Temps de repas soignant.
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Temps de repas soignant.
Bonjour,
Ayant écumé le net... je n'arrive pas à trouver de réponses à ma question : comment pratiquez vous dans vos services respectifs pour le temps de repas des soignants ?
Je m'explique : sachant que les IDE doivent être joignables en permanence, comment s'organise alors l'achat des repas ? Si vous avez un self comment faites vous ?
Le faible nombre d'infirmiers dans les services et l'organisation du temps de travail entre fins de repas des patients et transmissions font que, à mon sens, si l'on adopte un cadre trop rigide.... aucun soignant ne peut aller s'acheter à manger.
Qu'en pensez-vous ?
Ayant écumé le net... je n'arrive pas à trouver de réponses à ma question : comment pratiquez vous dans vos services respectifs pour le temps de repas des soignants ?
Je m'explique : sachant que les IDE doivent être joignables en permanence, comment s'organise alors l'achat des repas ? Si vous avez un self comment faites vous ?
Le faible nombre d'infirmiers dans les services et l'organisation du temps de travail entre fins de repas des patients et transmissions font que, à mon sens, si l'on adopte un cadre trop rigide.... aucun soignant ne peut aller s'acheter à manger.
Qu'en pensez-vous ?
Dernière modification par Kaeneda le 25 sept. 2009 20:52, modifié 1 fois.
Raison : Titre en minuscule
Raison : Titre en minuscule
Re: Temps de repas soignant.
bonjour,
dans mon service notre temps de repas est compté en temps de travail donc nous sommes dérangeable a tout moment: téléphone et patients. Et nous devons manger en même temps que les patients.
Il n'est pas question par contre d'avoir du temps pour aller s'acheter a manger!
dans mon service notre temps de repas est compté en temps de travail donc nous sommes dérangeable a tout moment: téléphone et patients. Et nous devons manger en même temps que les patients.
Il n'est pas question par contre d'avoir du temps pour aller s'acheter a manger!
ide en psy depuis 5 ans!
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Re: Temps de repas soignant.
Bonjour,
Dans mon service nous mangeons à table avec les patients, ce qu'on appelle repas thérapeutique, c'est donc considéré comme du temps de travail. Si il n'y a pas assez de place pour tous les soignants, on mange à côté à l'office mais certains de mes collègues rendent cette demi-heure du coup. Seule la cadre de santé et la secrétaire vont au self.
Estelle
Dans mon service nous mangeons à table avec les patients, ce qu'on appelle repas thérapeutique, c'est donc considéré comme du temps de travail. Si il n'y a pas assez de place pour tous les soignants, on mange à côté à l'office mais certains de mes collègues rendent cette demi-heure du coup. Seule la cadre de santé et la secrétaire vont au self.
Estelle
Re: Temps de repas soignant.
Dans mon établissement les infirmiers ne vont pas au self, nous n'avons pas le temp....
Nous apportons notre repas et nous le faison réchaufer pour le repas.
Sur les CMP le temp de repas est décompté car il n'y a pas de patient à ces heures, par contre en service de soin comme nous devons être tout de même disponible pour les patien le temp de repas est compris dans les heures de travail.
Nous apportons notre repas et nous le faison réchaufer pour le repas.
Sur les CMP le temp de repas est décompté car il n'y a pas de patient à ces heures, par contre en service de soin comme nous devons être tout de même disponible pour les patien le temp de repas est compris dans les heures de travail.
Re: Temps de repas soignant.
chidochi a écrit :Dans mon établissement les infirmiers ne vont pas au self, nous n'avons pas le temp....
Nous apportons notre repas et nous le faison réchaufer pour le repas.
Sur les CMP le temp de repas est décompté car il n'y a pas de patient à ces heures, par contre en service de soin comme nous devons être tout de même disponible pour les patients le temp de repas est compris dans les heures de travail.
Re: Temps de repas soignant.
En psychiatrie, et en psychiatrie seulement, il existe un truc qui s'appelle "le repas thérapeutique"
c'est à dire qu'on considère que le soignant qui prend son repas en même temps et avec les patients est en situation de travail; et donc son repas aussi est fourni par l'établissement( et ce n'est pas un avantage en anture).
C'est une situation de soin, ou se travaille la socialisation, la communication, ou l'on observe les relations, les comportements, les capacités.
Ne peuvent y prétendre que les infirmiers et aides-soignants.
je n'ai pas le texte sous la main, mais il existe un cadre légal; ça date un peu, d'au moins 30 ou 40 ans, mais c'est toujours effectif. je chercherais
maintenant je sais que dans l'application il ya a des variations, voire des dérapages, par exemple quand des équipes bénéficient du temps "repas thérapeutique" mais en fait prennent leur repas à part des patients.
Ceci dit ce n'est pas une obligation non plus, mais si on ne fait pas valoir cette possibilité, il ne reste que les accords locaux entre partenaires sociaux pour savoir si oui ou non le temps de repas est compris dans le temps de travail, et combien et comment.
Dans notre établissement il a fallu 20 ans de négociations pour l'obtenir dans tous les services.
c'est à dire qu'on considère que le soignant qui prend son repas en même temps et avec les patients est en situation de travail; et donc son repas aussi est fourni par l'établissement( et ce n'est pas un avantage en anture).
C'est une situation de soin, ou se travaille la socialisation, la communication, ou l'on observe les relations, les comportements, les capacités.
Ne peuvent y prétendre que les infirmiers et aides-soignants.
je n'ai pas le texte sous la main, mais il existe un cadre légal; ça date un peu, d'au moins 30 ou 40 ans, mais c'est toujours effectif. je chercherais
maintenant je sais que dans l'application il ya a des variations, voire des dérapages, par exemple quand des équipes bénéficient du temps "repas thérapeutique" mais en fait prennent leur repas à part des patients.
Ceci dit ce n'est pas une obligation non plus, mais si on ne fait pas valoir cette possibilité, il ne reste que les accords locaux entre partenaires sociaux pour savoir si oui ou non le temps de repas est compris dans le temps de travail, et combien et comment.
Dans notre établissement il a fallu 20 ans de négociations pour l'obtenir dans tous les services.
Re: Temps de repas soignant.
je confirme le repas thérapeutique n'est pas un avantage en nature..... parfois il faut avoir l'estomac bien accroché pour pouvoir manger.





Re: Temps de repas soignant.
J’avais annoncé que je rechercherais les textes… ça m’a pris un peu de temps, j’espère que vous voudrez bien m’en excuser ;
Voilà donc ce qui existe à ma connaissance sur la définition et la réglementation autour du « repas thérapeutique en psychiatrie »
Circulaire n°269/DH/4 du 26 juillet 1977 relative à l’octroi à certains personnels infirmiers des établissements d’hospitalisation publics de la gratuité des repas pris à la table des malades et avec eux dans un but thérapeutique
(BO n°32 –1977)
NB : cette circulaire intervient après la condamnation d’un hôpital pour avoir systématiquement accordé la gratuité des repas à l’ensemble des infirmiers de l’établissement sans bénéfice pour la prise en charge des patients en au détriment des charges financières dudit établissement .
Le ministère rappelle donc les règles :
« je crois devoir rappeler que le recours à cette méthode thérapeutique (le repas thérapeutique) nécessite la mise en œuvre de la procédure suivante :
1. Le recours à ladite méthode fait l’objet d’une demande expresse du médecin-chef qui indique le nom des malades qui doivent en bénéficier ;
2. Seul, un nombre très limité d’infirmiers peut bénéficier de la mesure ;
3. L’octroi de l’avantage en cause, en tant qu’il engage le budget de l’établissement, fait l’objet d’une délibération du conseil d’administration, soumise à votre approbation (DDASS- DRASS).
4. Si ces conditions sont remplie, les repas pris à la table des malades ,et avec eux, dans un but thérapeutique, peuvent être gratuits ; le temps qui leur est consacré peut-être assimilé à un temps de travail effectif et inclus dans la durée hebdomadaire du travail. »
Concrètement, chaque établissement doit mettre par écrit les modalités et règles de fonctionnement qu’il applique sur ce sujet.
« En outre, comme l’a rappelé la Cour de Discipline Budgétaire et financière, la valeur de ces repas doit être incluse, en application des articles 82 et 87 du code général de impôts, dans les déclarations fiscales incombant tant aux bénéficiaires qu’à l’établissement employeur.»
Autrement dit d’après ce dernier paragraphe, à l’époque, ceci doit être déclaré comme avantage en nature.
Mais un peu plus tard la législation change :
Lettre circulaire n°386/DH/8D du 21 mars 1983 relative aux avantages en nature – repas thérapeutique – revenu imposable
(Ministère de la Santé -Direction des Hôpitaux –)
« Par lettre cité en référence vous m’avez demandé si les instructions de la direction générale des impôts en date du 9 décembre 1982 indiquant que les repas thérapeutiques ne devaient plus figurer dans les déclarations fiscales parmi les avantages en nature, rendaient caduques les termes de la circulaire n°269/DH/4 du 26 juillet 1977, portant sur ce point.
Je vous précise que la circulaire ne faisait que rappeler une réglementation émanant du ministère du budget ; cette administration ayant modifié sa position sur ce point, il convient bien entendu d’appliquer ses nouvelles instructions.
R. VERSY »
J’ai aussi trouvé une note de service de la Direction de notre établissement, datée de janvier 1978, fixant les règles conformément à la circulaire de 1977 et précisant même : « peuvent être autorisés à prendre leur repas à la table des maldes, dans un but thérapeutique, mais ce, à titre non gratuit, des agents appartenant à d’autres grades qui ne figurent pas dans la circulaire susvisée »
En espérant que certains trouverons ainsi réponses à leur question, voire matière à interrogation...
Voilà donc ce qui existe à ma connaissance sur la définition et la réglementation autour du « repas thérapeutique en psychiatrie »
Circulaire n°269/DH/4 du 26 juillet 1977 relative à l’octroi à certains personnels infirmiers des établissements d’hospitalisation publics de la gratuité des repas pris à la table des malades et avec eux dans un but thérapeutique
(BO n°32 –1977)
NB : cette circulaire intervient après la condamnation d’un hôpital pour avoir systématiquement accordé la gratuité des repas à l’ensemble des infirmiers de l’établissement sans bénéfice pour la prise en charge des patients en au détriment des charges financières dudit établissement .
Le ministère rappelle donc les règles :
« je crois devoir rappeler que le recours à cette méthode thérapeutique (le repas thérapeutique) nécessite la mise en œuvre de la procédure suivante :
1. Le recours à ladite méthode fait l’objet d’une demande expresse du médecin-chef qui indique le nom des malades qui doivent en bénéficier ;
2. Seul, un nombre très limité d’infirmiers peut bénéficier de la mesure ;
3. L’octroi de l’avantage en cause, en tant qu’il engage le budget de l’établissement, fait l’objet d’une délibération du conseil d’administration, soumise à votre approbation (DDASS- DRASS).
4. Si ces conditions sont remplie, les repas pris à la table des malades ,et avec eux, dans un but thérapeutique, peuvent être gratuits ; le temps qui leur est consacré peut-être assimilé à un temps de travail effectif et inclus dans la durée hebdomadaire du travail. »
Concrètement, chaque établissement doit mettre par écrit les modalités et règles de fonctionnement qu’il applique sur ce sujet.
« En outre, comme l’a rappelé la Cour de Discipline Budgétaire et financière, la valeur de ces repas doit être incluse, en application des articles 82 et 87 du code général de impôts, dans les déclarations fiscales incombant tant aux bénéficiaires qu’à l’établissement employeur.»
Autrement dit d’après ce dernier paragraphe, à l’époque, ceci doit être déclaré comme avantage en nature.
Mais un peu plus tard la législation change :
Lettre circulaire n°386/DH/8D du 21 mars 1983 relative aux avantages en nature – repas thérapeutique – revenu imposable
(Ministère de la Santé -Direction des Hôpitaux –)
« Par lettre cité en référence vous m’avez demandé si les instructions de la direction générale des impôts en date du 9 décembre 1982 indiquant que les repas thérapeutiques ne devaient plus figurer dans les déclarations fiscales parmi les avantages en nature, rendaient caduques les termes de la circulaire n°269/DH/4 du 26 juillet 1977, portant sur ce point.
Je vous précise que la circulaire ne faisait que rappeler une réglementation émanant du ministère du budget ; cette administration ayant modifié sa position sur ce point, il convient bien entendu d’appliquer ses nouvelles instructions.
R. VERSY »
J’ai aussi trouvé une note de service de la Direction de notre établissement, datée de janvier 1978, fixant les règles conformément à la circulaire de 1977 et précisant même : « peuvent être autorisés à prendre leur repas à la table des maldes, dans un but thérapeutique, mais ce, à titre non gratuit, des agents appartenant à d’autres grades qui ne figurent pas dans la circulaire susvisée »
En espérant que certains trouverons ainsi réponses à leur question, voire matière à interrogation...
Re: Temps de repas soignant.
j'ajoute que ce temps de travail nous permet jusqu'à présent de bénéficier sur l'année de 5.5 jours de récupération. Sauf que... pour récupérer du temps infirmier, ma direction cherche à récupérer ces 5.5 jours, d'où un gros conflit actuellementanna35 a écrit :bonjour,
dans mon service notre temps de repas est compté en temps de travail donc nous sommes dérangeable a tout moment: téléphone et patients. Et nous devons manger en même temps que les patients.
Il n'est pas question par contre d'avoir du temps pour aller s'acheter a manger!

je soigne tout ce qui bouge ! Et parfois même ceux qui ne bougent pas...
Re: Temps de repas soignant.
Chaque établissement a la possibilité de négocier, avec les représentants du personnel, des accords locaux sur l'aménagement du temps de travail, pourvu que ces dits accords rentrent dans la marge de manœuvre prévue par les textes; ce qui ne va pas sans conflits d'interprétation.
Mais il ne faut pas confondre "temps de repas" et "repas thérapeutique".
Là, le texte de la circulaire est clair: le "repas thérapeutique" est le repas pris en même temps et à la même table que les patients; et personnellement j'entends aussi même repas et même vaisselle(pour certains ce n'est pas une évidence, mais ça a du sens); et pas à une table à part, encore moins dans la salle d'à coté,ni 1/2 h après les avoir servi. Et autant que faire se peut, l'infirmier qui pratique ce repas thérapeutique doit être disponible avant tout aux convives avec qui il déjeune. Ce temps là doit être "protégé"; il a fondamentalement la même importance qu'un temps d'entretien infirmier, qu'un temps d'activité de groupe. Par exemple ce n'est pas à ce moment que le médecin passe pour voir un patient, ou qu'il est indispensable de nettoyer le chariot à médicament ou de faire les transmissions.
Comprendre aussi que le repas thérapeutique ne peut exister qu'en unité d'hospitalisation temps plein, en hôpital de jour ou en hôpital de nuit mais pas en CMP, ni en CATTP où le repas n'est pas une prestation fournie aux patients.
Et, même si ce dispositif est issu de la pratique psychiatrique ne pourrait-on pas l'appliquer, pour les mêmes buts et bénéfices, du coté de la gériatrie, de certains longs séjours, oui, bon, faudrait encore qu'ils y ait des IDE disponibles...on peut rêver...
Quant au "temps de repas" , c'est la pause nécessaire à la restauration personnelle, indispensable pour tenir physiquement jusqu'à la fin de sa vacation. Ce n'est pas un temps consacré au patient, le repas se prend à part, dans une pièce spécifique, au self, dans le parc.
Cependant, souvent, on peut être rappelé pour une nécessité, une urgence, dans le service; et malgré cela , il n'y a pas si longtemps que certains établissements le comptent comme temps de travail (ça dépend des accords locaux, justement) Le plus souvent d'ailleurs il n'est accordé qu'une 1/2 heure ...vous me direz comment vous faites avec le changement de tenue, la longueur des couloirs, les changements d'ascenseur, et la queue du self...
J'ai du mal à comprendre qu'un établissement accorde des jours de récupération pour compenser le temps de repas? Ce temps n'est-il pas intégré dans la durée quotidienne de travail? Moi j'ai connu l'inverse dans le passé, quand la direction refusait de le considérer comme temps de travail: les agents qui allait au self devait rendre ce temps pris. Depuis, self ou pas, on a 1/2h pour manger comprise dans les 8h quotidienne (ou 7h40 ou 7h32, suivant les scénarios). De même, si c'est du temps de "repas thérapeutique" il dure ce qu'il doit durer ça ne donne rien de plus (sauf un repas gratuit) et on ne doit rien.
Mais il ne faut pas confondre "temps de repas" et "repas thérapeutique".
Là, le texte de la circulaire est clair: le "repas thérapeutique" est le repas pris en même temps et à la même table que les patients; et personnellement j'entends aussi même repas et même vaisselle(pour certains ce n'est pas une évidence, mais ça a du sens); et pas à une table à part, encore moins dans la salle d'à coté,ni 1/2 h après les avoir servi. Et autant que faire se peut, l'infirmier qui pratique ce repas thérapeutique doit être disponible avant tout aux convives avec qui il déjeune. Ce temps là doit être "protégé"; il a fondamentalement la même importance qu'un temps d'entretien infirmier, qu'un temps d'activité de groupe. Par exemple ce n'est pas à ce moment que le médecin passe pour voir un patient, ou qu'il est indispensable de nettoyer le chariot à médicament ou de faire les transmissions.
Comprendre aussi que le repas thérapeutique ne peut exister qu'en unité d'hospitalisation temps plein, en hôpital de jour ou en hôpital de nuit mais pas en CMP, ni en CATTP où le repas n'est pas une prestation fournie aux patients.
Et, même si ce dispositif est issu de la pratique psychiatrique ne pourrait-on pas l'appliquer, pour les mêmes buts et bénéfices, du coté de la gériatrie, de certains longs séjours, oui, bon, faudrait encore qu'ils y ait des IDE disponibles...on peut rêver...
Quant au "temps de repas" , c'est la pause nécessaire à la restauration personnelle, indispensable pour tenir physiquement jusqu'à la fin de sa vacation. Ce n'est pas un temps consacré au patient, le repas se prend à part, dans une pièce spécifique, au self, dans le parc.
Cependant, souvent, on peut être rappelé pour une nécessité, une urgence, dans le service; et malgré cela , il n'y a pas si longtemps que certains établissements le comptent comme temps de travail (ça dépend des accords locaux, justement) Le plus souvent d'ailleurs il n'est accordé qu'une 1/2 heure ...vous me direz comment vous faites avec le changement de tenue, la longueur des couloirs, les changements d'ascenseur, et la queue du self...
J'ai du mal à comprendre qu'un établissement accorde des jours de récupération pour compenser le temps de repas? Ce temps n'est-il pas intégré dans la durée quotidienne de travail? Moi j'ai connu l'inverse dans le passé, quand la direction refusait de le considérer comme temps de travail: les agents qui allait au self devait rendre ce temps pris. Depuis, self ou pas, on a 1/2h pour manger comprise dans les 8h quotidienne (ou 7h40 ou 7h32, suivant les scénarios). De même, si c'est du temps de "repas thérapeutique" il dure ce qu'il doit durer ça ne donne rien de plus (sauf un repas gratuit) et on ne doit rien.
Re: Temps de repas soignant.
bjr
etant en sous effectifs et pouvant être dérangé a tout moment, nous mangions dans le service sur notre temps de travail.
Biz
etant en sous effectifs et pouvant être dérangé a tout moment, nous mangions dans le service sur notre temps de travail.
Biz