. « Les Etats-Unis vont continuer à défendre les intérêts d’Israël ». Didier Billion en veut pour preuve la nomination d’Hillary Clinton au poste de secrétaire d’Etat et le retour de Dennis Ross, qui avait joué rôle important dans la politique américaine au Moyen-orient, tous deux connus pour leurs positions pro-israéliennes.

Cette situation, ajoute-t-il, risque de perdurer tant que « les pays puissants -comme la France, l’Allemagne, la Chine ou la Russie- n’auront pas le courage d’exercer des pressions sur Israël, qui n’a de toute façon pas l’intention de négocier. Et qui n’a jamais vraiment voulu la création d’un Etat palestinien ».

source

Gaza: les responsables israéliens décideront samedi d'un cessez-le-feu unilatéral

Par LEXPRESS.fr, publié le 16/01/2009 19:51 - mis à jour le 16/01/2009 19:59

Le cabinet de sécurité israélien se prononcera par vote ce samedi sur la possibilité d'un cessez-le-feu unilatéral. Mais les troupes engagées à Gaza y resteront pour l'instant.

Le cabinet de sécurité israélien devrait voter samedi "en faveur" d'une proposition de cessez-le-feu unilatéral dans la bande de Gaza, a affirmé vendredi une source gouvernementale.

"Le cabinet de sécurité doit voter en faveur d'un cessez-le-feu unilatéral demain (samedi) à la suite de la signature d'un accord à Washington et des progrès significatifs réalisés au Caire", a déclaré cette source à des journalistes, sous couvert de l'anonymat.

Mais pas question d'un retrait immédiat des forces engagées à Gaza."Les forces israéliennes resteront à Gaza après la mise en place d'un cessez-le-feu unilatéral", a affirmé sous couvert de l'anonymat ce responsable à l'AFP, sans toutefois préciser la durée de cette présence.

Selon cette source, Israël considère que le Hamas s'abstiendra de toute attaque mais, "s'ils décident d'ouvrir le feu, nous n'hésiterons pas à répondre et poursuivre notre offensive".