Résultats des écrits (Printemps 2011)
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Re: Actualités pour le concours 2011
merci pour le partage !
DE infirmière Mars 2018
DE aide-soignante 2007
DE aide-soignante 2007
Re: Actualités pour le concours 2011
Bonjour,Tron a écrit :Bonjours
Merci de mettre autant de fiche sa permet de bien reviser
mais je voulais savoir il faut apprendre par coeur les actualités pour le concours ou bien simplement lire pour se faire une idée general lors de l'oral
merci de votre reponse
Je ne pense pas que du par coeur soit la meilleure solution, car je pense qu'on aurait énormément de travail, mais le but c'est que si on te pose une question dans le domaine, c'est que tu sache au moins de quoi l'on parle. Je pense, en tout cas pour ma part, que la lecture et une connaissance soit la meilleur des solutions.
Bon courage à toi
Biz
Epernay => Résultat le 5 Juillet
Re: Actualités pour le concours 2011
Tiens par exemple en ce moment on parle énormément du remaniement du Gouvernement, je ne pense pas que tu dois apprendre par coeur les articles mais le mieux serait par exemple de savoir de quoi l'on parle, ce que c'est et surtout pourquoi?? 

Epernay => Résultat le 5 Juillet
Concours dans 2 départements
Bonjour tout le monde !
Question que je me pose et dont je n'ai trouvé aucune réponse sur internet.
J'ai cru comprendre que l'on pouvait s'inscrire que pour UN seul concours public, mais que l'on pouvait faire des "sous-choix". En gros, moi, qui viens de l'oise (60), je m'inscris à Clermont et je met en deuxième choix Beauvais, je passerai donc qu'un seul concours, celui de clermont. C'est bien ça ?
Est-il possible de passer un concours dans l'Oise et un concours dans le Rhone-Alpes ?
En attendant une réponse, merci de me lire
Question que je me pose et dont je n'ai trouvé aucune réponse sur internet.
J'ai cru comprendre que l'on pouvait s'inscrire que pour UN seul concours public, mais que l'on pouvait faire des "sous-choix". En gros, moi, qui viens de l'oise (60), je m'inscris à Clermont et je met en deuxième choix Beauvais, je passerai donc qu'un seul concours, celui de clermont. C'est bien ça ?
Est-il possible de passer un concours dans l'Oise et un concours dans le Rhone-Alpes ?
En attendant une réponse, merci de me lire

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ESI Clermont de l'Oise - 2011/2014
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Re: Concours dans 2 départements
Bonsoir,
Tu peux passer 1 seul concours par département (en général, les IFSI d'un département organisent leur concours le même jour). Donc il faut que tu choisisses un IFSI (s'il y en a plusieurs dans ton département bien sûr!). Rien ne t'empêche de te présenter dans d'autres régions, mais restes prudent sur les dates des concours!
Bon courage
Tu peux passer 1 seul concours par département (en général, les IFSI d'un département organisent leur concours le même jour). Donc il faut que tu choisisses un IFSI (s'il y en a plusieurs dans ton département bien sûr!). Rien ne t'empêche de te présenter dans d'autres régions, mais restes prudent sur les dates des concours!
Bon courage

ESI Promo 2011/2014 Erstein
Cyryl Kocham cie
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Re: Concours dans 2 départements
Salut !Justyna a écrit :Bonsoir,
Tu peux passer 1 seul concours par département (en général, les IFSI d'un département organisent leur concours le même jour). Donc il faut que tu choisisses un IFSI (s'il y en a plusieurs dans ton département bien sûr!). Rien ne t'empêche de te présenter dans d'autres régions, mais restes prudent sur les dates des concours!
Bon courage
En fait il faut surtout bien te renseigner parceque bien que ce qui vient d'être dit soit vrai, certains départements organisent bien plusierus concours à des dates différentes ! Par exemple, chez moi en Charente maritime, j'ai pu passer 2 concours dans deux villes ( même departement ) qui ne sont éloignées que de 20 km

IDE en soins continus polyvalents....
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Re: Concours dans 2 départements
Autant pour moi, je sais que dans ma région, c'est un seul concours par département! Après je pense bien que ça diffère selon les régions!sylmar a écrit :Salut !Justyna a écrit :Bonsoir,
Tu peux passer 1 seul concours par département (en général, les IFSI d'un département organisent leur concours le même jour). Donc il faut que tu choisisses un IFSI (s'il y en a plusieurs dans ton département bien sûr!). Rien ne t'empêche de te présenter dans d'autres régions, mais restes prudent sur les dates des concours!
Bon courage
En fait il faut surtout bien te renseigner parceque bien que ce qui vient d'être dit soit vrai, certains départements organisent bien plusierus concours à des dates différentes ! Par exemple, chez moi en Charente maritime, j'ai pu passer 2 concours dans deux villes ( même departement ) qui ne sont éloignées que de 20 km!
Merci quand même de m'avoir rectifié

ESI Promo 2011/2014 Erstein
Cyryl Kocham cie
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Re: Concours dans 2 départements
Pas de pb ! C'est clair qu'in'est pas facile de s'y retrouverJustyna a écrit :Autant pour moi, je sais que dans ma région, c'est un seul concours par département! Après je pense bien que ça diffère selon les régions!sylmar a écrit :Salut !Justyna a écrit :Bonsoir,
Tu peux passer 1 seul concours par département (en général, les IFSI d'un département organisent leur concours le même jour). Donc il faut que tu choisisses un IFSI (s'il y en a plusieurs dans ton département bien sûr!). Rien ne t'empêche de te présenter dans d'autres régions, mais restes prudent sur les dates des concours!
Bon courage
En fait il faut surtout bien te renseigner parceque bien que ce qui vient d'être dit soit vrai, certains départements organisent bien plusierus concours à des dates différentes ! Par exemple, chez moi en Charente maritime, j'ai pu passer 2 concours dans deux villes ( même departement ) qui ne sont éloignées que de 20 km!
Merci quand même de m'avoir rectifié

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Re: Concours dans 2 départements
Effectivement ce n'est pas facile car ça change énormément d'une région à l'autre!
Le tout est vraiment de bien se renseigner auprès des IFSI!
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ESI Promo 2011/2014 Erstein
Cyryl Kocham cie
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Re: Actualités pour le concours 2011
Plusieurs importants scandales sanitaires en France
16/11/2010 | source le figaro
Le sang contaminé :
C'est la première crise du genre à faire autant de bruit en France. En 1991, on découvre que le Centre national de transfusion sanguine distribue aux hémophiles des lots de sang contaminé par le virus du sida. 50% des hémophiles dans notre pays contractent alors le VIH. La contamination date des années 1983-85.
Poursuivis pour leur responsabilité éventuelle alors qu'ils étaient à l'époque premier ministre et ministre des Affaires sociales, les socialistes Laurent Fabius et Georgina Dufoix sont déclarés innocents des délits d'«atteinte involontaire à la vie ou à l'intégrité physique des personnes» par un arrêt du 9 mars 1999.
L'hormone de croissance :
Ce douloureux dossier, qui a causé la mort de dizaines de jeunes atteints de la Maladie de Creutzfeldt-Jacob (MCJ), n'est toujours pas clos. Fernand Dray, 88 ans, ancien responsable d'un laboratoire de l'Institut Pasteur, et Elisabeth Mugnier, 61 ans, pédiatre à la retraite, sont jugés en appel jusqu'au 24 novembre pour leur rôle dans cette affaire. Ils sont accusés, entre autres, d'homicides involontaires en raison de «graves fautes d'imprudence et de négligence» dans le traitement de 1.698 enfants atteints d'une certaine forme de nanisme. Ces derniers ont été soignés avec une hormone fabriquée entre 1974 et 1988 à partir de l'hypophyse, une glande crânienne prélevée sur les cadavres.
Parce que certaines hormones étaient infectées, des jeunes sont morts de la MCJ au terme d'une terrible agonie. Selon l'Association des Victimes de l'Hormone de Croissance (AVHC), 120 sont décédés aujourd'hui. Ils étaient 115 en première instance, en 2008. L'incubation de la maladie pouvant dépasser 30 ans, ce nombre pourrait encore augmenter. Le procès doit s'achever le 24 novembre.
16/11/2010 | source le figaro
Le sang contaminé :
C'est la première crise du genre à faire autant de bruit en France. En 1991, on découvre que le Centre national de transfusion sanguine distribue aux hémophiles des lots de sang contaminé par le virus du sida. 50% des hémophiles dans notre pays contractent alors le VIH. La contamination date des années 1983-85.
Poursuivis pour leur responsabilité éventuelle alors qu'ils étaient à l'époque premier ministre et ministre des Affaires sociales, les socialistes Laurent Fabius et Georgina Dufoix sont déclarés innocents des délits d'«atteinte involontaire à la vie ou à l'intégrité physique des personnes» par un arrêt du 9 mars 1999.
L'hormone de croissance :
Ce douloureux dossier, qui a causé la mort de dizaines de jeunes atteints de la Maladie de Creutzfeldt-Jacob (MCJ), n'est toujours pas clos. Fernand Dray, 88 ans, ancien responsable d'un laboratoire de l'Institut Pasteur, et Elisabeth Mugnier, 61 ans, pédiatre à la retraite, sont jugés en appel jusqu'au 24 novembre pour leur rôle dans cette affaire. Ils sont accusés, entre autres, d'homicides involontaires en raison de «graves fautes d'imprudence et de négligence» dans le traitement de 1.698 enfants atteints d'une certaine forme de nanisme. Ces derniers ont été soignés avec une hormone fabriquée entre 1974 et 1988 à partir de l'hypophyse, une glande crânienne prélevée sur les cadavres.
Parce que certaines hormones étaient infectées, des jeunes sont morts de la MCJ au terme d'une terrible agonie. Selon l'Association des Victimes de l'Hormone de Croissance (AVHC), 120 sont décédés aujourd'hui. Ils étaient 115 en première instance, en 2008. L'incubation de la maladie pouvant dépasser 30 ans, ce nombre pourrait encore augmenter. Le procès doit s'achever le 24 novembre.
Re: Actualités pour le concours 2011
Stress et maladies cardiovasculaires: les femmes aussi (source 20 minutes)
Les femmes actives sont bien les égales des hommes, mais pas forcément comme elles le souhaiteraient... Celles qui ont un travail stressant souffrent plus fréquemment d'infarctus ou d'accident vasculaire cérébral (AVC) que celles dont le travail est plus facile, selon une nouvelle étude américaine, la première à mesurer l'effet du stress sur les femmes au travail. Lire la suite l'article
Financée par le gouvernement américain, cette étude de grande ampleur, rendue publique dimanche lors d'une conférence de l'Association américaine du coeur à Chicago, souligne par ailleurs qu'avoir peur de perdre son emploi est également un facteur d'accroissement du risque.
Ce travail devrait résonner tout particulièrement dans le contexte actuel de crise économique. Le simple fait qu'il ait été lancé est en outre un signe révélateur de l'époque: jusqu'ici, les études portaient sur les hommes et montraient la corrélation entre niveau de stress et maladies cardiovasculaires.
"La réalité, c'est que ces femmes n'ont pas le même type de métier que les hommes", et qu'elles manquent souvent de pouvoir ou de contrôle sur leur activité, souligne le Dr Suzanne Steinbaum, directrice du programme "Femmes et maladies cardio-vasculaires", de l'hôpital Lenox Hill de New York. "Ca n'est pas seulement aller travailler, c'est ce qu'il s'y passe quand on y est".
L'étude a été conduite par le Dr Michelle Albert, cardiologue au Brigham and Women's Hospital de Boston. Elle portait sur 17.415 femmes de l'étude "Santé des femmes", un programme au long cours sur la prévention des maladies cardiaques et du cancer. Les femmes étaient en bonne santé, âgées de 57 ans en moyenne. Elles travaillaient à plein temps ou à temps partiel lorsque l'étude a démarré en 1999.
La plupart d'entre elles étaient des professionnelles de la santé, "de l'assistante-infirmière au docteur en médecine", a résumé Michelle Albert. Toutes ont rempli un questionnaire sur leur travail. Elles ont été réparties en quatre groupes selon le degré de stress dont elles faisaient état. Un contrôle était effectué au bout de dix ans.
Les femmes ayant un travail exigeant sans guère de marge de manoeuvre sur leur activité présentaient presque deux fois plus de risque de souffrir d'un infarctus que celles exerçant des emplois moins exigeants et ayant plus d'autonomie. Le groupe le plus stressé présentait un risque général de maladie cardiovasculaire augmenté de 40%, notamment infarctus, AVC et athérome nécessitant un pontage ou une angioplastie.
De leur côté, les femmes qui avaient peur de perdre leur emploi avaient plus fréquemment trop de cholestérol ou une tension artérielle trop élevée, voire des kilos en trop.
Le stress peut être dangereux car il entraîne la fabrication d' hormones entraînant inflammation et augmentation de la pression artérielle, a souligné le docteur Steinbaum. Les médecins devraient donc s'en préoccuper autant que des facteurs de risque habituels comme le tabagisme ou l'hypertension, renchérit Michelle Albert. "Nous devons commencer à prendre ça très au sérieux".
Michelle Albert a quelques conseils à donner aux salariées:
- Faire de l'exercice. Cela nettoie l'esprit, remonte le moral et diminue les risques cardiaques.
- Eviter de ramener du travail à la maison.
- Avoir une vie sociale. Faire des choses avec des amis, que vous travailliez avec eux ou pas.
- S'accorder du temps pour soi chaque jour. "Ca peut se limiter à 10 ou 15 minutes pour méditer, prier ou marcher", conclut Albert. AP
Les femmes actives sont bien les égales des hommes, mais pas forcément comme elles le souhaiteraient... Celles qui ont un travail stressant souffrent plus fréquemment d'infarctus ou d'accident vasculaire cérébral (AVC) que celles dont le travail est plus facile, selon une nouvelle étude américaine, la première à mesurer l'effet du stress sur les femmes au travail. Lire la suite l'article
Financée par le gouvernement américain, cette étude de grande ampleur, rendue publique dimanche lors d'une conférence de l'Association américaine du coeur à Chicago, souligne par ailleurs qu'avoir peur de perdre son emploi est également un facteur d'accroissement du risque.
Ce travail devrait résonner tout particulièrement dans le contexte actuel de crise économique. Le simple fait qu'il ait été lancé est en outre un signe révélateur de l'époque: jusqu'ici, les études portaient sur les hommes et montraient la corrélation entre niveau de stress et maladies cardiovasculaires.
"La réalité, c'est que ces femmes n'ont pas le même type de métier que les hommes", et qu'elles manquent souvent de pouvoir ou de contrôle sur leur activité, souligne le Dr Suzanne Steinbaum, directrice du programme "Femmes et maladies cardio-vasculaires", de l'hôpital Lenox Hill de New York. "Ca n'est pas seulement aller travailler, c'est ce qu'il s'y passe quand on y est".
L'étude a été conduite par le Dr Michelle Albert, cardiologue au Brigham and Women's Hospital de Boston. Elle portait sur 17.415 femmes de l'étude "Santé des femmes", un programme au long cours sur la prévention des maladies cardiaques et du cancer. Les femmes étaient en bonne santé, âgées de 57 ans en moyenne. Elles travaillaient à plein temps ou à temps partiel lorsque l'étude a démarré en 1999.
La plupart d'entre elles étaient des professionnelles de la santé, "de l'assistante-infirmière au docteur en médecine", a résumé Michelle Albert. Toutes ont rempli un questionnaire sur leur travail. Elles ont été réparties en quatre groupes selon le degré de stress dont elles faisaient état. Un contrôle était effectué au bout de dix ans.
Les femmes ayant un travail exigeant sans guère de marge de manoeuvre sur leur activité présentaient presque deux fois plus de risque de souffrir d'un infarctus que celles exerçant des emplois moins exigeants et ayant plus d'autonomie. Le groupe le plus stressé présentait un risque général de maladie cardiovasculaire augmenté de 40%, notamment infarctus, AVC et athérome nécessitant un pontage ou une angioplastie.
De leur côté, les femmes qui avaient peur de perdre leur emploi avaient plus fréquemment trop de cholestérol ou une tension artérielle trop élevée, voire des kilos en trop.
Le stress peut être dangereux car il entraîne la fabrication d' hormones entraînant inflammation et augmentation de la pression artérielle, a souligné le docteur Steinbaum. Les médecins devraient donc s'en préoccuper autant que des facteurs de risque habituels comme le tabagisme ou l'hypertension, renchérit Michelle Albert. "Nous devons commencer à prendre ça très au sérieux".
Michelle Albert a quelques conseils à donner aux salariées:
- Faire de l'exercice. Cela nettoie l'esprit, remonte le moral et diminue les risques cardiaques.
- Eviter de ramener du travail à la maison.
- Avoir une vie sociale. Faire des choses avec des amis, que vous travailliez avec eux ou pas.
- S'accorder du temps pour soi chaque jour. "Ca peut se limiter à 10 ou 15 minutes pour méditer, prier ou marcher", conclut Albert. AP
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Re: Actualités pour le concours 2011
La précarité touche plus de 2Millions d'enfants en France
Dernier rapport sur la pauvreté en France de la Défenseure des enfants Dominique Versini -->Conséquences lourdes, surtout niveau scolaire et sanitaire.
Rappel: seuil de pauvreté : 950E/mois (selon INSEE)
Pas de véritables logements (loger d'hotels en hotels ou centres d'urgence) + traumatisme des expulsions+ placement en foyer=
+ Inégalités: -difficulté d'accès aux soins= urgence hospitalière au lieu de soins permanents.
-Risque d'obésité: Carences alimentaires +produits peu chers souvent gras,salés,sucrés.(risque d'obésité 3à4X plus élevé)
-Scolarité défavorisée: orientation vers filières techno°ou professionnel (études courtes)+ professeurs n'ont pas de formation pour aborder les difficultés sociales= pas de système adapté
ECOLE n'est pas un lieu d'espoir = abscence voir descolarisation (puis chômage).
Proposition de solution: -Construction de 30% logements sociaux au lieu de 20%
-Mise en place d'un « plan santé enfants et adolescents » - -->Gratuité de certains soins
-Création de modes de garde adaptés(revenus/horaires)
-Tutorat (enseignement individuel)+ parrainage étudiant+ formation des équipes enseignantes.
Solutions proposées le 20 novembre -->Journée internationale des droits de l'enfant.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... france.php
Dernier rapport sur la pauvreté en France de la Défenseure des enfants Dominique Versini -->Conséquences lourdes, surtout niveau scolaire et sanitaire.
Rappel: seuil de pauvreté : 950E/mois (selon INSEE)
Pas de véritables logements (loger d'hotels en hotels ou centres d'urgence) + traumatisme des expulsions+ placement en foyer=
+ Inégalités: -difficulté d'accès aux soins= urgence hospitalière au lieu de soins permanents.
-Risque d'obésité: Carences alimentaires +produits peu chers souvent gras,salés,sucrés.(risque d'obésité 3à4X plus élevé)
-Scolarité défavorisée: orientation vers filières techno°ou professionnel (études courtes)+ professeurs n'ont pas de formation pour aborder les difficultés sociales= pas de système adapté
ECOLE n'est pas un lieu d'espoir = abscence voir descolarisation (puis chômage).
Proposition de solution: -Construction de 30% logements sociaux au lieu de 20%
-Mise en place d'un « plan santé enfants et adolescents » - -->Gratuité de certains soins
-Création de modes de garde adaptés(revenus/horaires)
-Tutorat (enseignement individuel)+ parrainage étudiant+ formation des équipes enseignantes.
Solutions proposées le 20 novembre -->Journée internationale des droits de l'enfant.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... france.php
ESI 2011-2014 à l'hopital Nord de Marseille
Promo B.
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Re: Actualités pour le concours 2011
Les boissons énergisantes pourraient pousser à la consommation d'alcool
Info rédaction, publiée le 17 novembre 2010
Une étude américaine publiée cette semaine indique que les boissons énergisantes pourraient avoir pour conséquence de favoriser la prise d'alcool, surtout chez les lycéens et étudiants, principaux consommateurs.
L'étude en question a été menée auprès de 1.000 étudiants qui avaient expliqué consommer régulièrement ce type de boissons, permettant de se maintenir éveillé et en forme. Au cours de cette étude, il est apparu que les individus consommant les boissons énergisantes auraient tendance à devenir plus facilement alcooliques, à consommer des quantités d'alcool plus importantes, où à connaître les premières ivresses plus jeunes.
Les chercheurs de la School of Public Health University expliquent ainsi dans leur étude publiée dans le magazine Alcoholism : Clinical and experimental research : "La recherche indique que ceux qui ont fréquemment recours aux boissons énergisantes présentent statistiquement un fort risque de devenir alcooliques et de boire beaucoup. Il devient aussi de plus en plus populaire de mélanger de l’alcool à ces boissons énergisantes. Ces breuvages étant hautement caféinés, cela peut conduire à d’autres problèmes en plus de la privation de sommeil (...). Mélanger des boissons énergisantes à de l’alcool peut conduire à une ivresse éveillée, dans le sens ou la caféine masque l’état d’ébriété sans en faire diminuer les effets sur le physique et le comportement du buveur. L’individu se sent moins ivre qu’il ne l’est réellement, ce qui le porte à boire encore davantage et à adopter des comportements à risque comme conduire en état d’ivresse".
Parmi les boissons énergisantes, les plus répandues sont connues sous le nom de Red Bull, Rockstar ou encore Monster.
Info rédaction, publiée le 17 novembre 2010
Une étude américaine publiée cette semaine indique que les boissons énergisantes pourraient avoir pour conséquence de favoriser la prise d'alcool, surtout chez les lycéens et étudiants, principaux consommateurs.
L'étude en question a été menée auprès de 1.000 étudiants qui avaient expliqué consommer régulièrement ce type de boissons, permettant de se maintenir éveillé et en forme. Au cours de cette étude, il est apparu que les individus consommant les boissons énergisantes auraient tendance à devenir plus facilement alcooliques, à consommer des quantités d'alcool plus importantes, où à connaître les premières ivresses plus jeunes.
Les chercheurs de la School of Public Health University expliquent ainsi dans leur étude publiée dans le magazine Alcoholism : Clinical and experimental research : "La recherche indique que ceux qui ont fréquemment recours aux boissons énergisantes présentent statistiquement un fort risque de devenir alcooliques et de boire beaucoup. Il devient aussi de plus en plus populaire de mélanger de l’alcool à ces boissons énergisantes. Ces breuvages étant hautement caféinés, cela peut conduire à d’autres problèmes en plus de la privation de sommeil (...). Mélanger des boissons énergisantes à de l’alcool peut conduire à une ivresse éveillée, dans le sens ou la caféine masque l’état d’ébriété sans en faire diminuer les effets sur le physique et le comportement du buveur. L’individu se sent moins ivre qu’il ne l’est réellement, ce qui le porte à boire encore davantage et à adopter des comportements à risque comme conduire en état d’ivresse".
Parmi les boissons énergisantes, les plus répandues sont connues sous le nom de Red Bull, Rockstar ou encore Monster.
- cristalia-cinderella
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Re: Actualités pour le concours 2011
Plus de 500 morts pour le Mediator
Ce médicament coupe-faim prescrit chez les diabétiques en surpoids et interdit depuis 2009 serait responsable de plus de 500 morts en France, selon l’Afssaps. Les patients encore traités ou qui ont stoppé récemment le médicament doivent faire l’objet d’un suivi médical.
Entre 1976 et 2009 le Mediator, médicament produit par le laboratoire français Servier, aurait fait au moins 500 morts et sans doute plus, selon deux études de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) et de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Prescrit à l’origine pour traiter les diabétiques de type 2 en surpoids, son usage s’est peu à peu élargi vers les personnes désireuses de perdre du poids en raison de ses propriétés coupe-faim. Ce médicament est composé de benfluorex, il fait partie de la famille des fenfluramines, reconnus pour leur effet anorexigène. Au total, il est estimé qu'entre 1,5 à 2 millions de patients ont été exposés à Médiator en France, soit environ 200 000 patients traités par an.
Balance bénéfice-risque défavorable
Le médicament a été retiré du marché depuis novembre 2009 en raison d’une balance bénéfice-risque jugée défavorable par l’Afssaps après avis de la Commission d’Autorisation de mise sur le marché. Le Mediator peut en effet provoquer des lésions des valves (des valvulopathies) qui sont situées à l’intérieur du cœur. Le risque d’hospitalisation pour valvulopathie est multiplié par 2,6 chez les diabétiques traités par Mediator et le risque de chirurgie avec remplacement d’une valve est multiplié par 3,4 chez ces mêmes patients, selon l’étude de la CNAMTS rendue publique en octobre, juste avant la suspension du médicament.
Un médecin, lanceur d’alerte
L’annonce de ce nombre important décès n’a rien de surprenant pour Irène Frachon, pneumologue au CHRU de Brest. Ce médecin a été l’une des premières à alerter les autorités sur la dangerosité du Mediator et à exiger son retrait. Son combat, elle le raconte dans un livre Médiator 150 mg, Sous-titre censuré. Le laboratoire Servier a en effet obtenu du tribunal que le titre initial Mediator, combien de morts ? soit modifié. Irène Frachon déclare aujourd’hui connaître un « grand soulagement » de voir enfin reconnu officiellement ce « désastre sanitaire ».
Elle ajoute également que les autorités françaises ont tardé à évaluer et à interdire ce médicament dont la dangerosité aurait pu être soupçonnée. Médiator est en effet très proche d’un autre médicament coupe-faim, l’Isoméride, également commercialisé par Servier, et qui est interdit depuis 1997 en raison de sa toxicité pour le cœur et les poumons. Or Isoméride et Mediator se dégradent dans le corps en produisant de la norfenfluramine. C’est cette molécule qui est responsable des effets délétères des deux médicaments. D’autre part, des études et des publications américaines évoquaient dès les années 2000 les risques liés au Mediator. « Peut-être aurait-on pu aller plus vite, mais nous avons toujours été transparents et n'avons rien caché » se défend Jean Marimbert, directeur de l'Afssaps.
Suivi des patients traités
Le tollé suscité par l’annonce de l’Afssaps a obligé Xavier Bertrand, tout nouveau ministre de la Santé, à se saisir du dossier. Il a rencontré ce matin Jean Marimbert afin de faire le point sur la situation et il devrait s’exprimer dans la journée. D’ores et déjà l’Afssaps a prévu d’envoyer un courrier à tous les patients ayant reçu plus de trois mois de traitement afin de les envoyer consulter leur médecin généraliste. Une visite qui permettra de détecter un éventuel souffle au cœur (qui peut révéler la présence d’une valvulopathie). En cas de doute ou de problème détecté une consultation chez un cardiologue sera alors nécessaire.
Jean Maribert a déclaré à l’AFP que les malades les plus concernés par cette mesure sont ceux qui sont traités depuis 2006. Selon lui, les risques d’atteintes valvulaires sont en effet plus importants plus importants « dans les deux premières années du traitement et dans les deux années qui suivent l'arrêt du traitement ». Il convient tout de même de rassurer les personnes qui ont été traités par Mediator, si le risque de valvulopathie est bien réel cela reste une complication rare.
Joël Ignasse
Sciences et Avenir.fr
16/11/2010
Ce médicament coupe-faim prescrit chez les diabétiques en surpoids et interdit depuis 2009 serait responsable de plus de 500 morts en France, selon l’Afssaps. Les patients encore traités ou qui ont stoppé récemment le médicament doivent faire l’objet d’un suivi médical.
Entre 1976 et 2009 le Mediator, médicament produit par le laboratoire français Servier, aurait fait au moins 500 morts et sans doute plus, selon deux études de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) et de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Prescrit à l’origine pour traiter les diabétiques de type 2 en surpoids, son usage s’est peu à peu élargi vers les personnes désireuses de perdre du poids en raison de ses propriétés coupe-faim. Ce médicament est composé de benfluorex, il fait partie de la famille des fenfluramines, reconnus pour leur effet anorexigène. Au total, il est estimé qu'entre 1,5 à 2 millions de patients ont été exposés à Médiator en France, soit environ 200 000 patients traités par an.
Balance bénéfice-risque défavorable
Le médicament a été retiré du marché depuis novembre 2009 en raison d’une balance bénéfice-risque jugée défavorable par l’Afssaps après avis de la Commission d’Autorisation de mise sur le marché. Le Mediator peut en effet provoquer des lésions des valves (des valvulopathies) qui sont situées à l’intérieur du cœur. Le risque d’hospitalisation pour valvulopathie est multiplié par 2,6 chez les diabétiques traités par Mediator et le risque de chirurgie avec remplacement d’une valve est multiplié par 3,4 chez ces mêmes patients, selon l’étude de la CNAMTS rendue publique en octobre, juste avant la suspension du médicament.
Un médecin, lanceur d’alerte
L’annonce de ce nombre important décès n’a rien de surprenant pour Irène Frachon, pneumologue au CHRU de Brest. Ce médecin a été l’une des premières à alerter les autorités sur la dangerosité du Mediator et à exiger son retrait. Son combat, elle le raconte dans un livre Médiator 150 mg, Sous-titre censuré. Le laboratoire Servier a en effet obtenu du tribunal que le titre initial Mediator, combien de morts ? soit modifié. Irène Frachon déclare aujourd’hui connaître un « grand soulagement » de voir enfin reconnu officiellement ce « désastre sanitaire ».
Elle ajoute également que les autorités françaises ont tardé à évaluer et à interdire ce médicament dont la dangerosité aurait pu être soupçonnée. Médiator est en effet très proche d’un autre médicament coupe-faim, l’Isoméride, également commercialisé par Servier, et qui est interdit depuis 1997 en raison de sa toxicité pour le cœur et les poumons. Or Isoméride et Mediator se dégradent dans le corps en produisant de la norfenfluramine. C’est cette molécule qui est responsable des effets délétères des deux médicaments. D’autre part, des études et des publications américaines évoquaient dès les années 2000 les risques liés au Mediator. « Peut-être aurait-on pu aller plus vite, mais nous avons toujours été transparents et n'avons rien caché » se défend Jean Marimbert, directeur de l'Afssaps.
Suivi des patients traités
Le tollé suscité par l’annonce de l’Afssaps a obligé Xavier Bertrand, tout nouveau ministre de la Santé, à se saisir du dossier. Il a rencontré ce matin Jean Marimbert afin de faire le point sur la situation et il devrait s’exprimer dans la journée. D’ores et déjà l’Afssaps a prévu d’envoyer un courrier à tous les patients ayant reçu plus de trois mois de traitement afin de les envoyer consulter leur médecin généraliste. Une visite qui permettra de détecter un éventuel souffle au cœur (qui peut révéler la présence d’une valvulopathie). En cas de doute ou de problème détecté une consultation chez un cardiologue sera alors nécessaire.
Jean Maribert a déclaré à l’AFP que les malades les plus concernés par cette mesure sont ceux qui sont traités depuis 2006. Selon lui, les risques d’atteintes valvulaires sont en effet plus importants plus importants « dans les deux premières années du traitement et dans les deux années qui suivent l'arrêt du traitement ». Il convient tout de même de rassurer les personnes qui ont été traités par Mediator, si le risque de valvulopathie est bien réel cela reste une complication rare.
Joël Ignasse
Sciences et Avenir.fr
16/11/2010
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Stage S1 : long séjour en gériatrie
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Re: Actualités pour le concours 2011
Du sang fabriqué avec de la peau
Une équipe canadienne a réussi à produire du sang à partir de cellules de la peau. Un processus qui pourrait être utilisé pour traiter le cancer et d’autres maladies.
La méthode mise au point par des scientifiques de l'Université Mc Master (Ontario, Canada), est prometteuse. Elle permet la fabrication de cellules sanguines à partir d’un petit échantillon de peau du sujet sans avoir besoin de recourir à des cellules souches embryonnaires. En s’affranchissant donc des contraintes éthiques et des risques liés à la manipulation des CSE.
« Nous croyons qu'à l'avenir, nous pourrons créer du sang de manière bien plus efficace » souligne Mick Bhatia, auteur de l’étude publiée par la revue Nature. Il estime que cette nouvelle méthode permet de créer suffisamment de sang pour une transfusion avec un échantillon de peau de quatre centimètres sur trois.
Il suffit en fait de cultiver les fibroblastes (cellules de soutien) contenu dans cet échantillon puis de les « infecter » avec un virus contenant un gène, OCT4, provoquant la transformation des fibroblastes en cellules souches du sang. Après quelques semaines de croissance dans un bain de protéines, ces fibroblastes commencent à produire des cellules sanguines.
Dans leur article, les auteurs envisagent de nombreuses applications à leur technique et notamment pour le traitement des leucémies ou pour pallier le manque de donneur en cas de besoin de transfusion. Des premiers essais cliniques pourraient être enclenchés dès 2012 mais il faudra encore de nombreuses années avant de valider cette technique.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
08/11/2010
désoler si l'article avait déjà été mis !
Une équipe canadienne a réussi à produire du sang à partir de cellules de la peau. Un processus qui pourrait être utilisé pour traiter le cancer et d’autres maladies.
La méthode mise au point par des scientifiques de l'Université Mc Master (Ontario, Canada), est prometteuse. Elle permet la fabrication de cellules sanguines à partir d’un petit échantillon de peau du sujet sans avoir besoin de recourir à des cellules souches embryonnaires. En s’affranchissant donc des contraintes éthiques et des risques liés à la manipulation des CSE.
« Nous croyons qu'à l'avenir, nous pourrons créer du sang de manière bien plus efficace » souligne Mick Bhatia, auteur de l’étude publiée par la revue Nature. Il estime que cette nouvelle méthode permet de créer suffisamment de sang pour une transfusion avec un échantillon de peau de quatre centimètres sur trois.
Il suffit en fait de cultiver les fibroblastes (cellules de soutien) contenu dans cet échantillon puis de les « infecter » avec un virus contenant un gène, OCT4, provoquant la transformation des fibroblastes en cellules souches du sang. Après quelques semaines de croissance dans un bain de protéines, ces fibroblastes commencent à produire des cellules sanguines.
Dans leur article, les auteurs envisagent de nombreuses applications à leur technique et notamment pour le traitement des leucémies ou pour pallier le manque de donneur en cas de besoin de transfusion. Des premiers essais cliniques pourraient être enclenchés dès 2012 mais il faudra encore de nombreuses années avant de valider cette technique.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
08/11/2010
désoler si l'article avait déjà été mis !
ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
Stage S1 : long séjour en gériatrie
Stage S1 : long séjour en gériatrie