TFE : évaluation de la douleur & personne agée démente
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TFE : évaluation de la douleur & personne agée démente
Voici mon constat et le début de mon analyse... Qu'en pensez vous et quel champs théorique n'ai-je pas abordé ?
Ensuite,je galere pour ma question de départ... alors si quelqu'un a une idée !
La situation de soin sur laquelle j'ai choisi de m'interroger s'est passée en service de chirurgie orthopédique dans un établissement du secteur privé. Je suis alors stagiaire de fin de première année. C'est un service qui accueille des personnes souffrant de nombreuses pathologies orthopédiques, nécessitant pour la plupart la pose d'une prothèse (genou, hanche...).
Je prends en charge Mme B, 67 ans, qui est au deuxième jour postopératoire d'une chirurgie avec pose de prothèse de hanche. Cette dame est atteinte de la Maladie d'Alzheimer diagnostiquée il y'a 5ans.
Sur le plan de la communication, Mme B est toujours en capacité de s'exprimer, cependant son jugement, sa cognition et sa mnésie sont altérés. Mme B a ses moments de lucidités mais demande parfois si l'opération s'est déjà déroulé, me redemande qui je suis...
Le matin, lorsque je viens lui distribuer ses médicaments, je demande machinalement si elle a mal et si elle a bien dormi. Elle me dit qu'elle ne souffre pas. Je ne lui donne donc que la prescription d'antalgique prévue.
Dans la matinée, lorsque je repasse après sa toilette pour effectuer le pansement, je la vois grimacer . Je lui demande alors si elle a mal. Elle me répond : « Non, pourquoi, je devrais ? ». Je continue donc mon soin. Elle me parle lorsque qu'elle crispe son visage... Je lui redemande si elle a mal et me répond : « Oui, je vous l'ai dit tout à l'heure déjà... ». Je lui demandais alors : « A quel point avez vous mal ? ». Elle me répondit : « oh, un peu... c'est léger! » Je ne sais alors plus quoi penser. A la fin de mon soin, j'informe l'équipe infirmière. Elles me disent de mettre en place une fiche de surveillance de la douleur. Et lorsqu'elles me demandent de noter l'EVA je leur réponds que Mme B est démente et qu'elle m'a répondu qu'elle avait mal « un peu ». Les infirmières m'ont répondu que cela devait correspondre à une EVA équivalente à 2 et qu'il fallait réévaluer mais que pour l'instant l'EVA était faible.
Cette situation que je regarde aujourd'hui avec 2 années d'expériences en plus, m'a interpellé. En effet, c'est à ce moment là que je me suis rendu compte que les échelles d'évaluations des services généraux n'étaient pas forcément adaptés aux personnes âgée et, qui plus est, atteintes de démences. De plus depuis le premier plan douleur 2002 - 2005, la lutte contre la douleur est une priorité et, pour moi, dans cette situation je n'étais pas « efficace » pour la prise en charge de cette douleur puisque l'évaluation de celle-ci était subjective. Je dis subjective puisque dans le cas présent, l'infirmière associe « peu de douleur » avec EVA à 2. Mais si nous faisions passer l'EVA correctement , deux personnes disant avoir « peu de douleurs », n'auraient pas la même intensité de douleur sur cette échelle. Ici, l'EVA est un moyen d'auto-évaluation de la douleur. Cela signifie, comme son nom l'indique que seule la personne qui ressent la douleur peut lui attribuer une note. Comment faire dans ce cas là, pour évaluer la douleur d'une personne qui n'est plus en capacité de s'exprimer et/ou ayant ses capacités de jugements altérés ?
Je sais, de part les cours théoriques, qu'il existe également des échelles d'hétéro évaluation de la douleur. Après plusieurs passage dans des services de chirurgie, médecine..., je me suis aperçue que rares étaient les services à utiliser une autre échelle que l'échelle EVA. J'ai eu la chance de pouvoir observer les échelles d'hétéro évaluation dans des services spécialisés dans la prise en charge des personnes âgées ( EHPAD, Unité Gériatrique...).
Ma première question a donc été :
Pourquoi toutes les échelles d'évaluation de la douleur ne sont-elles pas connues et utilisées dans tous les services ?
Qu’est ce que la douleur ?
Selon l’IASP , « La douleur est une expérience sensorielle et émotionnel désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite en des termes évoquant une telle lésion. »
- Quelles sont les douleurs ressenties par les personnes agées ?
Qu’est ce qu’une personne agée ?
Dans le sens commun, une personne agée est une personne dont l’age est avancé et qui présente les attributs psychologiques et sociaux de la vieillesse tels que la société se les représente.
Puis je me suis demandée
En quoi les patients atteints de démences nécessitent-ils l'utilisation d'échelles spécifiques ?
En effet, les personnes âgées atteintes de démences est une population qui a ses spécificités. Les personnes atteintes de démences n'ont plus ou peu leur capacité de jugement. Ils ne peuvent donc pas comprendre ce que l'on attend d'eux avec une échelle telle que l'EVA. Celle-ci peut leur paraître compliquée d'utilisation.
En quoi l'évaluation de la douleur chez une personne âgée, démente ou non, met-elle l'équipe soignante en difficulté ?
Quelles sont les représentations des personnes soignées vis à vis de la douleur ?
Parfois, les personnes âgées ne se plaignent pas parce qu'elles pensent que la douleur fait partie de la vieillesse. D'autres n'évaluent pas objectivement leur douleur, parce que culturellement avoir mal c'est être « faible ». Pour d'autres encore, la douleur est une façon de dire qu'ils sont encore là, de se faire entendre, d'établir une relation. Comment donc évaluer objectivement la douleur ?
Quelles sont les représentations des soignants face à la douleur des personnes agées atteintes de démence ?
Quels peuvent être les conséquences d'une mauvaise évaluation de la douleur chez la personne âgée ?
Chez les personnes âgées, les douleurs peuvent entrainer des complication physiques bien entendu ( troubles du sommeil, perte d'appétit, décompensation cardiaque et respiratoire, perte d'autonomie, grabatisation...), psychologiques ( dépression...) et social ( isolement).
De même, dans cette situation Mme B bénéficie d'une prescription personnalisée anticipée, que je n'ai d'ailleurs pas utilisé. La notion de prescription anticipée personnalisée apparait en 2002. C’est une prescription qui prévient « les risques d’évolution de la situation du patient en permettant au personnel infirmier de raccourcir le délai de réponse en terme de soins et de traitements. Cette prescription doit être précédée de l’examen du malade par le médecin, et puisqu’elle est personnalisée, s’appliquer à ce seul patient ». De plus, l’application de ces prescriptions relevent du role infirmier « contribuer à la mise en oeuvre des traitements en participant à la surveillance clinique et à l'application des prescriptions médicales contenues, le cas échéant, dans des protocoles établis à l'initiative du ou des médecins prescripteurs ».
L'évaluation de la douleur reste donc le point de départ inévitable pour une prise en charge optimale de la douleur de la personne âgée démente. L’évaluation de la douleur est régit par le code de la santé publique article R4311-2 : « concourir à la mise en place, de méthodes et au recueil des informations utiles aux autres professionnels, et notamment aux médecins pour poser leur diagnostic et évaluer l'effet de leurs prescriptions. […].De participer à la prévention, à l'évaluation et au soulagement de la douleur et de la détresse physique et psychique des personnes, particulièrement en fin de vie au moyen des soins palliatifs, et d'accompagner, en tant que de besoin, leur entourage.»
J'ai choisi ce sujet parce que l'espérance de vie des populations augmentent, et qu'avec elle, le nombre de personnes atteintes de démence augmentent aussi. Il ne sera donc pas rare, de devoir prendre en charge dans les services quels qu'ils soient, cette population là. Comment donc les prendre en charge de façon optimale ?
J’ai choisi de m’intéresser plus particulièrement à l’évaluation de la douleur chez les personnes âgées atteintes de démences en service de chirurgie. Ma question de départ est donc :
- Comment évaluer la douleur des personnes âgées démentes en service de chirurgie ?
- Comment l’infirmier en chirurgie générale peut-il évaluer la douleur chez une personne âgée non communiquant ?
-
Ensuite,je galere pour ma question de départ... alors si quelqu'un a une idée !
La situation de soin sur laquelle j'ai choisi de m'interroger s'est passée en service de chirurgie orthopédique dans un établissement du secteur privé. Je suis alors stagiaire de fin de première année. C'est un service qui accueille des personnes souffrant de nombreuses pathologies orthopédiques, nécessitant pour la plupart la pose d'une prothèse (genou, hanche...).
Je prends en charge Mme B, 67 ans, qui est au deuxième jour postopératoire d'une chirurgie avec pose de prothèse de hanche. Cette dame est atteinte de la Maladie d'Alzheimer diagnostiquée il y'a 5ans.
Sur le plan de la communication, Mme B est toujours en capacité de s'exprimer, cependant son jugement, sa cognition et sa mnésie sont altérés. Mme B a ses moments de lucidités mais demande parfois si l'opération s'est déjà déroulé, me redemande qui je suis...
Le matin, lorsque je viens lui distribuer ses médicaments, je demande machinalement si elle a mal et si elle a bien dormi. Elle me dit qu'elle ne souffre pas. Je ne lui donne donc que la prescription d'antalgique prévue.
Dans la matinée, lorsque je repasse après sa toilette pour effectuer le pansement, je la vois grimacer . Je lui demande alors si elle a mal. Elle me répond : « Non, pourquoi, je devrais ? ». Je continue donc mon soin. Elle me parle lorsque qu'elle crispe son visage... Je lui redemande si elle a mal et me répond : « Oui, je vous l'ai dit tout à l'heure déjà... ». Je lui demandais alors : « A quel point avez vous mal ? ». Elle me répondit : « oh, un peu... c'est léger! » Je ne sais alors plus quoi penser. A la fin de mon soin, j'informe l'équipe infirmière. Elles me disent de mettre en place une fiche de surveillance de la douleur. Et lorsqu'elles me demandent de noter l'EVA je leur réponds que Mme B est démente et qu'elle m'a répondu qu'elle avait mal « un peu ». Les infirmières m'ont répondu que cela devait correspondre à une EVA équivalente à 2 et qu'il fallait réévaluer mais que pour l'instant l'EVA était faible.
Cette situation que je regarde aujourd'hui avec 2 années d'expériences en plus, m'a interpellé. En effet, c'est à ce moment là que je me suis rendu compte que les échelles d'évaluations des services généraux n'étaient pas forcément adaptés aux personnes âgée et, qui plus est, atteintes de démences. De plus depuis le premier plan douleur 2002 - 2005, la lutte contre la douleur est une priorité et, pour moi, dans cette situation je n'étais pas « efficace » pour la prise en charge de cette douleur puisque l'évaluation de celle-ci était subjective. Je dis subjective puisque dans le cas présent, l'infirmière associe « peu de douleur » avec EVA à 2. Mais si nous faisions passer l'EVA correctement , deux personnes disant avoir « peu de douleurs », n'auraient pas la même intensité de douleur sur cette échelle. Ici, l'EVA est un moyen d'auto-évaluation de la douleur. Cela signifie, comme son nom l'indique que seule la personne qui ressent la douleur peut lui attribuer une note. Comment faire dans ce cas là, pour évaluer la douleur d'une personne qui n'est plus en capacité de s'exprimer et/ou ayant ses capacités de jugements altérés ?
Je sais, de part les cours théoriques, qu'il existe également des échelles d'hétéro évaluation de la douleur. Après plusieurs passage dans des services de chirurgie, médecine..., je me suis aperçue que rares étaient les services à utiliser une autre échelle que l'échelle EVA. J'ai eu la chance de pouvoir observer les échelles d'hétéro évaluation dans des services spécialisés dans la prise en charge des personnes âgées ( EHPAD, Unité Gériatrique...).
Ma première question a donc été :
Pourquoi toutes les échelles d'évaluation de la douleur ne sont-elles pas connues et utilisées dans tous les services ?
Qu’est ce que la douleur ?
Selon l’IASP , « La douleur est une expérience sensorielle et émotionnel désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite en des termes évoquant une telle lésion. »
- Quelles sont les douleurs ressenties par les personnes agées ?
Qu’est ce qu’une personne agée ?
Dans le sens commun, une personne agée est une personne dont l’age est avancé et qui présente les attributs psychologiques et sociaux de la vieillesse tels que la société se les représente.
Puis je me suis demandée
En quoi les patients atteints de démences nécessitent-ils l'utilisation d'échelles spécifiques ?
En effet, les personnes âgées atteintes de démences est une population qui a ses spécificités. Les personnes atteintes de démences n'ont plus ou peu leur capacité de jugement. Ils ne peuvent donc pas comprendre ce que l'on attend d'eux avec une échelle telle que l'EVA. Celle-ci peut leur paraître compliquée d'utilisation.
En quoi l'évaluation de la douleur chez une personne âgée, démente ou non, met-elle l'équipe soignante en difficulté ?
Quelles sont les représentations des personnes soignées vis à vis de la douleur ?
Parfois, les personnes âgées ne se plaignent pas parce qu'elles pensent que la douleur fait partie de la vieillesse. D'autres n'évaluent pas objectivement leur douleur, parce que culturellement avoir mal c'est être « faible ». Pour d'autres encore, la douleur est une façon de dire qu'ils sont encore là, de se faire entendre, d'établir une relation. Comment donc évaluer objectivement la douleur ?
Quelles sont les représentations des soignants face à la douleur des personnes agées atteintes de démence ?
Quels peuvent être les conséquences d'une mauvaise évaluation de la douleur chez la personne âgée ?
Chez les personnes âgées, les douleurs peuvent entrainer des complication physiques bien entendu ( troubles du sommeil, perte d'appétit, décompensation cardiaque et respiratoire, perte d'autonomie, grabatisation...), psychologiques ( dépression...) et social ( isolement).
De même, dans cette situation Mme B bénéficie d'une prescription personnalisée anticipée, que je n'ai d'ailleurs pas utilisé. La notion de prescription anticipée personnalisée apparait en 2002. C’est une prescription qui prévient « les risques d’évolution de la situation du patient en permettant au personnel infirmier de raccourcir le délai de réponse en terme de soins et de traitements. Cette prescription doit être précédée de l’examen du malade par le médecin, et puisqu’elle est personnalisée, s’appliquer à ce seul patient ». De plus, l’application de ces prescriptions relevent du role infirmier « contribuer à la mise en oeuvre des traitements en participant à la surveillance clinique et à l'application des prescriptions médicales contenues, le cas échéant, dans des protocoles établis à l'initiative du ou des médecins prescripteurs ».
L'évaluation de la douleur reste donc le point de départ inévitable pour une prise en charge optimale de la douleur de la personne âgée démente. L’évaluation de la douleur est régit par le code de la santé publique article R4311-2 : « concourir à la mise en place, de méthodes et au recueil des informations utiles aux autres professionnels, et notamment aux médecins pour poser leur diagnostic et évaluer l'effet de leurs prescriptions. […].De participer à la prévention, à l'évaluation et au soulagement de la douleur et de la détresse physique et psychique des personnes, particulièrement en fin de vie au moyen des soins palliatifs, et d'accompagner, en tant que de besoin, leur entourage.»
J'ai choisi ce sujet parce que l'espérance de vie des populations augmentent, et qu'avec elle, le nombre de personnes atteintes de démence augmentent aussi. Il ne sera donc pas rare, de devoir prendre en charge dans les services quels qu'ils soient, cette population là. Comment donc les prendre en charge de façon optimale ?
J’ai choisi de m’intéresser plus particulièrement à l’évaluation de la douleur chez les personnes âgées atteintes de démences en service de chirurgie. Ma question de départ est donc :
- Comment évaluer la douleur des personnes âgées démentes en service de chirurgie ?
- Comment l’infirmier en chirurgie générale peut-il évaluer la douleur chez une personne âgée non communiquant ?
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Re: Evaluation de la Douleur et personne agée démente
Bonjour,
Le sujet de mon TFE portait sur la prise en charge de la douleur du patient présentant une démence de type Alzheimer dans un service de chirurgie.
J'ai ciblé ma question de départ sur le rôle infirmier dans cette prise en charge et j'ai axé mon cadre théorique autour de 3 parties :
- la maladie d'alzheimer
- la douleur
- rôle IDE dans la prise en charge de la douleur
Dans ton champs théorique, pour moi, il manquerait un abord sur la démence et la spécificité d'un service de chirurgie
"En quoi l'évaluation de la douleur chez une personne âgée, démente ou non, met-elle l'équipe soignante en difficulté" -> pour moi, il s'agit d'un autre thème de TFE. Idem pour les représentations des soignants.
N'hésites pas si tu as besoin au-niveau des lectures, bibliographie...
Le sujet de mon TFE portait sur la prise en charge de la douleur du patient présentant une démence de type Alzheimer dans un service de chirurgie.
J'ai ciblé ma question de départ sur le rôle infirmier dans cette prise en charge et j'ai axé mon cadre théorique autour de 3 parties :
- la maladie d'alzheimer
- la douleur
- rôle IDE dans la prise en charge de la douleur
Dans ton champs théorique, pour moi, il manquerait un abord sur la démence et la spécificité d'un service de chirurgie
"En quoi l'évaluation de la douleur chez une personne âgée, démente ou non, met-elle l'équipe soignante en difficulté" -> pour moi, il s'agit d'un autre thème de TFE. Idem pour les représentations des soignants.
N'hésites pas si tu as besoin au-niveau des lectures, bibliographie...
INFIRMIERE...depuis le 19/11/2010 !!
Après une pause bébé...IDE enEHPAD....et en route pour le libéral !
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Re: Evaluation de la Douleur et personne agée démente
Oui c'est un autre sujet effectivement mais les formatrices nous avaient demandé de mettre tous les themes possibles à l'écrit pour que l'on puisse choisir le theme qui nous interesse le plus.
J'aimerai parler du role infirmier dans l'évaluation et la prise en charge de la douleur des personnes agées démentes en service de chirurgie et non pas en EHPAD ou en unité gériatrique.
Comment l'infirmiere peut-elle évaluer la douleur d'une personne agée démente en service de chirurgie ?
J'ai du mal à formuler cette foutu question ! lol
J'aimerai parler du role infirmier dans l'évaluation et la prise en charge de la douleur des personnes agées démentes en service de chirurgie et non pas en EHPAD ou en unité gériatrique.
Comment l'infirmiere peut-elle évaluer la douleur d'une personne agée démente en service de chirurgie ?
J'ai du mal à formuler cette foutu question ! lol
Re: Evaluation de la Douleur et personne agée démente
Tu dis que tu veux parler du "rôle infirmier dans l'évaluation et la prise en charge de la douleur des personnes agées démentes en service de chirurgie"
Elle est là ta question de départ, tu rajoutes juste un pronom interrogatif
Elle est là ta question de départ, tu rajoutes juste un pronom interrogatif

INFIRMIERE...depuis le 19/11/2010 !!
Après une pause bébé...IDE enEHPAD....et en route pour le libéral !
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Re: Evaluation de la Douleur et personne agée démente
Ho génial !! c'était tellement simple que je ne l'ai pas vu !
Quel est le role infirmier dans l'évaluation et la prise en charge de la douleur d'une personne agée démente en service de chirurgie ?
Merci beaucoup ! Reste maintenant à savoir si la question est validée !
Sinon pour la biblio j'ai quelques revues ( soins gérontologie, santé mentale )
Si tu as des lectures à me conseiller, je suis preneuse !
Quel est le role infirmier dans l'évaluation et la prise en charge de la douleur d'une personne agée démente en service de chirurgie ?
Merci beaucoup ! Reste maintenant à savoir si la question est validée !
Sinon pour la biblio j'ai quelques revues ( soins gérontologie, santé mentale )
Si tu as des lectures à me conseiller, je suis preneuse !
Re: Evaluation de la Douleur et personne agée démente
C'est ça. Après chaque formateur est différent mais ma question de départ avait été validée ainsi. (sans "l'évaluation" puisque celle-ci s'intègre dans la prise en charge -> repérer, évaluer, traiter)
Quant à la bibliographie, je t'envoie demain quelques titres de bouquins qui m'ont servis pour mon TFE + divers liens
Bonne nuit
Quant à la bibliographie, je t'envoie demain quelques titres de bouquins qui m'ont servis pour mon TFE + divers liens
Bonne nuit

INFIRMIERE...depuis le 19/11/2010 !!
Après une pause bébé...IDE enEHPAD....et en route pour le libéral !
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Re: Evaluation de la Douleur et personne agée démente
Bonjour, voici une partie de ma bibliographie qui pourrait être interessante pour ton TFE (si ça t'interesse, je revends les ouvrages sauf "La vie Alzheimer")
Les ouvrages
- A.Muller, C.Metzger, M.Schwetta et al., Soins infirmiers et douleur, Éditions Masson, Paris 2007,
- C.Chauffour-Ader, M-C.Daydé, Comprendre et soulager la douleur, Éditions Lamarre, Paris 2008,
- L.Benattar, P.Lemoine, La vie Alzheimer, Éditions Armand Colin, Paris 2009, 234 pages
- R.Sebag-Lanoë, B.Wary, D.Mischlich, La douleur des femmes et des hommes âgées, Éditions Masson, Paris 2002, 324 pages
Les revues
- Docteur Guy Chatap, Les douleurs de la personne âgée, L'infirmière magazine n°206, supplément les cahiers de formation continue, juin 2005
- S.Lefebvre-Chapiro, C.Trivalle, S.Legrain et al., Particularités de la douleur et de sa prise en charge chez les personnes âgée, La presse médicale, vol.29 - n°6, pages 333 à 339, 19 février 2000
- Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG), Douleur et personnes âgées : repérer, évaluer, organiser une prise en charge de qualité, La revue de gériatrie, Tome 30 - Supplément C au n°6, juin 2005
Autre sources :
- Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé (ANAES), Évaluation et prise en charge thérapeutique de la douleur chez les personnes âgées ayant des troubles de la communication verbale, Service des recommandations et références professionnelles, octobre 2000 (super interessant - disponible sur internet - à rechercher via google)
- sites internet sur la douleur : doloplus, cnrd...
Tu me tiens au courant au-niveau de ta question de départ. N'hésites pas si tu as besoin.
A+
et bonne continuation
Les ouvrages
- A.Muller, C.Metzger, M.Schwetta et al., Soins infirmiers et douleur, Éditions Masson, Paris 2007,
- C.Chauffour-Ader, M-C.Daydé, Comprendre et soulager la douleur, Éditions Lamarre, Paris 2008,
- L.Benattar, P.Lemoine, La vie Alzheimer, Éditions Armand Colin, Paris 2009, 234 pages
- R.Sebag-Lanoë, B.Wary, D.Mischlich, La douleur des femmes et des hommes âgées, Éditions Masson, Paris 2002, 324 pages
Les revues
- Docteur Guy Chatap, Les douleurs de la personne âgée, L'infirmière magazine n°206, supplément les cahiers de formation continue, juin 2005
- S.Lefebvre-Chapiro, C.Trivalle, S.Legrain et al., Particularités de la douleur et de sa prise en charge chez les personnes âgée, La presse médicale, vol.29 - n°6, pages 333 à 339, 19 février 2000
- Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG), Douleur et personnes âgées : repérer, évaluer, organiser une prise en charge de qualité, La revue de gériatrie, Tome 30 - Supplément C au n°6, juin 2005
Autre sources :
- Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé (ANAES), Évaluation et prise en charge thérapeutique de la douleur chez les personnes âgées ayant des troubles de la communication verbale, Service des recommandations et références professionnelles, octobre 2000 (super interessant - disponible sur internet - à rechercher via google)
- sites internet sur la douleur : doloplus, cnrd...
Tu me tiens au courant au-niveau de ta question de départ. N'hésites pas si tu as besoin.
A+

INFIRMIERE...depuis le 19/11/2010 !!
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